Magasin général, Tome 7 : Charleston
Auteur
- Régis Loisel (Écrivain)
- Jean-Louis Tripp (Écrivain)
Classement en biblio - 135 lecteurs
extrait
... En tout cas, j'te dis que si on avait le droit de voter nous autres les femmes, ça fait un bout que ça serait réglé !
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Une belle ode à la fête et à la liberté de penser et d'aimer, avec propos plus subversif qu'il peut en avoir l'air... Loisel exprime ici l'air de rien des opinions pas si habituelles sur les pratiques amoureuses, le tout sur rythme de Charleston endiablé.
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A l’image de son titre, ce tome et festif et entraînant et libéré les pensées de tout le monde au village ou presque, où chacun agrémente son quotidien entre ses occupations journalières et la fête le soir. Mais bientôt, les choses sérieuses refont surface comme la gestion du village, l’arrivée de l’hiver ou encore une nouvelle que l’on n’avait pas vu venir…
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Quand l'euphorie et le charleston s'emparent des villageois, on ne les tient plus, ils font la fête jusqu'à pas d'heure! Un tome très joyeux et une fin toute aussi joyeuse!
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Bien sûr, on s'est attaché aux personnages et il est agréable de les retrouver le temps d'un album dans une ambiance festive. Mais celle-ci est un peu redondante, autant dans l'histoire de Marie qui reprend celle du précédent volume que dans l'élection joyeuse du maire qui revient plusieurs fois... Sympathique mais comme il n'y a pas de problème véritable, il y a moins d'action, d'enjeux et j'ai moins accroché.
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Un tome surprenant ! Beaucoup d'actions et de rebondissements ! On adore !
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Date de sortie
Magasin général, Tome 7 : Charleston
- France : 2011-11-23 (Français)
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Résumé
L’histoire de Magasin général se déroule dans un village du Québec rural à partir du début des années 20. Elle gravite autour d’un personnage féminin, Marie, veuve avant l’heure et héritière du principal commerce local (le « Magasin général » qui donne son titre au récit), que l’irruption d’un étranger dans la petite communauté va progressivement réconcilier avec le bonheur ; bonheur d’aimer, bonheur d’être aimé(e), mais pas exactement de la manière que l’on pourrait imaginer…
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