Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
713 421
Membres
1 006 143

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Commentaires de livres faits par magwenn

Extraits de livres par magwenn

Commentaires de livres appréciés par magwenn

Extraits de livres appréciés par magwenn

Je n’ai jamais été amoureux de façon aussi profonde. Des amourettes, oui, mais l’amour de sa vie, non. Ce n’est pas que je n’y crois pas, juste qu’avec ma condition de nomade, au gré des matchs et des contrats, je ne sais pas si cela pourrait convenir à une femme ou, pire, à une vie de famille. En tout cas, je ne l’envisage pas tant que je suis dans le circuit. Le jour où je serai à la retraite, j’espère m’installer définitivement dans un endroit sympa et fonder une famille. En attendant, je me consacre au football et profite de la vie. D’où la remarque de Zach concernant mes horaires de sommeil. Pendant la saison, j’ai un rythme de vie sain et très réglé pour être au meilleur de ma forme. Mais dès que nous sommes au repos, je me lâche un peu. Et parfois beaucoup. La saison est finie depuis plusieurs mois et ne reprendra pas avant septembre, aussi, mon rythme de vie est anarchique et n’est réglé qu’au gré des soirées entre potes et des sorties prévues par mon manager.
Et j’aimerais bien pouvoir prendre un peu de temps avec la belle Emily.
Nous avançons alors que je suis encore perdu dans mes pensées. Je suis Alexandra et Grayson en me faisant la remarque qu’ils forment un très joli couple. D’eux aussi émane l’amour qu’ils éprouvent l’un pour l’autre. Il est indéniable qu’ils s’aiment au moins autant qu’Asher et Aly.
— J’ai hâte de pouvoir faire plus ample connaissance avec toi, Boucles d’or, je taquine ma cavalière qui se tend en m’entendant.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
date : 18-08-2019
Merde !
Ce contact envoie comme un courant électrique à travers mon corps. Je me force à cacher mon tremblement. Je ne veux pas lui donner la satisfaction de savoir qu’il m’excite.
J’attends qu’il s’adresse au public pour expliquer ce qu’il va faire exactement, mais Mike ne dit pas un mot. Il ne jette même pas un coup d’œil aux gens dans la salle qui nous regardent ; il se concentre seulement sur moi, soulevant ma robe pour dévoiler mon cul. Je porte un tout petit string et tout le monde peut voir mes fesses nues.
Je ne me suis jamais sentie si exposée.
Mike laisse traîner doucement son doigt sur mes fesses.
– Tu m’as désobéi, dit-il.
Sa voix est un mélange de miel et d’acier. Je ne lui connais pas cette voix.
– Tu m’as répondu avec insolence. Tu m’as manqué de respect devant un client. Un ami.
Il dit ça tout bas pour que le public ne puisse pas l’entendre, mais son message est très clair.
Je rougis, l’anxiété me gagne. Il est vraiment fâché. Peut-être que j’ai pris une décision irréfléchie.
– Dans ce club, je ne tolère pas la rébellion. Normalement, je te mettrais à la porte, dit-il en caressant mes fesses d’une main possessive. Mais tu t’es portée volontaire pour une punition plus appropriée. Je t’en remercie, mademoiselle Doherty. Tu rends ma tâche plus facile.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
- Mais qu’est-ce que tu fais là, putain !
Au lieu de me répondre, il pencha la tête sur le côté, son regard parcourant lentement mon corps.
- J’ai rêvé ou je t’ai entendu gémir sous la douche ?
Je déglutis en reconnaissant l’étincelle qui brillait dans son regard.
- Sage…
Il se leva, s’approchant de moi d’un pas lent de prédateur.
- Est-ce que tu pensais à moi, Keira ? À la façon dont ton corps s’électrise quand je suis près de toi ? Et ton souffle, qui se raccourcit, comme si ma seule présence t’intoxiquait ?
Il leva une main, frôlant la serviette qui recouvrait mes seins du bout des doigts.
- Ou la manière dont tes seins pointent en avant, comme pour me supplier de les toucher, de les mordre, de les lécher ?
J’ouvrai la bouche, pour l’insulter ou le supplier je n’en savais rien, quand la porte de ma chambre claqua contre le mur. Maria, les bras croisés, fusilla Sage du regard.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
date : 04-08-2019
Mon corps frémit.
J’ai le sentiment de pénétrer dans l’antre d’un fauve, de m’apprêter à être dévorée toute crue, de me mettre en danger, mais rien ne me ferait renoncer à passer cette soirée avec lui, puisqu’il semble le vouloir lui aussi.
Ce n’est pas dans une simple chambre, mais dans une suite grand luxe qu’il me fait entrer : spacieuse, au mobilier chic, moderne, incroyablement élégant, d’un charme incontestable. Tout à son image, finalement. Son parfum est partout. Absolument partout. Enivrant. Entêtant.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Mes yeux ne savent plus où se poser, et je ne suis pas sûr de pouvoir oublier un jour un tel spectacle. La lune éclaire sa silhouette, donnant à sa chemise de nuit une transparence incroyablement érotique. Tout n’est que jeu d’ombre et de lumière, mais je distingue l’arrondi de ses hanches, la lourdeur de sa poitrine, le galbe de ses jambes. Tout en elle est superbe, de ses cheveux décoiffés jusqu’à ses pieds nus. Jamais je n’ai vu femme plus belle et plus ensorcelante.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
date : 04-08-2019
J’avais l’impression de pouvoir faire confiance à Lucas, seulement, je ne le devais pas. Je ne pouvais pas non plus m’intéresser à lui de la façon dont j’étais en train de le faire.
Ce n’était pas le premier qui avait perdu un membre de sa famille, pourtant, voilà que je pensais à lui chez moi, dans mon bain. Je n’avais encore jamais songé à l’un de mes patients durant l’un de mes moments de détente préférés.
Je sortis de l’eau, attrapai une serviette et me séchai rapidement.
Il fallait que je me change les idées, Lucas Laugier n’avait aucune raison de m’accaparer l’esprit. C’était mon patient, c’est tout. Il ne pouvait pas représenter plus pour moi. Je ne pouvais pas laisser cela se produire.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
date : 04-08-2019
Je secoue la tête pour chasser ces souvenirs douloureux et repose ce papier là où il doit être, comme mon cœur : enfermé à double tour derrière une porte blindée. Le tableau retrouve sa place et je parcours le chemin en sens inverse.
Pensive, j’ouvre la baie vitrée pour que Teddy sorte faire ses besoins avant que j’enclenche le système d’alarme de la maison.
J’espère que cette soirée et l’attitude des deux hommes qui vont évoluer sous ce toit ne reflètent pas les prémices de problèmes de plus grande envergure.
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
Tout son corps était maintenant tourné vers moi, sa curiosité prenant le pas sur les règles sociales habituelles entre un homme et une femme. En temps normal, je ne me serais jamais laissé observer de la sorte. Je n’aurais même jamais laissé un inconnu m’approcher de si près. Mais ma retenue habituelle était en train de fondre dans ce mug de chocolat chaud. Je sirotai une gorgée de ma boisson, observant les traits du visage de Mark, le dessin net de sa mâchoire, les rides au coin de ses yeux qui traduisaient sa nature souriante et cette légère cicatrice qui barrait son front.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Elle me disait que son fils me rendra heureuse le jour où il arrivera à se rendre compte à quel point je tiens à lui. Elle me disait que le jour où nous aurons franchi cette étape, alors il saura faire de moi sa priorité. Mais j’ai l’impression qu’elle me parlait d’un autre enfant ! Tu m’as prévenue que ça allait être difficile, mais je ne veux pas devoir me justifier parce que j’ai oublié de te dire telle ou telle chose, parce que quand je rentre du travail, tout ce que je désire, c’est me retrouver près de toi et ne penser à rien d’autre, juste profiter de ta présence. Je ne t’ai pas parlé de mon projet car ce n’était qu’une ébauche, rien de précis. Je pensais pouvoir partager ma joie avec toi, je n’avais pas du tout imaginé que les choses se passeraient ainsi !
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
— Nous verrons les mêmes étoiles, le même soleil, le même ciel, mais nous serons toujours tellement loin l’un de l’autre.
Je me rappelai avoir pensé combien il était agréable d’avoir encore l’univers en commun, comme s’il nous reliait d’une certaine façon. Mais l’univers était encore plus vaste que le monde, un monde au sein duquel nous allions rester séparés pendant vingt ans. Qu’est-ce qui m’était passé par la tête ? Je savais bien que cette séparation allait me briser, me déchirer. Je ne pouvais pas retourner chez ma tante l’été suivant. Il fallait que je travaille pour me payer l’université. Il comprenait. Il avait toujours compris. Nous nous étions donc séparés en espérant qu’un jour nos chemins se croiseraient de nouveau.
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
— Qu’est-ce que je peux vous offrir ?
Je lui fais un sourire carnassier et la détaille de bas en haut.
— Je sais bien ce que je mangerais, mais d’abord j’ai soif.
Elle éclate de rire à ma remarque puis secoue la tête en souriant. Je peux l’observer de plus près et j’avoue qu’elle est vraiment belle. Absolument pas mon genre, mais je suis prêt à revoir mes goûts pour elle.
— Vous êtes direct, Monsieur Vitaïev, mais certaines choses ne sont pas aux menus. Maintenant, j’ai du monde, donc passez votre commande s’il vous plaît.
Je souris, elle sort ses griffes. Petite tigresse, tu ne feras pas le poids.
— Champagne.
Avez vous apprécié cet extrait ? +3
Je suis fière de moi. Aujourd’hui, je n’ai fantasmé que trois fois sur mon boss. C’est une fois de moins qu’hier. J’ai craqué lorsqu’il a traversé le couloir en dénouant légèrement son nœud de cravate, ses cheveux volontairement ébouriffés bataillant sur son crâne. J’ai eu le malheur de fixer quelques instants ses mains, fines et élégantes, lorsqu’il a tiré sur la soie, ce qui a suffi à me renvoyer quelques mois en arrière en une fraction de seconde. Je les ai revues se poser sur moi, caresser la courbe de ma gorge et descendre le long de mon ventre, en murmurant qu’il me trouvait séduisante… non, il a chuchoté : « tu es exquise ». Qui emploie encore ce genre de mots auprès d’une femme ? Mais lui en use avec beaucoup d’élégance. Ces trois mots m’ont fait fondre comme de la crème fouettée dans un éclair au café. Mon Dieu, j’aimerais de nouveau me retrouver dans ce lit, avec son odeur partout autour de moi…
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
date : 19-02-2019
Ces mots m’ébranlaient littéralement comme si j’avais reçu une violente gifle. Je sentis mes yeux piquer et me mordis l’intérieur de la bouche pour éviter que ça empire. Matt me démontrait qu’il était indéniablement un bon ami. Ses paroles étaient justes, réconfortantes et pleines d’espoir. Finalement, peut-être que la société m’accepterait et qu’un homme me désirerait… Mais cet espoir s’envola aussitôt lorsque je me remémorai les dégâts sur mon corps. Le monde était méchant et sans pitié. Je resterai dans mes convictions. Seule.
Je me raclai la gorge avant d’entamer la conversation.
— Tu es venu pourquoi ?
Il parut déçu que je ne poursuive pas cette conversation. Je ne le fis pas car je préférais une nouvelle fois esquiver une discussion amicale. Toutefois, je respectais sa proposition en me montrant à visage découvert. Le menton relevé et les cheveux toujours attachés, j’espérais racheter ce mauvais comportement pour qu’il voie en moi une femme forte.
— Je suis venu pour te rendre ça ! annonça-t-il avec un sourire carnassier.
Nom de Dieu ! Finalement, cette conversation était beaucoup plus houleuse que la précédente.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
date : 19-02-2019
Son sourire, magnifique, est gravé dans ma mémoire depuis ce jour.
J’avais trouvé une nouvelle famille, un but, une vocation.
Je suis devenu biker. Un putain de biker, un vrai de vrai. Tout ce qu’il y a de plus vrai.
Sans la cicatrice, Dieu merci.
Et aujourd’hui, les hommes se pissent dessus en voyant OutlawRiders inscrit sur mon blouson, et les femmes se liquéfient face à ma gueule de bad boy, et rien qu’à l’idée de m’avoir entre leurs cuisses.
Oui, aujourd’hui, ma vie est en tout point parfaite, et je n’en voudrais pas d’autre. Le destin a mis sur ma route deux personnes extraordinaires : June et son père Ben. Puis d’autres : Jack – l’ancien prés’, le père de Trav –, Samuel, Trav lui-même, Stan, Bill, Lohann, ainsi que les autres frères. Ils m’ont accueilli comme s’ils m’avaient toujours connu, comme l’un des leurs, et je leur en serai éternellement reconnaissant, car ils m’ont sauvé la vie en m’évitant de finir délinquant, avec du plomb dans la tête.
Ils sont devenus ma famille.
La seule.
La seule que j’aime aujourd’hui.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
date : 19-02-2019
— Arrête de faire ça. Tu vas l’étaler, déclare-t-il sèchement, posant ses pieds sur le sol avant de se redresser.
J’avais oublié qu’il dépassait le mètre quatre-vingts, et le cœur tambourinant, je le détaille de pied en cap, de ses bottes à la pointe de ses cheveux décoiffés.
— Je suis désolée, si c’est trop voyant, je peux l’enlever. Je n’étais pas sûre d’avoir bien compris, et je n’ai pas encore reçu le code vestimentaire de l’entreprise.
— Le code vestimentaire, répète-t-il l’air songeur, les coins de sa bouche frémissant.
Il se place devant le bureau, contre lequel il adosse sa silhouette longiligne. J’ai beau faire tout mon possible pour l’éviter, je ne peux pas m’empêcher de survoler du regard son jean noir, qui semble avoir été cousu sur ses jambes, et les manches courtes de son tee-shirt blanc qui épousent ses biceps. La dernière fois que je l’ai vu, sa chemise cachait la plupart de ses tatouages. Ce soir, ses bras sont visibles et avec eux, toute une guirlande colorée de mots et de motifs éclatant sur sa peau dorée et ses muscles bien dessinés.
Il croise les bras, rompant mon examen.
— Tu apprécies la vue, trésor ?
— J’admire juste les tatouages.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Je suis à deux doigts de lui balancer le fond de ma pensée, mais je ravale in extremis les mots que j’ai sur le bout des lèvres. Beverly vient de nous offrir une porte de sortie. Son attitude et ses paroles nous permettent à tous les deux de nous extirper d’une situation gênante. Le seul truc qui me fait grincer des dents, c’est qu’elle a retourné la situation ; tout le discours qu’elle m’a tenu, c’est moi qui devais lui sortir. Ça égratigne ma fierté. C’est dur à encaisser.
— Donc, on est d’accord tous les deux ?
— À une seule condition, ajouté-je lentement.
— Laquelle ? me demande-t-elle, suspicieuse.
— Je fais abstraction du fait que tu cherches à me faire passer pour une victime et, en échange, on retrouve tous les deux la même complicité que quand j’étais à l’hôpital.
— Si ça te permet de te sentir mieux, c’est entendu.
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
date : 19-02-2019
Il m’attend adossé nonchalamment à sa luxueuse voiture. Le coffre déjà ouvert accueille ma valise et rejoint son bagage. Il en claque la porte en m’attirant à lui. Je l’attrape par le col de sa veste et nous nous embrassons langoureusement. Chaque baiser que nous échangeons en appelle un autre. Mon cœur bat toujours la chamade quand il est à proximité. Dire que je vais l’avoir rien qu’à moi pendant deux jours.
— Grimpe dans cette voiture avant que je ne te penche sur le capot pour assouvir un fantasme.
Je lui fais un clin d’œil aguicheur et le lâche pour m’installer côté passager. Il me rejoint et prend le volant pour nous emmener vers une des villes les plus romantiques d’Italie.
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
En somme, je ne savais plus vraiment si les choses que j'avais organisées avaient un sens, j'avais le cerveau complètement retourné par... bref !
Me revenait en mémoire un mot qu’Annie avait utilisé pour décrire sa nièce adorée, attendez... c'était quoi déjà... Un bonbon.
« Tu verras, ma Lilie c'est un petit bonbon acidulé, il est doux, à la fois piquant et sucré ! » avait-elle dit à Val, ce qui était certain c'est que j'adhérais et j'avais drôlement envie de le faire rouler sur ma langue, le petit bonbon acidulé...
Je me filais une claque mentale et fonçai cacher l'expression physique de mes sentiments naissants derrière l'îlot qui séparait la cuisine du living room, puis lui proposai à boire, afin de justifier ma précipitation.
- Un café, merci.
- Tu as de la chance petite frenchie, ta tante nous a offert à Noël dernier une machine Nespresso... tu vas avoir du vrai café. Tu crois que c'était prémédité ?
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
date : 19-02-2019
- Quelque chose à dire, Cameron ?
- Oh non, je suis là en simple spectateur. Elle est vraiment spéciale, hein ?
- Oui, spéciale, têtue, arrogante, irrespectueuse... il n’y a pas assez d’adjectifs pour la décrire.
Il éclate de rire, la jeune femme franchit les obstacles les uns après les autres. Les gars de nos unités la sifflent et l’encouragent en sautant sur place. Je souris, la pauvre elle va tomber de haut. Cameron regarde le chronomètre.
- Impressionnant John, à mon avis
tu t’es fait avoir, sous ses airs de fille innocente, elle cache bien son jeu.
Je serre les dents, on verra bien.
- Ce n’est pas fini, elle ne tiendra jamais à ce rythme-là.
Avez vous apprécié cet extrait ? +3
— Es-tu prête pour les cordes ? me demande-t-il d’un ton formel.
— Oui, Maître S, je suis prête.
Ma réponse est dite à haute et intelligible voix pour que tous puissent l’entendre. J’ai confiance et je pense savoir ce que je fais jusqu’à ce que j’entende une voix derrière moi.
— Veux-tu jouer avec moi aujourd’hui, Tab ?
Je me retourne si rapidement que j’en glisse du banc.
Un fauve bondit et me rattrape. C’est Ryan.
Sa poigne est ferme sur mon bras. Sous les spots, ses doigts semblent livides sur ma peau. Je cligne des yeux pour vérifier que je ne rêve pas. Non, il est bien là. Ses mains sont posées sur moi et cette simple sensation me transporte de joie. J’ai le cœur qui chante.
Sa cicatrice est plus pâle, mais ses yeux sont comme dans mon souvenir. Le bleu fait penser à un ciel d’été et le marron à une terre riche de paillettes d’or. Un coin de sa bouche se lève lentement. Il est heureux de ma surprise et de ma réaction. Je veux étrangler Maître S pour m’avoir mise dans cette situation sans me prévenir, mais je veux aussi le remercier de l’avoir fait. Je tourne la tête vers lui et articule un merci silencieux.
— Tu n’as pas répondu à ma question, murmure Ryan à mon oreille en m’aidant à me repositionner sur le banc.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Il plaisante, non ? Comme si c’était facile de deux dire à deux hommes - deux hommes qui sont là devant moi - que je les aime tous les deux ?
— Aller, Diana, tu peux le faire, m’encourage Angelo.
Je prends une grande respiration et je hurle presque :
— Bon d’accord. Je vous aime tous les deux. Vous êtes contents, maintenant ?
— Eh bien oui, en fait, je le suis, rétorque Leo.
Angelo se rapproche de moi et m’embrasse à la sauvette.
— Moi aussi, dit-il. Il est l’heure de rentrer.
C’était tout ? Pas d’ultimatum, de choix à faire, de jalousie ?
Nous nageons jusqu’à la plage. Angelo m’enveloppe dans une des grandes serviettes et nous nous installons sur le sable face à la mer pendant quelques minutes.
C’est étonnant à quel point cela semble confortable et normal de rentrer à l’hôtel en leur tenant la main à tous les deux.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
— Bonjour ma douce, me murmure-t-il à l’oreille avant de m’embrasser dans le cou.
Je ronronne et tourne la tête pour lui faciliter la tâche.
— Je crois que je pourrais me faire à être réveillée comme cela …
— Mmmmmm, répond Angelo. Moi aussi, je pourrais m’y faire.
Je savoure le câlin et m’étonne de ma propre témérité. J’ai eu le culot d’aller chez lui, en tête à tête et puis de rester passer la nuit avec ce parfait inconnu.
— À quoi penses-tu ? demande-t-il.
Je me retourne sur le dos et le regarde. Il a les cheveux mouillés et sent le savon.
— Je me demandais ce que tu avais fait pour que je te fasse confiance aussi rapidement.
Avec un sourire ravageur, il me répond.
— C’est cela le coup de foudre.
Je fronce les sourcils.
— Tu ne crois pas au coup de foudre ?
Je secoue la tête.— Bonjour ma douce, me murmure-t-il à l’oreille avant de m’embrasser dans le cou.
Je ronronne et tourne la tête pour lui faciliter la tâche.
— Je crois que je pourrais me faire à être réveillée comme cela …
— Mmmmmm, répond Angelo. Moi aussi, je pourrais m’y faire.
Je savoure le câlin et m’étonne de ma propre témérité. J’ai eu le culot d’aller chez lui, en tête à tête et puis de rester passer la nuit avec ce parfait inconnu.
— À quoi penses-tu ? demande-t-il.
Je me retourne sur le dos et le regarde. Il a les cheveux mouillés et sent le savon.
— Je me demandais ce que tu avais fait pour que je te fasse confiance aussi rapidement.
Avec un sourire ravageur, il me répond.
— C’est cela le coup de foudre.
Je fronce les sourcils.
— Tu ne crois pas au coup de foudre ?
Je secoue la tête.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Quelqu’un va passer un samedi soir de folie !
Je ferme les yeux, prends une grande inspiration et me force à souffler doucement. Je croise les bras et frissonne. Ai-je peur de détester cette soirée ou, au contraire, d’adorer ce style de vie ?
L’idée de tout lâcher et de me soumettre à un homme est tout aussi tentante que terrifiante.
Je ne dois pas paniquer.
Je vais juste visiter un club.
Tabitha a promis que si je n’allais pas vers l’arrière du club une fois sortie des vestiaires, j’aurai l’impression d’être dans une boite de nuit normale : une piste de dance, un bar avec une limite de deux boissons alcoolisées par soirée. Si je me dégonfle, je pourrais rester dans cette pièce.
Mais bon, si je dois tenter l’expérience autant que je le fasse vraiment. Je vais aller jusque dans le donjon. Qui sait, j’arriverai peut être à retrouver la fille que j’étais avant.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Que fait-elle la ?

Je ne lui répond pas en espérant qu'elle s'en ira. Mais il se passe tout sauf ce à quoi je m'attendais. Elle a fini par me trouver mais surtout elle a fini par me rejoindre dans mon lit. Je sens ses bras fins autour de mon corps musclé. Je ne savais pas que de si petits bras pouvaient apporter tant de réconfort.

Elle me sert fort et ne pars pas quand je lui demande de le faire. Nous rêvons tous de ça, pas vrai ? Avoir quelqu'un qui reste malgré le fait qu'on lui supplie de partir. Et pour je ne sais quelle raison, elle est toujours là.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Elle plia les doigts et cambra le dos pour s’étirer discrètement, attirant son regard sur la façon dont son chemisier épousait la courbe de ses seins. Il avait remarqué des petites choses de ce genre toute la journée : la volute élégante de son oreille quand elle y glissait une mèche derrière, la souple voûte de ses pieds lorsqu’elle ôtait ses chaussures sous le bureau, la tension du tissu de sa jupe sur ses cuisses au moment où elle remuait sur son siège.
Ce devaient être les effets résiduels de sa maladie. Il n’avait jamais remarqué ce genre de choses chez Janice.
La chaise de Chloé craqua, ramenant les yeux de Nathan sur son visage lorsqu’elle admit :
— Vous savez, vous êtes vraiment doué pour ça.
Il sentit une onde de plaisir. Encore un signe de faiblesse.
— Un grand compliment, venant de Mlle Chloé Russell, la taquina-t-il en injectant une note sardonique à sa voix pour qu’elle ne soupçonne pas à quel point il était gratifié de son commentaire.
— Je n’aurais pas dû dire cela. (Elle tripota la souris.) Bien sûr que vous êtes doué. Vous êtes le P-DG.
— Un titre élevé ne garantit pas la compétence. D’ailleurs, il y a une théorie à ce sujet.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
C’était une mauvaise idée. Une très très mauvaise idée.
Alors que j’entrais dans le bar, mes talons claquant sur le sol attirèrent tous les regards, et le silence tomba sur la pièce surpeuplée d’homme en cuir. Derrière moi, Lexie me fit comprendre d’une pression en bas du dos que je devais avancer, de ne pas reculer maintenant. Pourtant j’en mourrais d’envie.
Notre petite journée entre fille s’était transformée en journée relooking pour moi. Du coiffeur à la manucure, j’avais eu le droit à la totale. Mes cheveux blonds étaient maintenant d’un blanc immaculé jusqu’à leurs pointes qui elles étaient d’un bleu azur, le tout d’un effet wavy qui me donnait ce côté coiffé/décoiffé que j’adorais. Je portais une robe blanche qui paraissait innocente mais ne l’était pas du tout ! La tenue se tenait en un short et un débardeur qui s’arrêtait au-dessus de mon nombril, le tout recouvert d’un genre de robe de plage en crochet qui descendait jusqu’à mes cuisses, mes pieds eux étaient douloureusement perchés sur des talons de dix centimètres.
Malgré le fait que je m’étais déjà retrouvée dans de pire tenue devant des inconnus, je me sentais vraiment timide face aux regards des Hell’s Wings posés sur moi. Je me dépêchais de rejoindre mon comptoir et d’aller me cacher derrière, retirant ma veste en cuir. Lorsque je me retournais, je me retrouvais face à Cash, son regard plongé dans mon décolleté.
- Salut…
Avez vous apprécié cet extrait ? +1


  • aller en page :
  • 1
  • 2
  • 3

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode