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« Je veux entendre ton cœur se briser pour voir s’il fera le même bruit que le mien lorsque j’ai tout perdu »
Afficher en entier« Le temps ne guérit pas les blessures, c’est un mensonge. Il les sublime, il les polit pour les rendre plus lisses, plus éclatante »
Afficher en entier« Mais la mort n’embrasse personne, à moins que ce soit sa dernière heure »
Afficher en entier« Je sais ce que l’on dit de moi, que je terminerai en bas comme lui, que je suis fait pour le chaos et la destruction »
Afficher en entier« Mon amour dans nos yeux se reflète, comme nos vœux, lorsque nos corps se complètent.
Car nul n’a connu un attachement si fort, sans jamais quitter l’Ouest ni le Nord.
Si notre âme ne fait qu’un, sache que, même dans la mort, tu m’appartiendras encore. »
Afficher en entier« Inlassablement, sans répit, le temps s’échappe, il emporte avec lui les moments de bonheur et d’insouciance »
Afficher en entier« Pour la première fois, la Mort verse des larmes de fer sur l’amour »
Afficher en entierJe m’assieds à ma place habituelle à côté de Tristan qui me regarde comme si un troisième oeil venait de me pousser au milieu du front. J’ouvre la bouche pour lui parler quand je suis interrompue par un bruit à côté de moi.
– La place est libre ? me demande un garçon qui s’assied avant même d’avoir entendu ma réponse.
Je lève la tête et tombe sur les yeux les plus verts, les plus pétillants qui puissent exister. Ce garçon est beau à en mourir. Ses cheveux noirs légèrements ébouriffés retombent négligemment sur son front, sa bouche est un appel à la débauche et sa mâchoire carrée lui donne un air de mauvais garçon, sans parler du blouson en cuir noir qui met en valeur ses larges épaules. La pâleur de sa peau le fait ressembler à un être surnaturel quasi irréel.
– Heu… Oui, oui… il n’y a personne d’assis sur la chaise, bredouillé-je comme une idiote.
[…]
– Je ne me suis pas présenté, je m’appelle Azraël, susurre-t-il.
Afficher en entier« Son regard est rempli de mélancolie, de blessures secrètes. Un parfum de regrets et de désespoir emplit la pièce. Je ne saurais dire si cette fragrance émane de lui ou de moi, sûrement un peu des deux »
Afficher en entier« Je parle d’une puissance invisible, mais dévorante, capable de provoquer des ouragans, comme lorsque le feu et la glace se rencontrent, une puissance qui me rendrait capable d’aller jusqu’au bout du monde pour lui »
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