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Commentaires de livres faits par Mamschat

Extraits de livres par Mamschat

Commentaires de livres appréciés par Mamschat

Extraits de livres appréciés par Mamschat

date : 19-10-2023
Enlève tes frusques, tu dois être nue pour endosser ça !
J’aurai à peine seize ans le mois prochain et face à elle, je reste choquée de ce qu’elle ose me demander. Comment peut-elle vouloir me faire porter un habit scandant la provocation
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— Ma famille me manque.
Je m’appuyai contre sa main tout en gardant les yeux fermés. Leur perte était trop douloureuse, la souffrance que j’avais évitée depuis des mois trop insurmontable pour y faire face. Si je m’autorisais à ressentir l’immensité de la douleur, elle m’anéantirait.
Je déglutis difficilement et tentai d’enfouir mes sentiments avant qu’ils n’explosent. Si jamais je les laissais me submerger, je me briserais en mille morceaux. Je serais dévastée.
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— Tu m’as vraiment fait confiance, fis-je remarquer. Aucune question sur les médicaments que tu viens d’avaler ?
Elle passa à côté de moi et monta dans le lit en haussant les épaules.
— Tu as déjà établi que tu ne voulais pas que je meure, donc ça ne pouvait pas être du poison. Et j’imagine que tu préfères que je ne meure pas d’une infection. Donc j’ai pris les antibiotiques.
— C’est très raisonnable de ta part, la félicitai-je.
Je la rejoignis dans le lit et la positionnai comme je le souhaitais. J’aimais la sentir blottie contre moi. Elle était parfaitement à sa place ici.
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-- Arrête de bouder.
Yuri s'installa sur un fauteuil juste à mes côtés.
-- Amuse-toi. Je ne me souviens même plus de la dernière fois où j'ai eu un jour de congé.
-- Tu veux dire comme ce week-end à Cabo où tu ne pouvais pas arrêter de jacasser ?
Contrairement à moi, Yuri avait le droit de vivre sa vie. Il se plaignait d'être traité comme un bébé parmi les gars, mais ils ne le renvoyaient jamais pour sa propre sécurité. Il pouvait sortir, avoir des amis, et boire toute la nuit s'il le désirait.
Il sourit.
-- J'avais presque oublié.
-- Pas moi.
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date : 19-10-2023
—Une lettre ? se moque-t-elle. Pour écrire quoi ?
Je m’approche d’elle pour qu’elle voie mieux mon visage dur et sans pitié.
—Pour avouer ce que tu as fait il y a dix-sept ans, Chantal.
—Mais, bredouille-t-elle. Je n’ai rien fait.
—Tu es sûre de toi ? Si je te dis « Aloïs », ça ne te dit rien ?
Son visage devient blanc comme un linge. Ses yeux me passent au scanner, elle détaille chaque partie de mes traits.
—Ce n’est pas possible, murmure-t-elle avec surprise. Aloïs chéri, c’est bien toi ?
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date : 22-02-2023
Je marmonne :
- Elle est pourrie, votre caisse.
- Tes baskets aussi.
Je vois rouge.
- Hé, vous dites rien sur mes pompes, OK ? Vous connaissez pas ma vie, alors me critiquez pas sinon j’appelle Rémi pour lui dire que vous m’insultez. Ma mère, elle est pas riche ! Elle a pas assez de fric pour m’offrir des baskets à 300 euros.
- Figure-toi que moi non plus, j’ai pas assez de fric pour acheter une voiture à 35 000 euros. Tu parles mal de ma voiture, je parle mal de tes chaussures.
Elle conclut sur un clin d’œil :
- Jab and Grab, mon gars.

Alors là, je suis scotché. Je rêve ou elle vient de me mettre 1-0 ? Wow !
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date : 06-12-2022
Élia a toujours été très proche de sa femme, alors pourquoi n’était-elle pas allée la voir. Selon la secrétaire, elle paraissait étrange et semblait parler à quelqu’un qui n’existait pas. Mais depuis quand Élia perdait-elle autant la tête ?
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date : 06-12-2022
Je me laisse aller et m’assois sur un banc. J’ai l’air d’un con tout seul, tant pis. Je me tape de ce que les passants de la nuit peuvent penser de moi. Je ferme les yeux. Je m’envole dans une autre vie. Elle est là. Elle est sur moi
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Dans un coin de la pièce, une femme, couchée en position fœtale, était couverte de sang des pieds à la tête. Sa robe de couleur rouge se confondait avec l’hémoglobine. Un ambulancier lui passait une lumière devant les yeux. Reprenant immédiatement ses réflexes de médecin, Ethan s’approcha d’elle pour voir s’il pouvait se rendre utile. Il la reconnut aussitôt : Calience Wilton
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date : 16-10-2022
— Merci, Mila. En effet. Finalement, je crois que ma bite traumatisée a juste besoin de chaleur humaine, et manque de bol, t'es la seule âme dans ce bled paumé.
Ses yeux me perforent. Ma belle, tu vas céder, sinon je vais devenir infernal. Elle se lève de nouveau et pose sa tasse dans l'évier. Son fessier de malade affole mes synapses. Bordel ! Je vais passer de flic à délinquant sexuel si elle continue à se balader à poil.
— Véline, fais-toi livrer une pute ou appelle Sine. Si ça peut t'aider, ça ne me dérange pas, lance-t-elle en sortant.
Un grognement sourd s'échappe de ma gorge. Je vais te démonter et foutre tous tes organes en post-trauma, tu vas comprendre ce que je vis…
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date : 16-10-2022
— Quand est-ce que tout cela a commencé ?
J’hésite quelques secondes avant de me rappeler qu’elle est tenue au secret professionnel, même si Delon la paye pour obtenir toutes les sales cachotteries de la ville. Malgré tout cela, une demi-vérité devrait suffire.
— Suite à l’attaque d’un rival.
Elle reproduit encore ce petit mouvement du chef qui m’agace.
— Qu’avez-vous ressenti à ce moment-là ?
Fureur, haine, soif de sang. Peur, crainte et ce sentiment d’impuissance qui ne m’avait jamais habité. L’écho de la tonalité de Lake alors que tout était noir autour de moi.
— Impuissance, me contenté-je d’énoncer.
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J’ai appris à me relever quoi qu’il arrive grâce à l’éducation que j’ai reçu de mes parents. Quand on fait partie d’un club de bikers vivant en grande partie dans l’illégalité et le danger, on connait les risques que cela encourt.

Je ne me suis jamais réellement intéressée aux affaires du club, mon cabaret étant tout ce qu’il y a de plus clean, je ne souhaite pas le perdre.

J’y ai dépensé trop de temps et d’argent dedans pour voir mon travail réduit à néant.

Je décide malgré mon attachement pour cette peluche de la laisser sur le lit, elle sera toujours là le jour où je reviendrai.
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date : 26-07-2022
Mon job est simple, pourtant.

Petit un : l’escorter de chez elle au Sweet, où le prés’ lui a filé un poste de serveuse.

Petit deux : rester le temps de son service.

Petit trois : mettre en place un système de surveillance à sa porte d’entrée, qu’on puisse voir s’il se trame un truc louche.

Ah oui, option bonus, et le meilleur pour la fin : me tenir à disposition de la mioche pour tout et n’importe quoi, sous peine de « me prendre une balle dans le cul si elle fout un pied dehors sans surveillance », dixit Fire. De son côté, mon président va faire les recherches nécessaires pour mettre la main sur le connard qui menace sa princesse retrouvée.

Comme elle ne commence son service que la nuit du lendemain, ça me laisse ma soirée et la journée suivante pour décompresser et m’organiser avec les gars
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Quand la chanson se termine, je l’aide à s’asseoir sur le vieux canapé.

— Je vais te préparer un bain froid, je crois que ça va te faire du bien.

« T’es pas un peu trop vieux pour jouer à la poupée, Zachary ? »

J’ignore la voix de Zach, mon alter ego.

Je grimpe les marches pour aller à l’étage, et prépare le bain de Nora. Son corps, sur le canapé, tombe sur le côté. Je reviens sur mes pas et essaie de la redresser. Je replace un peu ses cheveux qui recouvrent son visage. Ses épaules sont molles. Sa posture avachie. Sa peau est rigide et grisâtre.

« Hum… Si tu continues à la tripoter, je vais encore avoir envie d’elle. »

— Non, tu ne feras pas ça. Tu en as déjà bien assez fait.

« Je vais attendre que tu dormes pour faire ça, c’est pas un souci.
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Mon cœur bat fort, parce que je ne veux pas le blesser mais je ne peux pas plier sur ça. C’est quelque chose à quoi j’ai beaucoup réfléchi. Pourquoi devrais-je changer mon nom ? Qui a établi cette règle de toute façon ? Mon père était un homme bon qui n’a laissé aucun fils pour porter son nom. Il le mérite.
Mes derniers mots restent suspendus dans l’air alors que tout le monde à table retient son souffle. Michael me fixe, la colère grandissante dansant derrière son regard. Je sais que j’en demande beaucoup. Il est né avec un nom qu’il pensait porter toute sa vie. Il n’a pas à changer le sien.
Mais je ne changerai pas le mien. Michael et moi sommes dans une voie sans issue mais aucun de nous n’en dit davantage, probablement parce que personne ne sait quoi dire. Soit il veut crier et ne veut pas le faire ici, soit il veut m’étrangler.
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À midi juste, effectivement, la sirène du Sidi-Okba fait sursauter les six cents soldats. Un « Ah ! » de soulagement jaillit des poitrines, suivi par des dizaines de « La quille, bordel ! ». Sur le quai, des hommes courent : on éloigne les passerelles, largue les amarres, lance des appels. Du fond du bassin, deux remorqueurs s’approchent. L’unique cheminée du Sidi-Okba crache une fumée noire très dense et la coque métallique répercute les vibrations des machines. En moins d’un quart d’heure, le navire se détache du quai, franchit la passe et se retrouve en pleine mer. Sur les quais, les GMC s’ébranlent et reprennent la route des casernes. Petit à petit, Alger la Blanche s’éloigne
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La douche à l’eau glacée était un passage obligatoire, puis suivait la désinfection par pulvérisation de poudres antipoux, morpions y compris.

On quitta nos fringues civiles pour enfiler la tenue réglementaire des mineurs : costume de bure brune, la même matière que les deux couvertures fournies avec deux draps découpés dans le même coton que les chemises. Une paire de godillots, une serviette, un torchon, un verre, un bol et une assiette en Pyrex. Un couvert et un gros savon de Marseille complétaient le paquetage que nous devions nouer pour le transporter jusqu’à nos cellules
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La guerre civile fait rage, dans presque tous les pays du monde. Deux pandémies successives ont déjà détruit un tiers de la population mondiale. Il est fortement question d’une nouvelle pandémie. Malgré tout, aucun plan qui définit clairement une stratégie intelligente. Ceux qui ont le contrôle des décisions ne prouvent pas qu’ils savent vraiment ce qu’ils font. Aucun résultat probant, à ce jour, pour apaiser la peur des gens
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date : 18-04-2022
IT was the third straight day of rain. The third day of listening to Mr. Monroe whistle the score of The Phantom of the Opera through his teeth while indexing his collection of meatless soup recipes. The third day of Mrs. Monroe’s saying, increasingly less cheerfully, “Channel Six says it’s going to clear by morning.” The third day of Pete whining about what a rotten summer it had been and Toby asking When was it going to stop because how could he try his new skateboard? and Were they going to go on vacation even if it kept raining? and Why couldn’t they ever rent the movies he wanted at the video store?
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Oups ! J’avais failli oublier notre tope-là de la victoire. Je tape doucement et sans enthousiasme dans son poing.

– Euh, bien joué ! je réponds, en grimpant un peu plus haut. On devrait vérifier que tout va bien à Paris ! On refait une patrouille ?

– Tu ne veux pas me dire ce qui cloche plutôt ? me demande-t-il. Tu n’as même pas réagi quand je t’ai appelée Buguinette.

– Mais que veux-tu que je te dise ? je réplique d’un ton faussement enjoué. Ça va super bien… Je n’ai juste pas très envie de parler
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Les lèvres pincées, je me force à inspirer par le nez pour garder ma contenance. S’il y a quelqu’un que je ne m’attendais pas à rencontrer à l’aéroport de Gênes, c’est bien Kean.
— Mon amante, me salue-t-il, comme si j’étais toujours sa maîtresse et que les deux dernières années n’avaient pas existé.
Incapable de bouger, je me tiens silencieusement face à lui. Seulement une vingtaine de centimètres nous séparent – mais ces quelques centimètres me semblent déjà être trop longs. Je souris au sol en marbre du hall d’entrée tout en clarifiant mes pensées. Que peut-il bien faire ici
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Les six heures prévues sont terminées. Le radio-réveil m’apprend qu’il est 1 heure du matin. Mon timing est parfait.
Je repose les deux verres sur la table en verre pour le libérer de ses entraves. Je détache d’abord les poignets qui étaient fixés aux barreaux métalliques du lit. Mais une fois libre, il retrousse ma robe. Que s’imagine-t-il ?
— Je veux vous voir nue.
— La prochaine fois.
Il pendouille à l’hameçon.
Je hausse un sourcil d’un air moqueur, repousse sa main d’une petite tape, me relève et l’embrasse une dernière fois. Il me mange dans la main, et je suis sûre qu’il va prendre un autre rendez-vous demain à la première heure. C’est aussi sûr que deux et deux font quatre.
800 euros pour moi
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Haïlé était un enfant qui adorait la lecture et les histoires fantastiques, avec un héros et des animaux. Il adorait également les peluches en tout genre, surtout celles d’animaux et de ses personnages de dessins animés favoris. Il en avait énormément et devait en avoir toujours au moins une avec lui dans tous ses déplacements, sauf à l’école. Donc autant dire que pour lui, il était nécessaire de faire un choix entre elles pour aller vivre à l’école de l’Oiseau bleu. Il avait dû choisir les plus importantes à ses yeux, car il ne pouvait en emporter que dix. Depuis tout petit, en effet, il aimait reproduire avec ses peluches ce qu’il voyait dans les dessins animés.
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Je me réveille le lendemain l’esprit dans le brouillard, et je cligne des yeux à cause des rayons du soleil. Mes méninges ont du mal à se mettre en route. Mon Dieu, je suis toujours à bord de ce voilier. Ce n’était donc pas un rêve. Au-dessus de moi, je reconnais le plafond blanc avec ses spots, et sur ma gauche, le canapé devant la fenêtre.
Je me retourne et découvre Gideon assis à côté de moi sur le lit, en train de boutonner sa chemise. Et je sens également une douleur sur mon derrière.
Je me redresse, et ce simple geste m’arrache un sifflement de douleur. Gideon porte instantanément son regard sur moi.
— Avons-nous passé cette nuit… ?
— Ensemble dans ce lit ? complète-t-il ma phrase en ricanant. Oui. Tu étais épuisée une fois que j’en ai eu fini avec toi. Je t’ai passé de la pommade sur ton petit cul sexy mais tu ne t’en es même pas aperçu.
Je peux lire dans ses yeux verts qu’il en a bien profité pendant que je m’endormais.
Et pourtant, c’est lui qui avait trop bu, pas moi
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Tom se tourne vers moi. Il est d’une beauté à couper le souffle. Il porte un costume bleu nuit, une chemise noire, déboutonnée, des chaussures de ville vernies avec application. Ses cheveux sont coiffés en arrière, son manteau, un long trench-coat beige, pend à son bras gauche. Il semble maître de ses émotions, quoiqu’un peu nerveux, car il reste planté face à moi sans bouger. Nous avons l’air ridicules, à nous observer comme si l’un ou l’autre allait dire ou faire une connerie. Finalement, je décide de briser la glace, au même moment où Tom se lance. Nos phrases se télescopent, dans une confusion de mots. Nous nous mettons à rire et l’atmosphère tendue se décrispe quelque peu
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Je prends une profonde inspiration alors que Nick se retrouve à son tour enfermé.
Un homme attrape une clé et verrouille la grille d’entrée, laissant l’aigle avec de la chair fraîche. Il va n’en faire qu’une bouchée et je vais être contrainte d’assister à ce massacre. Regarder Nick souffrir est tout ce que j’ai toujours souhaité. Sauf que le penser et le visualiser sont deux choses totalement différentes. D’autant plus qu’à l’heure qu’il est, je ne suis pas sûre de celui que j’aimerais voir gagner…
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