Commentaires de livres faits par marine_livraddict
Extraits de livres par marine_livraddict
Commentaires de livres appréciés par marine_livraddict
Extraits de livres appréciés par marine_livraddict
_ Je crois que c'est l'inverse.
_ Quoi?
_ Anastasia, c'est toi qui m'a ensorcelé.
Mon nom lui dira-t-il quelque chose? Lui a-t-elle parlé de moi?
_ Cody.
_ Cody, Cody, Cody, égrène-t-il comme si mon prénom était une voiture qu'il soumettait à un essai sur route. Un vrai prénom de cavalière, ça. D'où viens-tu, Cavalière Cody?
_ Du pays des cavalières.
Demi-sourire. Il le rationne, ou quoi?
_ Un pays que j'aimerais beaucoup visiter. On pourrait s'offrir un rodéo, par exemple?
Regard appuyé, des fois que je n'aie pas pigé l'allusion.
_ Tu serais vite désarçonné.
ça, ça lui plaît drôlement. Il est persuadé que nous flirtons.
_ Ah bon?
_ Oui. Les chevaux hument la peur.
Il flanche. Rien qu'une seconde.
_ D'où tiens-tu que j'ai la frousse?
_ Les connards de la ville l'ont toujours.
_ Comment sais-tu que je suis un connard de la ville?
_ Eh bien, on est en ville, non? Et tu es un connard, non?
Pour le coup, désarçonné, il l'est.
Mais Jon n'était pas d'humeur à supporter les conseilleurs. Il maugréa :
- Comme si vous saviez ce qu'est la bâtardise !
- Aux yeux de leur père, les nains sont toujours bâtards.
-Ça, je l'ignore! Cet imbécile d'Eddard Stark m'en accusait aussi. Il insinuait que lord Arryn soupçonnait ou..., bref, se figurait...
(Tyrion: )
-...que tu baisais avec notre cher Jaime?"
Elle le gifla.
"Me croyais-tu aussi aveugle que Père?" Il se frotta la joue. "Peu m'importe avec qui tu couches..., encore qu'il y ait quelque injustice à ouvrir tes cuisses pour l'un de tes frères, et pas pour l'autre."
Elle le gifla.
"Sois gentille, Cersei, je blague, voilà tout. Parce que, pour parler franc, je préfère une bonne pute. Je n'ai jamais compris ce que Jaime te trouvait, son propre reflet mis à part."
Elle le gifla.
_ Ne tombez plus dans les escaliers, évitez les objets tranchants et surtout, surtout, gardez-vous des personnes peu recommandables, entendu?
Une larme roula sur la joue d'Ophélie. Les mots de Thorn lui creusaient un vide abyssal dans le corps. Elle savait avec une absolue certitude qu'à l'instant où ils se sépareraient, elle ne connaîtrait plus jamais la chaleur.
Thorn déglutit contre son épaule.
_ Ah, et au fait: je vous aime.
Ophélie s'étrangla dans un sanglot. Elle ne parvenait plus à parler. Respirer lui faisait mal.
Les mains de Thorn se perdirent dans la masse épaisse de ses boucles. Son souffle se fit plus court. Il serra son corps contre le sien, aussi près que c'était physiquement possible, puis il se dégagea d'elle avec une vivacité presque brutale.
Il se racla la gorge, soudain enroué.
_ C'est... c'est un peu plus difficile que je ne le pensais.
Il repoussa ses cheveux pâles en arrière, son regard fuyant résolument celui d'Ophélie. La bordure de ses paupières avait rougi: cette vision, plus que tout le reste, la bouleversa comme jamais encore elle n'avait été bouleversée.
_ Partez maintenant, marmonna Thorn. J'ai les adieux larmoyants en horreur.
Il décrocha la main d'Ophélie qui s'était cramponné à sa chemise. Elle aurait voulu avoir ses deux bras pour mieux se retenir à lui.
_ Allez-vous-en, insista Thorn d'une voix sourde en voyant qu'elle ne bougeait pas. Plus vous vous attardez ici, plus ce sera dur pour moi de...
#Tyrion#
"Elle est bonne?"
Je n'obtiens aucune réponse. Ce qui quelque part confirme ce que je pense sur son occupation actuelle.
Je finis par m'endormir, l'objet en main, et sursaute quand il vibre dans ma paume.
"C'est toi que je veux."
Mon coeur s'emballe instantanément.
_ Fais gaffe à ta coiffure, mec. Tu ressembles à Einstein au réveil.
Elle ricana.
_ Bien sûr. ça paraît tellement simple.
_ Parce que c'est tellement simple, répliquai-je. (Je m'adressai à Hugh, de retour des toilettes.) Tu veux baiser?
Il ne sourcilla même pas.
_ Ok. Le temps de payer l'addition.
Je me retournai vers Tawny.
_ Tu vois?
_ Une minute, fit Hugh, une main sur son manteau. Tu n'étais pas sérieuse?
_ Tu as servi d'exemple instructif, l'informa Peter.
_ Merde.
— C’est ça... Il était en route, mais un tracteur l’a fauché en chemin.
_ Parce qu'un enfoiré a déchiré mon chemisier.
Elle hausse les épaules et approche son visage du mien. Elle murmure:
_ Et ma culotte...
Jean-Claude: Exact. Nous ferions donc un couple très assorti.
Il ne bouge pas.
_ A moi aussi, bébé, répond-il paisiblement.
_ Et si tu me quittais?
Cette pensée m'horrifie.
_ Je ne vais nulle part. Je ne crois pas pouvoir me rassasier de toi, Anastasia.
Je me tourne pour le regarder. Son expression est grave et sincère. Je l'embrasse tendrement. Il repousse mes cheveux derrière mon oreille en souriant.
#Robb Stark#
- Plus tard, j'ai appris ce que ça voulait dire. Alaska vient d'un mot aléoute, Alyeska, qui signifie "celle contre laquelle la mer se brise", et ça me plaît. Mais à l'époque, je n'avais vu que Alaska au sommet du globe. Et c'était grand, exactement comme je voulais l'être.
_ Tu l'aimes, ma bouche de suceuse.
_ C'est vrai. Je l'aime surtout quand elle est pleine, réplique-t-il d'un air anodin.
_ Tu sais, si tu la fermais de temps en temps, tu serais parfait, putain.
_ Je serais un déchireur de culottes silencieux, ce serait encore pire qu'un patron colérique déchireur de culottes.
_ Vous êtes le plus joli pilote que j'aie jamais vu.
_ Thorne, je n'arrive pas à initier la procédure automatique. Tu vas devoir décoller en mode manuel.
Il dévisagea les commandes avec stupéfaction.
_ RP2? Depuis quand tu sais parler?
_ C'est moi, imbécile!
Il inclina la tête vers le haut-parleur.
_ Cinder?
Richard: Tu me manques, toi tout entière, pas juste pour le sexe. Ton odeur sur mon oreiller et sur ma peau me manquent.