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« Au milieu de cette boucherie, mon gars Logan se régale, le mufle luisant de sang et de merde.

Je l’observe, mi-dégoûté, mi-affamé. Il suçote un intestin dont il racle l’intérieur avec ses dents pourries. Il me file la gerbe, ce con. Ces putains de golgoths se précipitent toujours sur les parties les plus dégueulasses, sans prendre la peine de les nettoyer. Des vrais charognards scatophages ! Alors qu’il existe tant de parties plus nobles.

Je m’approche d’une cage thoracique ouverte, y fouille d’un doigt négligent. Cool ! J’arrache un morceau de poumon et m’exclame :

— Au goudron, mon préféré !

Oui, j’avoue un petit faible coupable pour les abats de fumeurs. Ils ont ce je-ne-sais-quoi de brûlé, ce petit goût unique qui me rappelle les barbecues trop cuits du temps où j’étais vivant. Ma madeleine de Proust à moi, quoi. »

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« Logan grogne et s’approche du landau. Il fait sauter les attaches de la fillette, l’attrape par un pied et la lève au-dessus de sa tronche de cauchemar, comme pour mieux observer ce petit bout de bidoche à la lueur d’un réverbère.

La gamine, tête en bas, trouve ça nettement moins drôle et commence à brailler à son tour.

C’est le signal. Logan découvre une rangée de dents pourries et s’apprête à déchiqueter le cou de la môme.

Il serait peut-être temps que j’intervienne, non ?

Au moment où il s’apprête à refermer sa mâchoire sur la carotide de la petite, je l’arrête d’un bras ferme.

— Non, Logan, tu ne peux pas faire ça !

Vous avez déjà retiré une côte de bœuf de la gueule d’un pitbull, vous ? Ben empêcher Logan de se faire son quatre heures, c’est grosso modo le même risque, multiplié par dix. Pourtant, le bestiau a beau être dénué d’intelligence, il sait qu’il doit m’obéir en toute circonstance.

Il suspend donc son geste, non sans pousser un grognement de mécontentement.

« Je récupère la mouflette qui chiale de plus en plus belle et la remets en position normale entre mes bras. Elle se calme un peu, mais hoquette encore et a du mal à retrouver son souffle.

— Logan, c’est pourtant pas la première fois qu’on te le dit. Tu ne dois jamais, jamais, manger un enfant en le tenant la tête en bas !

— Mggggrrrr…

— Vous êtes vraiment cons, vous les golgoths, c’est pas possible ! Je te réexplique, Dugland. Avec votre manie d’attaquer systématiquement à la trachée, le sang gicle trois fois plus fort qu’ailleurs. Et sur un sujet aussi petit, qu’est-ce que tu crois qui va se passer si tu la saignes la tête en bas, hein ?

— Eurrrrrrrrrrh !

— Ben oui, t’auras à peine le temps d’arracher la trachée que tout le sang sera répandu par terre, gros mongol ! Tandis que si tu l’égorges la tête en haut…

J’attrape la gamine par ses boucles, lui plie la tête sur le côté pour lui dégager le cou, y plante les dents avec délice et lui arrache sa petite gorge. La pression artérielle fait gicler son sang si pur tout au fond de ma bouche. Putain que c’est bon ! »

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Il va falloir vous faire à l’idée que tout ce que vous croyiez savoir sur les zombies n’est la plupart du temps qu’un tissu de conneries alimenté par une sous-littérature et un cinéma de série Z recyclant les mêmes idées et les mêmes clichés.

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De pauvres zigs at the wrong place, at the wrong time, victimes collatérales d'une guerre qui ne dit pas encore son nom.

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Il va falloir vous faire à l’idée que tout ce que vous croyiez savoir sur les zombies n’est la plupart du temps qu’un tissu de conneries alimenté par une sous-littérature et un cinéma de série Z recyclant les mêmes idées reçues et les mêmes clichés.

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En même temps, se promener à 1h du matin dans une ruelle déserte, avec une gamine en bas âge en poussette, faut pas s’étonner qu’en effet, la merde arrive.

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Extrait des épreuves non-corrigées de la suite des aventures d'Orcus Morrigan :

« Puis le mort-vivant arrive devant Colombo qu’il dépasse de deux bonnes têtes. Colombo est un dur, un bon soldat, de l’ancienne école. Il sait qu’il va mourir, et s’il se retient de se faire dessus, c’est parce qu’il accepte l’inéluctable et qu’il veut mourir en homme.

Crânement, il soutient le regard du zombie qui le dévisage un rictus aux lèvres. Puis la  créature se met à parler. Sa voix est comme de la mélasse à laquelle on aurait mélangé du gravier.

— Colombo… Tu sais que tu vas mourir ?

— Oui… Mais avant, dis-moi qui tu es… Je veux savoir qui est le fils de pute qui aura ma peau.

— Mon nom ne te dirait rien.

— Tu ne m’accorderas même pas cette ultime faveur, hein ? Saleté de monstre !

Le rictus du zombie s’accentue, découvrant une rangée de dents moisies. Il regarde autour de lui, découvre le tas de débris de bouteilles de bourbons et attrape par le goulot une demi-bouteille brisée.

— C’est quoi ces taches de sang sur tes guêtres, Colombo ?

— Je me suis coupé en me rasant ce matin.

— Tu te rases avec tes guêtres ?

— Je dors même avec mes guêtres.

— Alors tu vas mourir avec tes guêtres !

Il lui enfonce lentement le tesson de la bouteille dans l’œil. Le globe crève aussitôt tandis que l’arme improvisée poursuit son chemin meurtrier dans le cerveau de Colombo-les-Guêtres.

Le bandit est pris de quelques spasmes, puis meurt à son tour.

Satisfait, le zombie s’approche de l’escalier pour vérifier que les deux bandits estourbis par son lancer de cercueil ont bien passé l'arme à gauche.

Sa tâche accomplie, il se concentre et aussitôt, un rectangle de feu apparaît devant lui. Juste avant de s’y engouffrer, il regarde une dernière fois le chantier, mi-satisfait, mi-frustré. Les cinq cadavres qui jonchent le sol sont une source de satisfaction, mais il espérait que sa cible principale serait présente au funérarium ce soir.

En soi, ce n’est pas un problème. Orcus Morrigan a plus d’un atout dans sa manche, et l’objectif de sa mission peut se faire du mauvais sang. Ses heures sont de toute façon comptées, ce n’est qu’un léger retard dans l’exécution.

Après tout, même chez les zombies, personne n’est parfait. »

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Ainsi moi, Orcus Morrigan, j'ai été rappelé par Wilson moins dune semaine après que ce putain de World Trade Centre m'est tombé sur la gueule.

Mon corps ayant été miraculeusement épargné lors de l'effondrement des tours, avec à peine quelques jours de décomposition derrière moi, je suis franchement beau gosse. D'un point de vue zombie, s'entend.

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