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Commentaires de livres faits par ManonQuiLit

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Commentaires de livres appréciés par ManonQuiLit

Extraits de livres appréciés par ManonQuiLit

Lorsque le soleil ne se lèvera plus, ce que vous consommez vous consumera.
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date : 16-05-2018
Il se montrait inflexible parce qu'il n'avait que mépris pour ses partenaires. Il professait que pas un sur cent n'était foncièrement honnête. Et les honnêtes joueurs ne pouvaient se sortir d'un jeu aussi tordu qui, à terme, les mènerait droit au désastre. L'expérience de New-York lui avait dessillé les yeux. Il avait appris à dépasser les apparences et à voir dans la vérité nue le monde des affaires. Une vision qu'il étendit à l'industrie et à la société en général, de la façon suivante :

La société en tant que système visible n'était qu'un vaste jeu de dupes. Elle comptait en grand nombre des incapables congénitaux : des humains qui n'étaient pas assez faibles pour être enfermés ni assez forts pour être employés à autre chose qu'à la taille des pierres et au portage de l'eau.

Là-dessus venaient les idiots qui prenaient au sérieux ce jeu de dupes organisé, l'honoraient, le respectaient. Ils devenaient une proie facile pour les autres, qui ne s'en laissaient pas compter, et prenaient le jeu de dupes pour ce qu'il était en réalité.

Le travail, le vrai travail était la seule source de richesse. Que ce fut un sac de pomme de terre, un piano ou une grosse automobile, tout était le produit d'un labeur. Mais l'injustice présidait à la distribution de ces produits du travail et l'on ne voyait pas de paysan aux mains calleuses disposant d'un piano à queue ou se déplaçant en automobile. Pourquoi ? À cause du jeu de dupes. Des centaines de milliers d'individus s'évertuaient jour et nuit à s'interposer entre le travailleur et le produit de son travail. Ces intermédiaires étaient les capitalistes qui s'emparaient d'un gros morceau dont la valeur n'était fixée à rien, sinon par leur force brutale et leur abjection. «Il faut en tirer le maximum», tous les hommes d'affaire appliquaient cet adage.
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date : 16-05-2018
Adieu chaussons. Si je devais pleurer une larme en mémoire de chaque souris morte que j'ai cachée chez vous pour effrayer Monsieur Oh-quelle-horreur-mais-qu'est-ce-que-c'est, alors une rivière coulerait sous ce lit. Au revoir.
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- Gusen n'est comparable à aucun autre camp. . . même au Mauthausen des premières années. Gusen va au-delà de la folie, de l'horreur.

D'ailleurs beaucoup de kommandos oubliés, inconnus ont dépassé les camps célèbres - Auschwitz, Dachau, Buchenwald, Ravensbrück - en bestialité, en crimes de toutes sortes.

Curieusement, la majorité de ces kommandos dépendait de Mauthausen. Voyez-vous, je crois que dans l'Enfer de Dante il y avait neuf cercles à franchir... Gusen fait partie du Dernier Cercle. Oui ! Le Dernier Cercle !
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Le ressentiment est une révolte qui a mal vieilli et c'est dommage, bien dommage pour celles et ceux qui en sont les victime.
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J'sais pas ! Depuis qu'il a été croqué, il est tout bizarre !
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- Anne, si tu veux, je te le prête une semaine ! Comme ça tu te fais une idée de la vie avec un mari !
- Non merci ! J'aurais peur de l'abîmer !
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On aimait sa soeur presque sans le savoir, sans le sentir, car cela était naturel comme de vivre, et puis un jour, après avoir été longtemps séparées, on éprouvait la profondeur de cet amour enraciné dans l'enfance, dans les souvenirs, dans le meilleur de soi-même.
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Louis était fasciné par son grand cousin qui venait tout juste de fêter ses vingt-sept ans. Le petit roi releva la tête pour paraître digne, puis il alla à la rencontre de son invité.
- Vous vous êtes couvert de gloire contre les Espagnols et nous sommes fiers de vous, annonça le petit roi.
Malgré son apparente assurance et le compliment qu'il venait de déclamer avec fermeté, Louis était un peu mal à l'aise en présence de cet audacieux militaire, si sûr de lui.
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Ecoute Caro, il faut que je t'explique, lui ai-je dit.
Les mamans ont un coeur élastique qui s'agrandit à mesure qu'elles font des bébés. Les papas aussi, d'ailleurs. C'est ce que maman m'avait raconté après ta naissance. Je m'en souviens encore.
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Un pays entier la regardait et attendait d'elle qu'elle soit heureuse. Il y avait la nuit pour être tranquille et pleurer. Toutes les princesses déracinées savaient cela.
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-Père, Marie-Louise n'est pas une marchandise que l'on peut ajouter dans la balance pour équilibrer un traité !

-Bien sûr que si, Louis. Vous, moi, votre mère, votre cousine, nous ne sommes pas autre chose. Notre devoir le veut ainsi.
Ce n'est pas un devoir facile, je vous le concède, mais quel devoir l'est ?
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C'est ainsi que moi, Gabrielle-Evangéline-Eulalie de Potimaron, fille d'honneur de Marie-Louise d'Orléans, accompagné de Gaétane,la plus loyale amie que la terre ait porté, et de Ti-Tancrède, mon lapin blanc tacheté de gris, je participai au vaste chambardement que représenta le déménagement de Madame et de Mademoiselle, de Versailles à Saint-Cloud, aux premiers jours de l'été de 1677.
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Occupée à observer son frère et Marie-Anne, Angelina n'avait pas vu que Louis XIV la dévisageait avec insistance. Les dames de la cour qui se trouvaient juste à côté d'elle se redressèrent. Chacune espérant être l'élue. Mais elles comprirent vite à qui le monarque faisait cet honneur.
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Nous vérifions toujours que les proprios partent loin et pour une durée déterminée et nous n'empruntons jamais rien dans les maisons où nous nous installons. Il faut savoir compartimenter, comme le serine Alistair, mon faussaire de grand-père (plus connu sous le pseudo de Pastiche).
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Hier matin, je ne me suis pas trop inquiété.
Un peu quand même mais pas vraiment.
J'ai surtout été surpris.
J'ai vérifié l'heure sur mon réveil.
7 heures.
Pourtant ses volets étaient toujours fermés.
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Quelle matinée, mes aïeux ! Et la journée n'est pas terminée, d'autres péripéties sont en vue.
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-Vous avez une belle âme, Marie-Anne... sensible aux misères des petites gens. Je vous aime bien.
Je me jette dans ses bras, elle me serre un peu contre elle et je promet:
-Je le sauverai!
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J'écris un autre roman de YA intitulé The Fall Boys & Dizzy in Paradise à propos de deux frères et une soeur vivant dans une ville de vignobles du nord de la Californie, appelée Paradis. Leur père a mystérieusement disparu 16 ans plus tôt, et l'histoire commence quand cette fille étrange et énigmatique se montre et envoie toute sa vie dans le tumulte. C'est une sorte de course de relais d'une histoire d'amour, avec de violents jeux de violon, de fabrication de nourriture, de broyage de raisins, de bris et de ruptures, de rêves brisés et reconstitués, de temps perdus, d'amour perdu et trouvé "Hell Hyena et les meubles." Je suis vraiment excité à ce sujet!

Source: interview de l'auteure sur le site internet BookPage.com
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Mallory a lancé son poignard, qui a transpercé la poitrine du propriétaire de la hache.
-Bien joué ! s'est écrié celui-ci, hilare.
Puis il est tombé raide mort.
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