Commentaires de livres faits par manu74
Extraits de livres par manu74
Commentaires de livres appréciés par manu74
Extraits de livres appréciés par manu74
Globalement plutôt dessus, de plus la traduction en français est bâclée principalement sur les noms des personnages qui sont régulièrement interverti.
Un tome qui se lit avec plaisir bien que pour le moment le scénario semble assez basique mais encore une fois, Fiona McIntosh arrive même sur un scénario "classique" à nous faire rêver ce qui prouve tout son talent.
Le seul bémol est contre l'éditeur qui pour des raisons pécuniaires à décider de le couper en deux, nous restons donc sur une sensation d'inachevée, ce qui est très frustrant.
Si cette politique est gardée pour le troisième tome (en version original), comme pour d'autre titre je passerai à la version anglaise qui elle n'est pas découpée.
Un roman simple mais efficace comme seul Gemmell sait le faire.
On passe un bon moment à lire ce roman mais la fin ne vous laisse pas ce sentiment de frustration à l'idée d'abandonner les protagonistes et de devoir attendre pour les retrouver dans le prochain tome.
Pour les impatients qui n'ont pas le courage d'attendre la version française et qui parle anglais, je vous conseille de vous essayer à la VO, vous ne le regrettez pas.
Bien que le monde de Calderon soit toujours aussi prenant et l'histoire captivante, il y a quand une légère baisse de régime, la trame reste globalement la même entre chaque tome et aucun coup de théâtre ne vient pimenter cette aventure.
Donc une oeuvre toujours très plaisante à lire bien que commençant à manquer un peu de profondeur.
Ce jugement en demi-teinte ne m'a pas empêché de très bien le noté et je pense me lancer dans la version originale pour poursuivre sans plus attendre les aventures de Tavi.
Les différents protagonistes nous permettent de découvrir le monde dans lequel évolue le « Farlander » sans pour autant assommer le lecteur avec des détails utiles mais au contraire en distillant tous les éléments nécessaire à la compréhension de l’environnement des personnages principaux.
Une écriture fluide et riche met tout cela en valeur et nous donne un roman que l’on a beaucoup de plaisir à lire.
Mais malgré tout ces aspects positifs, ce premier tome ne restera pas dans mes lectures préférées.
En effet, il manque, à mes yeux, l’ingrédient essentiel pour un faire une œuvre inoubliable : « la passion ».
Ce livre très bien écrit, respecte tous les classiques en termes de narration, d’histoire et de personnages mais il lui manque ce « petit quelque chose » que l’on retrouve chez des auteurs comme Gemmel, Butcher ou bien Bret, pour ne citer qu’eux, qui arrive à mettre dans leur œuvre ce « petit quelque chose » qui vous fait vibrer et vivre au coté de leur « héros ».
Nous retrouvons avec plaisir les différents protagonistes dont le caractère s’étoffe et se dévoile au fil des pages. L’auteur arrive encore à nous réserver quelque surprise et à nous tenir en haleine jusqu’à la dernière page.
Le récit nous amène, sans grand coup de théâtre, vers une réunion de famille quelque peu mouvementé qui va clore cette saga familiale.
Le seul reproche que l’on peut faire à cette œuvre c’est les quelques descriptions qui tirent un peu en longueur mais sinon c’est un vrai bijou qui sert encore de référence à de nombreux auteurs.
C’est somme toute une trame très classique mais raconté par les « Eddings » cela vous donne une monde riche et complet dans lequel chaque civilisation et personnage à sa propre histoire.
La différence majeur entre la « trilogie des joyaux » et la « Belgariade » tient dans l’âge du personnage principal, en effet « Emouchet » est un homme qui a déjà bien vécu et qui à un passé bien chargé.
Cette différence majeur donne à ce cycle un coté plus cynique et plus « adulte ».
Mais cela reste du « Eddings », des personnages attachant, un monde fouillé et travaillé, un humour présent tout au long du récit.
Pour ceux qui ont aimé la « Belgariade » et le « Mallorée » à lire sans hésiter.
L’histoire est donc racontée d’un unique point de vue par un personnage haut en couleur. De plus, ce dernier raconte son histoire avec un certain recul et une grande lucidité. Ce qui nous donne un récit juste qui n’hésite pas à mettre en avant les doutes, les erreurs et les succès de notre jeune héros.
Malgré tout arrivé à la fin de ce tome, il est difficile de se faire une idée précise de la qualité de ce livre, il reste captivant et ce lit avec plaisir sans pour autant une fois fini vous sentir en « manque ».
Pour moi c’est donc un livre inclassable, c’est avec plaisir que je lirais la suite sans rentrer dans un état fébrile à l’annonce de sa sortie.
La première partie est consacrée à la mise en place de l'intrigue et à la présentation des différents protagonistes, somme toute cela est assez classique. Le problème est surtout que cette partie contient de nombreux dialogues et que nos héros ne peuvent s'exprimer sans ponctuer leur discours de nombreuse injures sans aucune imagination et assez répétitive. Cela nous donne une envie de lâcher le bouquin pour ne plus le reprendre. Ce sentiment est amplifier par le fait que l'histoire ce traîne en longueur et n'apporte pas forcement d'éclairage nouveau à l'histoire.
Au contraire la deuxième partie est riche en action et en rebondissement, nous sommes rapidement replongés dans l'histoire et il devient de plus en plus difficile de lâcher le récit des péripéties de nos héros.
Malheureusement, cette dernière partie qui rehausse l’intérêt global du livre est gâchée par un dernier chapitre qui traine en longueur et n’apporte rien à l’histoire.
Ce livre écrit par deux auteurs donne l’impression que chacun d’eux en a écrit une partie et que le tout à été édité, tellement l’écart est grand entre les deux parties du livre que ce soit au niveau de l’écriture comme du vocabulaire.
Au contraire des "piliers de la terre", j'ai trouvé le récit plus cynique cela est surement du au fait que les héros sont plus humain même les "gentils" ont des défauts. Dans cette fresque la différence entre les "gentils" et les "méchants" réside dans le fait que les premiers, malgré leur faiblesse, sont prêt à tout sacrifier pour aider leurs prochains alors que les seconds ne vivent que pour eux.
Surement un livre alimentaire mais qui nuit grandement à l'image de l'auteur.
Ce tome trois ne démérite pas des précédents, dés les premiers chapitre nous sommes plongé au cœur de l'action et cela jusqu'à la dernière page.
Pourtant une histoire banale racontée par Gemmell devient un souffle épique qui vous fait vibrer du début jusqu'à la fin du récit.
Le plus gros point négatif est principalement une écriture vulgaire qui donne mal au crâne et quand vous rajouté par dessus des histoire de cul omniprésente et décrites avec force détails, il arrive un moment ou cette atmosphère supplante le récit et vous donne envie de poser le livre pour ne plus jamais l'ouvrir.
S'il n'y avait que cela, le livre resterait plaisant à lire malheureusement ce n'est pas tout.
Le livre donne une impression de bâclé sur la chronologie des événements, sur les personnages, sur les lieux. Les situations sont moins creusées moins abouties que dans les tomes précédents.
Depuis les tomes sur la guerre des serpents, chaque nouvelles trilogie (à part la guerre des démons où il n'y avait que deux tomes) baisse en qualité à chaque nouvelle opus.
C'est dommage car une saga qui aurait du finir en beauté laisse un arrière goût de déception une fois sa lecture terminée.
Trop d'événement, de personnages et de coup de théâtre plus au moins douteux cachent peu à peu la sage.