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He kisses me in a way I have never been kissed the morning after.

He kisses me like I am the first drop of the rain after years of drought. He kisses me like I am the first and only bite of chocolate he is ever going to get.

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« -Bon sang, Regina, tu m'as mis la tête à l'envers, je ne sais plus quoi penser. Ça fait un an que tu me rends fou, que tu envoies valdinguer tous mes principes et maintenant je suis complètement largué.

Il me dévisage.

-Je t'aime. J'aime chaque parcelle de ton être. Je pourrais m'enfuir à des milliers de kilomètres, rester loin de toi toute ma vie, mettre un océan entre nous, tenir un million d'autres filles dans mes bras... bref, j'aurais beau faire, tu resterais la seule femme que je veux, la seule à avoir pris possession de mon esprit. »

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« Tout à coup, une bouffée d'insouciance et d'audace s'empare de moi. Je vais lui montrer que je peux être sauvage, amusante et imprévisible, moi aussi. Espèce de fumier.

Alors, je me décale pour qu'il me voit bien et fais lentement glisser ma culotte le long de mes jambes.

Incrédule, sur ses gardes, il m'observe. Je la roule en boule, la jette dans sa boîte à gants puis lui décoche un sourire canaille.

-Je rêve ou tu viens de m'offrir ta petite culotte, espèce de coquine? »

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« -En tout cas, tu étais distant, ce soir. Je n'aime pas ça. Je n'arrivais plus à...

Je secoue la tête.

-Je n'arrivais plus à respirer.

Tout à coup, il se cabre.

-Tu n'arrivais plus à respirer? Et moi, qu'est-ce que je dois dire? J'avais l'impression d'être écrasé par un bulldozer.

-Quoi? Mais pourquoi?

-Pourquoi, Regina?

Il jette un regard noir en direction de la mer, puis reporte toute l'intensité de son attention sur moi.

-Je connais chacun de tes courbes par coeur, mais aussi chacun de tes sourires et chacune des nuances de ton regard. Je sais quand tu es heureuse, je sais quand tu es triste et aussi quand tu te sens sexy... »

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Je secoue la tête, hilare.

– Ah non ! Moi, personne ne verra jamais mes petits défauts ! Plutôt mourir qu’être vue sans maquillage. Quand un mec passe la nuit chez moi, je vais au lit maquillée. En ce moment, je mets mon réveil plus tôt et me remaquille avant que Trent ne s’éveille. Oui, à ce point-là !

– Au fait, j’adore ton look Cléopâtre.

– Merci. J’y ai passé des heures. Mais tu ne trouves pas qu’il y a un peu trop d’eye-liner ?

– C’est si important que ça ?

À cet instant, Tahoe Roth sort de l’ascenseur, en jean et pull de laine.

Wynn a du mal à cacher son admiration lorsqu’elle l’aperçoit.

– Disons que c’est mon métier, alors je suis un peu ma carte de visite ambulante, lui dis-je. Personne ne va consulter un diététicien obèse, c’est pareil pour une maquilleuse barbouillée comme un clown.

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- Viens ici, m'ordonne-t-il en m'appelant du doigt.

Ses yeux luisent dans la pénombre.

Je déglutis.

- Tu devrais prendre un chien, c'est l'une de tes phrases préférées : "Viens ici." Pourquoi pas "Au pied", tant que tu y es?

Mais comme je suis faible, je me dirige vers lui comme un automate.

Il se lève au moment où je le rejoins.

- Non, tu es la seule que je veux appeler près de moi.

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- Incorrigible coureur de jupons, tu devrais avoir honte, dis-je sur le ton de la réprimande.

Il me rend mon coup de pied avec un sourire narquois.

- Peut-être, mais maintenant, tu es mon unique jupon.

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« J'essaie de soutenir son regard avec toute la sincérité et la force que je parviens à puiser.

-Je t'aime. Touche-moi. Serre-moi fort. Aime-moi. Autorise-toi à m'aimer. Tu sais, moi aussi, j'ai peur... »

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- Tu es un putain de rêve. Tu es un putain de rêve et je n'arrive pas à croire que je sois en train de le vivre éveillé.

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Parfois nous utilisons nos proches comme béquilles, pour ne pas voir la réalité en face ou pour nous épargner de la peine. Nous sommes persuadés qu'ils peuvent faire le sale boulot à notre place ou nous préserver de la vérité.

Parfois c'est notre douleur qui nous sert de béquilles, nous en tirons des leçons pour ne plus reproduire les mêmes erreurs.

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