March comes in like a lion, Tome 1

J'étais un peu dubitative au début. Et l'histoire Et construit doucement au fil des chapitres.

Et le dernier chapitre est vraiment prenant.

Du coup, j'ai hâte de lire la suite.

J'aime beaucoup ce livre qui traite de l'univers du shôgi sans pour autant ne parler que de ça.

On voit des gens perdus ensemble et j'aime ce qui se dégage de chacun d'eux. (et les monologues des chats sont trop drôles !!)

L'histoire de manière générale est douce, et j'ai hâte de lire la suite !

Pour ne m'y être jamais intéressée, ce premier tome est une très bonne introduction au reste de la série. Et là je suis un peu embêté parce que je n'avais pas prévu de vouloir lire la suite. XD

https://leslecturesdecyrlight.home.blog/2022/11/03/march-comes-in-like-a-lion-t-1-umino-chica/

Ce premier tome de March comes in like a lion, un manga seinen, nous transporte dans le monde du shogi, un jeu japonais. À la mort de ses parents, Rei s’accroche à cette activité jusqu’à devenir joueur professionnel, mais s’enfonce davantage dans la solitude. Seules trois sœurs arrivent à le tirer un peu de sa coquille.

Comment dire… J’ai rarement eu autant de peine à finir un manga. Et pourtant, j’en ai lu des mauvais, des affligeants, des incohérents, des consternants, mais là… Eh bien, paradoxalement, il n’est rien de tout ça. C’est juste que je n’ai pas réussi à entrer dans l’histoire, et que les pages m’ont paru longues à se tourner.

C’est pourtant le genre de récit que j’apprécie d’ordinaire, avec une base bien déprimante, celle d’un orphelin renfermé et morose, mais nombreux sont les points (essentiellement subjectifs) qui ont douché mon intérêt initial.

Les scènes s’enchaînent très vite, avec beaucoup de personnages, et il faut au moins attendre la deuxième moitié du tome pour y voir un peu clair, comprendre qui est qui, et les liens qu’entretient le protagoniste avec ceux qui gravitent autour de lui.

Ses parents, sa famille adoptive, puis les trois sœurs qui l’ont « adopté » aussi, son autoproclamé rival et meilleur ami, ses adversaires de shogi qui l’entraînent dans des frasques diverses, et le shogi lui-même, un jeu dont je n’avais jamais entendu parler avant d’ouvrir ce livre, où il tient d’une certaine manière le premier rôle…

C’est trop pour un tome d’introduction. Et surtout, malgré la maussaderie du protagoniste, c’est très exubérant, très théâtral. Les fillettes, passent encore, le rival, déjà passe un peu moins, mais y avait-il vraiment besoin d’ajouter toutes ces mini-scènes de drama envahissantes avec les animaux ?

C’est drôle la première fois, mais ensuite, c’est lourd de les voir se lamenter sans cesse pour de la nourriture. Comme si le récit n’était pas déjà assez dense !

Peut-être le manga s’améliore-t-il par la suite, mais je ne pense pas la lire. Rien, absolument rien, ne m’en a donné envie. Même si les trois sœurs, en particulier Hina, sont attachantes, je me suis beaucoup trop ennuyée à la lecture de ce manga.

Je préfère passer mon tour pour les autres tomes, mais si vous pensez que l’histoire peut vous plaire ou si vous souhaitez découvrir le shogi, vous pouvez toujours vous lancer dans cette lecture. Vous vous ferez ainsi votre propre avis.

Un premier tome assez surprenant. Il reflète bien la réalité de la vie lorsqu'on se laisse balader entre les évènements. On sent à quel point il est perdu et en qu'il ne sait pas ce qu'il doit réellement ressentir et vivre, ce qu'il a le droit.

Intéressant à tous points de vue : dessin, histoire, écriture, personnages… Le personnage principal, Rei Kiriyama est intrigant. On voit un personnage très renfermé et solitaire mais néanmoins sympathique et touchant par sa timidité. On se demande dès le début : pourquoi une telle solitude ? Pourquoi ce jeune garçon de 17 ans vit seul dans un appartement vide ? A t-il de la famille ? Pourquoi cette carrière dans le shögi alors qu’il dit carrément ne pas aimé ça ?

Ses questions sont vite résolues et Rei n’en devient que plus touchant. La manière brutale dont il a perdu ses parents et sa jeune sœur, le rejet de sa famille, son « adoption » malheureuse au sein de la famille de l’ami de son père et ce deuil difficile dont il n’arrive pas à venir à bout. On ne peut qu’avoir de la peine pour ce garçon et on se demande comment il va bien pouvoir s’en sortir dans une telle solitude… Puis on se rend compte, que dans une situation difficile, il a fait la rencontre de 3 sœurs adorables vivant seules : Akari l’aînée, Hinata et Momo, qui le sortiront de cette solitude pesante. Très vite, on voit qu’elles aussi tentent de traverser le deuil de leur propre mère et qu’Akari a du prendre en charge ses deux plus jeunes sœurs.

J’ai beaucoup aimé cette relation établie entre elles et Rei qui, à leur contact, sort petit à petit de sa coquille. On sent que tous les quatre, finiront par traverser leur deuil respectif en s’aidant les uns les autres.

(La suite de ma critique ici : https://tamtaminwonderland.wordpress.com/2019/04/09/march-comes-in-like-a-lion-sangatsu-no-lion-2017/)

Une véritable bouffée d'air frais ! Oscillant entre humour mignon et tristesse intense, March comes in like a lion est un manga extrêmement fort aux graphismes singuliers et marquants et aux personnages terriblement attachants et touchants.

Ce premier tome était intéressant. Rei est discret et on découvre un peu son douloureux passé. Les trois sœurs sont amusantes et dynamiques, c'était un plaisir de les découvrir. Et leurs chats étaient trop drôles !

Que dire sur ce manga, c'est pas que je n'ai pas aimé mais il ne m'a pas non plus transporté. C'est le sujet qui ne m'a pas vraiment intéressé. On parle d'un jeune homme qui vit que pour jouer au Shogi, une sorte de jeu d'échec. Et il va changer son comportement au contact de 3 sœurs. On nous explique aussi comment on joue à ce jeu, ce qui est important. Il a fallu attendre la fin du manga pour comprendre un peu le personnage principal.

Ce manga raconte une belle histoire. Je ne sais pas trop quoi en penser... Je ne saurais dire si il m'a beaucoup plu ou pas. Les personnages sont adorables et très compréhensibles. Ils nous ressemblent.

C'est avec plaisir que je lirai la suite.