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Commentaires de livres faits par Marie30

Extraits de livres par Marie30

Commentaires de livres appréciés par Marie30

Extraits de livres appréciés par Marie30

Ainsi, ce livre n'est pas un "rapport", qu'on se le dise. C'est le bilan sensible de ces centaines d'heures passées à discuter, de ces kilomètres traversés pour se rendre dans toutes les cuisines, de ces soirées chaleureuses et vivantes pendant quelles une sorte de feu a semblé s'allumer. Une chose importante, par-dessus tout : témoigner de cette ferveur, de cet enthousiasme et de cette indignation qu'il nous a été donné de voir et d'entendre. Faire honneur à tout ce qui a été ainsi partagé, si généreusement. En faire quelque chose de beau. Créer du sens mais surtout du mouvement avec ces énergies combinées...
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date : 10-10-2015
À l'époque, j'avais des chums qui travaillaient dans les chantiers (...) Un nommé Trudel, particulièrement, mort aujourd'hui, qui était bûcheron. Il m'avait initié à l'existence de mots comme "cant-hook",ce qui m'avait amené à aller fouiller dans des dictionnaires de métiers, entre autres The English Duden (...) Il y avait là un dessin du "cant-hook", et, comme le mot cantouque n'était dans aucun dictionnaire, j'ai décidé d’appeler ainsi le poème qui "trimballe des sentiments", le "cant-hook, quant à lui étant un objet polyvalent, à la fois pic et tourneur de pitounes (parce qu'il y a un croc).
Poème tourneur de sentiments, "cantouques" : voilà un terme qui convenait parfaitement à la poésie que je voulais faire.

Extrait de l'entrevue de Gérald Godin avec André Gervais (p.193) 1990
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L'Europe séduit les voyageurs par ses nombreux atouts : la richesse de son patrimoine artistique et historique, la beauté de ses territoires et sa diversité culturelle. Voyager reste la meilleure manière de pénétrer ses mystères et de la comprendre. Découvrez une partie de l'Europe le temps d'un week-end, elle s'ouvrira à vous.

Tiré de l'avant propos (p.7)
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Pendant ce temps, un autre jeune homme en blanc s'était approché de l'arrière de la camionnette.
-Regarde, c'est un journaliste qui vient te demander une interview, me murmura Moniba.
Depuis que j'avais commencé à prendre la parole aux réunions où s'exprimait mon père en faveur de l'instruction des filles et contre ceux qui, comme les talibans, veulent que nous restions cloîtrées, les journalistes venaient souvent me voir (...) mais pas comme cela, en pleine vue.
L'homme portait une casquette et s'était recouvert le visage d'un mouchoir comme s'il avait la grippe. Il se hissa sur le rayon et se pencha à l'intérieur.
-Qui est Malala? demanda-t-il.
Personne ne répondit,mais plusieurs filles me regardèrent. J'étais la seule à ne pas avoir le visage voilé. Il leva alors un pistolet noir.
(...)
Mes amies m'ont raconté que le tireur avait la main qui tremblait. Le temps que nous arrivions à l'hôpital, mes longs cheveux et les genous de Moniba se couvrirent de sang.
Qui est Malala? C'est moi, et ce livre raconte mon histoire.
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Moi, le Yasser Arafat que j'ai rencontré, cet homme simple en fin de vie, je l'enterrerais dans un coin de mon jardin. Il serait bien, là. On lui foutrait la paix. Et il ferait pousser les fleurs.

p.23
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« Nous n’avons qu’une seule et unique biosphère pour nous faire vivre. Et pourtant chaque communauté, chaque pays poursuit son petit bonhomme de chemin, soucieux de survivre et de prospérer, sans tenir compte des éventuelles conséquences de ses actes sur autrui. D’aucuns consomment les ressources de la planète à un rythme qui entame l’héritage des générations à venir. D’autres, bien plus nombreux, consomment peu, trop peu, et connaissent une vie marquée par la faim et la misère noire, la maladie et la mort prématurée ».
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date : 13-11-2013
Socrate :

Après cela, il faut voir où réside chacun d'eux et par la suite quelle affection ils produisent lorsque qu'ils se produisent. D'abord, le plaisir ; de même que c'est le genre auquel il appartient qu'a d'abord porté notre examen, faut-il ici commencer par lui. Mais on ne pourrait toutefois pas examiner le plaisir de façon satisfaisante si nous le séparions de la douleur.

Protarque: Eh bien, si c'est là le chemin qu'il faut emprunter, empruntons-le.

p.127
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« Mais je veux encore parler de la maladie. Nous refusons d’en parler, et garder le silence tue. (…) Moi, je vous dis, et c’est pour cela que je veux parler avant de mourir, que nous serons des milliers à mourir. Du sida, bien sûr, de la malaria aussi, mais surtout d’une maladie pire, contre laquelle il n’existe pas encore de capote ou de vaccin. Cette maladie, c’est la haine. Il y a dans ce pays des gens qui sèment la haine comme les hommes inconscients sèment avec leur sperme la mort dans le ventre des femmes qui la portent ailleurs, dans d’autres hommes et dans les enfants qu’elles conçoivent (…) Je meurs du sida, mais je meurs par accident. Je n’ai pas choisi, c’est une erreur. (…) Je suis né tutsi, c’est écrit sur ma carte d’identité, mais je le suis par accident. Je n’ai pas choisi et c’est encore une erreur. Mon arrière grand-père a appris des blancs que les Tutsis étaient supérieurs au Hutus. Il était Hutu. Il a tout fait pour que ses enfants et petits-enfants deviennent des Tutsis. Alors me voici, hutu-tutsi et sidéen, propriétaire de toutes les maladies qui vont nous détruire. Regardez moi bien : je meurs un peu avant vous, c’est tout »
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Je ne voyais plus la rive, et c'était apaisant, car plus rien ne me distrayait. Je n'avais plus peur. J'étais une machine, une chose. Les choses ne connaisent pas la peur, elles font ce qu'elles font. Je ne réfléchisait plus. Des images allaient et venaient dans mon esprit, je ne les chassait pas. Je pouvais crever, ici et maintenant,ça ne me faisait pas un pli. Je donnais tout ce que j'avais. Si ça ne suffisait pas, eh bien!

page 44
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Et ne blâmez pas les créatures pour leur paresse et leur béotisme. Nous ne sommes que les Frankenstein du ministère de l’Éducation. Un pur produit d’expériences ratées par les savants fous du Complexe G. Résultat : une génération de petits empereurs qui pavanent leur nudité intellectuelle avec ostentation. Mais ne nous blâmez pas. La culture du vécu et la hantise de l’élite font croire aux ignorants que leur pensée vaut celle de Kant et de Socrate. En évacuant l’effort et la connaissance de l’école, les pédagogues ont tué l’apprentissage. Mais une épée ne s’aiguise pas avec du coton. C’est en la frottant cent fois sur la pierre que son fil devient tranchant. Confronté à la médiocrité érigée en système, j’ai fait le minimum. D’un point de vue scolaire, je considère mon secondaire comme une totale perte de temps. Tout ce que j’ai appris, je le dois à mes lectures hors classes. »
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