Commentaires de livres faits par mariion-44
Extraits de livres par mariion-44
Commentaires de livres appréciés par mariion-44
Extraits de livres appréciés par mariion-44
Après tout, il avait été dit que la saga ne compterait que 12 tomes, d'où ma surprise en constatant que que nenni, un 13e tome était bien publié. J'avais 16 ans à peu près à l'époque de la sortie du 12e tome, que j'avais dévoré comme les autres.
Puis s'en était issue une longue pause, pendant laquelle j'ai quand même relu certains tomes avec toujours autant de plaisir qu'avant (Cal reste mon personnage préféré avec Tara et l'univers endiablé de Sophie Audoin-Mamikonian, bourré de références plus farfelues les unes que les autres m'a occasionné de bonnes doses de fous-rires).
Cela étant dit, j'ai finalement lu ce fameux 13e tome (ou premier tome d'un nouveau cycle, je ne sais plus trop). Et là, c'est la déception. Soit je ne suis plus dans le coup car j'ai pas mal grandi entre ces deux lectures (quoique je n'ai pas de soucis avec les tomes précédents), soit, et c'est le sentiment que j'ai, il s'agit effectivement, du tome de trop.
Certains diront, comme j'ai pu le lire, qu'ils avaient peur que ce soit le cas et qu'au final, il n'en est rien. Cela n'a malheureusement pas été mon cas, j'aurai mieux fait de m'en tenir au 12e tome qui avait une fin suffisamment satisfaisante.
Que je m'explique un peu : Ce tome est pour moi une pâle copie de ses prédécesseurs. Je comprends l'envie d'en faire un nouveau, sachant que l'auteure en sortait un par an, c'est une cadence très éprouvante où il faut à la fois du contenu et de la qualité, tout en conservant l'atmosphère de la saga. Et là, je n'ai pas retrouvé nos chers personnages.
Pour ce qui est des autres personnages :
[spoiler] - Cal - personnage préféré inconditionnel depuis le premier tome, je n'ai pas retrouvé le charmant voleur très drôle et dégourdi que nous connaissions. Nous l'avions compris dans le développement des derniers tomes que Tara et lui avaient développé un amour très fort l'un envers l'autre. J'étais même ravie que mes personnages préférés terminent ensemble. Sauf que là, c'est devenu (et désolée de dire ça), une quiche molle. La peur pour ses futurs enfants et sa future femme, je peux l'entendre. Mais là, alors que l'on a toujours loué son esprit dégourdi et son intelligence, on pourrait croire que le désespoir lui a grillé les neurones. Il n'est plus drôle, pleurniche (bon, après on peut être sensible, cela n'empêche pas, mais ça ne colle pas du tout au personnage, cela aurait pu être traité différemment avec le même impact). On peut très bien être très amoureux et garder sa lucidité, sa personnalité et le physique n'a pas grand chose à y voir. Mais surtout, surtout, j'ai arrêté de compter le nombre de fois où il a été décrit comme "un colosse" rempli de muscles depuis sa transformation par la Reine noire (c'est encore plus criant dans ce tome alors que dans le 12e, on avait bien vu que certes il avait grandi et s'était épaissi, mais pas au point de passer pour une armoire à glace). Alors que là, on dit qu'il passe à peine les portes, ce qui, accessoirement, rend le physique de Tara, qui est pourtant grande, pour ainsi dire "insignifiant". Je n'ai pas compris ce retournement. Bref, cela fait partie des gros points noirs de ce tome. [/spoiler]
[spoiler] - Le Magicgang - j'ai eu une impression de déco très sympa pour meubler un peu l'arrière-plan. Soit, l'antithèse de ce qu'était jusqu'ici le Magicgang. Ils sont tous, comme Tara et Cal, résumés à leur apparence physique. Fabrice, en dehors du fait qu'on ait rappelé qu'il était un loup-garou, a sorti une charade et c'est à peu près tout. Robin, que l'on voyait un peu au début du tome, s'est effacé tout à coup sans aucune raison alors même que son nouveau statut au sein des elfes aurait pu être intéressant à développer. Fafnir et Sylver, on a compris qu'ils étaient respectivement très petite et très grand, que Fafnir adorait ses haches, quand Sylver est quelqu'un de pacifiste, mais là encore c'est à peu près tout. Idem pour Moineau et son paradigme fille "frêle"/Bête très massive. - Archange, Mara, c'est un couple très sympathique pour lequel j'étais enthousiaste à la fin du 12e tome. Mais c'est un peu comme le couple Tara/Cal, ils ont été développés comme étant devenus mièvres à souhait (même s'il est fait mention de tentatives de coup d'état de temps à autre). - le personnage Sanexia/El est fidèle à lui-même, cliché mais fier de l'être. J'ai trouvé dommage le chantage d'El à Cal, c'était obligé que Sanhexia allait dire qu'elle ne voulait pas briser le couple Tara/Cal. Et puis pour quelqu'un qui ne peut pas voir Tara, je l'ai trouvé relativement sympathique avec elle. Mais bon passons. [/spoiler]
[spoiler]- C'était tout de même sympa de retrouver Mourmur et Eagle 5, qui n'en rate pas une avec ses inventions loufoques. Sherlock était un peu téléphoné, mais ça fonctionne. - Quant à Lisbeth, j'ai beaucoup aimé le fait qu'elle trouve un familier (qui plus est un kradkent), mais j'ai l'impression que son histoire n'a pas évolué. On ne sait toujours pas si elle va avoir des enfants, si son ancien mari est bien Magister... - Même Selenba, qui est en mon sens l'un des meilleurs développements de personnage de la saga et est au final le personnage qui reste le plus proche de ce qu'il était dans les autres tomes, ne parvient pas à redresser la barre. J'ai bien aimé par contre le fait que l'on voie à la fin qu'elle n'est pas dupe, qu'elle sait très bien que Magister ne tiendra pas sa promesse d'arrêter d'essayer de devenir le maître du monde et d'envisager, si cela s'avère nécessaire, de s'en débarrasser. Très selendesque. [/spoiler]
[spoiler]Enfin, la décision de Tara et Cal de partir vivre et élever leurs enfants sur Terre était logique. Tara ayant elle-même été élevée en tant que terrienne, la boucle serait bouclée. Cela renforcerait le statut terriano-autremondien tout en se réservant la possibilité de retourner sur AutreMonde dans quelques temps.
Ainsi, pour ceux qui hésiteraient à se pencher sur ce nouveau tome, je pense pour ma part que je vais faire comme si l'histoire s'arrêtait à la fin du 12e tome, car ce tome a plus l'air d'être un entre-deux cycles, mais que ce nouveau cycle ne verra finalement pas le jour (il y a bien eu un tome sur Danviou et Celia mais c'est tout).
Mais les points positifs et l'inventivité du premier tome semblent s'être émaciés. Par exemple,
Mais dans ce deuxième tome, s'en est devenu lassant à un moment. Surtout lorsque Némésis a été contrainte de faire un saut de 3 ans dans le temps et qu'elle ne savait plus distinguer le vrai du faux Tyrus. Tout est devenu trop répétitif et compliqué pour rien, mélodramatique, alors que Némésis est de base un personnage attachant, en ce qu'elle casse les codes tout en faisant part d'humanisme. Et Tyrus, par son côté humain et altruiste, l'était lui aussi.
Mais le fait de dénigrer l'ensemble de sa personnalité et de ses idéaux par le biais de la prise d'une drogue et du temps passé avec les mauvaises personnes me semble illogique. Je veux bien qu'il ait changé, c'est indéniable. Mais devenir un personnage aux antipodes de celui qu'il était dans le tome 1, mis à part si cette noirceur existait déjà auparavant et avait été seulement dissimulée, me paraît gros.
De même, leur obsession à toujours se sauver l'un l'autre était nécessaire à une bonne partie de l'intrigue (à peu près jusqu'au combat avorté dans l'arène entre les deux Diabolics). Au-delà, s'en est devenu absurde car il ne semblait plus y avoir grand chose à sauver. Ce qui pourrait expliquer la fin où Némésis accepte de s'employer à tuer Tyrus.
J'ai tout de même été étonnée que ce dernier l'ai empalée, alors qu'il venait de dire qu'il ne pourrait jamais ne pas l'aimer. Mais le fait qu'il appuie sur le fait que c'était malgré lui a peut-être réussi à le faire s'affranchir de ses derniers sentiments "humains".
Moi qui avait largement apprécié le premier tome et qui me faisait une joie de pouvoir lire la suite, j'avoue que j'en suis arrivée à un stade où je ne sais pas si l'intrigue d'un troisième tome parviendra à raviver mon intérêt. A méditer
Ensuite, l'histoire est une myriade de livres divers, qui ont été accolés les uns aux autres, et dans lesquels on aurait pioché une idée par-ci, une idée par-là sans pour autant construire une histoire qui soit plausible.
En bref, je ne recommande pas cette lecture. Il s'agit pour moi d'un condensé mal dosé de drame, de pleurs et d’apitoiement. Les idées auraient pu être bonnes si elles n'avaient pas été mises ensemble. Il aurait peut-être fallu se concentrer sur un thème particulier qui ne serait pas celui choisi dans le livre, ou alors le traiter différemment et de façon plus plausible.
Je n'ai terminé ce livre que pour le juger dans son ensemble, et non pas de façon tronquée. Mais je n'y aurait pris aucun plaisir.
A éviter !
Je veux dire, en quoi un guerrier highlander serait aussi gnan-gnan (pardonnez l'expression), alors qu'il est censé être l'incarnation même de la virilité ? Les personnages secondaires en revanche ne sont pas trop mal développés mais toujours pas crédibles.
Il faut savoir qu'à l'époque les étrangers ne s'intégraient pas comme cela, ils avaient beaucoup de mal ne faisant pas partie de la tradition écossaise.
Laetitia a un de ces caractères et ne se laisse pas marcher sur les pieds, ce qui constitue l'une des rares particularités que j'ai apprécié dans ce livre (bien que trop vulgaire à mon goût)
Écriture assez redondante, les informations ne cessent de se répéter et casse le rythme de l'histoire. Et erreur majeure, l'élocution des personnages du 16ème siècle est beaucoup trop moderne, on pourrait penser qu'ils viennent de notre siècle. Combien de mots contenus dans ce livre n'existaient même pas de près ou de loin à cette époque ? J'ai perdu le compte.
Et quelle vulgarité ! Un petit peu je veux bien, mais là ce serait presque un dictionnaire de tous les noms d'oiseaux possibles et imaginables !
Dommage
En somme, je ne m'attendais pas à grand chose mais là j'ai vraiment eu l'impression de lire Outlander dans ses grandes lignes et sans les parties distinguant un bon livre d'un mauvais.
Et encore par rapport au commentaire de yami625, je pèse mes mots dans ma critique, car il y aurait beaucoup de choses à ajouter.
Déçue
Les personnages sont attachants, on rentre facilement dans l'histoire et surtout on rigole (ou au moins sourit) tout au long des pages que l'on parcoure... ça parle à tout le monde, c'est bien écrit, les chapitres sont brefs (5 pages max), ce qui fait que l'on peut s'arrêter n'importe quand si l'on y arrive
En somme un vrai plaisir et je dois bien l'admettre un coup de cœur =)
Si vous hésitez, jetez-vous à l'eau je vous assure que vous ne le regretterez pas !
Mais
Je ne comprends vraiment pas pourquoi elle mourrait, elle n'a rien accompli et bien qu'elle ait fait une grossesse de déni et accouché de 2 bébés au lieu d'un prématurément, je ne pense pas que ce soit la raison de sa mort, si ?
Il y a enfin autre chose qui m'a gênée, ormis cette non fin, comme si l'on s'était interrompu en plein milieu du chapitre : suis-je la seule à trouver que scientifiquement parlant, vu le nombre de chûtes et de mauvais traitements que Lyra s'est infligée, ses bébés n'auraient jamais dû survivre ?
Et puis, talent rare, comment terminer un livre et se rendre compte que finalement on ne connaît aucun personnage, ça c'est assez extraordinaire quand même !
C'est vraiment dommage parce que sans ces accrocs qui rendent l'histoire incongrue, ce livre aurait bien mérité une petite place dans ma liste de diamant...
L'écriture est fluide, le récit poignant, de ceux qui font réfléchir même passée la dernière page, quand on referme le bouquin en se disant "c'est fini."
Chose rare, on s'attache à tous les personnages, car ils ont tous quelque chose à apporter, comme une pierre à un édifice à l'histoire.
Un sans faute pour moi, sur un sujet original car ce n'est pas souvent que l'on traite de la seconde guerre mondiale du point de vue des pays de l'Est opprimés.
De plus, cette histoire est basée sur des témoignages véridiques.
Pour ma part, je pense que je lirais d'autres livres de Ruta Sepetys, qui me semble être une auteure intéressante.
Je conseille chaudement !
Sinon, un gros coup de cœur !
Heureusement pour moi, je viens de recevoir le deuxième et dernier tome parce que sinon, je crois que ça aurait été très dur d'attendre !!!!!
Le thème est intéressant, et le fait que l'auteur joue la carte de l'humour pour détendre l'atmosphère résolument dramatique est bien pensé. J'approuve à 100% le thème, vie/mort/suicide, car c'est quelque chose dont on ne parle pas forcément ouvertement.
Ce livre est une ode à la vie qui parle de la mort (et oui c'est possible)
Violet et Finch forment un duo haut en couleur, avec une Violet parfois un peu cliché mais qui sort des railles avant que cette pensée ne subsiste longtemps en nous. Finch lui, c'est le gars un peu hors norme que l'on a pu croisé dans sa vie, et qu'on a pas osé approcher justement pour son originalité trop extrême. A tort ! Honnêtement, c'est mon perso préféré (logique puisque principal) ^_^
Voilà, bien que ce soit un peu déjà-vu, le thème et surtout le livre restent intéressant, les persos attachants. Osez, prenez ce livre, vous n'en ressortirez peut-être pas en pleurs (ça n'a pas été le cas pour moi), mais au moins un peu mieux compris et plus optimiste en ce qui concerne la vie. =)
J'ai repris ma lecture, et comme le changement de personnages principaux avait eu le temps de cheminer dans ma mémoire, je me suis surprise à replonger dans le fabuleux univers que nous dresse Rick Riordan ! Normalement, quand une série est terminée et que malgré tout on en fait une suite, on est déçu. Mais pour celle-ci, il faut passer au delà parce que finalement on revient bel et bien dans l'histoire.
J'ai enfin retrouvé l'ambiance des tomes précédents, l'humour....bref même si comme moi vous êtes passés dans une période "à vide", accrochez-vous car l'Univers de Percy Jackson nous est toujours ouvert, et qu'il en vaut le détour =)
Et, sur ce, ENJOY !
L'une des choses les plus intéressantes est que l'on a accès au point de vue de plusieurs personnages, et ce sur tous les fronts.
Le suspense est à son comble, que peut t-il bien arriver à Vango au fil des pages ?
Les personnages sont attachants, on se retrouve bien en eux (enfin, en tant qu'ado). Je ne sais pas ce que ça aurait donné si je l'avais lu en étant adulte, car à mon avis toute l'histoire est mieux représentée lorsqu'on s'identifie pleinement au contexte.
Je l'ai lu lors d'une insomnie, et plus j'avançais dans le livre et moins je voulais dormir. J'ai beaucoup rigolé, ce livre est bourré d'humour....
Bref, que du bonheur !
Pour cette série, j'attendais à chaque fois que les tomes sortent en poche et par conséquent, je viens à peine de découvrir la fin. C'est un roman que je lis l'été, car l'histoire, le cadre, les personnages, bref tout respirent la mer, la plage et les histoires de vacances.
J'avoue que je ne me suis jamais vraiment prononcée sur ma préférence envers Jérémiah ou Conrad, mais ce tome m'y a un peu aidé.
Dans les 2 premiers tomes, même sans avoir de préféré, j'étais tantôt agacé par les actions de Conrad, tantôt adoucie. Et bien sûr, Jérémiah étant Jérémiah, il donnait le change par rapport à son frère, donc ma balance penche peut être un peu plus pour lui.
Sinon, cet épilogue était VRAIMENT trop court, la fin arrive trop brusquement après un tome toute en longueur. L'écriture avait beau être fluide, assez facile à lire, il n'empêche que l'histoire elle traînait un peu. Alors pourquoi une accélération soudaine ?
Sinon, j'ai globalement bien aimé cette série, on envie, on s'amuse, on partage les joies et les peines de tous les personnages. De bons moments passés à lire cette histoire, même si ce n'est pas la meilleure...=)
Ce livre nous apprend tout simplement qu'il ne sert strictement à rien de se morfondre sur notre existence plus ou moins ratée (suivant l'expérience personnelle) mais au contraire à se défaire du regard des autres, à exposer sa personnalité au grand jour et à ne pas avoir peur de prétendre à une vie qui aura plus "de gueule".
La question des véritables amis est aussi importante, car finalement le nombre de personnes qui les rencontrent est plus restreint que ce que l'on pense; les vrais amis ne se rencontrent pas au coin de la rue, mais sont de véritables pépites disséminés sur le chemin de notre vie....
Le point de vue Ezra Faulkner est intéressant, car il a une vision des choses pleine d'ironie, et en même temps très terre à terre. L'illusion des diverses situations ne restent jamais telle qu'elles sont avec lui, et c'est un personnage auquel on s'identifie, que l'on soit populaire ou "nerd". (^_^)
PS: si quelqu'un connaît la date de sa sortie, ce serait cool. Merci !
PS: je n'ai pas encore définitivement quitter le royaume de la Sélection, il me reste l'hors série à lire ! Mais pas tout de suite....
Même sans vouloir conserver le suspens, Markus Zusak réussi à nous étonner, à nous bouleverser.
Ce n'est pas le meilleur livre que j'ai lu, mais il fait parti de ceux qui amènent à réfléchir.
Que je m'explique : j'ai adoré le personnage d'Ari, qui a vraiment gagné en profondeur depuis le premier tome. Il s'agit d'un personnage très attachant, qui fait très attention au monde qui l'entoure et qui est épaulé par des personnes toutes plus bienveillantes les unes que les autres (du genre de celles qu'on aimerait avoir dans sa vie pour toujours).
En revanche, là où j'avais apprécié Dante dans le tome précédent, je l'ai trouvé ici plus effacé, voire redondant. Il n'a selon moi pas su évoluer à la hauteur d'Ari et c'est ce qui m'a un peu gâché l'histoire. Je n'ai pas su retrouver la dynamique de leur duo et l'histoire semble parfois un peu poussive. Elle aurait peut-être gagnée à être plus courte car certains passages m'ont paru superflus.
Cela reste malgré tout un livre plaisant à lire.