Quelle merveille !
J’ai eu le plaisir de rencontrer l’auteur au salon du livre de Pusignan en septembre 2021 et c’est toujours autant un plaisir. Parler avec lui de ses romans est très enrichissant, il nous explique comment il a construit ses différents livres, comment il effectue ses recherches et ses discussions en sont encore plus passionnantes.
C’est le troisième livre que je découvre de cet auteur, et à chaque fois il met la barre encore plus haut.
Dans son dernier roman, il nous emmène dans un thriller angoissant, percutant et complètement terrifiant où il met en exergue les violences familiales et les conséquences de ces dernières. Et je crois que c’est ce sujet choisi qui m’a encore plus bouleversé que d’habitude.
Nous rencontrons un petit garçon Andy, d’une dizaine d’années, auquel vous allez vous attacher dès le départ, vous aurez envie de l’arracher des mains de son bourreau et de faire cesser toutes ces manipulations psychologiques.
Mais comme tout lecteur, vous resterez impuissants devant la barbarie humaine et vous ne pourrez qu’assister à la descente aux enfers de ces enfants.
J’ai le cœur serré en écrivant cette chronique, car même si l’auteur s’est servi d’une base d’un thriller pour nous conter cette histoire, les scènes sont décrites avec tellement de réalisme que cela fait froid dans le dos.
Sébastien Jullian a une plume très addictive, il arrive à nous faire voyager dans son univers très sombre, en y mêlant également avec brio, un peu de mysticisme.
Les premières pages sont glaçantes d’effroi, la suite du roman l’est encore plus !
Etes-vous prêts à rencontrer le diable en personne ! Mais faites attention, il est parfois là où on ne l’attend pas !

Je tenais tout d’abord à remercier l’auteure Loïs Smes et l’éditeur Kyrro Editions pour leur confiance lors de ce service presse.
Tadam, Tadam, Tadam…. Boum, boum, boum…. Bip, Bip…………….
Voilà vous pouvez entendre les battements de mon cœur après la lecture de ce coup de cœur.
Oui, je sais du coup, je ne vous laisse aucun suspense, mais de toute façon avec Loïs, on ne peut réagir autrement.
Déjà quand j’ai vu la couverture extraordinaire qui avait été confectionnée, j’ai pensé que ce livre serait différent des autres, qu’il serait encore plus profond, qu’il maltraiterait encore plus mon petit cœur de lectrice, et je ne crois pas si bien dire.
AU moment où je tourne la dernière page, nous avons un petit rituel avec l’auteure car je lui donne mon ressenti à chaud en vocal. Cette fois-ci, je ne suis pas sûre qu’elle ait compris tout ce que je disais, tellement ma voix était remplie de trémolos.
Elle le sait, pour moi c’est son meilleur roman…oui bien sûr je dirai la même chose pour le prochain.
Ce roman « beats », il est particulier. À bien des égards, il va vous bouleverser comme il a pu capturer mon âme de lectrice et comme il le fera avec vous, car je suis convaincue qu’il saura capter votre intérêt.
On y retrouve deux âmes esseulées, par la vie, par le passé qui engloutit tout sur son passage, et surtout le cœur de Oro et Sealtiel. Tous deux vous apparaîtront comme meurtris, blessés et en rage contre la vie quotidienne, mais ils vont se mettre à nu devant vous et vous expliquer un peu leurs histoires.
À partir de ce moment-là, laissez vous guider par la musique entraînante de ce livre, pousser les portes sans appréhension, car ils méritent d’être connus.
Et comme dirait Paulo Coelho, « les rencontres les plus importantes ont été préparées par les âmes avant même que les corps ne se voient ».
SI vous ne connaissez pas la plume de Loïs Smes, déjà je me demande comment c’est possible, mais je vous pardonne, foncez !
Si vous connaissez sa plume, « Beats » c’est de la bombe et vous savez aujourd’hui que l’auteure est une valeur sûre, alors foncez :
Dans tous les cas, Foncez ! Ils vous attendent, vous n’entendez pas les battements de leurs cœurs qui accélèrent dans l’attente de vous rencontrer ?

Chapeau bas miss, moi je crois en Toi, alors défonce tout !

Je tenais tout d’abord à remercier l’auteur Luca Tahtieazym et Ophélie d’Inceptio Editions pour leur confiance lors de ce service presse.
Dès les premières pages, préparez-vous au pire, vous allez être mis dans l’ambiance très vite et le montage très audacieux des chapitres va en surprendre plus d’un.
Moi la première, je me suis demandée si l’auteur n’était pas fou. C’est un choix très risqué qu’il a fait, mais Luca Tahtieazym est un auteur qui peut se le permettre, il peut entraîner son lectorat où il le désire, on le suivra les yeux fermés.
Ce n’est pourtant pas la première fois que je lis cet auteur, car je le suis depuis de nombreuses années, mais là je pense que vous allez tous tombés à la renverse.
À la lecture du résumé, on se dit que l’on va découvrir un thriller bien ficelé, qui va couler de source et c’est là que vous vous trompez. Pour ma part, j’ai même dû revenir lire les dernières pages pour être sûre que j’avais bien compris tellement je ne m’attendais pas à ce final.
Alors bien sûr, ne vous inquiétez pas, l’auteur garde certains codes du thriller pour ne pas trop vous effrayer, vous aurez des victimes, des suspects et des rebondissements.
En plus, Juliette, personnage principal de « la mante nue » est tellement énigmatique, qu’elle est le thriller à elle toute seule. Elle vous apparait comme une jeune femme chétive aux premiers abords et ensuite comme une joueuse d’échecs hors pair. Elle va vous déstabiliser dans sa quête de la vérité, vous désarçonner par son caractère bien trempé et vous amadouer par son histoire.
Comme à son habitude, l’auteur nous décrit les lieux et les personnages à la perfection, on s’y croirait presque. Entre Paris et La Rochelle, nous sommes entraînés dans un tourbillon d’émotions que l’on a du mal à maîtriser tellement cette histoire est poignante.
Chapeau bas l’artiste, tu m’as une fois de plus bluffée !!!

Je tenais tout d’abord à remercier l’auteure Lise Beth pour sa confiance lors de ce service presse.
J’avais hâte de retrouver notre personnage principal qu’est Sélène Enodia, car le premier tome nous avait laissé avec beaucoup d’interrogations et j’étais pressée de connaître ce que l’auteure avait prévu pour elle.
Dans ce second tome, nous partons en quête de révélations, mais aussi d’une prophétie qui n’augure rien de bon.
Accompagnée de ses acolytes, nous allons découvrir que chaque personnage a sa propre histoire, mais aussi surtout son propre passé, avec certaines noirceurs qu’il nous faudra élucider, j’espère dans les autres tomes.
L’auteure continue à nous entraîner dans un rythme soutenu de rebondissements, elle nous tient bien en haleine, le fil conducteur de l’histoire est parfaitement bien mené et sa plume se pose encore plus facilement sur le papier.
J’ai été agréablement surprise par ce second tome, car il n’est pas centré que sur Sélène, on découvre les différentes facettes de ses acolytes et cela m’a beaucoup plu aussi. Cela leur donne un caractère plus humain que dans le premier tome où ils apparaissaient plutôt comme effacés.
Ce second opus est rempli d’émotions contradictoires et notre déesse Sélène Enodia va devoir se méfier, car elle n’est pas au bout de ses surprises. Les pactes se font et se défont au fil des pages et je défie quiconque de connaître l’issue de ces batailles de clans…
Surtout que le final prévu par l’auteure va vous laisser complètement scotchée, voilà qu’elle joue avec nos nerfs maintenant.
Que j’ai hâte de connaître la suite des aventures de Sélène.

Titre : Santiags, Tex’Mec & Chili con mariée
Auteure : Siobhan Gabrielly


Résumé :
Raphaëlle est Parisienne, Canaan est Texan. Si l'une s'apprête à se marier, l'autre ne vit que pour son ranch et ses chevaux. Elle adore la ville et les sorties entre copines, il aime les grands espaces et la tranquillité. A priori, rien ne les destinait à collaborer. Et pourtant, sauver Clarendon's Hill, le ranch Gallagher, va leur faire découvrir qu'on a tous le droit à une seconde chance.
Croyez-vous qu'une simple notification sur un smartphone puisse changer votre vie ?
Mon avis :
Je tenais tout d’abord à remercier l’auteure Siobhan Gabrielly pour sa confiance lors de ce service presse.
On dit souvent que les opposés s'attirent, mais aussi que qui se ressemble s'assemble. Alors qui dit vrai ?
Pour le savoir, venez découvrir la très belle histoire que vous a concoctée Siobhan Gabrielly dans son dernier roman, car elle va vous prouver que les opposés s’attirent complètement.
Quand nous faisons la connaissance de nos deux personnages principaux, ils sont tellement aux antipodes l’un de l’autre que l’on a du mal à croire qu’ils puissent se passer quelque chose entre eux.
Mais vous ne connaissez pas encore la baguette magique de l’auteure, qui est capable de nous trouver une brindille de romance entre deux caractères opposés et de nous en faire ressortir une sublime romance.
Raphaelle et Canaan vont donner raison à cet adage. Au fil de notre lecture, ils vont se découvrir de plus en plus de points communs, et les oppositions que nous considérions comme insurmontables au début vont s’amenuiser au fur et à mesure.
Avec des paysages à couper le souffle, l’auteure vous entraîne au pays des cow-boys où les talons aiguilles doivent être rangés au placard et où les santiags sont reines.
Venez, le décollage est imminent !

Avec cette belle réédition, Karyn Adler redonne un nouveau souffle à son roman et je dois dire qu’elle fait un carton plein. Avec une couverture aussi déjantée que le duo qu’elle forme avec Loïs Smes, elle ne pouvait que créer le buzz.
Sans lire le résumé, je me demandais déjà ce qu’elle allait cette fois nous sortir comme histoire un peu farfelue. Et bien, je ne me suis pas trompée, et farfelue est un euphémisme.
Pourtant, même si le personnage principal Oli a parfois l’air complètement folle, elle nous apparait aussi comme une jeune femme sensée, que l’amour n’a pas épargné et qui essaye de se protéger de la meilleure manière qu’il soit : le rejet catégorique de tout homme dans sa vie.
On comprend bien que le chat échaudé craint l’eau froide, mais à 35 ans, la vie est loin d’être terminée et ses meilleures amies vont essayer de lui redonner du baume au cœur.
Oli au fil des pages va s’ouvrir aux autres et par la confiance qu’elle va petit à petit retrouver en elle, elle va pouvoir aussi rouvrir son cœur.
Une belle romance comme on les aime, qui vous fera passer un chouette moment de lecture.
Même si ce roman va vous paraître parfois complètement fou, l’auteure nous glisse aussi de magnifiques messages comme la reconstruction de soi, comment reprendre confiance en soi après une rupture. Et c’est aussi un bel hymne à l’amitié et même si c’est un sujet que l’on retrouve dans beaucoup de ses livres, il est bon de souligner que l’amour guérit de tout.

Je n’ai qu’un mot après ma lecture : époustouflant !
Cette auteure me déroute à chaque fois et je dois dire que cette fois-ci encore plus que les autres fois, je suis scotchée.
La fantasy n’est pas mon genre de prédilection habituellement, mais Sylvie Lopez peut tout écrire, et elle le fait à la perfection. Elle avait déjà eu l’occasion de m’embarquer dans une romance avec écart d’âge compliqué à assumer, une dark puissante sur les blessures et les marques d’un passé dérangeant. Mais dans son dernier roman, elle nous entraîne dans un nouveau genre qui n’est pas pour me déplaire, même si je dois bien l’avouer, il est un peu inconnu à mes yeux.
Moi qui suis pourtant très cartésienne d’habitude, j’ai perdu, au fil de ma lecture, toute réalité. J’ai eu beaucoup de mal à déjouer le vrai du faux et il faut dire que les personnages ne m’ont pas beaucoup aidé.
Au travers de phénomènes paranormaux peu explicables pour le commun des mortels, nous faisons la connaissance de Typhaine, jeune demoiselle meurtrie par la perte d’êtres chers à son cœur qui essayent de se reconstruire petit à petit dans la maison de son enfance.
Si au début du roman, les apparitions mystiques ne nous effraient pas, elles vont prendre une tournure plus glaçante jusqu’à nous faire bondir à certains moments.
Alors accrochez-vous, car quand le bien et le mal vont rentrer en guerre, nous ne savons jamais à l’avance qui va gagner la bataille.
Et quand le passé refait surface, dans le visage d’une personne qui a bouleversé votre enfance et votre adolescence, il n’est pas évident de tourner la page et d’avancer.
La plume de l’auteure est tantôt sensible, tantôt machiavélique, mais c’est ce côté mi ange mi démon, inacessible de l’auteure que je recherche dans tous ses ouvrages.
Et croyez-moi, « Divine » va en surprendre plus d’un !
Félicitations Sylvie, un nouvel univers que j’ai eu plaisir à découvrir.

Mon avis :
Je tenais tout d’abord à remercier l’auteure Julie Anne Bastard et les Editions Elixyria pour leur confiance lors de ce service presse.
La reine des paillettes est de retour, et cette fois elle a choisi un thème qui de prime abord ne me fait pas sauter de joie : la grossesse.
Mais avec l’auteure, aucune crainte, je sais que je vais passer un bon moment de détente et qu’elle va nous avoir réuni de belles touches humoristiques.
Alors me voilà partie, à la lecture de son nouveau roman avec un chocolat chaud et un paquet de m&m’s, je vous rassure c’est bien l’héroïne qui est enceinte, non moi ! Mais il n’y a pas de mal à se faire du bien.
Nous découvrons donc Anna, une jeune demoiselle qui vit au pays des bisounours et qui ne s’est même pas aperçue que l’homme de sa vie était déjà passé à autre chose, ou plutôt à quelqu’un.
Alors, quand en plus, elle s’aperçoit qu’elle est enceinte, c’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase !
Mais si tout son entourage pense qu’elle va flancher, elle va prendre le taureau par les cornes et nous prouver qu’elle n’est pas près de se laisser abattre.
L’auteure nous entraîne une fois de plus dans un monde romantique, où tout est douceur, mais pas que… car il ne faut pas rêver, le prince charmant n’est pas à tous les coins de rue et l’auteur va vous en donner de beaux exemples.
Je me suis régalée du début jusqu’à la fin et si vous voulez passer un bon moment de lecture rempli de quiproquos et de paillettes, ce livre est fait pour vous.

Je remercie tout d’abord les auteurs Gabriel Erhart et Marie Hélène Fasquel pour leur confiance lors de ce service presse.
Je referme ce livre et je me dis : waouh, quel roman ! Il en est même bluffant car à la fin de ma lecture je suis incapable de vous dire qui à écrit cette partie, plutôt qu’une autre.
Les plumes des deux auteurs se mêlent tellement bien entre elles que s’en est déroutant. Mais pas autant que l’intérieur de ce roman qui va vous captiver du début à la fin.
Nous découvrons quatre jeunes femmes, inséparables et amies de longue date, qui au détour d’un épisode fâcheux, vont partir en quête du passé de Nina, une des quatre protagonistes.
De ce point de départ, nous allons partir dans une épopée pleine de rebondissements qui vont vous tenir en haleine jusqu’au point final de ce roman.
Et vous n’êtes pas au bout de vos surprises car que ce soit en Italie, en Russie ou en France, les deux auteurs n’ont pas ménagé leurs personnages, et encore moins leur lectorat.
Je me suis délectée de tous les aspects tant géographiques, qu’historiques et je me suis beaucoup attachée au personnage de Nina, cette jeune femme en quête de vérité, mais aussi de bonheur simple.
Accompagnée par ses amies, elle va nous prouver que l’amitié est un sentiment très fort et je trouve que ce roman en est une belle représentation.
Un voyage dont vous ne sortirez pas indemne, je peux vous le jurer !

C’est le retour de notre duo explosif avec la suite des histoires de Emma, Blanche et Tristan, mais pas que… pour notre plus grand plaisir.
Pour ce second tome, les deux auteures nous entraînent dans une épopée rocambolesque où les quiproquos vont tenir une place très importante.
Imaginez vivre pendant le règne de Louis XIV et être transportée en 2010, ou l’inverse, sacré décalage.
Si pour Blanche de Vaudreuil, le choc est immense face aux différentes technologies qu’elle découvre, Sébastien, lui, a du mal à se remettre de sa rencontre avec sa belle.
Travaillant au château de Versailles, il n’a de cesse de l’admirer, alors quand elle se retrouve réellement face à lui, nous allons vivre des rebondissements dignes des meilleurs films humoristiques.
Bien sûr, soyez rassurez, les auteures ont gardé les aspects les plus historiques de cette période, mais avec une belle pointe d’humour, elles nous font passer un moment très agréable de lecture.
Même si le côté un peu trop princesse de Blanche de Vaudreuil vous agacera peut-être, vous la trouverez aussi très attendrissante quant elle découvrira l’avenir de sa famille et qu’elle voudra tout faire pour réécrire l’histoire.
Un tome à la hauteur de nos attentes et je me demande même si notre duo de choc ne nous préparera pas une suite car le final lumineux peut présager de nouvelles histoires.
Merci les filles pour ce bon moment passé en votre compagnie.

Je remercie tout d’abord les auteures Soleano Rodrigues et Léa Trys pour leur confiance lors de ce service presse.
Je connaissais les deux auteures séparément, mais alors là la réunion de leur plume est plutôt détonante.
Elles nous entraînent, ensemble, dans un voyage assez épique et une découverte de deux personnages qui n’ont pas leur langue dans la poche.
Des caractères bien trempés, des paysages à couper le souffle, les auteures vous proposent un road trip complètement délirant, mais avec une romance qui vous retournera le cœur.
Si la route 66 est le fer de lance de cette traversée, nos deux protagonistes ne seront pas en reste et nous ferons découvrir deux personnalités très attachantes. Que ce soit Peyton ou Miles, vous ne pourrez que succomber à leur côté irrésistible.
Une lecture qui se dévore, comme bien souvent avec ces deux auteures, leurs plumes sont addictives et le quatre mains est un combo gagnant.
J’ai aimé partager le voyage auprès de Peyton et Miles, découvrir leurs qualités, mais aussi leurs défauts, ou plutôt leurs failles, ce qui leur a donné un côté encore plus attendrissant.
Merci les filles pour nous avoir fait rêver !

Je tenais tout d’abord à remercier l’auteur Rex Van Asselt pour sa confiance lors de ce service presse.
Non mais regardez moi cette couverture de malade, on ne peut pas être plus explicite que ça et au moins on sait à quoi s’attendre…
Eh bien, c’est ce que je pensais, mais vous n’êtes pas au bout de vos surprises, l’auteur est aussi diabolique que ses personnages.
Pourtant, au début du roman on donnerait le bon dieu sans confession à cette petite fille et à ce jeune prêtre, mais ne vous méprenez pas sur le calme ambiant : le mal rôde et ça va vite déraper.
Avec une plume très sensuelle, parfois même un peu crue, mais jamais vulgaire, l’auteur nous entraîne dans un récit qui m’a fait un peu peur au début je dois bien l’avouer.
Quand on s’attaque à un sujet tel que l’église, il faut bien s’accrocher, mais Rex Van Asselt a su détourner le côté malsain du diable et nous a concocté une histoire hallucinante.
Jusqu’au bout, je me suis demandé où il allait chercher une telle imagination. Toute son intrigue est très bien construite, ses personnages parfaitement détaillés.
On rentre avec aisance dans la psychologie complexe des deux protagonistes et quand le doute vient s’immiscer en nous, l’auteur malmène encore plus notre cœur et nous le foudroie sur place.
Un roman captivant, alliant thriller et érotisme avec brio avec un final explosif comme je les aime.
Alors n’attendez pas une minute, venez découvrir le vrai visage du diable !!!

Je remercie tout d’abord les Editions Ex-aequo pour leur confiance lors de ce service presse.
Paysages de la soumission masculine » ne se lit pas comme un roman dont on se délecterait à chaque page, mais plutôt comme une bible historique où l’on vient piocher ici et là, les différents témoignages au fil de l’histoire des Hommes.
Les deux autrices nous entraînent dans un essai en deux parties, agrémenté de tranches de vie de certains protagonistes, qui ont bien voulu leur dévoiler leurs penchants les plus secrets.
Nous découvrons au fil des pages, tantôt une vue très historique et sociologique de la soumission, avec des informations que j’ai eu plaisir à connaître, tantôt une vue plus personnelle avec les confessions intimes de certains soumis.
Le sujet qui est traité ici n’est pas commun, on a tendance à plus s’exprimer sur la soumission féminine, mais à la lecture de cet essai, nous en apprenons beaucoup sur les désirs, les besoins d’abnégation des hommes qui vivent cette soumission.
J’ai été agréablement surprise qu'ils se dévoilent de la sorte, se mettent à nu pour que l’on comprenne mieux leurs désirs et leurs fantasmes.
Les plumes des deux autrices se complètent à merveille, elles nous entraînent toutes deux dans un monde de vénération et de douleur où ceux qui se soumettent ne vivent que pour le plaisir de leurs Maîtresses bienveillantes.
Depuis la nuit des temps, la soumission masculine existe et au fil des années, elle s’est développée. Si vous ne connaissez pas ce monde, dépassez vos appréhensions et mettez de côté vos préjugés.
Venez découvrir l’âme de ces hommes soumis pour mieux les comprendre…

Jérôme Idelon fait partie, pour moi, des auteurs qui écrivent des OLNI (objets littéraires non identifiés).
« L’envol du flamant rose » est un véritable coup de cœur, ce roman m’a pris aux tripes du début à la fin. J’ai eu beaucoup de mal à reprendre la lecture après celui-ci, car tout me paraissait fade, sans saveur.
L’histoire du petit Théo, raconté par l’auteur avec beaucoup d’humilité et de tendresse, retrace l’enfance d’un petit garçon confronté à la bipolarité de sa maman.
À travers des crises de joies, mais aussi des crises de larmes, ce petit garçon va devoir s’élever tout seul, s’épanouir et grandir sans personne pour l’épauler réellement.
L’auteur, avec une plume très poétique et habile avec des jeux de mots subtils, vous entraînera dans les méandres de la maladie, dans un monde où les malades sont plongés dans leurs noirceurs sans pouvoir en sortir.
Certes, les mots de l’enfant vous paraîtront parfois durs, mais ils sont empreints d’une telle sensibilité, d’une telle véracité que ça fait froid dans le dos.
Merci à l’auteur d’avoir mis des mots sur les maux des personnes côtoyant des bipolaires, car même si le destin de Rose, la mère de Théo ne va pas vous laisser insensible, c’est réellement la vie de ce petit garçon, qui va vous toucher le plus.

Vous recherchez une lecture complètement déjantée, j’ai ce qu’il vous faut ! Ce roman est une tuerie. Déjà que « à 7 coups de reins » de son acolyte Loïs Smes avait obligé ma vessie à se vider très souvent pour crise de rire incontrôlée, je peux vous dire que ce roman est du même acabit.
Avec une plume toujours très directe et surtout bourrée d’humour, venez rencontrer Andy, une jeune femme pétillante de vie et qui n’a pas la langue dans sa poche. En plus, c’est la cousine de Jas, personnage emblématique de « à 7 coups de reins ».
Alors préparez vous à bien rigoler, car elle vous réserve de sacrés rebondissements.
Journaliste, la jolie Andy va nous expliquer les mystères de l’amour, mais surtout de la femme, de ses envies et de ses désirs.
Oui je vous vois déjà dire « vaste sujet », et vous ne croyez pas si bien dire car elle va devoir partir à la recherche d’informations croustillantes afin de sortir le papier du siècle.
Et en plus, quand au détour d’une conversation, son cousin Jas s’en mêle et qu’il compte bien l’aider dans cette aventure, l’humour réunit de ces deux-là va faire des étincelles.
Pour moi, ce roman est une véritable bouffée d’oxygène, il devrait être remboursé par la sécurité sociale car avec un livre pareil, aucune chance de friser la dépression.
Par contre, si vous voulez rajouter un peu de folie à votre vie, foncez !

Troisième livre de l’auteur que je découvre et une fois de plus elle m’a transportée dans son univers.
Pour ce roman, elle décide de nous parler d’un pays qui m’a toujours attirée : l’Inde. Ce pays avec ses magnifiques couleurs et ses traditions ancestrales.
Comme à son habitude, l’auteure par des descriptions très détaillées nous fait voyager comme si on y était. Pendant ma lecture, j’ai fermé à plusieurs reprises les yeux pour essayer de m’imprégner au plus près de leurs coutumes, de leurs règles, mais aussi de ces bâtiments magnifiques.
Nous partons à la découverte de ce pays avec deux jeunes personnages : Mathilde et Prem qui vont connaître l’amour et le poids de la différence des cultures. Ils vont se battre pour pouvoir vivre l’un avec l’autre dans un pays dirigé par des préjugés très anciens et difficilement modifiables.
L’auteure nous transporte dans deux époques complètement différentes et les allers retours dans le passé et le présent nous en apprennent un peu plus à chaque page.
A la recherche de son passé, Mathilde va devoir faire face à ses souvenirs, mais aussi à sa mère et son intransigeance face à des cultures différentes de la sienne.
Accompagnée de ses enfants et de son petit-fils, elle va partir à la conquête d’informations nécessaire pour qu’elle puisse avancer, pour qu’elle puisse comprendre ce qui a pu se passer dans les années 70.
En plein mai 68 à Paris ou dans les rues de Auroville, l’auteure nous entraîne dans une histoire de deux amoureux qui m’a bouleversée, mais ce roman est encore plus que ça. C’est un livre empreint de tellement de bienveillance, prévoyez les mouchoirs, le final est à la hauteur de nos espérances : MAGIQUE !

Moi j’ai décidé de ne pas faire comme tout le monde et de commencer cette saga des « devil’s road » par le spin off. Je n’ai donc pas lu la trilogie, mais même si certaines subtilités ont dû m’échapper, dans l’ensemble, je pense que cela ne gêne en rien la lecture de ce roman.
Me voilà donc partie pour découvrir l’histoire de Lisa, une demoiselle toute douce, mais aussi toute perdue tentant de reconstruire sa vie au Canada loin de tous ses soucis.
Dès les premières pages, l’auteure nous campe une histoire que l’on sent pleine de rebondissements et vous n’êtes pas au bout de vos surprise, Iride Salvatore va malmener vos petits cœurs et il va falloir rester bien accroché.
Elle joue avec nos nerfs plus d’une fois et ce n’est pas l’arrivée de Ruger, qui va arranger les choses. Cet homme au caractère fort va nous déboussoler tout au long de notre lecture et les différentes péripéties que l’auteur va faire vivre à ses personnages va plutôt nous faire perdre les pédales.
L’auteur maîtrise parfaitement le monde des bikers et ses codes. Sa plume est très fluide ce qui rend notre lecture très addictive.
Franchement je n’ai pas vu le temps passer et quand le mot Fin est arrivé et que les révélations ont été données, je suis un peu tombé sur le …
Je vais de ce pas faire la connaissance des personnages de la trilogie et qui sait, peut-être que je relirai ce spin-off pour comprendre encore mieux tous les tenants et les aboutissants de cette histoire.

Second livre que je lis de cette auteure, je peux vous dire qu’elle va en surprendre plus d’un.
Après avoir lu « frères de sang » qui m’avait déjà beaucoup retourné, le résumé de « l’emprise du mal » m’avait serré le cœur sans en avoir lu un chapitre.
Avec ce deuxième roman, elle nous mélange avec brio une intrigue policière et une romance MM. Oui je sais je ne suis pas très adepte des MM, mais ce livre est tellement fort que j’ai passé outre mes préférences littéraires.
Et franchement, je ne suis pas déçue de m’être laissé tenter. Avec une plume toujours aussi fluide, Jane Yam arrive à nous embarquer dans une enquête haletante.
Vous découvrirez un personnage très attachant en la personne de Raphaël, un jeune homme un peu paumé certes, mais rejeté par ses parents à cause de son homosexualité. Dès les premières pages, on sent que ce jeune homme est meurtri, on a envie de le consoler, de lui dire que la vie n’est pas si dure, mais elle s’acharne tellement sur lui, qu’il doute constamment, jusqu’à la rencontre…
Elle vous transportera ensuite dans les méandres du monde de la nuit où les paillettes du cabaret peuvent côtoyer aussi l’immondice humain, car ce dernier peut se terrer pour ressurgir à n’importe quel moment de l’histoire.
Autour de nombreux rebondissements qui vous tiendront en haleine, Jane Yam tire les ficelles et fait avancer ses pions un à un. Vous devrez souvent retenir votre souffle, peut-être même vos larmes si vous êtes sensibles.
Mais n’oubliez pas que chaque histoire à son pendant heureux et que Raphaël va aussi connaître les joies de l’amour.
Un roman que je vous conseille vivement, un hymne à la tolérance et à l’amour. Un livre dur, mais une magnifique histoire dont vous ne pouvez passer à côté.

C’est ce qui s’appelle prendre une grosse claque ! Waouh ! Katja Latsan je suis scotchée !
Quand l’auteure avait prévenu son lectorat que son dernier petit bébé était une nouvelle, j’avais un peu peur de trop peu. Je suis amoureuse de sa plume depuis ses débuts et j’en voudrais toujours encore plus.
Mais là, en écrire plus n’aurait pas servi à grand-chose car elle met tellement d’amour et de passion dans toutes les pages qu’elle écrit que sa nouvelle pépite se lit sans discontinuer.
Pour notre plus grand plaisir, elle reste dans le domaine musical et si vous connaissez ses autres romans, vous savez que Dark Moon n’est jamais très loin.
Même si ce roman ne touche pas à notre groupe fétiche, l’auteure n’a pas pu s’empêcher, pour notre plus grand plaisir, de mettre quelques anecdotes !!!
Cette fois-ci, elle nous fait un livre plus intimiste, certes plus court, mais avec une telle intensité que le nombre de pages est à mon sens sans aucune importance.
Elle nous délivre un récit qui se déroule sur une journée où l’on va rentrer au plus profond du personnage. Même si au départ, le guitariste célèbre se méfie de tous ses rapaces de journaliste, il va voir en Agathe, au fil de leur discussion, autre chose, une aura que la blogueuse distille elle aussi à peu de personnes.
En réalité, ce roman c’est un peu une mise à nu des protagonistes et derrière la face cachée du show-business, Agathe va nous permettre de voir l’envers du décor, qui n’est pas toujours forcément glorieux.
On peut souvent dire que des rencontres nous font grandir, évoluer et je pense que cette nouvelle reprend bien ce dicton.
Merci à Toi Katja de nous faire une fois de plus rêver, ta plume m’a une fois de plus transportée !

Une couverture captivante découverte au salon de Le teilleul en Normandie l’année dernière, je n’avais même pas lu le résumé. Devant l’engouement des lecteurs, je m’étais fait ma propre idée de l’histoire et je me jetais à corps perdus dans ce roman.
Sans savoir réellement expliquer pourquoi, le titre était évocateur pour moi d’enfants décédés trop tôt, nos petits anges comme on les appelle et qui devenaient des poussières d’étoiles auxquelles on se raccrochait.
J’ai eu l’immense chance de discuter avec l’auteure lors d’une de ses dédicaces à France Loisirs et j’avais adoré parler avec elle de ce quiproquo.
Pour autant, j’avais attaqué ma lecture sans connaître du coup le sujet traité par le livre et je dois dire que j’ai été captivée.
Ce roman se découpe sur trois époques bien distinctes avec trois femmes aux histoires complètement différentes, mais dont le mysticisme va les faire se rejoindre.
Dès que « l’apparition » se produit, on est transporté dans un monde irréel où les souvenirs vont refaire surface et où chaque personnage aura un rôle à jouer pour dénouer le vrai du faux.
Comme une enquête de police, nos protagonistes cherchent le pourquoi du comment et ils ne vont pas être déçus des révélations faites tout au long des pages.
Pour ma part, c’est le premier livre que je découvre de Linda, et sa plume très fluide a permis de me mettre dans le bain tout de suite. J’avais un peu peur de perdre le fil avec les différentes époques, mais en aucune façon, ce fut le cas.
Des personnages auxquels on s’attache vite avec un petit coup de cœur pour Suzanne et …., pour le découvrir il faudra que vous lisiez ce roman.
Moi, je vais de ce pas découvrir un autre de ses romans : « le café des délices ».
Une auteure prometteuse, gardez bien son nom en tête, elle va faire parler d’elle.

Retrouver la plume de Jessika Lombar est toujours aussi exquis. Elle signe avec « cœur à pic » son quatrième roman et j’ai la nette impression que l’on n’est pas près de l’arrêter….et tant mieux !

Une fois de plus, j’ai lu ce livre d’une traite. Quand on commence un de ses livres, on ne peut plus stopper sa lecture.

Dans « cœur à pic », l’auteure aborde des sujets plus sensible comme les violences conjugales et je dois dire que cette partie de l’histoire est traitée avec beaucoup d’humilité. Nous faisons la connaissance d’Inès, jeune policière de trente ans qui voue une passion à son métier. Elle se donne corps et âme à ce dernier, mais quand elle rentre chez elle, elle met tous ses soucis de côté et elle devient une autre : Prélude.

Prélude est la femme libérée par excellence, elle a soif de toutes les expériences sexuelles les plus inimaginables. Elle n’est jamais rassasiée et ce besoin incessant de n’être jamais satisfaite, montre un côté plus sombre d’Inès.

Elle a beau vouloir vivre sa vie pleinement, on se demande si elle sera capable de se poser un jour. Alors quand au détour d’une journée, elle fait une rencontre un peu particulière, on s’imagine qu’elle va peut-être remettre sa vie en question !

Mais quand les habitudes sont bien ancrées, quand vous avez créez un personnage de toute pièce, il est difficile de faire machine arrière.

Au fil des pages, l’auteure nous pose les jalons d’une enquête policière et nous avançons pas à pas, en parallèle, dans une succession de rencontres sexuelles assez débridées.

A partir de ce moment-là, nous retrouvons avec délectation la plume charnelle de l’auteure, celle qui me fait vibrer dans chacun de ses livres.

Comme à son habitude, Jessika Lombar nous transporte dans son univers et le mélange policier/érotique s’allie à merveille.

Je ne sais pas jusqu’où son imagination débordante va l’emmener mais dans ce roman-là, elle excelle. Je défie quiconque de trouver l’énigme avant la fin, l’auteure sait vraiment mener son lectorat par le bout du nez.

Je vous laisse découvrir cette héroïne hors du commun, elle va vous en faire voir de toutes les couleurs !

Vous connaissez Docteur Jekyll & Mister Hyde, Thelma & Louise, Laurel & Hardy et bien notre duo de choc est un peu pareil.
L’une aime les paillettes et les licornes tandis que l’autre aime la rigueur d’une dédicace bien propre. Alors quand elles ont décidé d’écrire ensemble, on s’est bien demandé ce que cela allait donner…
Et bien de l’explosif bien sûr !!! Et du très lourd je ne peux que vous le confirmer.
Je viens de refermer « De miroir et d’amour » et j’ai les yeux remplis d’étoiles comme une petite fille de cinq ans devant un sapin de Noël. Tout est réuni pour vous transporter dans un monde merveilleux et irréel.
Deux plumes qui s’allient à merveille, je défie quiconque de me dire à quel moment on en change car pour ma part, je n’y ai vu que du feu et dieu sait que je lis beaucoup !!!
Venez plonger avec moi dans les histoires épiques d’Emma au Château de Versailles où les deux auteures mélangent les quiproquos les plus rocambolesques avec brio (je suis convaincue qu’après votre lecture, vous ne lirez plus les fables de Jean De La Fontaine de la même manière…).
Une Emma auxquelles vous allez vous attacher dès le début : elle est tellement pétillante et décalée dans le monde où elle arrive… mais les autres personnages ne vous laisseront pas en reste car ils ont tous des caractères bien trempés.
JC & Julie-Anne vont vous embarquer dans une romance hors du temps, où les convenances sont reines mais où l’arrivée d’Emma va chambouler tout ce petit monde et surtout le protocole.
Une lecture addictive où les auteures n’ont pas oublié de nous distiller des éléments historiques essentiels sur les lieux de leur romance. Moi qui n’aimais pas l’historique, j’en redemande. Mais où va le monde ?
Vous qui, comme moi, aimez les histoires de princesse, celle-là, je peux vous jurer que vous allez l’adorer !!!
Alors n’attendez pas une minute de plus et venez rencontrer le Château de Versailles comme jamais vous ne l’avez vu auparavant !!!
Oups j’allais oublier, petit message aux filles : rassurez-moi, vous n’avez pas prévu d’être sadique et de nous laisser comme ça ?

Second livre que je lis de cet auteur, javais envie de le découvrir dans un nouveau registre. Je métais essayé à « la grotte » et je peux vous dire que mon petit cœur avait eu du mal à sen remettre (âmes sensibles sabstenir). Alors quand jai vu que lauteur avait sorti un thriller érotique (mon genre de prédilection), je ne pouvais que me laisser tenter.
Comment un auteur qui dhabitude nous parle dhémoglobine et de meurtres en série allait pouvoir allier ses écrits avec de lamour et du sexe ? Vous imaginez bien que jai tout de suite voulu jouer les curieuses et jai été plutôt surprise par ma découverte.
Quand je dis « surprise », cest agréablement bien sûr.
Avec beaucoup de dextérité, lauteur nous entraîne dans une histoire assez captivante, avec deux protagonistes principaux que ceux Mylène et Lucas et qui nont pas froid aux yeux.
Les scènes érotiques sont distillées à bon escient, développé comme il se doit dans les règles de cet art et vont certainement augmenter la température de votre lecture, à moins que vous soyez frigide !
Pour autant, lauteur nen oublie pas son genre de prédilection et nous plonge dans une intrigue qui vous tiendra en haleine jusquaux révélations ultimes et quelle révélation !
Je me demande toujours comment un auteur peut avoir assez dimagination pour écrire un scénario pareil.
Dhabitude assez perspicace dans mes lectures, je ny ai vu que du feu.
Bravo pour ce savoureux mélange des genres, jen redemande !

A la lecture du résumé, je me demandais bien dans quelle aventure je membarquais ! Le sujet nétait pas clairement défini et jétais loin de me douter que ce roman allait changer à jamais tous les préjugés que lon peut avoir sur cette cause.
Après avoir refermé ce roman, vous ne serez plus les mêmes, vous verrez le monde daujourdhui différemment, avec plus dhumilité je lespère.
Je ne connaissais pas lauteur avant de ce lire cet édifiant témoignage, mais je ne peux que vous le conseiller. Cest lhistoire de deux âmes esseulées par la vie et qui, à travers le don de leurs vécus, vont essayer de se relever des terribles épreuves quils ont dû subir.
Chacun à leur niveau, Pierre et Ibrahim vont nous prouver quà force de persévérance, on peut arriver à tout, même si lon doit passer par des moments très difficiles, que les deux protagonistes nous racontent avec beaucoup de modestie.
A travers des aspects plus politisés et religieux qui sont nécessaires à la bonne compréhension des enjeux dont il retourne dans ce livre, lauteur nous pousse dans nos retranchements pour nous faire réagir. Il veut nous faire sortir de nos gonds pour quensemble, ces choses-là narrivent plus, que lon trouve enfin des solutions pérennes à ce problème encore trop souvent dactualité.
Un magnifique roman mêlant drame, épisode terrifiant, noirceur humaine, mais qui nous montre aussi beaucoup de résilience et dhumanité.
Lisez ce livre, vous en sortirez grandis !

Une couverture magnifique, un résumé intriguant, il ne men fallait pas plus pour me laisser tenter par ce nouveau roman dAllison que je suis maintenant depuis quelques temps.
Et comme pour ses autres romans, je ne suis pas du tout déçue de ma découverte. Au contraire même, je dois dire que je suis agréablement surprise. En effet, la plume de lauteure prend de lassurance à chaque roman et le genre quelle a décidé décrire nest pas si simple que cela.
Mais je trouve quelle amène son lectorat où elle veut et avec son dernier roman, elle ne déroge pas à cette règle.
Elle nous plonge dans un roman plus sombre, mélangeant mafia et romance avec grande réussite. Elle transporte son lectorat dans une romance plein de rebondissements où les failles de chaque personnage vont être mises à nu au fil de notre lecture. Mais ne vous fiez pas aux apparences, vous pourriez être surpris par la confiance que vous avez mis sur certains personnages (je nen dis pas plus pour ne pas vous spolier).
Au début de ma lecture, je ne vous cache pas que javais un peu peur que lâge de Catalina mempêche de mapproprier lhistoire mais son passé, son tempérament et sa force de caractère mont complètement fait oublier ce détail.
Alors si vous voulez découvrir Allison Beauger dans un genre plus sombre, allez vite découvrir Catalina, vous nallez pas être déçus.

Quel bonheur de retrouver nos hockeyeurs chouchous, ils nous avaient tellement manqués.
Après avoir découvert dans le tome 1, l’histoire d’Ayleen et Brayden, dans le tome 2 celle de Melody et Quinn, il était temps que l’on en sache un peu plus sur Sadie et Mike.
Pour ma part, même si les deux autres tomes m’ont captivé, c’est le dernier tome de la trilogie qui recevra mon coup de cœur.
En effet, elle a su mettre dans ce dernier tome, une puissance dans les sentiments tant amoureux, qu’amicaux et même paternels, que je n’ai pu que tomber amoureuse de Mike et de Sadie.
Une grande famille du hockey réunie pour un final explosif où les mouchoirs vont vous servir à tourner les pages. Mon petit cœur s’est souvent serré, les larmes ont été au bord des yeux pour finir par couler sur mes joues.
Soleano sait maltraiter son lectorat et ce tome 3 va vous donner de bonnes raisons de la détester, c’est impensable de malmener ses protagonistes de la sorte.
Des personnages hauts en couleurs, Sadie et Mike ont deux tempéraments de feu et il ne va pas être simple d’apaiser la chaleur autour d’eux et je peux vous dire que le terme « chaleur » a un double sens très prononcé. Ils sont aussi caractériels que volcanique et quand le feu et la glace se rencontrent, cela fait souvent des étincelles.
Les personnages secondaires, ne sont comme à l’accoutumée avec notre auteure, pas en reste et nous les retrouvons avec plaisir. Que ce soit nos couples mythiques, ou même le coach Hernandez, on a l’impression de les connaitre depuis toujours et de faire partie de leur vie au quotidien.
Un roman addictif au possible que j’ai dévoré en deux jours, une histoire que l’auteure a su mener à son apogée et un épilogue qui risque de vous désarçonner.
Je vous laisse savourer cette fin de trilogie épique…