Ce tome clôture à merveille cette série.

Un quatrième et dernier opus qui conclut cette saga d’une belle façon. Mike est le batteur du groupe, un accroc de la console un brin romantique, qui attend celle qui fera battre son cœur malgré la tonne de groupie qui ne demande qu’à passer une nuit avec lui. Il a été amoureux, on le sait, d’une fille que le reste du groupe n’apprécie pas et dans ce tome, on comprend pourquoi !
L’ex revient, mais elle ne revient pas seule, Danica est accompagnée de sa cousine, Hailey qui va faire fondre le cœur du batteur.
Pas de surprise en ce qui concerne le triangle amoureux dans cette histoire, dès le résumé on connait la fin, mais c’est quand même avec un grand plaisir qu’on lit les tourments qui vont accompagner ces trois personnages.
J’ai beaucoup aimé ce tome, Mike m’a fait fondre avec ses attentions, son naturel calme et posé, réfléchis et romantique. Il est l’homme sur, la force tranquille du groupe et c’est plaisant de le découvrir un peu plus.
J’ai plus qu’adoré Hailey, cette jeune femme a du courage - et il en faut pour supporter sa cousine – elle est douce et forte à la fois, c’est un sacré mélange auquel on s’accroche sans problème et qui s‘accorde parfaitement avec Mike ;
Et puis il y a Danica, c’est un peu comme si Cruella et Joker faisait un enfant, voilà à quoi ressemble la peste de service au caractère gratiné. Un peu exagéré et très cliché, mais c’est surement ce qui fait qu’on s’accroche à cette histoire avec autant de passion, cette colère face à ses agissements et cette compassion qu’on a envers Hailey. Une très belle histoire, de force, d’abnégation, de sacrifice, et d’espoir. Les cœurs sont malmenés et tiraillés, le désir est fort et les envies de succomber irrésistibles. On tourne les pages en découvrant un peu plus les héros et en se demandant comment tout ça va finir, qui va craquer et comment sera l’avenir. C’est doux à lire, leur histoire est de celle qui met du baume au cœur, qui nous attendrit avec ce qu’il faut de scènes torrides. On prend plaisir à retrouver les autres personnages des tomes précédents, à en découvrir de nouveau et à entrer définitivement dans la famille de ce groupe de rock. Quelques longueurs comme pour les précédents, je crois que c’est la signature de l’auteur, faire un peu trop de pages de rabâchage, mais ça n’enlève rien au plaisir de la lecture.

Une belle note de fin pour cette saga qui aura eu de bons tomes et d’autres un peu moins bons, mais qui nous aura fait passer un bel été avec ces apprentis rockeurs et leurs partenaires.

En bref, un dernier tome passionnant par ses personnages et le romantisme de leur histoire.

Superbe découverte que ce roman post apocalyptique climatique.
Nous sommes en 2020, la Terre va mal et les plus grandes catastrophes climatiques qu’on a pu connaitre s’enchainent et font de nos sociétés civilisées des mondes sauvages où survivre devient le maitre mot.
Ils sont quatre. Quatre garçons aux origines différentes, à la vie différentes et chacun va tenter de survivre comme il peut. C’est un roman ultra prenant, préparez-vous à l’ouvrir sans le refermer avant la dernière page. On se demande où l‘on va et comment ! La cruauté de ce genre de situation est parfaitement rendue, rien n’est épargné aux héros de ce roman. On souffre avec eux, on rit aussi parfois, mais qu’est-ce qu’on s’attache à ces quatre mecs au courages fou, malgré leurs âges, à la ténacité indéfectible et à l’envie de vivre qui les habitent. On ne peut s’empêcher de se demander ce qu’on ferait à leur place, si on aurait cette audace de continuer malgré tout, malgré la Terre qui semble vouloir en finir avec tous ses habitants. C’est aussi une belle vision de l’amitié, de celle qui nait quand rien ne va, qui se construit sur des cendres et devient indestructible.
Lire ce roman c’est plongé dans ce monde qui pourrait un jour devenir le nôtre à force de maltraiter cette planète, c’est traverser les épreuves pour lesquelles ils n’étaient pas prêt de par leur âges ou leur façon de vivre et serrer les dents à chaque coup dur en espérant qu’ils s’en sortes. On vit tous ces moments avec eux, les durs, les beaux et les cruels. Rien n’est épargné que ce soit les belles rencontres ou les pires.
Premier ouvrage de l’auteur que je lis, son style est adapté aux quatre voix, du plus jeune au plus vieux et à leurs diverses origines qui font que le vocabulaire n’est pas le même. Chacun leur tour ils nous révèlent leurs pensées et ce qu’ils traversent, c’est juste, sans fioriture et parfaitement adapté aux personnages. Les descriptions sont parfaites, sans être trop pesantes elles savent planter le décor. Les pages s’enchaînent, les points de vue changent et à aucun moment on ne s’ennuie. Les pages défilent jusqu’à cette fin qui vous fera plonger sur le tome deux.
En bref, un roman à la réalité féroce, qui n’épargne aucun de ses héros attachants avec qui on n’a qu’une envie, prolonger cette histoire !

Un deuxième opus plus pertinent que le premier. La romance prend son importance, nos héros se découvrent tout en flirtant avec les révélations. Le sexe est beaucoup plus présent que dans le premier tome et le suspense bien présent.
Alice et Dtylan continue leur relation passionnée au sein du camp Durand, les deux se révèlent petit à petit, on en apprend plus sur eux et surtout, on sait enfin ce qui se cache derrière tout ça.
Ce tome est plus profond que le précèdent, les sentiments émergent et les peurs avec. Dylan reste fidèle à lui-même, un homme charismatique et mystérieux, mais qui sait prendre soin de sa belle. Alice va être confrontée à une réalité troublante qui en ferait craquer plus d’un, mais la jeune femme reste forte, aider par Dylan, elle tente de faire face.
Cet opus oppose le passé au présent, il met en avant une relation torride qui devient plus profonde, plus personnel, tout en jouant avec le caractère des personnages.
Le style est fidèle à l’auteur, troisième personne, de belles descriptions et des sentiments exacerbés parfaitement retranscrits. C’est doux et sensible, torride et entrainant, un bon mix qui force à tourner les pages. Bien plus excitant que le premier tome, même si les clichés ont la vie belle dans cette série, ça passe mieux ici.
La fin nous laisse sur le même genre d’impression que précédemment, un mélange de suspense sans qu’on soit aux abois. Néanmoins, les aventures de Dylan et Alice se poursuivent avec « Exaltantes Retrouvailles » dans la même collection. Idéale pour avoir le fin mot de cette histoire et la réponse à toutes les questions laissées en suspens.

En bref, un second tome où la romance devient plus entrainante avec ce qu’il faut d’intrigue pour nous pousser à lire la suite.

Lecture étrange…

Lorsqu’on ouvre un « illicit’ » on s’attend à lire quelque chose de passionnel, de sexy et hot avec un poil d’histoire derrière pour mettre en avant la romance. C’est ce qui est primordial dans cette collection, l’intensité de la romance.

Or, dans cette histoire, malheureusement ce n’est pas ce qui transcende le lecteur. C’est même plutôt plat à ce niveau et on s’ennuie rapidement.
Ce qui est dommage, parce que le style est vraiment plaisant à lire, à la troisième personne avec un petit aperçue du point de vue de Dylan, mais pas assez pour nous porter.
Le début est plaisant, il parait dénoter dans ce genre de romance, on entre directement dans le vif du sujet et nous faisons la connaissance d’Alice, douée avec les chiffres qui s’apprête à passer un entretien pour le camp Durand, le fameux, celui par lequel l’élite de la finance passe avant d’être embauché par une grande entreprise. Elle pensait à voir à faire à un autre personnage pour ce rendez-vous, mais c’est finalement le PDG qui la reçoit en personne et le charme opère entre les deux héros.
Le camp est un super concept, original, intéressant et c’est agréable à lire lorsqu’elle évolue avec ses collègues ou les enfants.
Alice est une jeune femme intelligente, un peu niaise, sarcastique, pas mal susceptible qui veut se fondre dans la masse. Dylan est l’homme puissant, autoritaire, devant qui tout le monde bave.
En ce qui concerne la romance, elle fait un peu grincer des dents tellement elle nous rappel un certain couple aux 50 saveurs qu’on a déjà lu, relu, revu et corrigé. Les clichés sont là, mais il n’est pas question de BDSM, du sexe assez hot, seulement, ce n’est pas rafraichissant pour autant.
La fin de ce tome nous laisse perplexe, c’est un savent mélange de suspense sans en être, un « à suivre » étrange qui fonctionne parce qu’on a envie de savoir comment ça va se dérouler pour eux et qui est finalement Dylan.

En bref, un premier tome qui introduit l’histoire dans un contexte original, mais à la romance assez fade.

Un premier tome qui nous propulse avec brio dans l’univers de la série.

Le noir est ma couleur est une très belle découverte d’une série Young Adult fantastique comme on les aime. De l’intrigue, du suspense, des héros attachants, de la romance qui se profile, des histoires de familles et d’amitiés le tout sur fond de magie.
Dans ce premier tome on fait la connaissance d’Alexandre, bad boys boxeur, arrogant et tombeur de jeunes filles. Et de Manon en tout point son opposé, une fille studieuse et discrète, qui parait plus que banal aux premiers abords.
Deux personnages qui auraient pu se croiser dans une salle de classe sans même apprendre à se connaitre, sauf que …

C’est un très bon début, une plongée dans l’univers qu’a concocté Olivier Gay où l’on pose les bases, où l’on apprend à découvrir le caractère et la vie des deux héros. Un tome qui nous happe directement par une entrée en matière sans fioriture et auquel on s’accroche à chaque page en se demandant où tout ça va nous mener.
C’est avec plaisir que la lecture défile, sans vraiment sans rendre compte les pages se tournent, l’histoire nous entraine dans Paris, dans la magie, dans ce monde étrange où les couleurs ont des pouvoirs et on se délecte d’en apprendre plus sur les héros et ce qui les entourent.
C’est drôle et rafraichissant, captivant, on est tellement à l’aise qu’on ne devine pas la suite des évènements et les surprises arrivent.
Alexandre, perdue dans cet univers et malmené par Manon, est très attachant par ses découvertes et sa volonté d’en apprendre plus. Il est courageux et têtu. Manon est une jeune femme qui parait presque fade aux premiers abords, parfaite, une sorte d’héroïne agaçante, mais en découvrant son histoire on fait connaissance avec un personnage plus complexe, qui se révèle au fil des pages pour devenir une héroïne plus forte.
Une belle aventure à vivre entre cours de lycée, amitié et pouvoirs magiques. Un style simple et prenant, une histoire qui emporte tant par ses descriptions que par ses personnages et leurs aventures. Des dialogues réalistes, ils sont vraiment adaptés à l’âge des protagonistes et leurs donnent un caractère encore plus réel. De l’action qui amène du dynamisme au récit à deux voix. On ne s’ennuie pas, il n’y a pas de temps mort dans cette aventure enthousiasmante.

En bref, un premier tome captivant qui nous plonge directement dans l’univers de la série en nous promettant de belles aventures dans les prochains tomes.

Lecture en demi-teinte pour ce premier opus de la duologie « Nuit Blanches ».

On entre directement dans le vif du sujet dès les premières pages du livre. Le prologue (sauter l’avertissement qui spoil tout) dévoile instantanément de quoi va traiter ce livre. Il est encore tant d’arrêter à ce niveau si le sujet vous met mal à l’aise.
Rien de Dark ici, seulement un fantasme qu’ont beaucoup de femmes mais qui reste tabou malgré tout. C’est ce qui rend ce livre intéressant, ce fantasme, ce besoin étrange de vivre sa sexualité d’une certaine façon et comment.
On plonge de pleins pieds dedans, les premiers chapitres s’enchainent et on suit notre héroïne dans ses pulsions avec un homme dont elle ignore tout. C’est à la fois presque dérangeant et agréable à lire, c’est innovant dans le domaine de la romance et notre curiosité est piquée au vif. On se pose des questions sur elle, sur lui surtout et à mesure que le livre avance les révélations se font tout comme le rapprochement des héros.
Et c’est là où le bât blesse. La première partie est très prenante, la seconde devient facile et presque sans intérêt tant la romance est plate. Le sujet est pourtant surprenant, mais quand l’amour s’en mêle et que l’homme devient plus qu’un inconnu, le charme se rompt. Tous les codes d’une romance lambda arrivent et s’enchaînent et après l’intensité du début, c’est un soufflet qui retombe. Moins d’intérêt pour les héros, des schémas qu’on devine et une intrigue amoureuse inexistante. Pour un livre basé uniquement sur cet aspect, c’est complétement dommage. Il manque l’étincelle au-delà du sexe et de ce fantasme, le truc en plus qu’il aurait dû amener ne tient pas sur la longueur et on referme le livre en étant sceptique pour le second tome.
Cependant, les réflexions sur ce fantasme tabou, la façon dont l’héroïne le vit sont traités de façon remarquable, sur les deux points de vue. Ce n’est pas facile de faire face à des choses qu’on juge sois même honteuses, dont on voudrait se débarrasser mais qui nous colle à la peau aussi profondément que ce qu’on est. La façon dont l’auteur l’a amené, en choisissant cette histoire pour son héroïne est parfaite. Ça conduit aux questionnements, que ce soit pour elle ou pour lui, pour qui c’est plus complexe de se mettre à sa place. La psychologie propre à chacun d’eux est intéressante et abordée de façon différente selon le vécu des deux protagonistes. C’est le point fort du livre et malheureusement le seul.
L’écritures est fluide, facile à lire, le style est simple et dynamique, les descriptions sont assez riches et les dialogues ont du sens. On plonge avec facilité dans les décors du Texas et le sexe est détaillé avec ce qu’il faut de piquant sans en faire des tonnes.

En bref, une histoire en deux temps : l’un excitant, l’autre frustrant.

Je vois Biker plus MM je signe direct ! Il en existe malheureusement très peu en MM et à chaque fois je tente le coup.

Ici, il est bien question de deux roues mais pas de MC au sens pur du terme (tant pis pour moi !) plutôt d’association de passionnés de moto, ce qui n’enlève rien au charme de cette romance. Seulement ne vous attendez pas à lire un Hell’s Horsemen version MM.

C’est donc l’histoire d’Anthéas, père de famille célibataire depuis le départ précipité de sa femme des années plus tôt. Anthéas se consacre à sa vie familiale, il s’est construit un cocon sécurisant avec ses enfants, ses habitudes et ses tocs. Puis, son nouveau voisin débarque. Dan, lui, vit d’aventure et sa porte est constamment ouverte à ses nombreux amis. Dan va inviter son voisinage à sa pendaison de crémaillère, et les enfants d’Anthéas vont pousser leur père à aller découvrir ce nouveau voisin inhabituel dans ce quartier résidentiel. De là, commence l’aventure d’Anthéas et Dan.

J’ai passé un moment agréable avec cette lecture, j’ai découvert l’auteur aussi et j’ai eu quelques moments de désespoir.

Pour l’agréable, commençons par les personnages. Anthéas est particulièrement ancré dans son rôle de père, il est investi de cette mission et y consacre sa vie. On comprend très bien pourquoi il agit ainsi, pourquoi il a une image de lui-même si négative et il a réussi à me toucher sur ce point. Alors que Dan, qui m’a moins convaincue, lui est tout le contraire, il est plutôt sûr de lui, sur de ce qu’il veut et ne veut pas. Il ne s‘emmerde pas la vie et en fait ce qu’il veut. Il incarne la liberté et en ça, il colle à l’esprit Biker du roman.
Et enfin les enfants. Ils sont tous attachants, chacun dans leurs rôles et leurs réparties. Le petit dernier est touchant surtout dans sa relation avec Dan.
Ensuite, dans l’agréable il y a le sexe. Le sexe est bon, il est hot et une en particulier m’a bien plus. Dan n’étant pas du genre à tourner autour du pot, je vous laisse imaginer ce que ça peut donner en pleine action.

L’auteur, je ne connaissais pas son style et j’ai beaucoup aimé, c’est fluide et décrit avec passion. C’est plaisant à lire, on ne s’écorche pas les yeux et l’érotisme ainsi que la charge de désir des deux hommes sont bien pèsent.

Le désespoir a commencé pour moi au revirement de sexualité d’Anthéas. C’est un peu rapide pour ma part, tout comme les problèmes qui se règlent à la vitesse de l’éclair et un peu trop facilement. Ce qui est le gros dommage de ce livre. Une romance MM sympa qui aurait pu être une romance grandiose si c’était un peu plus poussé, si les situations étaient plus approfondies et si ce n’était pas aussi simple, autant dans les conflits que leur résolution.

Beaucoup de choses m’ont fait tiquer durant ma lecture, beaucoup de choses m’ont fait lever les yeux au ciel et pourtant j’ai passé un moment sympa en la lisant. C’est le genre de livre où il ne faut pas être exigent sur le fond mais se consacrer à la forme, à l’avancement de la romance et des personnages pour en tirer la meilleure partie.

En bref, une romance sympa, à lire pour se détendre.

J’étais impatiente de découvrir la suite de cette histoire. Vue comme le tome 1 fini avec une révélation qui remet tout en question, il était urgent pour moi de savoir ce qu’il allait advenir de tous ces personnages.

Et bien, on peut dire que je n’ai pas été déçue. Ce tome est complexe, beaucoup de choses se passent, beaucoup de personnages prennent la parole et le passé de tout le monde ressurgit. On passe de Ginny, à Tommy et Grizz. C’est déroutant, chaque point crucial du tome 1 vue par Ginny est remis en question par l’un ou l’autre des personnages masculins. Les secrets sont dévoilés et ils remettent le monde de l’héroïne en question.

J’ai vécu ce tome en deux temps. En premier lieu, l’envie de découvrir comment l’auteur allait revenir sur la révélation de la fin du tome 1 m’a fait dévorer les pages. En second : c’est quoi ce bordel !
Trop de révélation, trop de retournement, trop de secret, tellement que j’ai dû oublié la moitié de ce qui s’est passé dans ce tome, puisque qu’à chaque nouveau chamboulement tout change. C’est compliqué à suivre, d’autant plus en anglais et niveau crédibilité, certaines choses ne tiennent clairement pas la route. Même si on est éclairé par les dires de tels ou tels personnages même si oui, ça rentre dans le cadre de l’histoire, certaines choses sont simplement trop tirées par les cheveux.
C’est ce qui est le plus dommage dans ce tome, je regrette presque de l’avoir lue, le 1 m’avait tellement plu que même avec la révélation de la fin, j’aurais dû m’arrêter là.

Malgré ça, je n’ai pas pu m’arrêter, parce que oui c’est prenant, chaque chapitre nous pousse à aller voir plus loin pour comprendre et savoir.
La vie de Ginny n’est plus ce qu’elle croyait, tout est chamboulé et avec elle, on apprend à former le tableau de son existence. On est choqué, chamboulé et on comprend parfaitement ses choix qui semblent durs mais essentiels pour qu’elle puisse savoir où elle met les pieds.
Dans ce tome, on en apprend plus sur Grizz, sur son passé, on a son point de vue aussi dans le présent et j’ai adoré le découvrir de cette façon, ressentir son amour pour Ginny à travers ses yeux. Il est plus humain quand on sait d’où il vient et ce qu’il a vécue.
Tommy prend la parole aussi, dans le 1 il m’avait relativement laissée indifférente, dans le 2 il commence à m’intéresser, son comportement et son histoire spéciale m’ont charmé.

La fin…évidement que ça ne pouvait pas finir sans une tonne de révélation qui sera abordé dans le tome 3. Je dois dire que la barre est haute pour ce prochain tome et c’est ce qui va me faire le lire. Pour savoir comment l’auteur va réussir à remettre les choses en place, comment ce trio va terminer et avoir une vraie fin.

En bref, un tome fort en rebondissement et en révélation où la crédibilité n’est pas une priorité.

J’ai beaucoup aimé cette nouvelle, ce thriller réaliste, cette aventure dans la tête de cette jeune femme perdue. J’ai ri et frissonner en me demandant jusqu’où l’envie d’amour pouvait conduire.

En bref, une plume aiguisée pour une histoire troublante, qui nous fait nous questionner sur les limites de nos sentiments.

J’avais adoré le tome 1, j’ai adoré ++ ce tome 2.

Ce tome se passe quatre ans après le tome 1 et le héros n’est autre qu’Alex le frère de Rory. Alex a quitté son clan depuis plusieurs années suite à un évènement pour lequel il culpabilise encore. Sur le chemin qui mène aux terres de son frère qui lui a demandé de venir urgemment, il va faire la rencontre de Meg alors qu’elle se fait agresser par des bandits et l’effet est immédiat. Ils sont indéniablement attirés l’un par l’autre. De là, débute leur histoire complexe et terriblement hot.

Encore une fois, une plongée réussie dans le monde des Highlanders grâce à cette série qui me captive réellement. J’ai lu ce tome en une soirée tellement j’étais prise dedans.

L’histoire mêle toujours amour et honneur, loyauté et fidélité envers son clan, sa famille. Dans ce tome, la rencontre entre Alex et Meg est explosive, ils vont s’attirer, se chercher, tout en sachant l’un comme l’autre qu’une union entre eux n’est pas possible pour des raisons propres à chacun.
Alex est un fier guerrier Highlander, blessé dans son orgueil, qui lutte contre une culpabilité qui le hante et qui fera tout pour redorer son honneur jusqu’à en perdre la vie. Il est fort et sexy, torride même, il est loyal et déterminé à obtenir sa revanche sur le destin.
Meg, elle, est forte, franche et pragmatique. C’est une jolie femme qui n’a pas conscience de son allure, qui fait son possible pour soutenir son père dans la gestion du domaine et, qui se doit de trouver un mari capable de seconder son frère dans cette tâche, quand son père sera mort.

Ce roman est prenant de la première à la dernière ligne, pas de temps mort encore une fois. Leur histoire nous fait voyager de la cour Ecossaise à l’ile de Skye, entre attirance, destin et amour. C’est chaud, drôle et tendre. Les secrets se dévoilent petit à petit et nous tiennent en haleine. Alex manie la séduction aussi bien que l’épée et nous charme au fil des pages tout comme il réussit à captiver Meg. C’est une belle histoire qui nous parle d’honneur mais aussi de rêves oubliés. Meg m’a particulièrement touchée, jeune femme dévouée qui en oublie de vivre sa propre vie pour consacrer à son clan.

En bref, Une écriture toujours fluide, fidèle à l’auteur, le voyage est garanti dans cette romance qui manie parfaitement les désirs cachés d’une femme et l’honneur d’un Highlander.

Dans cet opus nous replongeons dans le tricot avec Elisabeth, la coloc de Janie du tome 1. Elle est médecin et se consacre à sa carrière et a son club de tricot. Ses relations avec les hommes se limitent au sexe lorsqu’elle en a envie, c’est une femme sure d’elle, pleine de répartie et d’humour, intelligente qui n’a pas la langue dans sa poche.

Sa vie change quand elle retrouve Nico, son ami d’enfance avec qui elle a rompu le contact des années auparavant de manière assez abrupte.

Cette histoire est touchante. Elisabeth cache derrière sa désinvolture face aux hommes, une réelle peur de s’engager, d’aimer et d’être blessé de nouveau. Elle se bat contre ça, elle tente de tenir Nico à distance, de ne pas se laisser aller à éprouver des choses qui risqueraient de la faire souffrir, mais face à un homme aussi charismatique et charmant que Nico c’est compliqué de résister.

Nico a tout ce qu’il faut pour faire fondre les femmes. Un physique parfait, un regard magnétique, un charisme époustouflant, il est drôle et possède des racines italiennes pour la touche latine qui finit d’achever Elisabeth.

J’ai beaucoup aimé leurs dialogues, chaque interaction du couple est plaisante à lire, parce que c’est piquant, subtile, intelligent et drôle. Ils se cherchent, se trouvent et se rejettent, leur passé commun amène cette touche de réalité à leur relation, comme une racine qui les lierait à jamais.

Leur histoire monte crescendo, elle prend du temps et c’est peut-être ce point qui m’a chiffonné, la longueur. Autant par moment j’ai vraiment aimé de les voir interagir, autant des fois les pensées d’Elisabeth m’ont fait soupirer. Il faut aimer ce genre de relation les « je t’aime mais je ne veux pas t’aimer ». Les raisons sont là, ont les comprends mais elles trop poussées à mon gout.

Malgré tout cette histoire est riche, il se passe énormément de choses autour des deux héros, de leur environnement respectif et de leur famille. On découvre un peu plus le club de tricot ainsi que ses membres, et on retrouve Quinn et Janie avec plaisir.

C’est une histoire de seconde chance, de peur et de reconstruction. Une romance sur les difficultés à se laisser emporter et succomber sans penser à se briser.

Le style est toujours bon, les personnalités bien définis et on se laisse facilement embarqué par le rythme donné par l’auteur. L’humour, ce ton qui parait léger mais qui renferme de vraies douleurs apporte beaucoup à cette histoire. Il la rend réel, il fait que ces personnages sont vrais.

En bref, une romance touchante qui ne manque pas de piquant.

J’ai découvert ce livre en allant fouiner sur un blog américain, la couverture est loin d’être attractive, mais le titre m’a assez intrigué pour que je lise cette histoire. Je ne regrette pas une minute d’avoir succombé à ce titre.

L’auteur nous plonge directement dans les méandres de cette histoire haute en couleur avec un prologue détonnant, qui nous pousse à tourner les pages pour aller savoir pourquoi et comment ils en sont arrivés là.

L’histoire se passe en Floride, dans les années 70, Grizz est le chef d’un gang de motards. C’est un homme dur, violent, qui n’a aucun problème à frapper ou tuer. Grizz a une obsession, Ginny, une jeune fille de quinze ans qu’il na va pas hésiter à enlever pour la garder près de lui.

C’est Ginny (qui deviendra Kit une fois dans le gang) qui raconte l’histoire et comment elle a vécu dans ce gang et avec Grizz. C’est violent, il ne faut pas se leurrer Grizz et les membres de ce gang n’y vont pas par quatre chemins, ils n’ont aucune limite et si parfois j’ai frissonné de dégout devant certaines scènes, c’est aussi ce qui rend cette histoire belle et réel.
C’est une histoire d’amour, celle d’un homme qui n’a aucun scrupule à frapper une femme, qui n’a rien à perdre et aucune attache dans sa vie avant de trouver celle qui fait battre son cœur. Grizz est un de ses personnages auquel on s’attache, parce que même si on n’a pas son point de vue, on sent l’amour qu’il a pour Ginny, son besoin d’elle et si parfois il fait les choses de travers, s’il ne prend pas les bonnes décisions c’est toujours par amour. Un amour étrange, un peu malsain vue comme il débute, mais qu’on comprend et auquel j’ai succombé. Grizz n’est pas un héros, il est détestable et pourtant, il a fait chavirer mon cœur. Sa violence, sa complexité et son amour pour Ginny ne peuvent pas laisser indifférent.

Est-ce qu’elle va l’aimer, est-ce qu’elle va s’échapper ? Comment ? Et est-ce qu’elle va rester ? C’est toutes ces questions qu’on se pose au long de cette lecture.

Et il y a tous les personnages secondaires de cet univers complet, le gang, les femmes qui gravitent autour, leur histoire personnelle à chacun, les secrets et les histoires internes qui nous plongent dans leur monde. C’est vraiment prenant, tout a un sens, tout a une place et la fin est juste whou ! Si on obtient des réponses aux question que le prologue a déclenchées on découvre de nouvelles interrogations qui nous pousse à plonger dans le tome 2. Rien n’est laissé au hasard et c’est ce qui fait de cette lecture un moment intense et captivant.

J’ai fini ce tome il y a quelques jours, il m’a clairement retourné, les comment, les pourquoi m’ont chamboulé, Grizz m’a captivé et leur histoire a mis à mal ma morale. J’ignore encore si c’est en bien ou en mal, mais elle ne laisse pas indifférent et c’est ce qui en fait une bonne histoire. Etre mis à mal, bouleverser par un récit, embarquer dans cet univers et être pris dans un mélange de sentiments contradictoires, c’est tout ce que je recherche dans une lecture. L’écriture est simple et l’anglais est accessible.
C’est donc un coup de cœur pour moi, parce que je ressors de cette aventure ravagée par les sentiments qu’elle a fait naitre en moi et je vais plonger dans le tome 2 en espérant revivre ces émotions et continuer l’aventure de ce gang, de cette jeune femme et de Grizz.

En bref, une histoire prenante, intense et violente qui ne laissera personne indifférent, que ce soit dans le bon sens ou le mauvais.

Plonger dans un livre écrit par Monica McCarty, c’est partir en voyage dans le temps et dans l’espace. C’est une virée direction l’Ecosse au temps des Highlanders.
Et encre une fois, avec cette série rééditée chez J’ai lu, c’est pari plus que réussie.

Dans cet opus on fait la rencontre du clan McLeod, du chef de clan Rory, fort, fier, loyal et beau et de Isabel, fille du clan McDonald, ennemi juré des McLeod. Le roi a conclu avec eux un accord qui donne Isabel pour épouse à Rory pour un an afin de mettre fin à un conflit qui dure depuis trop longtemps. Sauf que, si tous les deux acceptent cet accord, c’est pour pouvoir tromper l’autre et le piéger pour vaincre le clan ennemi. Mais ça, c’était avant que l’amour s’en mêle.

J’ai adoré ! Comme toujours avec cette auteure, mais dans cette série j’ai trouvé la lecture plus fluide. A aucun moment je n’ai eu envie de m’arrêter alors qu’avec les Chevaliers Des Highlands - que j’adore - il y a toujours un moment où je fais une pause. Ici pas besoin, la lecture s’enchaine rapidement, les situations deviennent vite compliquées et on se demande comment cette histoire va pouvoir se terminer.

Rory est tout ce que j’aime chez ce genre de héros, le fier chef de clan, loyal, dur, protecteur et sexy. Et Isabel est une héroïne en quête d’elle-même, d’une place et qui joue parfaitement son double jeu en étant douce, mais révèle un caractère d’aventurière.

Tout est présent pour faire de cette histoire un plaisir à lire, l’Ecosse, les Highlands, les guerriers en Kilts, la tension sexuelle entre les deux héros et l’amour. Une romance qui mêle secret et passion, amour et honneur et où l’on n’imagine pas nos héros autrement qu’ensemble. C’est tendre et sexy, intense et poignant. Leur amour est touchant, voir Rory succomber, lui le chef de clan que rien n’atteint touché par une femme d’un clan ennemi, le sentir lutter contre le désir et l’amour a fait fondre mon cœur. Isabel, à un physique parfait mais la jeune femme n’est pas seulement un beau minois, elle est têtue et déterminée, elle est passionnée et leur rencontre va la révéler.

Monica McCarty est pour moi la reine des Highlands, avec elle on est directement projeté dans cette époque, tout est décrit avec précision sans en faire trop et on imagine parfaitement l’environnement dans lequel l’histoire évolue. Rien n’est laissé au hasard et c’est ce qui fait que ses histoires, en plus d’être addictifs, font réels.

En bref, un premier top parfait, une histoire prenante et sensuel, une œuvre remarquable de la romance historique au temps des Highlanders. Vivement le tome 2 !

J’attendais ce livre avec grande impatience, puisque la prison c’est un domaine qui me fascine. Je l’ai peut-être trop attendue, puisque ce fut une belle déception.

Tout commencait bien, enfin à peu près puisque Briar, qui se porte volontaire pour aller effectuer des heures au sein de l’infirmerie de la prison à l’air de tomber un peu des nues en se rendant compte de l’univers violent dans lequel elle va évoluer. Bon, je tolère, la réalité est souvent plus brutale que ce qu’on peut imaginer, mais le reste ne passe pas.

Notre chère Briar va faire la rencontre de Knox, incarcéré depuis huit ans il va faire un séjour à l’infirmerie suite à une bagarre et le charme opère directement entre l’infirmière et le beau prisonnier, brut, féroce et diablement dangereux.
Devil’s rock c’est le nom de la prison, et à part la rencontre de nos deux tourtereaux et l’évènement qui va créer leur lien, rien ne s’y passe. Je me sens un peu escroqué à ce niveau. L’univers même s’il est un peu décrit, qu’il sonne parfois juste, il n’est pas assez traité. On ne connait pas assez la détresse de Knox, l’endurance de ces années passées derrière les barreaux et le combat quotidien pour survivre dans le milieu carcéral. Bien sur l’auteur nous répète sans cesse que c’est une lutte quotidienne mais ce n’est pas suffisant pour former une image précise de ce qui s’y passe. Sans compter les préjugés, surtout venant de la part d’un détenu comme quoi ils sont tous coupable. Il est vrai que jamais au grand jamais la justice incarcère des innocents !
Ce qui se passe ensuite et juste une succession de réactions trop inapproprié qui m’a fait lever les yeux au ciel un nombre incalculable de fois.

Quand on passe huit ans en prison, on a beau être l’homme le plus fort du monde, vouloir se racheter et rentrer dans le droit chemin, on est traumatisé. Il a passé huit ans en enfer, il y a laissé son innocence et sa jeunesse, sa vie et il ne semble pas plus traumatisé que ça. Tout roule à peu près pour lui, il avance dans sa nouvelle vie et même les manques crées par l’enfermement sont effacés d’une tirade totalement inappropriée. L’auteur a voulue romancé à l’excès cette histoire et perd totalement en crédibilité à ce moment-là.

La romance…il ne se passe pas grand-chose à part du sexe, les dialogues quasi inexistant, l’attirance est réelle entre eux, elle est forte mais elle aurait pu être tellement plus intéressante si la psychologie des personnages avait été approfondie. Briar parait fragile et pure aux premiers abords et pourtant elle est aussi autre chose, elle n’est pas que son apparence. Et ce côté est survolé au profit du sexe. Quant à Knox il aurait pu être un héros torturé, il est simplement un peu trop parfait pour un homme qui a connue l’horreur de la prison. Même les raisons de son enfermement qui auraient pu le rendre intéressant ne sont pas méprisable.

Le point positif, je ne connaissais pas l’auteur, j’ai apprécié son style simple et agréable, c’est un discours à deux voix à la troisième personnes fluide mais malheureusement ça ne suffit pas pour apprécier cette romance. Tout est trop lisse, en surface et simple dans leur histoire. Même le petit passage qui a ressuscité durant quelques lignes mon intérêt sur un autre personnages, a vite dégonflé en voyant se profiler la suite des évènements.
Cette histoire m’a laissée relativement de marbre, à aucun moment je n’ai ressentie d’empathie pour l’un ou ‘l’autre des personnages, tout est trop lisse et plat pour réveiller mes émotions.

En bref, si vous voulez lire une romance sympa sans plus d’attentes, ce livre vous plaira, si vous attendez un univers carcéral, un traumatisme et une histoire puissante vous risquez d’être déçue.

La confrérie c’est ma série chouchoute, celle qui même si l’auteur a fait un peu n’importe quoi avec les derniers tomes reste dans mon cœur comme étant la meilleur série bit lit. Et dans ce tome, ENFIN on retrouve l’univers du début, celui qui m’a embarqué dans cette aventure.

Ce tome est consacré à Mary et Rhage, le couple chouchou, celui qui est parfait tellement ils se complètent tous les deux. Imaginer Rhage sans Mary c’est comme penser au soleil sans sa chaleur. C’est un couple fusionnel, qui s’accorde à la perfection parce que Rhage a les muscles, Mary a le mental et à eux deux ils font une équipe de choc qui surmontera tout.
Dans le tome 2 qui a vu leur histoire naitre, Mary avait gagné l’immortalité et la promesse de la Vierge Scribe de rejoindre son Hellren dans l’Estompe une fois celui-ci mort puisqu’elle ne pourrait jamais avoir d’enfant. Ce qui leur convenait à tous les deux, le principal étant qu’ils soient ensemble.
Sauf que les choses évoluent, le temps passe, les autres Frères fondent des familles et l’avenir amène son lot d’interrogation et de doute quant à l’héritage de ce couple.
Chacun de leur côté, ils vont se rendre compte du manque qu’ils ressentent de cette famille inexistante et tenter de cacher à l’autre ce besoin grandissant qui rendrait leur amour véritablement éternel.

Ce tome est juste géant ! C’est la Conf des débuts, c’est les Frères tous là, ensemble, c’est l’ambiance des premiers tomes où se mêlent amour et guerre, c’est la lutte d’un guerrier au grand cœur qui veut plus que le cœur de sa belle, il veut une famille.
Vraiment j’ai passé un moment plus qu’agréable en lisant ce tome, parce que l’auteur a su emmener ses personnages doucement vers leur but. Ils se révèlent petit à petit et rien n’est acquis. Ils avancent, trébuchent et la force de leur amour fait qu’ils se relèvent.
C’est drôle, parce que c’est Rhage, c’est sexy parce que c’est Rhage, c’est intense parce que c’est Rhage et c’est émouvant parce que c’est Rhage.

Comme dans tous les tomes, l’histoire tourne essentiellement sur ce couple mais pas seulement. Il y a tout l’envers du décor et toutes les intrigues liées à la Confrérie : les Eradiqueurs, les Batards et la Glymera. Les complots en perspectives et les futures intrigues qui se mettent en place. Certains personnages deviennent récurrents et d’autres arrivent. Certains affrontent leurs démons d’autres s’en créent et je n’ai qu’une hâte : lire la suite !

Ce tome est celui qui réconciliera les amoureux de la Confrérie qui se sont sentis biaisé par les derniers tomes qui sortaient du cadre. Il renoue avec les bases et apportent son lot d’émotions qu’on adore ressentir en lisant la Conf. J’ai ri, j’ai été embarqué par Asshaut, j’ai pleuré avec Zadiste, j’ai été émue au-delà des mots par Rhage et Mary et j’ai été conquise par cette histoire.

En bref, un tome à ne surtout pas manqué, un tome puissant, prenant, un réel coup de cœur !

Il y a trois choses que vous devez savoir sur ce livre :

1) Janie est un O.V.N.I
2) C’est un Cinquante Nuances de Grey sans le coté BDSM.
3) Il ne faut jamais sous-estimer le pouvoir d’une aiguille à tricoter.

C’est une lecture en demi-teinte sur ce premier tome de la série « Le Club Des Tricoteuses Anonymes ». J’ai eu quelques difficultés à rentrer dans l’histoire, le premier chapitre parfois drôle, mais surtout long, m’a fait me demander dans quoi je m’embarque et si tout le long de cette histoire j’aurais le droit aux élucubrations de l’héroïne.

Heureusement ça n’a pas duré. Enfin si, on a toujours droits aux discussions internes voir à voix hautes sur des trucs insignifiants mais à petite dose et c’est ce qui rend Janie si spéciale. Elle est intelligente, de cette intelligence de génie qui ne permet pas de voir l’évidence mais qui cherche plutôt ce que personne ne verra. Elle est drôle, timide et évidement belle mais elle ne le sait pas. Dans cette histoire on l’adore autant qu’on a envie de la secouer pour lui enlever ses œillères. C’est une héroïne à la fois atypique et finalement pas si différente dans ses peurs et ses doutes semblable au commun des mortels.

La romance m’a fait grincer des dents et c’est peut-être ce qui a cloché au final dans ce livre. J’ai eu l’impression de lire FSOG et j’ai trouvé ça dommage. Dommage, parce que leurs interactions sont sympas, Janie fait que chaque discussion est intéressante et drôle, mais leur relation avec Quinn…le coté millionnaire, au passé étrange, athlétique, qui a main mise sur tout et surtout sur la femme qu’il convoite ne m’a pas plu.

L’histoire en elle-même est plutôt sympa à lire, une fois qu’on a compris comment Janie fonctionne, on prend plaisir à la voir évoluer avec Quinn mais aussi avec son club de tricot. Ces femmes m’ont plus, chacune d’entre elle, même si on en apprend pas beaucoup à leurs sujets, leur amitié est touchante et laisse présager des tomes sympas.

En bref, une lecture sympa, qui ne m’a pas transporté mais qui peut valoir le coup pour Janie quand elle ne laisse pas son cerveau aux vestiaires.

L’histoire, l’auteur à un talent de conteuse hors pair, le style est parfait, il nous capte et nous transporte directement dans le récit, dans l’histoire de ces femmes et leurs quotidiens. Le blog de Stéphanie apporte sa touche d’originalité. Toutefois, j’ai attendue tout le long le truc que je n’aurais pas vue arriver, le petit déclic qui nous fait dire « what the fuck ! Je ne l’ai pas vu venir ça ! » qui n’est jamais arrivé. Alors en y réfléchissant c’est peut-être la force de ce thriller, c’est peut-être ce qui fait qu’il est bon parce qu’il arrive à nous faire tourner les pages, à nous happer et à nous tendre en attendant CE truc qui ne vient jamais. En le finissant, effectivement, je me suis dit « what the fuck ». C’est donc que le contrat est rempli ?

Je ne sais donc toujours pas où me positionner, ce qui doit faire de ce livre un bon livre, parce qu’il me turlupine quand même depuis une semaine. Je ne peux pas trop vous en révéler, l’histoire est mince, le résumé en dit assez pour vous faire une idée de l’ambiance qu’il dégage et qui vous attends si vous vous laissez tentez par ce thriller étrange, pas vraiment sombre, captivant par moment, et insipide à d’autres. Toutefois, je me laisserai tenter par les prochaines parutions de cet auteur, par curiosité, pour voir si je suis passée à côté de la subtilité de ce thriller.

En bref, une histoire à lire…probablement.

Quelle belle découverte ce premier tome de la série Cœur Itinérant !

J’ai passé un super moment avec Aimee et Kes. Leur histoire débute à l’enfance, on suit progressivement leur relation de l’amitié tendre de l’enfance, en passant par la passion de l’adolescence pour finir par la complexité de l’amour adulte.
Une relation tumultueuse où deux univers totalement différents s’entrechoquent. Kes passe sa vie à bouger, à créer des spectacles, à donner de la magie aux gens alors qu’Aimee est une amoureuse des livres, casanière qui vit des aventures dans les histoires qu’elle lit et deux semaines par an, quand Kes est là.

Ce livre est magique. Autant par son univers que par ses personnages qui nous accrochent, nous prennent avec eux et nous entrainent dans tous ces tourments sans jamais nous lâcher. Le monde de la fête foraine est bien présent, la vie de Kes nous est révélée à travers les yeux émerveillés d’Aimee et j’ai été comme elle, envoutée par cet univers enfantin et fantastique. Tout comme j’ai été intéressé par tout ce que cache la vitrine de ce que l’on voit à chaque fête foraine.

Kes est…unique. Cet homme est à la fois terrible et touchant. Il est un symbole de liberté, sauvage et colérique, tantôt tendre et sexy, fier et ténébreux. Aimee parait plus réservée, rêveuse et idéaliste, elle découvre avec Kes l’aventure, la vraie, celle qui la prend par les sentiments. Leur relation est forte, belle et sexy, ils se complètent et s’aiment avec déchirement.

Ce livre se lit si facilement qu’une fois commencé on ne peut pas décrocher. L’auteur nous entraine dans les tourments que ces deux personnages différents et pourtant essentiel à l’un à l’autre, s’imposent, avec conviction et simplicité. On vit avec eux ces deux semaines par an qui les unis et on découvre cet univers intense. On les voit grandir, s’affirmer, comprendre que l’amour même s’il est fort il ne suffit pas forcément.
Le milieu forain, la famille, les différents personnages qui gravitent autour d’eux viennent parfaire le tout. C’est un magnifique voyage dans les différences et ses acceptations, dans un amour intense et passionné qui ne perd jamais sa flamme. Kes et Aimee m’ont séduit par leur romance chaotique mais inévitable, par leurs caractères impétueux qui donne lieu à des moments drôles, comme des moments très hot. Un tome un parfait, malgré une fin abrupt qui fait crisser des dents et qui donne envie d’une chose : lire le tome 2 !

En bref, une histoire forte et intense dans un univers nouveau et magique dont les héros ne vous laisseront pas indifférents.

C’est mon premier livre de cette auteure et je ressors de ma lecture pas très convaincue.

Vic est un personnage attachant, il est celui que tout le monde ignore, celui qui existe seulement parce que son meilleur ami est populaire. Il est adorable pourtant, gentil et pleins de bonne volonté, il essaye tant bien que mal de se dépêtrer de ses problèmes d’ado en restant fidèle à ce qu’il est.

Mais voilà, un soir, une fête, une fille ivre qu’il va aider et tout dérape.

Cependant, les drapements, même si les épreuves sont difficiles, sont une bonne chose, ils permettent à Vic de comprendre un peu mieux ce qu’il se passe chez lui, dans son entourage, d’où il vient et de rencontrer LA fille, celle qui va voir plus loin que ce que tout le monde voit de lui.

Les sujets abordés sont bien traités, la famille, l’amitié, l’amour, tout est là pour faire un bon roman YA. J’ai aimé voir Vic évolué, le voir prendre confiance en lui et le voir se confronter à des choix pas toujours simple à cet âge là. La façon de l’auteur de prendre ce parti, celui de l’accusé à tort, celui qui est une victime collatérale d’un drame est bien mené. On est pris dans les méandres de Vic, dans ses doutes, ses interrogations, sa colère et tous ses sentiments qu’il exprime tout le long de l’histoire.

Mais ce qui m’a déplu dans ce livre, c’est la facilité avec laquelle on devine le fil de l’histoire dès les premières pages. J’a trouvé extrêmement dommage que l’intrigue ne soit pas un peu plus compliqué, même si ce livre est destiné à un public ado, je pense que c’est trop simple et que ça enlève une certaine forme d’envie de découvrir l’histoire plus profondément.

En bref, une roman plaisant à lire, au sujet original, mais qui ne se démarque pas par sa construction.

Petite découverte après avoir regardé une vidéo d’une booktubeuse et je ressort de ma lecture agréablement surprise.

Le sujet m’interpelle, ce n’est pas le premier livre sur une relation incestueuse que je lis et si j’aime découvrir ce genre de livre, c’est pour voir comment l’auteur va réussir à nous embarquer dans cette histoire et mettre à mal notre moral.

Paris gagné pour Erika Boyer, j’ai plus que succombé à l’amour que Will porte à Sarah, parce que même si l’inceste peut paraître malsain, ici c’est loin d’être le cas.

Will est amoureux de sa sœur, mais cet amour ne peux pas et ne doit pas dépasser sa tête et son cœur. Alors pour tenter d’oublier il part loin de Sarah et tire en quelque sorte un trait sur sa vie d’avant.

Will va tenter de s’adapter à sa nouvelle vie, ses nouveaux amis, son nouvel entourage, sa nouvelle ville mais quand on aime, les kilomètres ne valent rien. Quand on aime comme Will aime Sarah, je suis persuadée que même mort il pensera encore à elle. Will est amoureux et il l’est d’une force indescriptible.

Dans ce roman on est donc avec lui, à Bordeaux, dans sa nouvelle vie et on vit tellement bien ce qu’il ressent, ce qu’il tente de cacher, de tuer pour oublier sa sœur que s’en est bouleversant. Il parle avec son cœur, il nous montre la beauté de son amour qui n’a rien de sale ou d’immoral. On veut que Will soit heureux, on veut le voir autrement que triste, errant l’âme en peine dans Bordeaux à la recherche de tous les moyens possibles pour s’en sortir.

Ce roman est puissant par l’amour qu’il dégage, par ce sentiment qui se fout de l’ADN de la personne sur qui il se jette, et par toutes les étapes qu’aborde Will. Il se remet sans cesse en question, il doute, il a peur, il est en colère et triste et il tente tant bien que mal de survivre.



J’ai adoré ce roman, il a tout pour plaire, une belle histoire, une fin qu’on attend mais qu’on redoute à la fois et une plume superbe qui mérite amplement d’être découverte. L’auteure nous décrit aussi bien les sentiments que les lieux, j’ai voyagé à Bordeaux comme dans le cœur de Will et je ne regrette pas une minute de lecture. Je ne peux que vous conseillez cette histoire hors du commun, qui même si le sujet est sensible est tellement bien écrite qu’on ne peut que succomber à cet amour.

Charlie est en terminal et n’a qu’un objectif dans la vie qui lui prend tout son temps et son énergie, intégré le MIT. C’est un geek amoureux des sciences et obnubilés par les maths jusqu'à sa rencontre avec Charlotte. Cette dernière va chambouler sa vie, celle de sa sœur jusque-là aussi asocial que lui, et son mode de fonctionnement.

J’ai beaucoup aimé ce livre. Pour une fois qu’on a le droit au point de vue du garçon et pour une fois c’est vraiment bien fait. Charlie est attachant, c’est un handicapé des sentiments, un qui vit dans son monde et la façon dont il voit les choses nous est relatée d’une façon qu’on ne peut qu’aimer. C’est drôle, tendre, triste aussi mais jamais glauque. Le sujet aurait pu rendre ce roman assez lourd mais l’auteur a su manier les évènements et les sentiments des deux héros de sortes que même le tragique ne soit pas mièvre.

Tout est réunie pour en faire un YA de qualité : le premier amour, l’amitié, les doutes sur l’avenir et les conflits familiaux. Charlie et Charlotte sont différents, totalement et pourtant l’alchimie entre eux est indéniable. Malgré le secret de Charlotte qui n’épargnera personne, avec elle il va découvrir que la vie peut être faite de moment présent et d’insouciances. Quant à Charlotte, elle va enfin se sentir aimer pour ce qu’elle est réellement et pas seulement ce que tout le monde voit en elle.

Le style est simple, même quand la science est abordée tout est accessible et glisse parfaitement dans notre tête. C’est une immersion total dans le monde de Charlie, au sein de son groupe d’amis tout aussi geek que lui, dans sa classe, dans sa maison et avec Charlotte. Les pages se tournent rapidement de la première à la dernière, il n’y a aucun temps mort dans ce livre, tout s’enchaine et nous prends en haleine jusqu’au bout.

Une belle histoire d’amour, tendre et juste, avec ce qu’il faut d’humour dans les pensées de Charlie. Personnage qui mérite d’être connue tout comme sa sœur. Becca est l’accro aux ivres, celle qui s’enferme des heures un livre à la main et qui n’a pas d’amis. J’aimerais beaucoup une suite avec Becca pour personnage principal.

En bref j’ai passé un super moment en compagnie de Charlotte et Charlie, de leur histoire drôle, touchante et émouvante.

Ty et Zane ou LA série avec laquelle on me bassine depuis…trop longtemps. Je me suis donc lancée dans ce tome avec des avis plus que positif, même si on m’a prévenue que ce tome ne serait pas le meilleur. Je ne regrette pas. Effectivement, on est loin du coup de cœur pour plusieurs raisons, mais les personnages valent largement les petits désagréments du récit.

Ty et Zane sont donc deux agents du FBI qui aux premiers abords n’ont rien en commun à part leur poste, et qui deviennent du jour au lendemain coéquipier sur une affaire de tueur en séries plus qu’étrange.

Les deux hommes ne se supportent pas et leurs prises de bec récurrentes sont un régal à lire. Ils ont du répondant et sont mystérieux à souhait, si bien que je ne saurais même pas dire lequel des deux j’ai préféré. Ils sont géniaux, ils forment un tout indissociable et on imagine mal Ty sans Zane et vice versa. Ces personnages sont la force de ce livre, sans eux, sans ce coté psychologique incroyablement traité en profondeur, on tomberait dans une romance sans grand intérêt. Ils font l’histoire et la font bien. Ils sont durs et tendres, forts et faibles d’une certaine façon, drôles et intelligents. Chacun va apprendre à connaître l’autre au fil de l’enquête qui devient de plus en plus compliquée et découvrir qu’au fond, ils ne sont pas si indifférent l’un à l’autre.
J’ai vraiment aimé leur relation qui s’installe doucement, sous forme en premier lieu de pugilat, pour devenir ensuite une belle romance qu’ils tentent de fuir ou de cacher mais qui les rattrape quoi qu’ils fassent.

Le coté policier maintenant. L’intrigue est sacrément bien ficelée pour une romance. On se sent happé dans ce milieu, celui du FBI autant que si on regardait une série à la télé. L’affaire n’a rien de simple, on ne se contente pas d’un tueur qui sème des indices et vers qui nos deux agents se dirigent. C’est plus compliqué que ça, c’est plus vicieux et carrément plus jouissif à lire, même si - et voici mon premier bémol - on devine rapidement le tueur.

L’écriture quant à elle s’est fait en deux temps pour moi. En premier, je n’ai pas vraiment adhéré et j’ai manqué d’arrêter plusieurs fois, si il n’y avait pas eu ces personnages qui m’intriguaient. C’est mon deuxième bémol, la lourdeur du récit dans la première partie du livre. Les dialogues - dont le livre regorge - sont pesant, des incises à rallonges qui rendent le récit trop lourd et fatiguant à décortiquer. J’ai vraiment peiné dans la première partie et ensuite tout s’est comme envolé. J’ignore si c’est du à l’histoire qui prenait un autre tournant et qui m’empêchait de trop y prêter attention, ou le fait qu’il y a deux auteurs dans ce livre et que la seconde a pris le relais. Toujours est–il que je n’ai plus remarqué cette fâcheuse tendance à mettre des : « comme il allait à la porte » et autres rallonges, à tous les dialogues et j’ai beaucoup plus apprécié ma lecture.

En conclusion, un livre assez étrange au début par sa construction, mais qui garce à ses personnages complexes et a son intrigue policière mérite largement d’être lu.

Elijah, dix neuf ans qui en a marre de vivre une vie qu’il n’a pas envie et dans laquelle il ne trouve aucun plaisir, décide de prendre la route à bord d’un vieux pick-up pour l’été. Son besoin d’évasion le mène au Nebraska, où il tombe en panne dans une petite ville plus riquiqui que mon petit doigt. Ne voulant pas faire appel à ses parents qui le feraient retourner à cette vie vide de sens et par chance, il trouve du travail chez Chase. De là, va commencer la vraie vie pour ce jeune homme.

C’est une magnifique histoire, qui m’a émue, touchée, fait rêver, pleurer et attendrie. Ils sont aux premiers abords tellement différent qu’on se demande comment deux êtres que tout oppose à ce point peuvent au minimum cohabiter. Mais Elijah, se révèle dans la vie à la ferme, il apprend, il grandit, il se sent lui en tant qu’homme et pas un enfant dépendant de ses parents. Lui qui avait pris la route pour se trouver, c’est finalement avec Chase, dans sa ferme, au contact de la nature et de rien d‘autre qu’il va comprendre ce qu’il attend de la vie. Mais Chase est un homme blessé, bourru qui lui, après avoir trouver son chemin l’a perdu et ses réactions peuvent être très dur vis à vis d’Elijah, qui malgré tout persiste et lui prouve son courage chaque jour.

L’histoire est en huis clos quasiment durant tout le livre, avec pour décor la ferme perdue du Nebraska et ses chevaux. On vit avec Elijah chaque jour qu’il y passe à son travail et on est entièrement immergé dans ce mode de vie. C’est très bien décrit et à aucun moment on s’ennuie alors que pourtant, le travail est assez redondant. Et ça grâce à Chase. Chase c’est mon chouchou dans cette histoire, derrière ses airs d’homme blessé, de cow-boy au cœur dur il laisse parfois parler ses désirs et c’est magnifique de voir cet homme se battre avec ce qu’il ressent et avec son passé qui le hante encore. L’envie d’avancer, de succomber viennent se heurter à la culpabilité et le rendent touchant.

Le style est parfait, fluide, prenant, elle a un réel talent pour faire passer le temps en quelques lignes et qu’on ait l’impression d‘avoir vécue chaque minutes de la vie des héros.
J’ai vraiment beaucoup aimé ce livre, cette histoire douce et poignante où la simplicité de la vie devient le bonheur.

Book Trailer ici : https://www.youtube.com/watch?v=atvkLdDzI90

J'ai beaucoup aimé l'univers rodéo, cow boy, l'ambiance qui règne dans ce monde et les persos secondaires dont jai hate de lire le tome notamment Gemma et Cash et Trevor et Edgar. Par contre, en ce qui concerne Chaning et Colby je n'ai rien ressenti. Leur histoire m'a laissé de marbre (oui même le sexe, c'est dire !) il n'y a au final rien qui les sépare et si pour une fois l'héroine ne m'a pas agacé, son coté petite fille riche qui cherche le frisson ne me touche pas. Donc, lecture sympa, agréable, bien pour l'univers mais ce couple ne restera surement pas dans ma mémoire. A voir avec les prochains tomes qui j'espère seront plus intéressant à ce niveau.

Très belle romance, toute en douceur avec ce qu'il faut de chamboulement dans la vie de notre héroine pour la rendre addictive. J'ai adoré le style, on est parfaitement plongé dans l'histoire, les lieux, les différents personnages et leur interactions. Bref un très bon moment de lecture que j'ai apprécié autant pour sa romance que pour le chemin effectué par Julie. A lire !