Commentaires de livres faits par Marisca
Extraits de livres par Marisca
Commentaires de livres appréciés par Marisca
Extraits de livres appréciés par Marisca
— Au contraire, déclara-t-il en s’efforçant d’avoir l’air malheureux. Je suis en deuil d’un mariage.
— Oh, parce qu’il est trop tard ? demandai-je.
— Non, Wendy, il n’est jamais trop tard.
Son ton était léger, mais son regard solennel.
— Puis-je ? demanda notre témoin de mariage.
— Non, vous ne pouvez pas, rétorqua Loki.
J’allais m’écarter de lui, mais il me retint avec force.
— Loki, dis-je.
Mes yeux s’agrandirent.
— Je danse avec elle, dit Loki en se tournant vers le témoin. Vous l’aurez quand j’aurai fini.
— Loki, dis-je à nouveau.
Mais il m’avait déjà entraînée en virevoltant.
— Tu ne peux pas faire ça.
— Je viens de le faire, pourtant.
Il sourit.
— Oh, Wendy, n’aie pas l’air si horrifiée. Je suis déjà le prince insoumis de ton ennemi, je ne peux guère en faire plus pour ternir mon image.
— Tu peux parfaitement ternir la mienne, lui fis-je remarquer.
— Jamais, dit-il.
C’était à Loki d’avoir l’air horrifié.
— Je leur montre à peine comment faire.
Il se mit à me faire virevolter en grands cercles sur la piste de danse, ma robe tourbillonnant autour de moi. Il était un brillant danseur, bougeant avec grâce et rapidité. Tous s’étaient arrêtés pour nous regarder, mais ça m’était égal. N’était-ce pas ainsi qu’une princesse était censée danser le jour de son mariage ?
La musique cessa pour passer à un morceau de Mozart et Loki ralentit jusqu’à presque s’immobiliser, mais sans me lâcher.
— Merci.
Je souris. J’avais le visage enfiévré. En reprenant mon souffle, j’ajoutai :
— Ce fut une merveilleuse danse."
- C'est si bon de te rencontrer, dit-elle en lui prenant la main.
- C'est réciproque, répondit Luce avec un regard de biais vers Arriane.
-Vous participez à la visite de M.Cole, les filles? demanda Luce à Arriane, qui fixait sa soeur comme si elle était folle.
Annabelle ouvrit la bouche, mais Arriane s'empressa d'intervenir :
- Pas question ! Ces activités, c'est vraiment pour les nazes! (elle regarda les parents de Luce.) Enfin, je ne parle pas de vous, bien sûr...
- On aura peut être l'occasion de se revoir plus tard! lança Annabelle, résignée, à Luce avant qu'Arriane l'entraîne au loin.
- Elles ont l'ai gentilles, commenta Doreen de sa voix inquisitrice indiquant qu'elle attendait des explications.
- Euh, pourquoi cette fille t'apprécie à ce point? demanda Penn.
Luce la dévisagea, puis se tourna vers ses parents.Devait-elle vraiment justifier, en leur présence, le fait que quelqu'un l'appréciait?
- J'espère qu'on gravera ces mots sur ma tombe.
Il réprima une plainte quand elle se pencha de nouveau et tout à coup, elle s'aperçut qu'elle était assise à califourchon sur lui, dans une position très intime.
- Je... je te fais mal?
Il déglutit péniblement.
-Essaie une autre iratze.
- D'accord, agrippe la poignée.
-Quelle poignée?
- Là, au dessus de la vitre ! C'est pour se cramponner dans les virages.
- Tu es sûre? J'ai toujours cru que c'était pour suspendre les fringues du pressing.
- Julian, ce n'est pas le moment de plaisanter. Agrippe cette poignée!
- D'accord ! fit-il en joignant le geste à la parole. Je suis prêt.
Les doigts de Kieran se refermèrent dessus.
- Les étoiles s'éteindront avant que je t'oublie, Mark Blackthorn.
Il est tout à fait normal qu'elle veuille affirmer son indépendance. Indéniablement. Elle aura treize ans dans l'année qui vient, après tout.
Mais malgré moi, d'une certaine manière, j'ai l'impression d'avoir perdu mes deux sœurs.
Sur les joues de Maura, des larmes coulent.
" Je ne voulais pas...
- Tu aurais pu me tuer, souffle Tess, hagarde. Je ne sais pas nager. Ne me dis pas que tu l'as oublié."
- Nous ne sommes pas des âmes sœurs, Toby. Tu ne peux pas voler les secrets de quelqu'un pour le forcer ensuite à devenir ton âme sœur. >>