http://encore-un-manga.com/2020/03/chainsaw-man-t01-tatsuki-fujimoto.html

Chainsaw man signe le grand retour de Tatsuki Fujimoto, c'est un euphémisme de dire que la saga est très attendue du public français. N'ayant pas lu Fire punch, ce fut une totale découverte du style du mangaka. Le constat est sans appel, c'est une réussite !

Les premières pages donnent le ton, Denji est un jeune homme qui peine à joindre les deux bouts, son job de Devil Hunter lui permet d'avoir de l'argent facile, mais ses dettes colossales l'entraînent dans une situation inconfortable. Denji est un héros déjanté que j'ai adoré suivre dans ce premier opus explosif. Je me suis totalement prise au jeu, les graphismes sont agressifs, chaque page apporte son lot de surprise et le lecteur ne peut clairement pas anticiper l'évolution de l'histoire.

Violence, scènes de combats explosives, humour et séduction sont au rendez-vous. Un mélange détonnant, n'est-ce pas ? C'est très certainement ce qui fait l'originalité du scénario. Les personnages sont complètement barrés. Denji est un homme simple, ses rêves le sont tout autant. Qui n'aimerait pas manger une bonne tartine de confiture tout en se délectant d'un décolleté bien fourni ? Denji est un personnage qui arrive à séduire le lecteur, pour plusieurs raisons, il excelle dans son job de Devil Hunter et sa fusion avec Pochita son fidèle compagnon en fait un sur-homme dangereux.

Niveau graphisme, on en prend plein les yeux. Il y a une réelle différence entre les scènes du quotidien et les combats où Denji se transforme. Il n'en reste pas moins humain la plupart du temps... Quand une organisation de Devil Hunter souhaite le recruter, Denji n'y voit que les avantages... Saura-t-il déjouer les pièges qui se dresseront sur son chemin ? Le style du mangaka ne manque pas d'audace. C'est violent et déjanté. Le rythme est vraiment équilibré, on découvre l'univers page après page, avec une furieuse envie de découvrir la suite.

C'était réellement une nouveauté pour moi que de lire ce genre de manga. Je ne pensais pas être aussi réceptive à une telle histoire, et pourtant le mangaka a réussi à me surprendre. Le scénario n'est pas dénué de réflexion et c'est ce qui apporte de la profondeur à l'histoire. Il ne s'agit pas que d'une succession de scènes gores. Tatsuki Fujimoto nous donne une intrigue qui met en relief les rêves de notre héros.

En bref, un premier opus efficace, qui donne le ton et qui nous permet de faire connaissance avec des personnages totalement barrés. Le coup de crayon du mangaka est percutant, les graphismes nous en mettent plein la vue. L'intrigue est prenante et l'humour apporte un côté léger et décalé qui m'a bien plu. J'ai hâte de découvrir la suite des aventures de Denji.

http://www.lmedml.fr/2020/03/10/scrap-metal-1-mis-a-la-casse-jana-rouze/

2 ans… 2 ans que j’attendais le grand retour de Jana Rouze sur la scène littéraire. Après le phénomène Effet de vague, l’autrice nous revient avec une nouvelle trilogie coup de poing. Vous n’êtes pas prêts pour Scrap metal. Je n’étais pas prête, personne ne peut l’être ! Avec Scrap metal, Jana Rouze renouvelle l’exploit de nous offrir du divertissement et du sensationnel. Cette trilogie est bien une fiction, mais elle est basée sur des faits réels. Pensez-y quand vous jugerez l’oeuvre que vous allez lire !

Ecrire cette chronique est un exercice difficile, mon avis est personnel, c’est un fait mais je souhaite rendre hommage à l’excellence de ce premier opus. Des mois de recherches, d’écriture et de dévotion pour les causes défendues dans le récit. Jana Rouze ne se satisfait que du travail bien fait, ici le mélange de fiction et de réalité est ahurissant. L’histoire se dévoile page après page, on encaisse, on ressent, on se laisse sombrer dans cet univers troublant et dérangeant par moment. Il n’y a pas une seule page de trop ! A celles et ceux qui appréhendent les 720 pages, rassurez-vous, chaque page apporte son lot de surprise avec des rebondissements intelligents et inattendus.

En débutant ce roman, j’étais dans un état d’esprit serein parce que je connais Jana Rouze. Je sais qu’elle se donne corps et âme pour les histoires qu’elle transmet à ses lecteurs. Avec ce nouveau romantic suspense, ce thriller de haut vol, elle va loin, le vice est poussé à son paroxysme, le scénario est implacable, les personnages indéfinissables. Nous pauvres wogs, on se retrouve aux prises avec nos propres certitudes, avec nos croyances mises à mal. On ne se rend pas compte de ce qu’il se passe dans le monde, gardant nos œillères bien en place.

Elle met en lumière l’univers des sectateurs, elle ne nous lâche pas dans le vide sans filet de sécurité, Jana Rouze nous tient la main tout au long du récit, nous expliquant en profondeur les tenants et les aboutissants de son histoire. C’est une histoire très riche qui vous apprendra une foule de choses. Le côté faits réels est saisissant, je n’ai que très rarement ressenti autant d’émotions en lisant un roman. Les personnages sont singuliers, ils ont tous leur importance et un rôle déterminant pour faire avancer l’histoire et pour illustrer un thème particulier.

Ce premier opus n’est que les prémices d’une machiavélique. N’essayez pas de deviner, Jana Rouze est implacable. Vous pensez savoir où vous mettez les pieds ? Détrompez-vous, vous n’avez jamais rien lu de comparable ! Vous avez lu des romans qui abordent le thème des sectateurs ? Scrap metal n’a rien à voir ! Cette histoire est un ovni, elle propulse le lecteur dans l’univers de la F1. Le décor est planté et il n’est pas là pour faire beau. L’autrice a exploité le monde de la F1 avec intelligence, rendant l’ensemble divertissant et addictif. C’est une immersion totale.

L’écriture de Jana Rouze s’est affûtée, son intrigue est une toile d’araignée qui se referme pour emprisonner le lecteur. J’ai lu chaque mot avec une lenteur démesurée, contenant mon excitation et mon envie d’arriver à la fin pour mieux savourer Sauvage et Hope. La double narration est un réel plaisir même si les chapitres du point de vue de Sauvage sont moins nombreux. Jana a fait en sorte d’alléger cette frustration qui naît en nous par moment. La construction de l’histoire ne laisse rien au hasard, tout est calculé, calibré à la perfection.

Il serait temps que je vous parle d’eux, non ? De Hope et de Sauvage. Et bien je n’ai pas spécialement envie de m’arrêter sur les personnages. Pas par désintérêt, mon Dieu, non ! Mais surtout parce qu’il est primordial que vous les découvriez à travers les pages de ce premier tome. Tout ce que je peux vous dire, c’est que vous n’avez jamais eu affaire à un héros comme Sauvage. JAMAIS ! Sauvage est un héros inclassable. Un concentré de complexité et d’ascendant psychologique qui vous donnera la tête qui tourne. Tout en lui est perturbant, le moins aspect de sa personnalité s’appuie sur son histoire familiale et sa captivité dans sa secte. Sur ce qu’il a dû vivre, la façon dont il a été conditionné. Hope est cette nana qui a cette force suffisante pour tenir tête à la bête. C’est une héroïne accessible, humaine et naturelle. Les personnages secondaires sont déroutants, hyper intéressants et indispensables au cheminement de l’histoire. Vous allez avoir envie d’analyser chaque interactions entre nos protagonistes, pour ne louper aucun indices quant à l’intrigue. Les personnages sont insondables, difficile à cerner. Vous aurez l’impression d’avoir saisi les motivations de chacun, mais… il n’en est rien. Jana est vicieuse et sème le trouble à chaque page.

Cette lecture est électrisante, la plume de Jana Rouze est riche, elle su conserver cette fluidité tout en nous offrant un contenu complexe et poussé à l’extrême. Elle est allé très loin psychologiquement. Vous allez forcément vous sentir désorientés, pour mieux retrouver votre chemin. Mais si tout ce que vous pensiez n’était qu’une leurre ? Hum, Jana est douée pour brouiller les pistes, pour faire naître des émotions violentes et troublantes. Ce récit a un contexte historique captivant, j’ai été vraiment subjuguée par la façon dont sont traités les sujets. La fiction est excellente, rien n’est laissé au hasard, la romance est une véritable éruption volcanique. Vous n’êtes pas prêts, je ne cesse de le répéter. L’histoire a un côté érotique singulier, grisant et sensuel. JAMAIS. Jamais vous n’avez lu une telle audace ! Jana est diabolique ! Ici on parle de qualité plutôt que de quantité. La plume de l’autrice se veut poétique, elle excite et agace les sens. Elle fait monter la pression jusqu’à l’explosion.

Les sentiments sont à vif. Nos héros s’affrontent dans une danse hypnotique. On peine à garder le contrôle sur nos émotions. La romance s’intègre à cette intrigue à suspense. Il ne s’agit évidemment pas d’une histoire d’amour lambda, rien n’est conventionnel. On s’adapte à l’intégration des sectateurs, à leur coutume et leur manière de vivre. Avec cette romance, Jana Rouze met en avant la condition des femmes, le fait que les enfants n’aient pas d’acte de naissance. Qu’aux yeux du monde, ils n’existent pas ! J’ai frissonné du début à la fin, les pages recèlent une richesse insoupçonnée. Les descriptions sont à couper le souffle, de Miami à Vancouver en passant par Abu Dhabi, vous allez voyager avec nos héros. Vibrer sur les circuits de F1. Découvrir l’envers du décor !

J’ai trouvé ce premier opus enivrant, j’aime être stimulé psychologiquement et apprendre des choses. Ce roman est concentré d’action, de suspense, de sensations fortes et tout repose sur des faits réels. L’ensemble forme un tout, on se laisse porter par la plume efficace de l’autrice, par sa capacité à nous émouvoir, à nous transporter dans un univers singulier et percutant.

En bref, avec Scrap metal, Jana Rouze nous offre une histoire forte, addictive et indéfinissable. Ce premier opus est intense, le récit est percutant et audacieux, les personnages sont singuliers et charismatiques. Les thématiques abordées sont exploitées en profondeur et se fondent dans une intrigue à suspense intelligente au cheminement imprévisible. Il n’y a pas une page de trop dans cet opus. 720 pages d’adrénaline pure ! Un rythme et une écriture implacable. Jana Rouze ne laisse rien au hasard et défend des causes réelles et inédites. Scrap metal va faire couler de l’encre, achetez-le ! Lisez-le ! Parlez-en autour de vous ! Sauvage et Hope n’attendent que vous !

J'ai tout de suite remarqué cette parution grâce à sa couverture élégante. Ce premier opus nous plonge dans un récit plein de richesses avec une mise en scène soignée et entraînante.

Dès la première page, j'ai été séduite par les illustrations, elles sont magnifiques, très détaillées et nous dépeignent un univers chatoyant et plein de surprises. C'est le début d'une grande aventure. Lisa est une jeune fille qui rêve de voyager, elle souhaite découvrir le monde et sa rencontre avec Olha va lui en donner l'opportunité. En effet, la sœur d'Olha se trouve toujours à Qirim. Lisa ne peut laisser passer cette chance et propose son aide à Olha.

Ce qui m'a marqué d'entrée de jeu, c'est l'aspect historique du récit. L'histoire est complexe et riche en dialogue. On fait connaissance avec nos héroïnes mais aussi avec plusieurs personnages secondaires qui ont leur importance. On saisit très vite les tenants et les aboutissants de ce premier opus. Lisa est déterminée, elle va faire tout son possible pour aider sa nouvelle amie.

J'ai été envoûtée par l'univers, tout est si beau, les décors sont finement détaillés, les personnages sont intéressants et captivants. On se retrouve littéralement en plein cœur de Ferrare. L'intrigue est très addictive, il y a ce je ne sais quoi qui fait que l'on tourne les pages pour en savoir plus. Le cheminement de l'histoire a un rythme assez soutenu, on enchaîne les rebondissements tout en apprenant toute l'histoire de l'Italie du XVe siècle. L'époque est authentique, on ne peut qu'être sous le charme. J'ai particulièrement aimé l'ambiance générale qui nous propose toutes sortes de merveilles. Qu'elles soient culturelles ou humaines.

Ce premier opus introduit la grande aventure que Lisa et Olha vont vivre, j'ai aimé que l'on ne parte pas de suite dans ce voyage, nos héroïnes doivent préparer leur départ, avec discernement et intelligence. Aucune précipitation, ce qui rend l'histoire très intense et agréable à découvrir.

En bref, un premier opus qui pose les bases d'une saga riche et divertissante. Les illustrations sont élégantes et pleines de détails. J'ai été charmée par l'aspect graphique mais aussi par la richesse de l'histoire. Le côté historique est important et il fait partie intégrante de l'intrigue, ce qui rend la lecture plus complexe. Je ressors vraiment ravie de cette lecture, j'ai hâte de poursuivre l'aventure aux côtés de Lisa et Olha.

Fleur Hana nous revient avec un tout nouveau genre, l’urban fantasy ! J’aime de plus en plus ce genre qui me procure des sensations fortes. J’aime le côté fiction avec les créatures venues d’un autre monde, l’action et le suspense qui découlent de l’intrigue. Ici, Fleur Hana a fait fort avec ce premier opus.

Eliza Knox n’est pas là pour vous ménager, bien au contraire. Cette faucheuse d’âme désabusée va vous en faire voir de toutes les couleurs. Elle excelle dans son domaine, heureusement me direz-vous, après trois siècles à faucher des âmes, elle maîtrise plutôt bien son job. Sauf que voilà, rien ne va se passer comme elle l’avait prévu. Elle se retrouve avec un stagiaire aussi timbré qu’elle et un nouveau statut d’ambassadrice dont elle se serait bien passé. Comment va-t-elle pouvoir gérer tous ses changements sans perdre totalement sa santé mentale ? Santé mentale qui n’est plus tout à fait intacte dès le départ ^^ Avouez que cela s’annonce mal.

Ce premier opus est un concentré d’action, d’humour avec une bonne dose de suspense et d’adrénaline. Fleur Hana nous démontre une fois de plus qu’elle peut s’adapter à différents genres, à différents univers tout en conservant ce qui caractérise sa plume. Son écriture est audacieuse, indécente par moment et vraiment percutante.

Eliza Knox est l’héroïne badass par excellence avec ce petit pète au casque qui la rend unique. Parce qu’Eliza est ce genre de nana qui ravage tout sur son passage, elle est efficace dans son job, totalement borderline. Elle est franche et n’a pas sa langue dans sa poche. Pourquoi s’encombrer de la bienséance quand on doit faire régner la paix et maintenir l’équilibre cosmique dans un monde qui se casse clairement la gueule. Ajoutez à cela un stagiaire casse-pieds et un ange chiant à se damner et vous obtenez une fine équipe qui ne manquera pas de vous divertir.

J’ai pris beaucoup de plaisir à lire ce roman, Fleur Hana nous offre beaucoup de suspense, le rythme est infernal et on ne voit pas les pages défiler. L’univers est vraiment original car l’autrice s’est appuyé sur une mythologie que l’on connait tous dans les grandes lignes pour nous offrir une version haute en couleur. J’adore le mélange détonnant d’action et d’humour, cela nous offre des scènes vraiment drôles dans un contexte apocalyptique. Je trouve que l’autrice a réussi son pari avec ce premier opus qui s’avère excellent.

En débutant le roman, j’avais déjà ce petit sourire aux lèvres, les premières lignes donnent le ton et nous entraînent dans un récit des plus captivant. Les pages défilent avec un rythme soutenu, les bases de la saga sont posées et je vous avoue que j’ai aimé que l’on ne prenne pas trop d’informations d’un coup. Il y a un réel équilibre dans les dialogues, la narration et les descriptions qui tombent au bon moment. Les personnages sont vraiment singuliers, avec des personnalités assez surprenantes. Que voulez-vous, Fleur Hana aime nous créer des héros avec un tempérament de feu, et cela fonctionne. On s’attache facilement à eux, on ressent une certaine proximité en évoluant à leurs côtés.

En bref, un premier opus qui déménage. Fleur Hana nous embarque dans une aventure palpitante menée d’une main de maître. Elle met en scène des personnages vraiment borderline, et j’adore ce grain de folie qui caractérise tant les récits de Fleur. Ici, action, humour et rebondissements en tout genre vous attendent au fil des pages. Si vous aimez l’urban fantasy, ce récit est indéniablement fait pour vous !

http://encore-un-manga.com/2020/03/la-petite-faiseuse-de-livres-t02-miya-kazuki-suzuka-you-shiina.html

On retrouve Maïn, plus déterminée que jamais. Malgré les obstacles qui se dressent sur son passage, elle ne baisse pas les bras. Notre petite héroïne a de la suite dans les idées et elle va les mettre en application pour fabriquer elle-même un support où elle pourra écrire.

Maïn a du caractère mais elle doit composer avec son corps fragile et ses maigres possibilités. Dans ce second tome, elle va aller de galère en galère tout en gardant le moral. Rien ne décourage Maïn, j'adore son personnage. Cette accro à la lecture réincarnée dans un corps fluet et dans un monde qui est un véritable enfer pour elle. Un monde sans livres... Un monde dénué de sens !

Ce second tome est tout aussi bien que le premier. Maïn épate son entourage de son savoir et se dépasse pour mener à bien ses projets. Les rebondissements sont tantôt cocasses, tantôt touchants. L'univers est sublimé par des dessins magnifiques aux détails soignés. En grande amoureuse des livres, je comprends totalement la dévotion de Maïn pour les livres. L'intrigue nous offre aussi beaucoup de réflexion. Maïn est une visionnaire et elle guide son entourage vers un monde de savoir, que ce soit en terme d'éducation et d'alphabétisation ou bien par rapport à tout ce qui touche aux travaux manuels.

J'ai bien aimé le rythme de cette suite, on suit Maïn et sa famille, saison après saison... Le temps passe assez vite mais on ne ressent aucun manque car tout est cohérent. Je m'attache de plus en plus à tous les personnages qui ont des personnalités bien distinctes. Maïn se heurte souvent à l'incompréhension de sa famille, on la sous-estime et elle doit redoubler d'effort pour démontrer ses capacités.

En bref, un second opus qui m'a énormément plu. Je suis vraiment fan de l'univers, des dessins et des personnages. On évolue avec facilité aux côtés de Maïn, cette héroïne drôle et touchante. Préparez-vous aux multiples rebondissements, vous allez découvrir une Maïn déterminée qui prend de plus en plus ses marques. J'ai hâte de poursuivre cette série qui ne cesse de me séduire.

http://encore-un-manga.com/2020/03/drifting-dragons-t01-taku-kuwabara.html

En découvrant la couverture et le résumé de cette nouvelle saga, j'ai de suite eu envie de me plonger dans cet univers... Je n'avais pas spécialement d'attente vis à vis de cette lecture, mais je vous avoue que je ne m'attendais pas au contenu de ce premier tome.

Mon avis est un peu mitigé mais pas suffisamment pour me stopper net dans la lecture de cette série. Je découvrirai donc la suite pour me faire un avis plus tranché. En ce qui concerne ce début, j'ai été surprise à différents niveaux. Il faut savoir que j'aime énormément les dragons, ces créatures mythologiques majestueuses. J'ai eu du mal à m'y retrouver avec ceux de Drifting dragons. J'ai trouvé la représentation de ceux-ci originale et en même temps très perturbante. Vous allez donc découvrir des dragons "rares" ayant des formes particulières. Cela dénote une envie de s'émanciper de ce que l'on peut s'imaginer quand on pense aux dragons tels que nous les connaissons. Cela m'a perturbée mais ce n'est pas le point qui m'a "dérangé" dans l'histoire.

Dès la première page, on est propulsé sur Quin Zaza, l'un des rares dirigeables dragonniers encore en activité. L'ambiance est haletante, nos personnages s'activent dans tous les sens avec pour seul objectif de pourchasser des dragons rares pour de multiples raisons... Pour leur viande, leur huile, leurs organes et parfois pour la prime offerte. C'est à ce moment-là que je me suis interrogé sur les tenants et les aboutissants de cette histoire. Va-t-il y avoir une quelconque morale ? Ou est-ce uniquement le quotidien d'un équipage risquant sa vie chasse après chasse ? Nous n'avons pas réellement de réponse en terminant cet opus.

Si j'ai lu ce premier tome avec facilité et intérêt, cette lecture a quand même eu un goût amer. J'ai eu du mal à m'attacher à l'équipage, Mika m'a insupporté, heureusement j'ai vraiment aimé Takita et Vana qui ont une vision de leur mission moins dénuée d'émotion.

Takita est un personnage central, nouvelle recrue à bord du Quin Zaza, elle va devoir se faire sa place dans un univers masculin et apprendre les ficelles du métier. Elle se retrouve au cœur de l'action et devra faire face à des dangers de taille. Comme elle, on découvre la vie à bord du dirigeable, on tâtonne dans cet univers fantastique qui nous est totalement inconnu.

Humains et dragons cohabitent dans un monde fantasy plutôt convaincant, nos héros embarquent sur le Quin Zaza pour diverses raisons, et j'espère que nous les connaîtront dans les tomes à venir. Le côté dénué d'humanité envers les dragons m'a perturbé, je dois l'avouer. Hormis cela, j'ai été soufflé par le réalisme des graphismes. Cela colle parfaitement à l'univers, l'ambiance est exaltante et on ne s'ennuie pas une seule seconde. Les illustrations sont très détaillées, on plonge tête baissée dans le monde des dragonniers. On n'a aucun mal à s'imaginer les combats d'une rare intensité, les dangers insoupçonnés dans ce ciel.

En bref, un premier opus déroutant qui m'a laissé une impression mitigée quant à la finalité de l'histoire. Taku Kuwabara nous offre un manga de fantasy qui a le mérite de m'avoir surprise. J'ai été de suite immergée dans ce monde particulier, au milieu de personnages de tous horizons à la poursuite de dragons aux formes étranges. Les graphismes sont certainement le point fort avec un coup de crayon agressif et d'une précision sans faille. Beaucoup de détails, un univers richement décrit et des rebondissements qui donnent du rythme à l'histoire. Je ne me prononce pas totalement sur les bémols que j'ai mentionnés dans mon avis, je trancherai avec le second tome. Si vous aimez les univers fantasy steampunk, les combats épiques et les montées d'adrénaline, alors n'hésitez pas mais attention, il est question de chasse aux dragons avec tout ce que cela implique.

http://www.lmedml.fr/2020/03/04/les-artilleuses-1-le-vol-de-la-sigillaire-pevel-willem/

UN PREMIER VOLUME EXPLOSIF ET ADDICTIF !
Direction le Paris des Merveilles, ce n’est pas tout à fait celui que l’on connait et pourtant on s’y sens comme chez soi. Ce premier opus est explosif, à l’image de nos trois héroïnes que l’on surnomme « Les artilleuses »… Un trio de gangster au féminin qui aime user de la poudre…

Lady Remington, Mam’zelle Gatling et Miss Winchester sont des expertes. Cambriolages, haold-up… rien ne les résiste. Ici elles doivent voler une mystérieuse relique, la Sigillaire et ce coup est loin d’être simple. Elles vont se retrouver avec les Brigades du Tigre à leur trousse. Mais ce n’est pas le pire, les services secrets du Kaiser sont également sur le coup.

Ce premier opus nous plonge dans un univers haut en couleur. Le décor est planté et on entre dans le feu de l’action dès la première scène. Nos héroïnes n’ont pas froid aux yeux et s’adonne à leur activité favorite. Le côté fantastique rend l’ensemble magistral.

Nos héroïne se complètent à merveille, la combinaison de leurs savoir-faire leur permettre de réaliser des braquages mais attention, elles ne sont pas à l’abris du danger pour autant. Le vol de la relique va leur causer bien des difficultés. Elle vont devoir faire profil bas.

Je particulièrement aimé l’ambiance de ce premier tome, c’est captivant et addictif. Les personnages ont énormément de charisme et on ne peut qu’être admiratifs des dessins qui retranscrivent un univers qui mêle réalité et monde magique.

Cette bande dessinée se lit rapidement et je vous avoue que j’en redemande. Le coup de crayon d’Etienne Willem n’y est pas pour rien, j’ai trouvé les graphismes vraiment sublimes, rien n’est laissé au hasard et les détails sont saisissant. Le scénario made in Pierre Pevel est magnifié page après page.

En bref, j’ai passé un excellent moment dans le Paris des Merveilles aux côtés de nos trois héroïnes qui dépotent un max. L’univers merveilleux fascine et entraîne le lecteur dans une enquête explosive et addictive.

http://encore-un-manga.com/2020/03/bloom-into-you-t01-nio-nakatani.html

Je me suis laissée tenter par le premier opus de cette saga, mon tout premier Yuri, et j'ai passé un excellent moment avec Yû et Tôko. Vie lycéenne, sentiments non partagés et questionnements en tout genre sont au rendez-vous.

Yû n'a jamais été amoureuse, elle n'a jamais ressenti cette petite étincelle pour quiconque. En entrant au lycée, elle espère découvrir l'amour, mais elle n'était pas préparée à faire connaissance avec Tôko, une élève brillante et très populaire. Nos deux héroïnes vont se lancer dans les préparatifs de l'élection de la présidente du conseil des élèves. Lorsque Tôko confie à Yû qu'elle pourrait tomber amoureuse d'elle, la jeune fille est troublée. Qu'entend-elle par là ?

Ce premier opus introduit très bien l'univers. On évolue dans la vie lycéenne de nos personnages. Yû et Tôko sont très attachantes, elles ont des personnalités intéressantes et j'ai aimé l’ambiguïté de leur relation amicale. Yû est investie dans son rôle et aide Tôko à mener sa campagne électorale à bien, elle passe beaucoup de temps avec celle qui lui a fait une déclaration d'amour et cela engendre de nombreux questionnements.

J'ai vraiment aimé la façon dont les choses sont amenées, comme dans un shôjo classique, nos héros dévoilent leurs sentiments. Ici nos héroïnes s'interrogent sur leurs sentiments. Dans l'intensité de la campagne électorale, elles se rapprochent et même si Yû ne répond pas à la déclaration de Tôro, elle reste loyale et d'un grand soutien.

Les dessins nous offrent une histoire douce et délicate. Les thèmes soulevés sont bien traités, tout est naturel et on assiste à la naissance d'une amitié particulière. Le rythme est assez lent mais pas dénué d'intérêt bien au contraire.

En bref, un premier opus convaincant et addictif. J'ai été séduite par le coup de crayon de la mangaka, par les personnages qui se dévoilent au fil des pages et par l'ambiance générale de l'histoire. C'est mon premier Yuri et j'ai passé un très bon moment. J'ai hâte de découvrir ce qu'il va se passer dans la suite de cette saga.

http://www.lmedml.fr/2020/03/01/redemption-2-iaroslav-mary-matthews/

UNE ROMANCE TABOUE ET PARTICULIÈREMENT BIEN EXÉCUTÉE !
Mary Matthews nous revient avec une romance courte et efficace. Cette histoire taboue est vraiment bien exécutée, j’ai été captivée par la force des sentiments et par la dynamique particulière de la relation amoureuse.

Iaroslav donne le ton dès les premières lignes, vous n’attendrez pas longtemps pour comprendre où l’autrice a voulu en venir et c’est ce qui fait la force de cette histoire. Le roman est court, percutant et il ne s’encombre pas de choses inutiles. L’essentiel est mis en valeur et cela fonctionne avec brio.

Le résumé est suffisamment révélateur et je ne souhaite pas revenir sur l’histoire que vous allez découvrir. Dark romance ou non, cette histoire a le pouvoir de vous faire ressentir une multitude d’émotions. J’ai adoré la complexité de la relation de Iaroslav et Lise, l’autrice n’y va pas par quatre chemin et même si il m’a manqué un peu d’approfondissement pour avoir un coup de cœur, je ressors comblée par cette romance qui offre une réflexion pertinente. C’est tabou et pourtant, je n’ai pas pu m’empêcher de trouver la romance magnifique et authentique. Le contexte historique rend l’histoire plausible et crédible. Aucun doute, l’amour est un sentiment qui ne se commande pas…

Le côté psychologique est effleuré mais à mes yeux ce fut suffisant pour me plonger dans un maelström de sentiments. Les pages défilent et on ne peut qu’être captivé, l’histoire pourrait sembler dérangeante, mais je n’ai ressenti que de l’amour profond pour nos personnages. J’ai aimé lutter avec eux, découvrir les prémices de leur histoire.

Le récit est original et bien écrit. La plume de l’autrice est toujours aussi addictive, et ici elle peut choquer et heurter la sensibilité des lecteurs. Perso, j’aime être bousculée, c’est pour cela que cette lecture m’a énormément plu.

En bref, un récit tabou, une histoire d’amour authentique, atypique et complexe. Une nouvelle prise de risque pour Mary et c’est un franc succès.

http://encore-un-manga.com/2020/02/the-promised-neverland-7-kaiu-shirai-posuka-demizu.html

Ce septième opus apparaît comme une bonne transition qui engendre encore beaucoup de question. J'ai adoré le rythme plus lent et calme que nous offre cette suite.

Nos fugitifs ont eu leur lot de sensations fortes depuis leur évasion de Grace Field House. Après avoir rencontré deux personnages qui leur ont prêté main forte, ils ont poursuivi leur route à la recherche de William Minerva. Se trouvera-t-il au point B06-32 ?

Ce tome agit comme un baume pour nos petits protégés, ils ont enfin trouvé le refuge souterrain mais l'homme qui les accueille est loin d'être avenant. Mais Emma n'est pas du genre à reculer face au danger, n'est-ce pas ? Elle va motiver les membres de sa "famille" qu'ils ont enfin avancés dans leur quête.

Cette suite soulève de nouvelles problématiques. Un nouveau personnage entre en scène et le moins que l'on puisse dire c'est qu'il est... étrange et intrigant. Quelle est son histoire ? Sera-t-il un allié ou un ennemi ? J'ai aimé le changement de rythme que nous propose ce tome. On avait bien besoin de souffler. Pour autant, l'intrigue ne perd pas en intensité, on se pose beaucoup de question et le danger rôde toujours malgré cette accalmie bienvenue.

L'univers est toujours aussi palpitant, le scénario est efficace et on se laisse guider par la détermination et le courage de nos héros. La notion de famille est vraiment au centre de cette saga, j'aime la façon dont elle est exploitée avec des démonstration affective et de la bienveillance.

En bref, un septième opus plus calme. Nos héros ont bien besoin de cette accalmie pour reprendre leur quête. Un nouveau personnage fait son entrée, un homme un peu effrayant et intrigant. Je vous avoue que je me pose beaucoup de questions à son sujet. J'aime toujours autant l'univers et le scénario qui sait s'adapter à toutes les situations.

http://encore-un-manga.com/2020/02/jardin-secret-t04-ammitsu.html

J'attendais ce quatrième opus avec impatience. Ammitsu nous offre une bonne dose de mignonnerie avec cette suite. Ran et Akira sont désormais en couple mais ce n'est pas aussi simple qu'il n'y paraît. Ran n'a jamais été en couple et elle a du mal à gérer ses émotions en présence d'Akira.

Dans ce tome, on change un peu la dynamique étant donné que nos deux héros sont plus souvent entourés par leurs amis. C'est la fin de l'année, Noël approche et nos héros vont apprendre tout doucement à vivre leur relation.

Ran est toujours aussi mignonne, c'est un vrai soleil. Elle est encore sur la réserve et je l'ai trouvé très touchante. Elle réfléchit beaucoup et j'espère qu'elle se laissera un peu plus aller dans l'opus suivant qui s'annonce déjà riche en révélations. Akira est adorable, on découvre différentes facettes de sa personnalité et on sent bien qu'il est amoureux de Ran.

Cette saga est toujours aussi agréable à lire, c'est plein de bons sentiments. J'aime l'ambiance et les dessins me font fondre. Ils sont magnifiques et délicats. Il y a aussi beaucoup d'humour et de moments gênants qui apportent un côté léger à l'histoire.

On laisse nos personnages sur un rebondissement surprenant qui a attisé ma curiosité, la suite s'annonce déjà très intéressante.

En bref, un quatrième opus très sympa. Une suite à la hauteur de mes attentes avec une dynamique qui diffère des tomes précédents. Ran et Akira sont tellement mignons et touchants. J'ai hâte de poursuivre la série. S'il y a bien un shôjo à découvrir c'est celui-ci.

Je me suis laissé tenter par ce premier opus pour deux raisons... La couverture et le titre. Il ne m'en fallait pas plus pour me donner envie de découvrir cette histoire. Et je dois vous avouer que j'ai passé un très bon moment aux côtés de Maïn ♡
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Urano Motosu était une étudiante qui adorait les livres, morte écrasée par une bibliothèque, elle se réincarne dans le corps d'une petite fille dans un monde où les livres ne sont pas accessibles pour qui le veut. Urano est désormais Maîn, et elle a cinq ans... Comment pourra-t-elle survivre dans un monde d'illettrés ? Comment vivre sans ses précieux livres ?
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Ce premier opus donne le ton de la saga ! J'ai adoré découvrir cet univers atypique et les personnages m'ont vraiment charmé ! Pour une livrovore, c'est quand même un comble de mourir écrasée par sa bibliothèque. Notre héroïne va désormais devoir composer avec les limites de son petit corps de cinq ans et elle est déterminée à fabriquer elle-même ses propres livres... Mais elle a sur-estimé ses capacités à pouvoir mener à bien une telle tâche !
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Je me suis tout de suite attachée à Maïn. Elle est très drôle et je vous avoue que on se retrouve beaucoup en elle. L'univers est intéressant et les dessins sont très beaux, on se laisse facilement séduire par les différents personnages et l'univers intriguant que l'on découvre en même temps que Maïn.
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On suit notre petite héroïne dans son nouveau quotidien, une chose est sûre, elle va devoir s'adapter et se creuser les méninges pour réussir à fabriquer des livres. L'histoire est aussi mignonne qu'elle est intriguante.
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En bref, un premier tome efficace qui a su me séduire de par tous les aspects. Que ce soit au niveau des dessins qui sont vraiment beaux, ou encore des personnages et de l'histoire atypique, je ressors conquise. J'ai hâte de poursuivre et de savoir comment Maïn va avancer dans son objectif de fabriquer des livres.

http://www.lmedml.fr/2020/02/27/everyday-heroes-1-cuffed-k-bromberg/

UN RETOUR RÉUSSI POUR K. BROMBERG !
K. Bromberg nous revient avec une saga qui met en scène les trois frères Malone. Ce premier opus est consacré à Grant qui est agent de police. Grant qui a perdu sa meilleure amie vingt ans plus tôt suite à une promesse non tenue. Mais Emmy est de retour en ville et Grant entend bien reprendre sa place dans la vie de la jeune femme.

Ce premier opus riche en émotions nous offre une romance touchante et addictive avec une pointe de drame très bien exploitée.

Ce roman est une petite brique et le seul reproche que j’ai à lui faire, c’est qu’il y a quelques longueurs par moment. Hormis cela, j’ai adoré les personnages et leur histoire.

K. Bromberg a choisi d’aborder des sujets graves que vous découvrirez au fil des pages. Cet aspect de l’histoire engendre des émotions intenses qui pourraient heurter la sensibilité du lecteur. J’ai trouvé que cela donnait beaucoup de profondeur à l’histoire et que cela a en quelque sorte façonné la personnalité d’Emmy.

Emmy est une héroïne assez dure, je dois dire qu’elle ne laisse rien passer à Grant et elle est très rancunière, c’est ce qui a induit les petites longueurs dans le récit car elle campait tellement sur ses positions que le jeu du chat et de la souris s’est un peu éternisé. Emmy a des circonstance atténuantes, son vécu est loin d’avoir été un long fleuve tranquille. Emmy a de ce fait barricadé son cœur. Elle maîtrise tous les aspects de sa vie, elle ne laisse personne prendre les commandes… Grant est quant à lui une véritable perfection. Il est tout ce que j’aime chez un héros. Comme Emmy, il a du mal à faire confiance mais il sait se remettre en question.

Cette romance est très addictive. J’ai adoré avoir un aperçu des autres frères Malone et de leur famille aimante. L’ambiance est bienveillante, K. Bromberg met en perspective des sujets très actuels. Cela confère au récit un côté « réalité » qui permet à l’histoire de se démarquer. Je suis toujours aussi fan de la plume de l’autrice, elle a su nous donner un bon équilibre, la relation de nos héros est complexe. En parallèle de la romance se dessine une intrigue propre au métier de Grant. C’est un homme investi dans son travail, il aime faire régner la justice.

En bref, un premier opus efficace et addictif. K. Bromberg aborde une fois de plus des thématiques sensibles et intenses qui confèrent à l’histoire un aspect dramatique bien mené. Emmy et Grant ont su me toucher page après page, et malgré les quelques longueurs qui parsèment le récit, j’ai trouvé l’histoire vraiment touchante et j’ai passé un bon moment.

http://www.lmedml.fr/2020/02/28/les-amours-de-lara-jean-2-p-s-je-taime-toujours/

J’avais hâte de découvrir la suite des amours de Lara Jean. Alors qu’elle vient de se mettre en couple avec Peter, un garçon de son passé refait surface et bouleverse ses certitudes quant à sa relation avec Peter.

Ce second tome s’articule sur un nouveau triangle amoureux qui est plutôt bien géré. Moi qui ne suis pas fan de cette dynamique amoureuse, j’ai passé un agréable moment.

Lara Jean est une héroïne attachante malgré ses indécisions et sa façon de trop réfléchir. Sa relation avec Peter est fragile et souvent mise à mal à cause de l’ex de Peter. Elle plane telle une ombre au dessus de leur couple. Je ne suis pas très fan de Jen même si elle se révèle moins peste dans cette suite. J’ai toujours un coup de cœur pour la petite sœur de Lara Jean qui est tout simplement excellente.

John Ambrose débarque pour troubler Lara Jean. Il est l’un des cinq garçons ayant reçu une lettre d’amour de notre héroïne. Ils partagent des goûts similaires et j’avoue qu’ils ont une belle alchimie. Mais est-ce plus que de l’amitié ?

Ce second tome est assez mignon, c’est vraiment une saga feel good, on s’attache aux personnages, on espère que Lara Jean soit heureuse quoi qu’il arrive. La romance est légère et s’intègre dans un univers scolaire très addictif. J’adore d’ailleurs les personnages secondaires hauts en couleur.

En bref, une suite qui m’a bien plu. Cela reste assez classique mais le pari est réussi, on passe un bon moment avec des personnages attachants. J’ai hâte de découvrir le dernier opus qui clôturera la saga.

Je ne pouvais pas passer à côté de cette saga. Un héros face à cinq héroïnes dans une intrigue qui nous réserve pas mal de surprises.

La mise en place de l'histoire est intéressante, on fait la connaissance de notre héros. Fûtarô est une jeune homme assez solitaire et il a d'excellent résultats scolaires. Issu d'une famille modeste et en difficulté financière, il trouve un job de professeur particulier, ce qu'il ne sait pas encore c'est qu'il va avoir affaire à cinq élèves pour le moins dissipées. Saura-t-il s'en sortir ? Arrivera-t-il à aider les filles à améliorer leurs résultats scolaires ?

J'ai trouvé ce premier opus vraiment sympa. On assimile pas mal de choses avec tous les personnages. Nos héroïnes sont ingérables et je vous avoue que j'ai bien ri au dépend de Fûtarô.

Fûtarô a un rôle difficile. Nos héroïnes ne sont pas dociles. Elles ont des personnalités hautes en couleur. J'ai déjà ma petite préférée, à voir si cela se confirmera au fil des tomes.

Cette saga nous offre un contexte intéressant. Le côté harem n'est pas dérangeant, et surtout dans ce premier tome, il n'est pas encore installé. Le scénario est plutôt bien mené, les dessins nous propulsent dans deux univers bien distincts. La différence de classe sociale des filles et de Fûtarô saute aux yeux. Ils n'ont pas la même qualité de vie et je pense que cela sera bien exploité dans la suite.

Fûtarô est un héros intéressant, je ne l'ai pas forcément trouvé charmant mais il a piqué ma curiosité et j'ai hâte de découvrir comment il va réussir à faire travailler les filles et surtout avec laquelle il va se marier à la fin.

Les dessins sont sublimes, très détaillés. Ils mettent en valeur nos héroïnes qui ont des formes plantureuses et sexy à souhait. Cela risque de déstabiliser Fûtarô dans son rôle de professeur. Ce tome pose les bases de la saga, le décor est planté et on plonge très vite dans un récit rythmé et addictif.

En bref, un premier opus convaincant qui nous dévoile un univers riche et intriguant. J'ai trouvé les personnages très intéressants et j'ai déjà ma petite préférée. J'ai aimé cette première approche, cette façon de nous dévoiler les tenants et les aboutissants de cette saga, c'est plutôt prometteur et cela donne envie de découvrir la suite.

http://encore-un-manga.over-blog.com/2020/02/5-cm-per-second-1-makoto-shinkai-yukiko-seike.html

Qu'on se le dise, cette oeuvre est un concentré de douceur et de sensibilité. J'ai été vraiment très émue par la lecture de ce premier opus. Le charme des dessins opère dès la première page, j'ai été séduite par la délicatesse du coup de crayon de Yukiko Seike. L'univers est touchant, nos héros très attachants. Akari Shinohara déménage souvent et elle va faire la connaissance de Takaki dans sa nouvelle école. Ils vont se lier d'amitié, une relation sincère va naître entre eux avant qu'ils ne soient séparés. Les familles de nos héros déménagent régulièrement ce qui va instaurer une distance entre Akari et Takaki. Comment vivre une relation quelle qu'elle soit en étant si loin ? Ne dit-on pas, loin des yeux, loin du cœur ? C'est une réflexion pertinente dans cette histoire et j'ai trouvé que le scénario l'exploitait avec brio.

Ce manga est un véritable coup de cœur. J'ai tout aimé ! J'ai eu le cœur qui se serre, les larmes aux yeux et le cœur malmené. La temporalité est intéressante car le temps passe assez vite et met en avant les difficultés de nos héros à maintenir le contact. Akari et Takaki sont deux personnages terriblement attachants. Ils partagent des goûts similaires, se complètent et s'aiment en secret mais le destin décide de les éloigner. On ressent une sorte de fatalité... C'est poignant et déchirant !

L'ambiance est mélancolique, j'ai été très sensible à la finesse des dessins, à la beauté des paysages et à toutes les émotions que nous transmettent les personnages. Leurs sentiments sont purs, bienveillants et authentiques. Comment ne pas fondre devant leur histoire impossible ? Mais l'est-elle réellement ? Le scénario est puissant, on se sent complètement happé dans cette histoire qui aborde des thématiques intéressantes. On se met facilement à la place de nos héros, ce qui rend la lecture très intense.

En bref, un premier tome empreint de sensibilité et de délicatesse. Cette lecture douce-amère nous offre beaucoup d'émotions. Les magnifiques dessins de Yukiko Seike s'allient au scénario de Makoto Shinkai pour mettre en lumière des sentiments sincères. Un amour juvénile puissant qui sera mis à l'épreuve du temps et de la distance. Un coup de cœur !

http://encore-un-manga.over-blog.com/2020/02/le-chat-aux-sept-vies-gin-shirakawa.html

Ce manga m'a totalement chamboulée. C'est un euphémisme de dire que cette histoire singulière m'a offert des émotions authentiques page après page.

Cette histoire est originale et très touchante. Vous allez suivre le destin de Nano et Macchi, deux chats errants qui doivent survivre à la dureté de leur vie dans les rues. Ces deux chats vont bouleverser la vie de Yoshino Narita, notre héroïne.

Ce manga nous offre une véritable prise de conscience. Il pointe du doigt le quotidien de tous ces chats errants. On découvre les dangers qu'ils doivent affronter et le scénario met en perspective ce que ces chats subissent jour après jour.

L'ensemble est savamment orchestré. Nos héros se fondent dans un décor des plus saisissant, on ne peut qu'être immergé dans cet univers dur et fataliste. La rue se transforme est terrain hostile pour nos petits poilus. J'ai été très sensible au destin de Nano et Macchi. Nos chats sont attachants et savent se serrer les coudes pour survivre...

"Pour nous, les chats errants, c'est déjà une chance de pouvoir vivre cinq ans."

C'est terrible de se dire que l'espérance de vie des chats errants est si restreinte. Cela m'a retournée de découvrir que derrière cette histoire, il y a une part de vérité. Le scénario est vraiment excellent, les dessins nous proposent toute une palette d'émotion.

Le coup de crayon du mangaka est incisif, les dessins sont singuliers, avec un style très riche et très imagé. On tourne les pages avec la peur au ventre, l'histoire de Nanao est tellement triste que j'ai versé quelques larmes.

Cette histoire offre une réflexion pertinente sur la cause des chats errants. Elle illustre avec beaucoup d'intelligence une problématique moderne qui sensibilise le lecteur. Le quotidien de Yoshino Narita est sur le point de changer et découvrir que son destin est lié à celui de Nanao rend ce premier opus très intense.

En bref, un premier tome qui plante le décor. On fait connaissance avec des personnages très attachants et touchants. Le concept et le contexte de l'histoire sont criant de vérité et cela fait mal de découvrir cette lutte de tous les instants que mènent les chats errants. Je ressors terriblement émue par cette lecture, je ne peux que vous conseiller de le découvrir si vous aimez les chats et les histoires poignantes.

http://www.lmedml.fr/2020/02/24/idol-kristen-callihan/

UNE ROMANCE COMME JE LES AIME !
Kristen Callihan a su me séduire avec cette romance terriblement addictive. Dès les premières lignes, on découvre deux personnages attachants et guidés par leur amour de la musique.

Je crois que l’entrée en scène de nos héros a eu un effet immédiat sur moi. Libby est une héroïne absolument géniale, elle a du caractère et un tempérament volcanique. Découvrir Killian sur sa pelouse complètement bourré va mettre ses nerfs à rude épreuve et ce sera le début d’une belle histoire d’amour.

Killian traverse une période difficile, star du rock mondialement connu, il a besoin de s’éloigner de son quotidien. Killian est un séducteur hors paire mais il est aussi un passionnée de musique. Tout comme Libby. La musique rythme cette romance et j’ai trouvé cela parfait. Kristen Callihan a choisi un axe intéressant pour dépeindre le monde de la musique. Elle a su éviter les clichés en mettant en lumière la relation amoureuse de nos héros ainsi que celle du groupe Kill John.

Cette romance m’a énormément plu et j’ai pris beaucoup de plaisir à la lire. C’était fun, bourré d’humour et de bons sentiments. Je me suis attachée aux personnages d’entrée de jeu, ils sont singuliers et assez touchants.

Les personnages secondaire intriguent et captivent. J’ai hâte de pouvoir découvrir les romans qui leur seront consacrés. Ce roman est somme toute assez classique et pourtant je l’ai trouvé vraiment génial.

J’ai retrouvé tout ce que j’aime dans la romance, l’humour a une place importante dans l’histoire. Tout se déroule sur un laps de temps assez court, ce qui l’ensemble terriblement intense.

Nos héros vont vivre leur histoire à un rythme effréné et vous serez emportez avec eux pour passer un excellent moment. La musique est bien exploitée, les moments complices que partagent nos héros rendent le récit magique.

En bref, une romance new adult addictive et efficace. Libby et Killian ne manqueront pas de vous séduire. Kristen Callihan nous offre une histoire intense qui met en relief le monde de la musique en déjouant les clichés. J’ai passé un excellent moment, n’hésitez pas à partir en tournée avec nos héros, frissons garantis.

http://www.lmedml.fr/2020/02/21/vendredi-manga-26-asadora-1-naoki-urasawa/

UN PREMIER OPUS CAPTIVANT QUI ATTISE LA CURIOSITÉ DU LECTEUR !
Etant encore novice dans l’univers des mangas, je ne connaissais pas le célèbre mangaka, Naoki Urasawa. Je ne peux donc que juger de ce que j’ai découvert avec ce premier volume, et le moins que je puisse dire c’est que j’ai passé un excellent moment.

Dans le prologue, nous sommes en 2020… Tokyo est ravagé par les flammes et une menace gigantesque pèse sur ses habitants. Les premières images sont saisissantes, on comprend très vite que l’ambiance va être singulière et haletante. Le premier chapitre, nous propulse en 1959, ce qui a le don de surprendre. Ce bond dans le temps perturbe autant qu’il attise la curiosité.

On découvre sans plus attendre, Asa, notre héroïne à la recherche d’un médecin pour sa mère qui est sur le point d’accoucher. Asa est frondeuse et n’a pas peur du danger, la preuve, elle est prête à affronter un typhon pour aider sa mère. Asa est issue d’une famille nombreuse, c’est une jeune fille de douze ans très touchante que l’on a tendance à délaisser. Altruiste et bienveillante, Asa va vivre une aventure qui va bouleverser toute son existence.

Ce premier opus m’a énormément plu. Le coup de crayon du mangaka est unique, j’ai particulièrement aimé la multitude d’émotions qui découlent de la succession de scène digne du plus grand film catastrophe. Les éléments se déchaînent et secouent la petite ville de Nagoya. Cela nous offre une ambiance angoissante, on a peur pour nos héros et on se demande clairement où veut nous emmener le mangaka. Le récit est complexe, il y a une grande part d’humanité dans l’histoire. Que ce soit dans le quotidien d’Asa ou bien encore dans cette catastrophe climatique que nos personnages vont devoir affronter.

Ce manga se démarque clairement de tous ceux que j’ai pu lire jusqu’à présent, il a un côté plus « grave » et plus complexe. Le côté feuilleton est passionnant, les personnages se livrent sans détour et s’entraident face à leur situation incertaine.

Ce premier opus fascine, c’est un fait, j’ai aimé le style des dessins, les planches se succèdent à un rythme effréné et en arrivant à la fin, on se prend un twist final qui amène l’aspect fantastique à l’intrigue. Cela engendre un certain trouble chez le lecteur, il nous laisse sur un scène qui donne furieusement envie de poursuivre. On reste sans réponse à certaines questions et on quitte nos personnages dans la tourmente.

En bref, un premier opus qui m’a totalement convaincue tant sur le fond que sur la forme. J’ai été sensible à l’histoire d’Asa, cette jeune fille touchante et altruiste. Les rebondissements s’enchaînent avec brio pour nous plonger dans une atmosphère pleine de danger. La vie d’Asa est sur le point de changer… Saura-t-elle prendre son destin en main ?

En terminant le premier opus, j'avais hâte de découvrir comment l'histoire allait se poursuivre. Sofia se retrouve aux prises avec des doutes concernant sa relation confortable avec Luca. Elle se sent attirée par Lorenzo sans trop savoir pourquoi. Tout ce qu'elle sait, c'est que le jeune homme exerce une sorte de fascination sur elle.
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On retrouve nos nombreux personnages pour une suite plus complexe et qui nous offre pas mal d'émotions. On ne peut qu'espérer deviner certains secrets. J'ai aimé être surprise par certains rebondissements. L'originalité s'installe avec le passif de nos héros.
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Les protagonistes secondaires ont pas mal de charisme et j'aime bien leurs personnalités. Cette saga ne s'encombre pas de dialogues inutiles, c'est ce que j'aime le plus je crois. Certains silences en disent plus qu'une discussion animée.
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La saga dévoile son potentiel avec ce second opus brillamment orchestré. Beaucoup de questions restent en suspens pour maintenir une certaine tension ! Et ça fonctionne.

En bref, un second opus qui se révèle plus passionnant que le premier. Les personnages se dévoilent et nous offre une romance complexe qui reposent sur des secrets diablement bien gardés. Les personnages sont tous un peu mystérieux ce qui engendre beaucoup de curiosité chez le lecteur. J'ai hâte de poursuivre cette aventure !

UN SECOND OPUS QUI MÊLE ACTION, ÉMOTIONS ET DES RÉVÉLATIONS DE TAILLE !
Jupiter Phaeton… Toi et moi, il faut qu’on cause ? Non, parce que voilà, j’ai terminé le second tome de Faith Ezreal, et je suis sur les rotules… Pas sûre que tu sois réellement consciente de ce que tu infliges à tes lecteurs. Ou alors, si en fait, tu le sais et tu le fais exprès. Moui, ça doit être ça !

Bref, passons ! J’avais hâte de retrouver Faith et son petit harem. Voyez-vous, la Faith, elle s’emmerde pas ! Elle est entouré de beaux gosses qui subviennent au moindre de ses besoins. Elle a réussi à mettre le grappin sur le mec le plus populaire du lycée… Elle a quand même la belle vie ! Comment ça, j’ai oublié les menaces qui pèsent sur elle ? Hey, deux secondes, j’y viens. C’est vrai que Faith a une vie assez mouvementée quand on y regarde de plus près. Entre sa nouvelle condition de Berserk, alias #lafillelapluspuissantequetouslesalterscraignent, les histoires qui entourent les recherches de son père, ceux qui essayent de la tuer et son avenir plus qu’incertain, elle n’a quand même pas trop le temps de souffler. Ajoutez à cela le fait que son meilleur ami se retrouve embarqué dans l’histoire, et vous obtenez une suite explosive qui en met plein la vue.

Jupiter Phaeton est comme ça, elle écrit des histoires qui sortent de son esprit totalement dérangé et ça se sent, elle entraîne ses lecteurs dans des intrigues impossibles avec toujours plus de rebondissements mais voyez-vous, elle gère ça comme une pro. Parce que tout le monde sait que trop de rebondissements tue le rebondissement. Et bien ici, tout est bien dosé. On se retrouve au cœur d’un scénario addictif qui mêle les genres avec brio. L’univers de Faith Ezreal est dangereux, j’aime particulièrement que l’autrice ait réussi à créer un monde cohérent. Je veux dire qu’elle ne part pas dans tous les sens malgré le fait qu’elle ne soit pas toute seule dans sa tête. Jupi ? T’inquiète c’est un compliment hein ^^

Dans cette suite, ça va à toute vitesse. On a peine le temps de souffler entre les batailles, entre les réunions de crise, les révélations et les interventions indispensables de Gary, le meilleur ami de Faith.

Les personnages sont géniaux, attachants, intriguants et mignons qui plus est ! Gary est une petite merveille, ne le tue pas stp, Jupi ! J’adore tous les compagnons de Faith. J’ai aimé que l’on soulève le voile sur certains d’entre eux, cela rend l’intrigue très complexe sans jamais perdre le lecteur en cours de route. Et vous savez quoi ? Y a une Marlène dans l’histoire, si si ! J’ai enfin mon propre personnage dans un roman, non mais si c’est pas du délire. Comment ça c’est pas mon propre personnage ? Elle s’appelle Marlène ? Alors, c’est bien ce que je dis, j’ai mon propre personnage, non mais oh ! J’avoue que je me la joue un peu et finalement je ne sais pas vraiment quoi penser de Marlène, si ce n’est qu’elle a un charisme de dingue et qu’elle semble avoir plus d’un tour dans son sac.

Les tenants et les aboutissants de cette histoire sont dingues. On ne sait pas vraiment où on va, l’autrice sème des indices, elle renforce son scénario page après page. Je vous avoue que ça secoue par moment, et on se prend des claques en plein face mais c’est pour mieux se relever.

Cette saga nous offre pas mal d’émotions. Il y a un réel équilibre qui se fait et c’est plaisant de tout ressentir. Je valide à 2000% toutes les références littéraires et cinématographiques présentes dans le récit. C’est tellement jouissif de se sentir autant en phase avec un univers. L’humour est aussi de la partie pour dédramatiser des situations et révélations lourdes de sens. Des moments qui bouleversent à jamais le quotidien et l’avenir de Faith.

En bref, ce second opus nous offre tout un panel d’émotions. Nos héros vont aller au devant du danger, ils vont se serrer les coudes et affronter leur destinée. Jupiter Phaeton laisse son imagination à la dérive et ça fait des merveilles. De l’urban fantasy moderne, peuplée de personnages attachants et mystérieux, des rebondissements qui font avancer l’intrigue. Du divertissement, de l’humour et de l’amour… Que demander de plus ?

Comment résister à une telle couverture ? Je vous le demande ?!? J'avais terriblement envie de découvrir un Shôjo dans un univers fantastique et ce premier opus m'a totalement convaincue. J'ai été séduite par le début de l'histoire et envoûtée par le coup de crayon de la mangaka.
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Ce premier opus introduit l'univers, on assimile pas mal d'informations sans que ce soit trop pour le lecteur. Mon premier constat est indéniablement que l'ensemble est très complexe. Univers et graphisme.
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On s'immerge rapidement dans l'intrigue et on fait connaissance avec les personnages qui sont très intéressants. Lys et Rin Shirano veillent sur le royaume de Nohmur. Jusqu'au jour où Lys disparaît en laissant une mystérieuse lettre. Rin va donc se lancer à sa recherche avec le soutien de Aghyr qui n'est qu'un Sheratan, un démon du royaume de Rumhon. Aghyr n'est pas une menace au contraire, il s'est affranchi de ce monde démoniaque pour servir la famille de Lys et Rin.
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Côté dessin, on en prend plein les yeux, les pages sont très chargées et représentent à merveille ce monde fantasmagorique ! Je suis en amour devant les dessins. Tout est si beau, les expressions de nos personnages sont sensationnelles. Moi qui aime les héroïnes aux grands yeux, je suis comblée !
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L'intrigue n'a rien de facile, on part dans une quête captivante à travers le royaume de Nohmur aux côtés de Rin et Aghyr. Mystère, danger et révélation sont au rendez-vous de cette épopée fantastique ! J'ai particulièrement aimé les personnalités de nos héros. Ils sont intelligents et sauront se servir de leur ingéniosité pour mener à bien leur périlleux voyage. Je suis in love du duo Rin/Aghyr et j'ai hâte de les retrouver dans la suite.
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En bref, un premier opus captivant qui nous entraîne dans un monde fantastique bien travaillé ! Les personnages sont attachants et plein de ressources. Je suis tombée sous le charme du coup de crayon de la mangaka qui nous offre un univers singulier et riche. L'intrigue est captivante et on ne peut s'empêcher d'être impatient de lire la suite

Qu'on se le dise, avec [Pièges charnels], on plonge dans un univers troublant pour adultes avertis. Cette saga se classe dans la collection Red light et j'avoue que l'ensemble est très mâture.
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Je suis tiraillée entre deux sentiments. La part de moi-même qui a totalement adhéré à l'univers qui mêle manipulation/séduction et suspense et l'autre part qui a été gêné par certaines situations malsaines et un peu limites.
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Je suis assez friande de ce genre d'histoire. Quand le politiquement correct est remis en cause... Ici on plonge dans une ambiance pesante. On y côtoie l'adultère, les manipulations en tout genre, des jeux érotiques à base de domination et un suspense assez bien dosé. Il y a de quoi remettre en cause l'intégrité de nos héros !
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Côté personnages... Le bas blesse. Difficile de s'attacher à des personnages tels que Kaori, Fuyuki ou bien encore Shinonome... Notre héroïne est intéressante, elle excelle dans son travail mais stagne dans une relation adultérine avec son supérieur... Kaori m'a laissé de marbre et j'ai eu du mal avec son côté "femme facile". Fuyuki et Shinonome sont des hommes détestables mais ô combien intrigants. Je veux découvrir ce qu'ils cachent !
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Le scénario est malaisant et la tension sexuelle domine souvent les réactions de nos héros. J'ai aimé l'aspect thriller qui se dessine au fil des pages. L'étau se resserre. On cherche à découvrir ce que nos héros cachent sans trop savoir où on va.
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Nous ne sommes pas dans un shôjo tout mignon. Cette saga s'adresse tout de même à un public averti. Certaines scènes sont choquante et même si cela reste de la fiction, il faut aimer les histoires sombres qui mêlent érotisme, jeux de pouvoir et manipulation.
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En bref, j'ai aimé autant que j'ai détesté certains passages de ce premier tome. L'ensemble est efficace, les thèmes sont insolites et mis en scène avec brio. Les personnages sont assez antipathiques mais ils ne sont pas dénués d'intérêt. J'ai hâte de lire la suite car la succession de rebondissements nous mène vers une intrigue prenante et perturbante.

J'ai passé un bon moment avec ce premier opus malgré les nombreuses ressemblances avec la série à succès After d'Anna Todd.
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Ce premier opus nous propulse dans un univers addictif qui met en scène des personnages intrigants. Sofia est une jeune femme au passé trouble, c'est ce qui fait sa singularité. On ne sait pas grand chose d'elle, si ce n'est qu'elle est en couple avec Luca et qu'elle s'installe dans une colocation pour sa première année de fac. Sofia est assez candide mais elle semble avoir besoin de s'affranchir de la pression de ses parents. Sofia est une héroïne intéressante que j'ai hâte de retrouver dans le second opus.
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Les personnages secondaires ont de fortes personnalités. Véronica est l'opposée de Sofia. Grande gueule et un brin provocante. Elle semble aimer s'amuser au dépend des autres. Lorenzo est le héros type, torturé et secret. Il a une attitude perturbante et cela entraîne une foule de question chez le lecteur. Nicola a l'air plutôt sympathique et j'ai vraiment aimé Ilaria qui semble être en phase avec notre héroïne.
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Pas de grosses surprises avec ce premier opus, la mangaka met l'univers en plus avec des dessins très expressifs. J'ai particulièrement aimé la mise en avant des personnages, les émotions passent avec facilité et on se sent rapidement à l'aise avec nos héros.
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J'espère que l'histoire va se démarquer dans le second tome, le scénario qui se dessine semble assez classique, je mise donc tous mes espoirs pour que cela évolue singulièrement.
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Ce premier tome aborde des thématiques actuelles. On se retrouve aux prises avec les états d'âme de notre héroïne qui prend petit à petit son indépendance. Les rebondissements rendent l'histoire plus profonde en soulevant des problèmes familiaux, des divergences d'opinion et une toute nouvelle perspective d'avec pour Sofia.
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En bref, j'ai trouvé ce premier opus efficace ! On plonge directement dans l'univers de Rossella Sergi qui nous offre des dessins tape à l'oeil qui mettent en avant des personnages aux personnalités multiples. J'ai aimé cette mise en bouche. On se retrouve très vite avec la suite ♡

Dire que j'ai dévoré ce second tome serait un euphémisme. Enfin, dévoré en compagnie de ma copine et en commentant chaque page à coup de "han", "non", "oh le pauvre Mayuki", "il est tellement adorable", "nooonnn Shina n'a pas fais ça".... bref une lecture commune animée !
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Dans le premier opus, nous avions une Shino tiraillée entre son envie de se marier et ses sentiments naissants pour Mayuki. On la retrouve toujours indécise, notre héroïne se persuade qu'elle prend la bonne décision mais pourra-t-elle réellement mettre fin à son idylle avec Mayuki ? Peut-elle épouser un homme pour qui elle ne ressent aucun sentiments ?
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Ce second opus est rapide à lire. La mangaka va à l'essentiel avec des gros plans de nos héros. Les dessins mettent en relief le fameux dilemme de Shino, j'ai trouvé cela bien fait dans le sens où on comprend que ça la tourmente réellement.
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Un peu moins de passion dans ce second opus, on laisse la place aux choix et aux émotions. Certaines scènes m'ont fait de belles frayeurs. Le triangle amoureux passe plutôt bien et j'ai hâte de poursuivre la saga vu la tournure des événements.
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Le premier bonus m'a énormément plu, j'avoue que le second m'a interpellé mais je ne suis pas sûre d'avoir saisi l'importance de celui-ci.
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En bref, un second opus efficace. La transition est parfaite, il m'a manqué un peu de passion dans cette suite mais j'avoue que mettre l'accent sur le dilemme page après page était bien joué de la part de la mangaka qui nous offre des dessins époustouflants. Je suis tellement sensible à son coup de crayon qui exprime à merveille les tourments de nos personnages.

MON PETIT COUP DE CŒUR POUR « SOUPINOU »
Un grand merci à Alouqua qui m’a offert ce manga qui me faisait terriblement de l’œil !

Ce manga est tout simplement trop choupinou ! Voire même trop Soupinou ! Je ne sais pas vraiment par où commencer. J’ai adoré ce premier opus qui véhicule tellement de bons sentiments.

Tina et son frère Nicolas vivent dans un petit village de Finlande. Un matin, Nicolas trouve Une étrange boule de poil qui s’avère être un animal tout mignon… Difficile de déterminer ce qu’est Soupinou. Tina et Nicolas sont tellement conquis qu’il décide de garder ce petit être qui selon certaine croyance, porte bonheur.

Ce manga est un succession de scènes trop mignonnes et bienveillantes. Chaque chapitre nous offre des surprises drôles aux côtés de nos héros et Soupinou. J’ai adoré ce tome du début à la fin.

Les personnages sont attachants, on apprend beaucoup de choses sur la Finlande au fil des pages, je trouve cela très enrichissant. En ce qui concerne les dessins, ils sont mignons à souhait. Le style de la mangaka est magnifique, les planches sont très détaillées tout en restant épurées. On tourne les pages avec le sourire aux lèvres tellement c’est choupinou !

C’est le genre de manga qui procure du réconfort. Soupinou porte bonheur et le cheminement de l’histoire nous propose la naissance d’une petite famille aimante. J’ai dévoré ce premier opus et j’ai hâte de découvrir la suite.

En bref, découvrez ce manga tranche de vie qui nous offre beaucoup de mignonneries ! Soupinou est tellement adorable, Tina et Nicolas nous dressent le portrait d’une relation fraternelle bienveillante et touchante. Un manga à lire pour faire le plein de bons sentiments. Kawaii à souhait !