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Ce disque dur cachait forcément quelque chose d’intéressant. Il fallait simplement savoir où chercher. Les ordinateurs pouvaient se révéler de vrais labyrinthes et une seule exploration suffisait rarement. Dans certains cas, un logiciel spécialisé pouvait même s’avérer nécessaire.

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Henrik jeta un œil à l’intérieur, mais Gunnar n’était pas là. Et soudain, il l’entendit crier : — Henrik ! Par ici ! Henrik s’élança aussitôt vers le hangar d’où venait le cri. Il trouva Gunnar penché sur la silhouette allongée d’un homme. Ou plutôt d’un cadavre. — Préviens les experts ! Henrik interrompit immédiatement son appel en attente pour appeler la police scientifique

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Un enfant ruiné mentalement, tu peux le transformer en arme de guerre... en un soldat sans émotion ...

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Jana , elle , ne semblait pas troublée le moins du monde. Son visage était impassible et Henrik se surprit à se demander si quelque chose était susceptible de la faire réagir. Des dents cassées , des orbites vides , des mains ou des doigts coupés ne suffisaient pas. Pas plus que des langues déchiquetées et les brûlures au troisième degrés. Il le savait pour avoir assisté avec elle à des autopsies de cadavres atrocement mutilés .

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la mort est une arme en elle-même.

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Elle repensa à la manière dont elle s'était défendue quand il avait voulu l'attaquer . Elle avait réagi d'instinct, posément, calmement, pile au bon moment , sans rien avoir prémédité-comme quelqu'un qui a une grande expérience du combat . Elle avait porté ses coups avec une précision redoutable . et le plus incroyable, c'était que cette violence lui avait fait du bien .

"Qui suis-je?" se demanda t-elle.

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— Est-ce qu’il a essayé de se défendre ? demanda Mia depuis la porte.

— Non. Le corps ne comporte ni égratignures, ni bleus, ni marques d’étranglement. On lui a tiré dessus. C’est tout.

Björn leva les yeux vers Henrik et Jana.

— La tache de sang montre qu’il est mort là où il est tombé. Il n’a pas été déplacé, mais…

— Gunnar nous l’a déjà dit, l’interrompit Mia.

— Oui, j’en ai parlé avec lui ce matin. Mais…

— Pas d’empreintes digitales ?

— Non. Mais…

— Des traces de drogue ?

— Non, non, rien à ce niveau-là. Pas d’alcool non plus. Mais…

— Des fractures ?

— Non plus. Je peux parler ?

Mia se tut.

— Merci .

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Le plus terrible, c'est de souffrir de la solitude quand on est deux .

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— Centre d’appel du 112, récita Anna Bergström. Que puis-je pour vous ?

— Mon mari est mort…

La voix de la femme se brisa à l’autre bout du fil. Anna jeta un coup d’œil en bas à droite de son écran. L’horloge affichait 19 h 42.

— Votre nom s’il vous plaît.

— Kerstin Juhlén. Mon mari s’appelle Hans. Hans Juhlén.

— Comment savez-vous qu’il est mort ?

— Il ne respire plus. Il est allongé par terre. Il n’a pas bougé depuis que je suis rentrée. Et il y a du sang…

La femme se mit à sangloter.

— Du sang sur le tapis.

— Etes-vous blessée ?

— Non.

— Y a-t-il un blessé avec vous ?

— Non, il n’y a que mon mari et il est mort.

— Je comprends. Où êtes-vous ?

— Chez moi.

La femme inspira profondément.

— J’ai besoin de votre adresse.

— 204 rue Östanvägen, à Lindö. Une maison jaune. Avec des grands pots de fleurs devant la façade.

Les doigts d’Anna tapèrent avec dextérité sur le clavier pour entrer l’adresse et la localiser sur une carte numérique.

— Je vous envoie les secours, annonça-t-elle d’une voix réconfortante. J’aimerais que vous restiez en ligne le temps qu’ils arrivent.

Seul le silence lui répondit. Elle réajusta son casque.

— Allô ? Vous m’entendez ?

— Il est vraiment mort, souffla la femme.

Elle recommença à sangloter. De plus en plus fort. Puis elle poussa un long hurlement d’angoisse.

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— C’est donc la deuxième balle qui l’a tué, répéta Henrik.

— En effet.

— Et l’arme ?

— Les douilles retrouvées sur place sont celles d’un Glock.

— Ça va être compliqué à retrouver, commenta Henrik.

— Pourquoi ? demanda Jana.

Son téléphone se mit à vibrer dans sa poche, mais elle l’ignora et répéta sa question :

— Pourquoi ?

— Parce que c’est une arme très utilisée, répondit Henrik. Nos militaires en sont équipés, et pas mal de polices à travers le monde. Ça prendrait un certain temps de vérifier tous les Glock, tu peux me croire.

— Il suffirait de confier la tâche à une personne méthodique et patiente, rétorqua Jana.

Elle sentit une vibration dans sa poche, signe qu’on lui avait laissé un message vocal.

— Est-ce qu’il a essayé de se défendre ? demanda Mia depuis la porte.

— Non. Le corps ne comporte ni égratignures, ni bleus, ni marques d’étranglement. On lui a tiré dessus. C’est tout.

Björn leva les yeux vers Henrik et Jana.

— La tache de sang montre qu’il est mort là où il est tombé. Il n’a pas été déplacé, mais…

— Gunnar nous l’a déjà dit, l’interrompit Mia.

— Oui, j’en ai parlé avec lui ce matin. Mais…

— Pas d’empreintes digitales ?

— Non. Mais…

— Des traces de drogue ?

— Non, non, rien à ce niveau-là. Pas d’alcool non plus. Mais…

— Des fractures ?

— Non plus. Je peux parler ?

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