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Extrait ajouté par Folize 2018-03-06T18:18:07+01:00

- Et tu ne sortiras pas dans les rues avec moi, tu le sais.

- De quoi est-ce que tu parles ?

Il se retourna et s’assit, ce qui signifiait qu’il devait lever les yeux pour me regarder, bien qu’il soit au-dessus de moi dans l’escalier.

- Tu ne peux pas. Pas avant que ta cheville guérisse. Tu es coincé derrière ton bureau jusqu’à ce que le plâtre soit enlevé, et jusqu’à ce que tu termines la TP et obtiennes l’aval du médecin.

- Non, je…

- Nous parlons d’au moins six semaines et ensuite du temps que prendra la thérapie physique une fois que le plâtre sera enlevé.

- Tu penses que je vais rester à mon bureau pendant deux mois ? Je vais mourir d’ennui.

- Tu ne mourras de rien du tout, en fait, gronda-t-il en se levant et en me poussant pour me dépasser, retournant au salon au pas de charge.

- Oh, je comprends, dis-je en pivotant de sorte que je pus le voir à la porte d’entrée, en train de prendre la laisse de Chickie et d’enfiler la veste marine qui pendait là.

Nous la portions tous les deux pour aller promener le chien, du moins jusqu’à ce qu’il fasse assez froid dehors pour superposer des épaisseurs.

- Tu veux que je reste le cul derrière un bureau où je serai en sécurité.

- Et qu’est-ce qui cloche avec ça ?

- Je suis un foutu marshal, tout comme toi. La menace d’être blessé fait partie du job.

- Je pense que tu as eu assez d’excitation pour un moment.

- Tu n’as pas à en décider !

- Non, acquiesça-t-il d’un ton glacial. Mais ta cheville en décide autrement, n’est-ce pas ?

J’étais stupéfait.

- Tu es content que je sois blessé.

- Pas du tout, et c’est un truc nul à dire.

- Tu es heureux que je ne sois pas dans la rue, l’accusai-je.

- Et si c’est le cas ?

- C’est quoi ces conneries, Ian ? Je suis ton partenaire. Avant toute autre chose, je suis l’homme qui…

- Non ! rugit-il. Avant toute autre chose tu es ma vie, stupide enfoiré !

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Ne doute pas de moi. Ne pense plus à des trucs stupides, d’accord ? Je ne reste pas parce que tu es le seul homme qui pourrait me soumettre ou m’attacher ou ce que tu veux. Je reste parce que c’est nous, et que nous sommes réels, et je me sens en sécurité, alors, gronda-t-il, arrête.

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En chemin vers le restaurant, voyageant sur le siège arrière de la Mercedes-Benz de Kohn et Kowalski, je me plaignis de la lenteur à laquelle il conduisait.

— Miro a l’habitude de me voir prendre les virages sur deux roues, ricana Ian.

— J’essaie de garder toutes les roues sur la route tout le temps, affirma Kohn de sa voix très sérieuse.

J’approuvais cela, mais pas le manque de vitesse. Quand je me plaignis à nouveau, il appuya sur l’accélérateur, mais pas assez pour me rendre heureux.

— Je pourrais mourir de vieillesse ici, insistai-je en me penchant entre Kowalski et lui. Laisse-moi conduire.

— Pas dans cette vie, m’assura Kohn alors que son partenaire posait une main massive sur mon visage et me repoussait en arrière.

Je me tournai vers Ian.

— Tu vas le laisser me traiter comme ça ?

Puisqu’il ne pouvait s’arrêter de rire, je supposai que mon renfort n’était pas près d’intervenir.

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— Attends. Tu penses que Miro a touché la voiture, toi aussi ?

— Non, grogna Ian. J’ai tiré sur la voiture.

L’éclat de rire de White attira notre attention à tous.

— Tu rigoles ? Toi aussi ? Vous tous, bande de connards, avez tiré sur la voiture ? Est-ce que vous vous foutez de moi ?

— Quand, commença Ian mine de rien, nous englobant tous d’un geste impérial de la main, les analyses balistiques reviendront, vous serez tous les deux sacrément embarrassés.

— J’ai touché la voiture, répétai-je alors que notre serveuse amenait des hamburgers pour Ian, Sharpe, et moi, et du poulet grillé pour White. Qu’est-ce que c’est que ça ? demandai-je, horrifié, en pointant sa nourriture.

— C’est la raison pour laquelle je vous survivrai tous de bien des années, m’assura White.

— Peut-être, répondit Sharpe avec dégoût. Mais nous aurons pris bien plus de plaisir.

— Je dirai de belles choses sur vous à chacun de vos enterrements.

Nous lui jetâmes tous des frites.

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Cela me frappa soudain comme un coup de poing au visage.

— Ian ?

— Qu’est-ce que tu fous ?

— Oh, haletai-je, mon cœur s’arrêtant de battre.

Je stoppai rapidement le véhicule, juste avant d’atteindre Lakeshore Drive, pour ne pas avoir d’accident ou m’effondrer.

— Bébé ?

Il se renfrogna instantanément.

— Est-ce que tu me le demandes, ou est-ce que tu le sais ?

— Je le sais.

— Tu n’as pas l’air sûr.

— Pour l’amour du ciel, I, m’exclamai-je d’un ton sec, raccourcissant son nom à la première syllabe, ce que je faisais rarement, parce que comment osait-il douter de moi ne serait-ce qu’une seconde ? Je ne pouvais pas t’entendre parce que je me battais avec ton foutu chien !

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— Je t’avais dit que j’avais tiré sur la voiture, me murmura-t-il à l’oreille.

Oui, en effet.

— Nous devrions aller au stand de tir. Je pourrais te donner quelques tuyaux.

Je m’éloignai de lui pour aller me poster près de la porte des toilettes et m’assurer que personne n’entre.

— Tu veux que je te rejoigne et te protège puisque je peux tirer droit ? me taquina-t-il.

— J’ai le Uzi, énonçai-je.

— Ouais, mais est-ce que tu peux toucher quelque chose avec ça ?

— Va te faire foutre, Ian !

Il éclata de rire.

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Extrait ajouté par Migabo 2016-04-13T09:21:00+02:00

“Don’t do that. Don’t make any part of this about me not wanting you, because you know that’s bullshit,” I warned him.

“Okay.”

“I will be all over you if that’s what you want.”

“Yes,” he croaked out. “That’s what I fuckin’ want.”

I lunged at him, hugging him tight, crushing him against me as I pressed my lips to his ear. “I love you, Ian Doyle. Only you, and every time you go away it fuckin’ kills me. I don’t ever want to us to be apart.”

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Extrait ajouté par Chipou62 2024-01-02T19:41:28+01:00

- Ouais, mais tu ne vas pas

- Je ne vais pas, quoi ? Partir ?

- Ouais

- Non.

- Mais si tu reçois un appel ?

- Un appel de déploiement, tu veux dire ? demanda-t-il avec solennité, se penchant davantage, son nez caressant mas joue, puis mon oreille, avant qu’il embrasse la ligne de ma mâchoire.

- Ouais.

- Je ne quitterai pas tes côtés.

- Promis.

- Oh oui. Jamais de la vie.

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J’avais envie de rire, un son énorme montant dans ma gorge, pas parce qu’il y avait quelque chose de drôle, mais parce que j’étais heureux.

— Ouais, nous pouvons faire ça.

Il poussa un long soupir en se tournant vers l’escalier.

— Tu sais, parfois je suis tellement heureux que je m’inquiète d’être dans un rêve et de me réveiller.

— Je connais ce sentiment, répondis-je alors que je le suivais.

— Mais alors, dit-il en se retournant pour me faire face. Je te vois et je reconnais que c’est la réalité, ma vraie vie.

— Bien, parce que tu es coincé avec moi maintenant.

— Depuis le début, ouais, je l’étais.

Il soupira brusquement.

— Merci de m’aimer.

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Lentement, pour ne pas attirer l’attention, parce que je ne voulais pas qu’il me coure après, je commençai à reculer hors de la pièce. En l’entendant mettre fin à la conversation, j’accélérai mon allure.

— Miro ! rugit-il à la seconde où il raccrocha.

Ce n’était pas un hurlement qu’il aurait lancé pour me dire « mets-toi à couvert », ni en aucune façon incitant à faire attention. Il était furieux.

Je décidai que la meilleure preuve de courage était de m’enfermer dans la salle de bains et je fus réellement impressionné que la porte tienne le coup quand il voulut l’enfoncer d’un coup de pied. Les portes de notre maison étaient en bois massif, alors j’aurais dû avoir un peu plus foi en elles.

— Ouvre cette putain de porte ! exigea-t-il en lui donnant un autre coup de pied pour faire bonne mesure.

— Pourquoi es-tu en colère ?

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