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— Tu l’as dans ton champ de vision, n’est-ce pas ? voulut savoir Eli Kohn.

— Putain, oui ! criai-je.

— Tu dois te rapprocher, mais pas trop, se sentit obligé de me dire Sharpe.

Je grognai.

— Essaie de te mettre devant lui. Ce serait mieux, suggéra Kowalski.

— Bordel, je jure devant Dieu que je vais tous…

— Tu sais qu’il ne peut pas faire ça, objecta Eli. Étant donné que Kage est en tête de la poursuite, Miro ne peut…

— Arrêtez vos bavardages, intervint Ching avec colère. Vous avez tous de la chance que Kage ne porte pas d’oreillette, sinon nous serions tous morts.

C’était vrai, mais puisque Kage était au centre de commande au moment de l’effraction initiale, il n’avait été autorisé à sortir que lorsque tout avait été sous contrôle, il n’avait donc jamais eu à porter une oreillette, contrairement à nous. Je vis l’homme tourner dans un immeuble d’appartements et Kage le suivre de près.

— Non, non, non, grommelai-je pour moi-même.

— Nom de Dieu, Jones, tu ferais mieux de t’assurer que rien ne lui arr…

— Est-ce que vous voulez bien tous la fermer ! intervint Ian d’un ton bourru, et le son de sa voix rude fut un soulagement bienvenu. Vous savez tous que Miro a la situation sous contrôle. Il n’est pas stupide ; il sait ce qu’il fait. Accordez-lui un peu de crédit, bordel ! C’était bien d’avoir quelqu’un de mon côté qui ne doutait pas de mes capacités mentales ou physiques et qui me soutenait face aux autres. Mais ce n’était pas surprenant ; je pouvais toujours compter sur Ian. Le moment de silence qui suivit son éclat fut apaisant.

— Mais tu le vois, n’est-ce pas ?

— Ian ! hurlai-je, me sentant complètement trahi.

— Je demande, c’est tout ! cria-t-il à son tour, sur la défensive.

— Allez tous en enfer ! beuglai-je avant de m’engouffrer par la porte d’entrée de l’immeuble après Kage, grimpant les escaliers sur ses talons, un niveau après l’autre, les voix incessantes

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— lan, commençai-je, la voix limite éraillée, trahissant mon désir, et le souffle court. Pouvons-nous continuer à parler de ça demain ?

— Miro...

— Dans la matinée, le suppliai-je en l'observant de la tête aux pieds, entendant ma propre expiration, sentant le frisson qui me parcourut le corps.

Il me jeta un regard noir.

— Je ne vais pas...

— J'ai beaucoup bu.

— Et alors ? Tu tiens mieux l'alcool que la plupart des gens que je connais.

— Oooh, c'est gentil, ronronnai-je en me rapprochant et en l'embrassant dans le cou, terminant par une morsure avant de m'écarter. Mais j'ai envie de coucher avec toi maintenant et mon cerveau est plus ou moins complètement occupé avec ça, à vrai dire.

Il toussa doucement.

— Donc tu me demandes de reporter la discussion sur notre vie pour que nous rentrions à la maison afin de coucher ensemble ?

— Oui. Exactement.

Son regard me caressa de haut en bas.

— Ouais, d'accord, allons-y.

C'était bien qu'il soit aussi mordu de moi que je l'étais de lui.

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— Sérieusement, dis-je en me glissant sur la banquette arrière, à côté d’Aruna, Min est vraiment effrayante.

— Elle est minutieuse, corrigea Ian. J’aime ça.

Aruna mima un haut-le-cœur.

— Il est son chouchou, tu sais, l’informai-je.

— C’est parce que c’est un lèche-bottes, railla Aruna.

L’intéressé passa la main entre les sièges et lui frappa la jambe.

— Aïe, crétin !

— Pas un lèche-bottes. Demande à Miro.

Je le reluquai.

— Il lèche d’autres choses.

— Je vais vomir.

Le chauffeur ne put s’empêcher de rigoler.

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— Arrête de penser que je pourrais te quitter un jour, d’accord, et j’arrêterai de penser que tu me diras de m’en aller.

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— J’ai mon mot à dire, maintenant, me rappela-t-il implacablement. Nous ne sommes plus seulement partenaires. Nous sommes mariés et mon opinion compte.

— Elle a toujours compté !

— Ouais, mais maintenant, elle a aussi du poids. Si je dis non, c’est non.

Je l’aimais, mais il devenait ridicule.

— Ce n’est pas comme ça que fonctionne le mariage !

— Je pense que c’est exactement comme ça que ça marche, asséna-t-il d’une voix rauque, un nœud dans la gorge sous le coup de l’émotion tandis qu’il essayait de respirer malgré sa colère.

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Ce que je savais de lui et le fait qu’il me traitait toujours comme si j’étais un parfait imbécile étaient en contradiction avec ses paroles. Était-il possible que Kage ne pensât pas que j’étais une totale andouille ? Et je savais que ce n’était pas le cas, sinon je n’aurais pas fait partie de son équipe, mais cela l’aurait-il tué de me le dire ? De lancer, même en passant : « Tu sais, Jones, tu n’es pas totalement nul.

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Je ne pouvais m’empêcher de le dévisager.

Il se renfrogna.

Je n’avais aucune idée de quoi dire.

— Ne dis rien à personne, ordonna-t-il avant de se tourner pour rejoindre la porte du toit.

Ne dis rien à personne ? Est-ce qu’il se foutait de moi ? Je pouvais à peine respirer !

Nom de Dieu de bordel de merde.

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— Alors, quoi ? demanda-t-il avec colère.

Il savait à quoi il ressemblait – bel homme, corps superbe, avec des muscles durs et denses – et qu’il devait y avoir une raison à mon refus.

— Je suis marié, alors je ne peux plus embrasser les hommes séduisants.

Je vis son expression alarmée disparaître de ses traits parfaits et la compréhension prendre le relais.

— Désolé, murmurai-je.

Toute son irritation et sa confusion disparurent en un instant, ce dont je fus reconnaissant. Je m’étais trouvé à sa place à de nombreuses reprises par le passé, draguant le mauvais gars.

— De quoi ?

Je haussai les épaules.

— J’sais pas, avoir envoyé les mauvais signaux peut-être.

Il secoua la tête, tendant la main pour repousser une mèche de cheveux de mon visage.

— Ce n’est pas le cas. J’ai seulement été excité de rencontrer quelqu’un de si beau et drôle. Je reniflai avec suffisance.

— Oooh. C’est vraiment sympa de dire ça.

Ses yeux se posèrent rapidement sur l’anneau épais que je portais à la main gauche.

— J’ai vu la bague, mais beaucoup d’hommes en portent. Tu n’imagines pas combien d’entre eux j’ai rencontrés en boîte qui m’ont dit qu’il ne s’agissait que d’un bijou quelconque.

Je haussai un sourcil interrogateur et il plissa les yeux en réponse.

— Quoi ?

— Tu ne crois pas que tu choisis peut-être des hommes qui sont vraiment mariés ?

— Non, répliqua-t-il, sur la défensive.

— Oh, d’accord, lançai-je avec condescendance, malicieusement, me sentant mieux, normal, de retour sur un terrain sûr avec lui.

— Tais-toi, grommela-t-il.

Je grimaçai.

— Si très peu te rappellent, tu comprends, j’espère, que certains des hommes qui portent des bagues sont bel et bien pris et que toi, mon ami, n’étais qu’un plan cul.

— Tu es vraiment un petit malin.

— Peut-être que tu devrais rester à l’écart des hommes qui portent des bijoux à partir de maintenant.

— Mais ils sont tous si sexy, confessa-t-il d’une voix rauque.

Je reniflai d’un air narquois, ce qui le fit rire en réponse.

— Alors, depuis quand es-tu marié ? demanda-t-il, les mains sur les hanches, se tenant toujours dans mon espace personnel.

— Quatre mois, répondis-je rapidement.

Il hocha la tête.

— Ton homme est loin de Chicago ?

— Non, en fait, il était souvent déployé, mais plus maintenant.

— Donc, il est simplement resté à la maison et tu es sorti ?

— Non, il est sorti avec des gars avec qui il a bossé aujourd’hui.

— Au lieu de t’accompagner ?

— Ouais, mais…

— Ce n’est pas malin, me lança-t-il.

— Ça ne pose aucun problème, affirmai-je comme une évidence. Je suis fidèle et je peux m’occuper de moi, tu ne crois pas ?

— Tout à fait, acquiesça-t-il en posant la main sur le mur, à côté de ma tête. Mais c’est stupide de te laisser seul.

— Je ne suis pas…

— C’est stupide, en effet.

Ian.

Nous nous tournâmes pour le voir avancer vers nous dans le couloir et j’entendis Daley retenir sa respiration à côté de moi. Jusqu’à cet instant, Daley n’avait pas vu la beauté. Non que « beau » soit le mot que j’aurais employé pour décrire Ian. Non, j’aurais plutôt dit « à couper le souffle ».

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Tous deux tournèrent ensuite les talons pour retraverser la rue et remonter le trottoir d’en face. Ils s’étaient certainement garés dans une autre rue, car ils tournèrent au coin du pâté de maisons et disparurent de notre vue.

— Il fait froid, ils auraient dû se garer plus près, commentai-je en passant mon bras autour du cou de Ian.

— Putain de Harris, gronda-t-il.

— Quoi ?

— Tu sais à quel point cela lui aurait été facile s’il avait voulu nous tuer ?

— Pourquoi voudrait-il nous tuer ? Il m’a paru être un type bien.

— Seigneur, Miro, ta vie est pleine d’hommes dangereusement effrayants.

— Non, le corrigeai-je. Ma vie est pleine d’un homme avec un ensemble de compétences dangereusement effrayantes.

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Il me jeta un coup d’œil.

— De quoi est-ce que tu parles ?

— Les gens demandent tout le temps aux femmes qui n’ont pas d’enfants quand elles comptent avoir un bébé. Ça arrive presque quotidiennement à mon amie Catherine. Elle est médecin et son mari est compositeur et ils sont tous les deux au mieux de leur forme, tu vois, et pourtant, c’est comme s’ils étaient jugés parce qu’ils n’ont pas encore d’enfants, et elle encore plus.

— Ce qui est une discrimination pourrie, m’informat-il.

— Oui, parce que c’est comme si elle était moins femme sous prétexte qu’elle n’est pas mère.

Redeker grogna en guise de réponse.

— C’est n’importe quoi, enchaînai-je.

— Je suis d’accord.

— Mais c’est pareil pour moi, finalement, parce que si je ne peux jamais être père, cela me rend-il moins homme ?

— Je pense que les gens sont un milliard de fois plus prompts à juger une femme qui n’a pas d’enfants qu’un homme.

— Non, je sais, mais quand même, les gens regardent Eriq – c’est le mari de mon amie Catherine – et chaque fois qu’il joue avec un enfant ou porte un bébé, les gens disent : « Oh, quel bon père il ferait, il devrait avoir des enfants ! »

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