Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
713 948
Membres
1 009 047

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Extrait ajouté par Deniador 2011-06-11T00:32:56+02:00

Les scientistes proclamaient que les envahisseurs n'étaient ni des Martiens ni des démons, mais les produits (visibles et audibles) de l'erreur humaine, et qu'ils disparaîtraient si nous refusions de croire à leur existences.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Fanfan_Do 2022-09-30T17:00:35+02:00

Seul un casse-cou se fût enhardi, avec les Martiens dans les parages, à traire une vache sans l’attacher et lui immobiliser les pieds.

Les chiens piquaient des crises de nerf. Beaucoup mordirent leurs maîtres, qui durent s’en débarrasser.

Seuls les chats, passé les premières expériences, s’accoutumèrent à leur présence et la supportèrent avec un calme olympien. Mais les chats, comme chacun sait, ont toujours été des êtres à part.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Fanfan_Do 2022-09-30T17:00:20+02:00

Psychologiquement, les Martiens se ressemblaient encore plus que physiquement, mis à part quelques variations d’ordre secondaire (il y en avait certains qui étaient encore pires que les autres).

Mais tous, autant qu’ils étaient, se montraient acariâtres, arrogants, atrabilaires, barbares, bourrus, contrariants, corrosifs, déplaisants, diaboliques, effrontés, exaspérants, exécrables, féroces, fripons, glapissants, grincheux, grossiers, haïssables, hargneux, hostiles, injurieux, impudents, irascibles, jacasseurs, korriganesques. Ils étaient lassants, malfaisants, malhonnêtes, maussades, nuisibles, offensants, perfides, pernicieux, pervers, querelleurs, railleurs, revêches, ricanants, sarcastiques, truculents, ubiquistes, ulcérants, vexatoires, wisigothiques, xénophobes et zélés à la tâche de faire vaciller la raison de quiconque entrait en leur contact…

Afficher en entier
Extrait ajouté par wizbiz06 2012-06-04T14:13:34+02:00

Je vous présente Luke Devereaux. Trente-sept ans, près d’un mètre quatre-vingts, poids actuel : soixante-cinq kilos. Tête surmontée de cheveux rouges en bataille, impossibles à domestiquer sans l’usage de fixateur, et Luke n’en employait jamais. Sous les cheveux, des yeux bleu pâle au regard de préférence vague ; le genre d’yeux dont on n’est jamais sûr qu’ils vous voient même s’ils vous regardent. Sous les yeux, un long nez mince, raisonnablement centré dans une figure en longueur et pourvue d’une barbe de quarante-huit heures au bas mot

Afficher en entier
Extrait ajouté par wizbiz06 2012-06-04T14:13:04+02:00

Oui, sans aucun doute, nous devions être préparés. Mais préparés à la forme sous laquelle ils se montrèrent ? Oui et non. La science-fiction nous les avait présentés sous des milliers de formes – grandes ombres bleues, reptiles microscopiques, insectes gigantesques, boules de feu, fleurs ambulantes, et tout ce que vous voudrez – mais elle avait soigneusement évité le plus banal des clichés… et ce fut ce cliché qui se révéla être la vérité. Les Martiens étaient vraiment des petits hommes verts

Afficher en entier
Extrait ajouté par Deniador 2011-06-11T00:32:56+02:00

Dans les milieux enclins moins à la religion qu'à la superstition, les théories étaient encore plus variées, ainsi que les méthodes à employer pour venir à bout des Martiens. (Au moins les Eglises s'accordaient sur un point : le recours à Dieu par la prière pour nous libérer.)

Afficher en entier
Extrait ajouté par Deniador 2011-06-11T00:32:56+02:00

Réellement, oui, l'heure était grave. Et la grande crise des années 30 commençait à apparaître rétrospectivement comme une ère de prospérité.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Deniador 2011-06-11T00:32:56+02:00

- Salut, Toto, fit le petit homme vert. C'est bien la Terre ici?

- Oh, non! répéra Luke Devereaux. Ce n'est pas possible...

-AH. On dirait que si pourtant. (Le petit homme vert éleva la main.) Une seule lune, dont les dimensions et les distances correspondent. Il n'y a qu'une seule planète dans le système à n'avoir qu'un lune, et c'est la Terre. La mienne en a deux.

Afficher en entier
Extrait ajouté par emano 2023-04-12T07:14:33+02:00

Prenons un exemple typique au hasard : ce qui arrivait à Alf Billings, pickpocket londonien, au moment précis ou Luke Devereaux déjeunait à Long Beach. A Londres, c'éait le début de la soirée. Mais laissons Alf raconter la chose lui-même.

A vous, Alf.

« J'étais désempatouillé de droguet, après un marquet de chtibe, et je décarrais d'un tapis où j'avais tout juste pu douiller un glas de pive. Maintenant, j'avais plus un lidrème en valade. Mais ch'uis vergeau, Subito, je vise un pante à l'autre loubé du parc à turf, l'air urpino, bagottant devant mézigue. Je gamberge aussi sec de le vaguer. Je gaffe en lousdé ; nib de flic icigo. Y a bien un Larsiémic sur un couvercle de chignole, à proxime, mais je conobrais pas encore lerche sur ces nières-là. Et fallait bien que je me mouille si je voulais, ce borgnon, me glisser dans les bannes. Alors je m'approche du cavestro et je lui fourline le morlingue... »

Un instant, Alf. Il vaudrait peut-être mieux que ce soit moi qui raconte...

Afficher en entier
Extrait ajouté par emano 2023-04-12T06:56:31+02:00

Oui, sans aucun doute, la catastrophe régnait. Et nulle part davantage que dans le double domaine des infractions à la loi et de leur répression. A première vue, on aurait cru que, si les flics en voyaient de dures, ce ne pouvait être le cas délinquants, et vice versa. Mais il n'en allait pas du tout ainsi.

Les flics en voyaient de dures parce que les crimes passionnels et les actes de violence étaient en pleine recrudescence. La résistance nerveuse des gens s'amenuisait déjà. Puisque'il était superflu de se battre avec les Martiens, ils se battaient donc entre eux. Dans les rues comme les foyers, on en venait aux mains pour un oui ou pour un non. Les meurtres sous l'empire de la colère ou d'un coup de folie se multipliaient. On allait bientôt refuser du monde dans les prisons.

Mais si la plice était survoltée, ce n'était pas le cas des délinquents professionnels, qui se trouvaient à bout de ressources. Les délits préméditéés ayant pour mobile l'intérêt diminuaient à vue d'oeil.

C'est que les Martiens étaient tellement rapporteurs !

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode