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Commentaires de livres faits par marylinestan

Extraits de livres par marylinestan

Commentaires de livres appréciés par marylinestan

Extraits de livres appréciés par marylinestan

-Un reporter malade n’est pas un verre brisé, mademoiselle. Mon équipe n’aimerait pas que je remplace l’un des siens avec autant de désinvolture.
Ce que Jeannette redoutait est en train de se passer. Il se lève, mais elle s’obstine. Elle garantit des portraits originaux dans lesquels elle mettra en lumière les conséquences des valeurs et des actes qui changent des destinées. Les histoires de vie produisent du lien avec les lecteurs et donnent du sens aux événements.
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-Le reportage exige de l’inspiration, du talent et du flair. En avez-vous ?
Elle répond dans un souffle.
-Le journaliste est un produit spontané. Etes-vous un être électrique ?
Elle n’a rien de commun avec la foudre, même si sa franchise lui joue des tours. Il enchaîne.
-Si l’on naît poète, on naît aussi journaliste.
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Rappelons encore une fois que ce noble serviteur de la République a été fauché en pleine ascension par une main vengeresse. La mort a surgi de l’ombre et frappé sauvagement sa poitrine virginale. Les mots sont impuissants face à l’horreur ! Mais la justice sera rendue, les cris et les larmes de la gorgone resteront sans appel. Sa tête roulera dans le panier. J’en fais le serment.
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-Eh bien, prends ton temps. Il y a une vue partielle sur la mer, si tu comptes ce petit morceau de baie qu’on devine derrière les arbres. C’est équipé, bien sûr. Petite maison, mais les gens sont sympas. Tu es arrivée cette semaine ?
-Ça se voit tant que ça, alors ?
La logeuse acquiesça.
-C’est le look qui te trahit. Ne perds pas de temps, mords le lotus à pleines dents.
-Pardon ? Je ne vois, pas bien…
-Tennyson. Tu sais ? « Manger le lotus jour après jour./Regarder les ondulations sur le plage,/ Et les tendres courbes de l’écume crémeuse,/ Soumettre nos cœurs et nos esprits tout entiers à l’influence de… » et cetera. Bref, tu me comprends.
-Euh…est-ce que les meubles sont compris ?
-Ne change pas de sujet quand je cite Tennyson.
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-Parfait, parfait…Bon, je suppose que vous savez ce qu’on attend de vous ici ?
-Si j’ai bien compris, je ferai un peu de tout ?
Elle rit nerveusement.
-Le salaire est bon. Six cent cinquante par mois. Et ici, on est assez détendus…puisqu’on est à San Francisco.
Il dévorait Mary Ann des yeux. Il se mit à mordiller l’articulation de son index.
-L’ambiance…informelle ne me dérange pas, dit Mary Ann.
-Vous aimez Las Vegas ?
-Pardon, monsieur ?
-Earl.
-Quoi ?
-Earl. C’est mon nom. Informel, souvenez-vous.
Il sourit et s’essuya le front. Il transpirait abondamment.
-Je vous demandais si vous aimiez Las Vegas. On y va souvent. Las Vegas, Sacramento, Los Angeles, Hawaï. Des tas d’avantages en nature.
-Cela me semble…très bien.
Il lui adressa un clin d’œil.
-Si vous n’êtes pas trop… comment dirais-je…collet monté.
-Ah.
-Ah, quoi ?
-Je suis assez collet monté, monsieur Creech.
Il prit un trombone sur son bureau et le tordit lentement, sans lever les yeux.
-Suivante, fit-il calmement.
-Pardon ?
-Sortez.
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( Francis Dumaurier, talking about the French Fries) :
« My friend Patrick Kurtkowiak came to spend two weeks in New York in September 1981. But this time he came with a small budget to record four songs he had written, which he hoped to distribute in Paris. I called my friend Chris, and we had a guitarist. Chris called Gary, and we had a bassist. Then I called Giorgio, who recommended Sami, the French drummer of the Volcanos, a rock band from the Lower East Side. The band was now complete with Patrick as the singer. I named our new group the French Fries. » The songs can be listened on Patrick Kurtkowiak’s site : https://www.patrickkurtkowiak.com
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(Giorgio Gomelsky, talking about Brian Jones) :
" I warned him. I told him, I have no doubt that you’ll get there. I warned him. I was four or five years older than him. Not that much, you know. »
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Lavoir obtenait des informations que personne n’aurait pu soutirer à un avocat général. Son regard s’est noirci jusqu’à devenir une lance qui transperçait les masques de ses interlocuteurs. À l’appel du sang, sa plume extrayait le macabre des histoires comme nul autre.
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Jeannette ne s’attarde pas. Elle tourne dans la deuxième allée gravillonnée. Elle connaît le chemin par cœur pour l’avoir emprunté si souvent autrefois : à chaque blessure, doute, ou question. Puis elle repartait apaisée même si le silence avait avalé les réponses. La tombe est aussi triste que son cœur vide. De mauvaises herbes ont poussé puis jauni, un vase ébréché tombé par terre. Les signes de l’abandon. Dans un petit médaillon, sa mère la fixe de son regard bienveillant, mais elle observe ses pieds. Sa tête est vide, vide de pensées, vide de mots. Un seul résiste et subsiste : maman.
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Lorsque certains écrivent que les « discussions sont vaines avec les criminels », je répondrai que leur utilité réside en ce qu’elles répriment ou contiennent. Je parle de la brutalité. Les discussions apaisent les esprits.
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- Pour le moins, vous n’êtes pas avare de compliments !...Mais vous tenez toutefois le discours d’un énarque…Celui qui persuade une limace qu’elle appartient à l’ordre des vertébrés, sans pour cela agir dans les faits, afin qu’elle y croie un peu ! Un avenir vous tend les bras : la politique !
- La politique ? Quelle curieuse idée ! Je ne sais pas mentir à longueur de journée et je détiens un grand défaut : je suis sincère !
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- Vous ne craignez pas que l’on vous agresse pour l’argent ?
- Non ! Comme le putois, ma puanteur me préserve ! Nul ne viendra m’enlacer… Et puis à part l’Etat, personne n’a volé un pauvre !
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- Le patient 232, un maniaco-dépressif, d’ordinaire très calme, a couru partout en se cachant dans tous les placards disponibles…Selon lui, il fuyait un troupeau d’éléphants qui le pourchassait !
- Injectez-lui 150 mg de fluphénazine…Le volume max.
- Mais, cela pourrait être dangereux ! Je trouve ce dosage très risqué !
- Voilà le prix de la tranquillité ! De plus, nous expérimentons depuis peu ce nouveau médicament…Nous devons faire progresser la science !
- Le psychopathe 124 a noyé de seaux d’eau tous les malades de sa chambre commune…Il voulait les épargner des flammes qu’il voyait gigantesques !
- Louable intention ! Mais il ne faudrait pas qu’il les sauve tous les soirs ! Pratiquez-lui trois électrochocs par semaine en augmentant l’intensité à chaque séance ! Est-ce tout ?
- Non ! Vous avez rendez-vous avec Josélin Andrieu, notre plus ancien pensionnaire, pour établir son bulletin de sortie…
- Ah oui ! J’allais oublier…Faites-le entrer…Madame Gildat vous arrive-t-il de sourire de temps à autre ?
- Avec ma famille, mes amis, jamais ici ! Et surtout pas pour que la science avance !
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« En mars 1954, il refuse d’engager son groupe dans la bataille de Diên Biên Phu. Il s’oppose avec vigueur à la stratégie suicidaire de concentrer toute l’armée française dans une cuvette entourée de montagnes ! Il démissionnera, écoeuré par l’entêtement des généraux incompétents qui du haut de leur supériorité méprisaient selon eux : tout un peuple de sous-développés fanatiques qui ne se déplacent qu’à vélo ! Lui, il les avait combattus au corps à corps et il connaissait leur courage, leur détermination, leur bravoure ! »
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- Est-ce que l’on change beaucoup à l’âge adulte ? interrogea Olga.
- Cela dépendra de votre attitude. Vous trouverez un tas de gens qui vous imposeront ce qu’ils croient bon pour vous. Ne les écoutez jamais ! Allez là où vous le décidez, gardez précieusement votre âme d’enfant ! Mon poème s’intitule : le combat. Que ce combat soit toujours le vôtre ! Luttez tant qu’il vous reste un peu de vie ! Dites à vos éducateurs que vous deviendrez meilleurs qu’eux ! Qu’ils ne l’oublient jamais ! Dans toute votre existence, certains s’arrogeront le droit de vous toiser d’en haut, avec un regard plein de morgue, juste pour renier vos origines ! Quand ils vous demanderont : d’où venez-vous ? Vous répondrez : « Je viens de mon enfance ! »
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date : 17-04-2022
Le livre continue à descendre en planant comme une mouette. Pourvu qu’il ne leur arrive rien. Le livre n’est pas un oiseau. Tu n’aperçois plus petit rossignol.
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date : 17-04-2022
Ils sont amoureux, mais ils ont peur de l’amour. Ils sont merveilleux, mais ils ont peur de ces émotions incandescentes. Et si c’était un piège ? Chacun veut y courir. La bousculade est générale, certains s’en sortent, d’autres s’y noient. Certains sont victimes, mais un jour ils se vengent.
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Tout en sirotant son verre, il en profita pour recharger et mettre à jour son BH qui en avait grand besoin. Pour patienter et sans trop savoir pourquoi, il fit défiler les dernières news holos sur son bracelet. Il avait vu récemment, grâce au Cinéma Intégral, des pratiques identiques datant du siècle dernier concernant l’ancêtre du BH que l’on nommait téléphone portable. Sur ces images, tous semblaient rivés, comme aujourd’hui, sur ce dérisoire mais indispensable accessoire électronique. Il avait toutefois remarqué que ce petit appareil était largement moins perfectionné que les BH et moins chronophage qu’aujourd’hui.
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Le Cinéma Intégral s’était immédiatement révélé un outil extraordinaire pour réaliser des recherches historiques ou généalogiques qui atteignaient une fiabilité jusqu’alors inconnue par l’humanité. Mais il avait tout aussi rapidement révélé ses aspects les plus sordides compte tenu du voyeurisme pervers d’un public se délectant à la vision de grandes batailles sanglantes ou des hécatombes qu’avaient pu provoquer les grandes épidémies. Ceci sans compter sur l’inévitable commerce des images de sexe historiques.
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Il suffisait en effet de réussir à capter, isoler, amplifier et regrouper ces ensembles de photons qui s’éloignaient de notre Terre pour visionner, via les pixels dont ils étaient porteurs, un véritable film de tout ce qui avait été touché par la lumière sur la Terre. Comme on observait depuis la nuit des temps la lumière que réfléchissait un astre en se dirigeant vers nous, il était aujourd’hui possible de lire celle qui était réémise vers l’espace depuis la surface de notre propre planète.
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date : 25-02-2022
Par chance, Stéphane ne possédait plus aucun bien en France. Il avait laissé son appartement à son épouse lors du divorce, ses économies à Pénélope, n'emportant sur la Grande Île que sa bite, son couteau et une retraite lui servant d'argent de poche à Tamatave ; un brave garçon, au final, avec un certain sens de l'honneur et de la morale, ce que le photographe fit comprendre à la mégère qui s'agitait au bout du fil : Stéphane était mort et la pompe à fric désamorcée. Tarie, la divine source, mémère ! Vexée, celle-ci raccrocha mais Yann ne doutait pas qu'elle revint à la charge. Il le subodorait et son instinct le trompait rarement.
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date : 25-02-2022
L’Herbe poussait plus verte
Il avait en effet mieux à défendre question valeurs, l'extrême-droite perçait en France, favorisée par un Président « de gauche » jouant un drôle de jeu. Et Yann n'aimait pas les propos racistes y fleurissant comme champignons après la pluie. Non pas qu'il fût dupe des dangers d'une immigration incontrôlée mais il acceptait mal le fascisme larvé pointant le bout de son nez.
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date : 25-02-2022
Nora s'assit à l'une des terrasses pour siroter un café au goût incertain, profitant du calme relatif qu'offrait l'instant présent. Elle remarqua bien que la station n'était peuplée que de visages pâles, contrairement à un Paris mélangé, mais n'en fit pas une histoire : c'est la « quinzaine du blanc », se contenta-t-elle d'ironiser intérieurement.
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– Vous ne voulez pas faire partie de notre famille ? demanda Gytha.
– Non ! fit Ragna en lui lançant un regard stupéfait. – Mais pourquoi ? – Comment pouvez-vous me poser une telle question ? – Pourquoi ne pouvez-vous pas nous éviter vos sarcasmes ? » interrogea Wigelm. Ragna inspira profondément. « Parce que je ne vous aime pas, parce que vous ne m’aimez pas et parce que cette idée de mariage est tellement grotesque que je ne peux même pas faire semblant de vous prendre au sérieux. » Wigelm fronça les sourcils, cherchant à comprendre ses propos : elle avait déjà remarqué qu’il avait du mal à saisir le sens des phrases trop longues.
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Ayant dévisagé Blod avec curiosité, il lui demanda : « Je te connais, n’est-ce pas ? – Vous m’avez foutue, si c’est ce que vous voulez dire », répondit Blod d’une voix forte. Wynstan eut l’air gêné, ce qui n’était pas dans ses habitudes. « Ne dis pas n’importe quoi. – Deux fois, même. Comme c’était avant que je sois grosse, vous avez donné trois pence à Dreng chaque fois. » Wynstan avait beau déployer peu d’efforts pour faire croire à sa vertu sacerdotale, il n’en fut pas moins contrarié de voir sa chasteté publiquement contestée.
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Dans le jour grisâtre, Edgar aperçut une forme bizarre sur l’eau. Il avait une bonne vue et était habitué à repérer les navires à distance, distinguant les contours d’une coque de ceux d’une haute vague ou d’un nuage bas, mais en cet instant précis, il avait de la peine à reconnaître ce qu’il avait sous les yeux. Il tendit l’oreille, à l’affût d’un bruit lointain, mais n’entendit que le bruit des vagues sur la grève devant lui. Au bout de quelques secondes il crut entrevoir la tête d’un monstre et un frisson d’effroi le parcourut. Il lui sembla discerner des oreilles pointues, de puissantes mâchoires et un long cou qui se découpaient sur la faible lueur du ciel. Il ne lui fallut alors que quelques instants pour comprendre que ce qu’il avait sous les yeux était pire qu’un monstre : c’était un navire viking avec une tête de dragon à l’extrémité de sa longue proue incurvée. Un autre vaisseau surgit à l’horizon, puis un troisième et un quatrième. La brise du sud-ouest qui forcissait gonflait leurs voiles et les bâtiments légers franchissaient les flots à vive allure.
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