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"Leurs mains se joignirent pendant que les deux rivaux se jaugeaient en silence, puis Mélody donna le top.
Aussitôt, Lévine contracta ses muscles et appuya de toutes ses forces contre le bras de la jeune femme. Il concentra toute son énergie et rassembla toute la puissance dont il fut capable ; il cria même pour se donner du courage. Ce faisant, il ferma également les yeux afin de ne pas être distrait par ceux qui l’entouraient.
Après quelques longues secondes, il appuyait toujours aussi fort, grimaçant sous l’effort. Il fronçait tant les yeux que ceux-ci ne furent bientôt plus qu’une mince ligne.
Quand il rouvrit les yeux, ce fut pour réaliser que malgré tous ses efforts, son bras n’avait pas bougé d’un pouce : Océane avait tenu bon et n’avait même pas dû beaucoup forcer pour contenir la puissance de son opposant.
- Mais que… comment c’est possible ? s’exclama-t-il, surpris.
- À mon avis, déclara Océane en arborant un large sourire en voyant la mine déconfite du jeune matheux, tu m’as sous-estimée.
Puis, comme pour confirmer sa déclaration, Océane abattit d’un coup sec le bras de Lévine qui claqua sur la table.
- Victoire d’Océane ! annonça Mélody à la cantonade.
Toutes les filles vinrent ensuite auprès d’Océane et l’entourèrent, lui gratifiant plusieurs mots de félicitations. Lévine, quant à lui, était toujours assis, observant sa main, incrédule. "
Afficher en entier"Pourquoi tu dis ça ? lui demanda Gabriel, perplexe.
Bastien poussa un soupir à fendre l’âme.
- Parce qu’un jour j’ai aimé une fille de toutes mes forces et que je l’ai bien regretté.
Tout en parlant, il avait fixé, d’un regard lointain, comme perdu dans une vague de nostalgie, une bague passée autour de son annulaire.
- Bah, je connais bien Emma et je sais qu’elle ne me ferait jamais une chose pareille.
- En es-tu bien sûr ?
Devant cette question aussi cinglante que surprenante, Gab ne sut quoi répondre.
Bastien avait vécu quelque chose de douloureux qui l’avait changé à jamais.
Mais quoi ?"
Afficher en entier"Wilhem Dietrich se pencha ensuite en avant, de sorte que son imposante bedaine écrasât davantage sa prise, pour lui lécher le visage avec sa langue râpeuse.
Nathalie émit bien quelques geignements plaintifs, mais ceux-ci furent rapidement étouffés par la main qui était toujours collée contre sa bouche.
Quand il eut léché tout le visage de sa victime, Wil retira sa langue avant de coller ses lèvres gercées contre celles de Nathalie. Il lui fourra profondément sa langue dans la bouche, l’étouffant de plus en plus.
Finalement, il attrapa la langue de la monitrice avec ses dents puis tira aussi fort qu’il pût, arrachant un gros morceau sanguinolent qu’il avala goulûment après l’avoir mastiqué bruyamment.
La bouche en sang, Nathalie essaya de dire quelques choses mais la mutilation de sa langue ne lui permettait plus de s’exprimer ou même de pousser des cris."
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