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Commentaires de livres faits par Mathapril

Extraits de livres par Mathapril

Commentaires de livres appréciés par Mathapril

Extraits de livres appréciés par Mathapril

Je vais chercher mon flingue…
— Tu n’as pas de flingue ! riposte Lois en levant les yeux au ciel.
— Je peux en trouver un.
— Papa, ne te mêle pas de ça, s’il te plaît !
— Il est en ville, je suis passé en skate devant lui hier matin. J’exige des représailles ! J’invoque la brigade anti-fils de p…
— Jarrow ! siffle sa mère. On dit brigade anti… Elle réfléchit avant de reprendre :
… petits merdeux bons à émasculer !
— Ça, c’est ma daronne ! il rugit en sautant sur ses pieds.
Avez vous apprécié cet extrait ? +28
(dialogue entre Lois et sa mère)
— Tu ne m’avais pas dit que Lane était aussi beau !
— On se calme, cougar !
— Il est célibataire ? Dis-moi que vous fricotez !
— Maman ! Non ! C’est un ami, il n’y a rien de ce genre entre nous.
— Pourtant, il ne t’a pas quittée des yeux dans le salon.
— Parce qu’il était terrorisé par les membres de cette famille et qu’il cherchait à être rassuré, je balance d’une voix assurée.
— Y’a une énergie entre vous…
— Arrête de lire tes livres bizarres, ça te monte à la tête. Il n’a pas de petite copine, mais moi, je ne suis pas libre. Enfin, si, mais tu vois ce que je veux dire…
— Kirk était gentil, mais je te trouve bien mieux sans lui. Plus naturelle.
— Pardon ? C’est la première fois qu’elle me fait une remarque au sujet de mon couple, je n’en reviens pas. Elle allume le four,psalmodie quelque chose que je ne saisis pas tout en nouant un tablier autour de sa taille. Elle ouvre un tiroir et se retourne à nouveau vers moi.
— Je veux que ce garçon porte mes petits-enfants, elle assène en me pointant avec une cuillère en bois.
Euh… Quoi ?
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—Désolée, je n'ai rien vu de ton avenir, dis-je.
Ben me sourit, l'air impatient.
—Et qu'est-ce que tu as vu de mon passé ?
Les autres semblaient très intéressés eux aussi. Je détournai les yeux.
—Tu n'as pas e nvie que je le dise, crois-moi sur parole.
—Allez, comme nt tu ve ux que je sois sûr que ça a marché sinon ? insista-t-il.
—Oui, vas-y, renchérit Joe.
—Vas-y, re prirent-ils tous en chœur.
Je secouai la tête.
—Tu vas avoir honte, marmonnai-je, mais cela ne fit qu'augmenter leur ardeur.
Je levai les mains au ciel.
—Très bien, tu l’auras voulu. A douze ans, tu as volé le DVD M innie Mouse préféré de ta petite sœur et tu t'es masturbé tous les soirs en le regardant jusqu'à ce que ton père s'en rende compte et qu'il t'oblige à lui en racheter un avec ton argent de poche.
Un silence stupéfait se fit. Ben rougit comme une tomate.
—J'y crois pas, maugréa-t-il, mais son
commentaire fut vite noyé par les rires et les taquineries amicales.
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
Plus les minutes passent, plus j’ai le trac
Tu sais que tu es la première fille à participer à cette soirée.
- Tu me charries ?
- Non. On a toujours dit que seules celles qui compteraient vraiment pour nous auraient le droit de s’asseoir à notre table ou d’assister à la soirée.
Bon s’il veut me rassurer, c’est raté !
J’ai encore plus la trouille de ne pas leur plaire. Mes anciens doutes reviennent au galop et Connor n'en manque rien.
- James t’adore déjà me souffle-t-il. Vale et Travis t’aimeront aussi. Ne t’inquiète pas.
Je ne vais pas tarder à le savoir puisqu’on frappe.
Je me réfugie dans la cuisine et finit de garnir les plats que je dépose sur le bar qui sépare la cuisine du salon.
Je dispose les derniers sandwichs sur un plateau quand je sens qu’on se glisse derrière moi.
Ce n’est pas Connor.
- Je t’ai manqué ?
Je me retourne et tombe dans les bras de James qui m’étreint avec force.
- Tu veux que je corrige ce crétin ? me glisse-t-il à l’oreille.
- Non, je lui souffle à mon tour.
- Il a été gentil avec toi ?
- Oui !
- Il te rend heureuse ?
- Très !
- Ok, je lui accorde le bénéfice du doute, alors !
- James, lâche-la ! Ordonne Connor.
Au lieu de ça, James m’enlace encore plus étroitement et dépose un gros baiser dans mon cou.
- James, bordel !
- Ne le laisse pas te marcher sur les pieds et s’il merde encore, tu me préviens, d’accord ?
Je hoche la tête, rougissante.
Je viens de remarquer les deux autres amis de Connor, debout derrière le bar. Ils nous observent, James,
Connor et moi, goguenards.
- Les mecs je vous présen…
- James, bon dieu ! C’est à moi de le faire ! s’insurge Connor.
- Te, te, te ! Je considère cette nana comme la petite sœur que je n’ai jamais eue, alors j’ai le droit.
- Ouais le droit de te taire, grogne mon homme.
Ok, je prends donc les devants pendant que ces deux-là s’étripent
- Salut, je suis Mina, dis-je en approchant des deux inconnus qui me fixent alors que Connor et James se sont tus.
Je serre la main du premier.
- Travis, lâche-t-il alors que sa poigne est solide sans être destructrice.
Il est blond, les cheveux coupés en brosse. Il est impressionnant, grand, musclé et, semble-t-il, plutôt réservé.
Le deuxième, que je suppose être Vale, ressemble au héros de ma jeunesse. J’ai sous les yeux le sosie d’Albator. Grand, mince, cheveux longs et bruns et une cicatrice qui barre son nez de l’œil droit à sa joue gauche. Et bon sang, je suis sûre qu’il serait moins séduisant sans. Il ne lui manque qu’un bandeau sur
l’œil, un étrange oiseau sur l’épaule et il pourrait très bien jouer le rôle du corsaire de l’espace. Et ce n’est pas son accoutrement de motard qui me fera dire le contraire.
En résumé, tous les potes de Connor sont canons, chacun dans leur genre. Vale s’est avancé sans saisir la main que je lui tends.
- Alors tu penses avoir le droit d’être là ce soir ? me demande-t-il plein de défi.
Travis a croisé les bras. Connor et James sont toujours muets comme des carpes, la bouche ouverte,
attendant sûrement de me voir reculer devant ces deux molosses.
Je croise les bras sur ma poitrine, je redresse les épaules et je les dévisage sans ciller. Si c’est une sorte
de rite de passage, je suis fin prête.
- Oui, j’affirme sereinement et avec détermination.
- Tu sais que ne sont admises ici que des filles très spéciales…
- Mais je le suis… Je rétorque.
- Ah oui !... Et qu’est-ce qui te fait croire ça ?
- Je rends Connor heureux et… accessoirement, je suis plutôt du genre serré agressif… au
poker.
Pour le coup, ils me dévisagent mais semblent plus surpris qu’autre chose.
- J’ai le droit de m’assoir à cette table, alors ? je demande en les toisant, confiante.
- Tu es pour l’Irlande ?
- Oui et pour la France.
- Ton joueur préféré ?
- Travis, Vale, c’est bon ! lance Connor dépité.
- Laisse mon cœur, je crois que c’est une sorte de rite de passage, c’est marrant, non ?
James grogne mais je crois surtout qu’il essaie de ne pas rire. Je reprends donc.
- Alors mon joueur préféré… ? C’est difficile, il y en a beaucoup. O’ Driscoll, Wilkinson bien
sûr, Dusautoir… Vous en voulez d’autres parce qu’il y a aussi ceux que je trouve trop mignons,
Clerc, Médard, Halfpenny…
- Ok les mecs, stop, je crois qu’elle a parfaitement répondu à toutes vos questions à la con.
- Tu crois qu’il est jaloux ? demande Vale à Travis.
Ce dernier hausse les épaules avec un petit sourire en coin.
- Il est dans sa phase homme de Cro-Magnon mais il fait des efforts, il ne m’a pas trainée par
les cheveux depuis… Deux heures.
C’est absurde mais je crois que j’ai gagné.
- Alors c’est toi la fameuse Mina.
Je hoche la tête.
- Tu es la première à intégrer notre petit groupe, c’est une lourde responsabilité.
- Moi aussi je suis très heureuse de vous rencontrer.
Vale éclate de rire. Travis me sourit un peu, moins sur la défensive et finalement Vale passe outre l’avertissement de Connor et me serre dans ses bras.
- Bienvenu ma jolie ! Putain Connor t’as vraiment le cul bordé de nouilles. Elle est belle, intelligente, elle n’a pas peur de nous, elle joue au poker, aime le rugby et elle arrive à te supporter.
- Cette petite mérite une médaille. Mina, s’il joue au crétin suffisant, tu nous préviens.
- Hé vous n’êtes pas censés me défendre ? S’écrie Connor. Vous êtes mes potes quand même, gémit-il.
Il m’extirpe des bras de Vale et me colle contre lui.
- Pas si tu fais l’imbécile avec cette petite, le préviennent-ils en cœur.
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
Voulez-vous que je vous prenne en photo ? propose-t-il poliment.
Qu’est-ce que j’avais dit… Elles frétillent et acquiescent avant de prendre la pause.
- J’arrive juste au bon moment…
Un bras se glisse sur mon épaule pour venir m’enserrer le cou. Des lèvres se posent sur ma joue avant de
glisser doucement vers ma bouche dont elles s’emparent.
Je n’entends plus que le déclencheur de l’appareil photo qui nous mitraille avant de me laisser aller dans
sa chaleur, son odeur…
Il est là !
- Je suis vraiment désolé d’arriver si tard, mais le discours du Gala Van Demer était
interminable. Merci de m’avoir attendu.
- Vous étiez à la vente de charité ? demande Johannie d’un ton sec.
- Oui, bien sûr, répond gentiment Connor. Notre agence est un des mécènes de l’organisation.
je ne pouvais pas ne pas y faire un saut. Mais heureusement, un de mes associés a été assez
charitable pour prendre le relais afin que je puisse vous rejoindre.
Je dois être rouge de plaisir, les lèvres encore humide du baiser qu’il vient de me donner et je suis à deux
doigts d’éclater de rire, ou de sauter de joie (je sais c’est puéril, mais si vous saviez à quel point c’est
bon).
J’aimerais que vous puissiez voir leur tête ! Le plus drôle, c’est que le photographe est toujours là et
continue de mitrailler cette drôle de scène.
Au moment de partir, il me jette un clin d’œil et je comprends sa présence en ce lieu.
Je me tourne vers Connor qui s’assoit après avoir fait le tour de la table pour saluer chaque convive
d’une poignée de main ou d’un baise main stylé.
Il a remarqué le clin d’œil du photographe et me sourit. C’est lui ! Connor l’a engagé, j’en mettrais ma
main au feu. Il l’a fait rien que pour moi pour que je puisse contempler, le reste de ma vie, la tête de ma
mère et de mes sœurs alors qu’il m’embrasse amoureusement.
Je pourrai même en encadrer une et la mettre aux chiottes.
Ouais, super idée !
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
– Quand ze serai grande, ze me marierai en noir ! annonce-t-elle, à pleine voix, dans l’église.
– Chut, mon cœur…
Billie tente de poser son index sur les lèvres enfantines, mais notre petite princesse se tourne aussitôt
vers Sean :
– Hein, Shoûn ? Hein, que je le ferai ?
– Seulement si je laisse la vie sauve à ton prétendant, ma chérie, répond-il, avec un grand sourire pas très rassurant pour l’heureux élu.
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
– Shoûn ?
Sean se penche vers elle en posant un index sur ses lèvres pour lui faire signe de se taire. Ce qui ne
marche pas. Évidemment.
– Pourquoi elle est en noir, tata Karlie ?
Celia fait référence à ma robe couleur de jais. Mais pourquoi me marier en blanc ? Je n’aime pas faire
comme tout le monde et, en plus, je n’ai pas l’impression d’épouser Malcolm « pour de vrai ». Il s’agit
juste d’un autre contrat entre nous, comme entre deux associés obligés de s’unir pour des raisons
pragmatiques. Et puis, le mariage… beurk ! Franchement, ça ne m’a jamais fait rêver. J’avoue, j’ai
toujours trouvé un peu ridicule cette journée où un couple veut crier à la face de la terre entière – ou au
moins de sa famille – qu’il s’aime. Et faire la chenille.
C’est important, la chenille.
– Pourquoi elle est en noir ? répète Celia.
Notre princesse a parfaitement intégré les codes des noces traditionnelles.
– Pourquoi ? scande-t-elle de toute sa puissance vocale.
Et elle a du coffre, la petite.
J’essaie de ne pas rire, à l’instar de Malcolm.
– Pourquoi, maman ?
Celia en appelle maintenant à Billie, rouge de confusion. Celle-ci tente de mettre une main sur la
bouche de sa fille pour bâillonner la mitraillette à questions.
– Pourquoi ? répète Celia, sa question étouffée par les doigts de sa mère.
– Parce qu’elle aime le noir. Maintenant, tais-toi, chérie. Tu déranges tout le monde, d’accord ?
La petite fronce les sourcils, boudeuse. Comment pourrait-elle déranger quelqu’un ? Elle, si discrète, si adorable ? Je pouffe dans ma barbe pendant qu’elle fronce le nez en jetant un dernier regard désapprobateur à ma robe. Ma tenue n’est guère au goût de la demoiselle. Je lui adresse un clin d'œil complice, ce qui la réjouit au point de la calmer un peu. Pour combien de temps ? Mystère ! Mais ses parents semblent prier pour que l’accalmie dure jusqu’à la fin du mariage !
J’ai pourtant fait de gros efforts aujourd’hui sans pour autant passer par la case conventionnelle. Sur les conseils de Billie, j’ai même accepté de porter une robe. Courte, en plus ! La vérité ? J’étais à deux
doigts d’enfiler l’un de mes slims noirs, un tee-shirt rock et un perfecto. Mais lorsque j’ai annoncé mon projet à ma meilleure amie, en toute décontraction, j’ai cru qu’elle allait tourner de l’œil.
– NON, Karlie ! Là, ce n’est pas possible !
Et parce qu’elle m’a formellement interdit de venir au City Clerk dans « cet état », j’ai finalement acheté une robe spécialement pour l’occasion. Ce que je trouve un peu idiot : à quoi bon acheter un vêtement qu’on ne remettra jamais ? Hélas, Billie n’a rien voulu entendre, me menaçant de l’index :
– Si tu fais ça, je…
En visite chez moi ce jour-là, elle a jeté un regard un peu paniqué à ma décoration très personnelle.
– Je…
Et avec une brutalité extrême, à la limite du soutenable, elle a saisi ma figurine en résine de Cloud, le héros de Final Fantasy VII.
– J’embarque ce type avec moi !
Face à une telle menace, je ne pouvais que céder !
Avez vous apprécié cet extrait ? +3
— Quoi, que nous sommes compagnons de vie ?
Il baisa son doigt.
— Oui. Vu qu'on se marie.
— On se... (Elle se mordit la lèvre.) C'est ta proposition ? Comme ça : on se marie.
— Oh.
Il tendit la main vers sa chemise tombée par terre, fouilla dans une poche et déposa une bague
sertie d'un énorme diamant sur ses seins.
— Tiens.
Elle leva les yeux au ciel.
— Écoute, Dragos, c'est une chose de convenir que nous sommes compagnons de vie, mais pour
le mariage, je ne sais pas. Je lis Cosmopolitan, tu manges des gens. Je crois que le tribunal des
divorces appellerait cela « des différences inconciliables ».
Il roula sur le côté. Le drap glissa tandis qu'il s'appuyait sur un coude et la regardait, les yeux mi-
clos. C'était son regard ombrageux, têtu. Elle adorait cette expression. Elle pouvait voir les
engrenages tourner dans sa tête.
Après un moment, il dit :
— S'il te plaît.
— C'est mieux, mister.
Elle hocha la tête et glissa la bague à son doigt.
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date : 20-02-2018
— Alors, comment ça se passe avec Noah ?
Cette question axée ne me plaît guère. La méfiance est votre meilleure alliée. N'accordez jamais votre confiance parce que le visage de votre interlocuteur est avenant. Je me contente
de hausser les épaules pour toute réponse.
— Allez, sois sympa, tu pourrais faire partager aux copines.
Depuis quand sommes-nous amies ? Que cherche-t-elle vraiment ?
— Il n’y a rien à dire, rétorqué-je en repoussant mon plat terminé.
— Oh, s’il te plaît, pas à moi. Si tu savais le nombre de filles que j’entends s’extasier sur ses performances sexuelles.
Que veut-elle ? Se rassurer sur le fait que je n’ai pas mis le grappin sur son crush ?
— Je ne couche pas avec lui.
Ses yeux semblent sortir de leurs orbites et sa mâchoire, se décrocher.
— Pourquoi ? Il n’a rien tenté ? s’écrit-elle.
— J’ai refusé ses avances.
— Ma parole, beugle-t-elle. Es-tu aveugle ? Ma chérie, ce type est un fantasme à lui seul !
Je t’en prie, si tu le veux, il est à toi.
— Les hommes ne m’intéressent pas.
Sa bouche forme un O parfait avant qu’elle n’éclate de rire.
— La vache, c’est trop drôle. Le pauvre, il va sans doute pleurer lorsqu’il saura. Et moi, je suis ton genre ?
Elle joue avec ses cheveux en me regardant sous ses cils. J’ai un mouvement de recul. Nous
ne nous sommes incontestablement pas comprises.
— Ce n’est pas ce que je voulais dire, m’empressé-je de lui répondre.
— Je ne te suis plus, là.
— Les rapprochements physiques ne me plaisent pas.
Maintenant, elle me regarde comme si je venais de lui dire que mon père venait de Mars.
— Tu déconnes ?
Dans un sens, j’aimerais tellement. Je secoue la tête pour lui signifier que je ne plaisante pas.
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—Tiens donc : ne seraient-ce pas les deux personnes qui ont pris la responsabilité de lâcher Rose Hathaway dans le monde ? Vous allez devoir répondre de beaucoup de choses.[...]
—Ne te décharge pas de tes fautes sur nous, répondit ma mère. Ce n’est pas nous qui avons fait sauter la moitié de la Cour, volé une dizaine de voitures, démasqué une meurtrière en pleine foule et fait couronner une adolescente. —À ceci près que c’est bien moi qui ai fait sauter la moitié de la Cour, précisa Abe.
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Tu m’as sauvé, comme Lissa l’avait fait avec le pieu. Alors j’ai compris que je ne pourrais surmonter mon passé de Strigoï qu’en faisant tout pour ne pas leur ressembler. Je devais me tourner vers ce qu’ils méprisent : la beauté, l’amour, l’honneur. Son discours me rendait schizophrène
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—Je suis désolée, dit-elle, le visage rayonnant. Vous auriez dû mettre un écriteau sur la porte. Je ne pouvais pas savoir que cela devenait chaud.
— C’était inévitable, répondis-je joyeusement en serrant la main de Dimitri. Ça devient toujours chaud quand il est dans les parages. Dimitri parut scandalisé. Il s’était toujours livré sans retenue lorsque nous étions au lit, mais sa discrétion naturelle l’incitait à se montrer très réservé sur le sujet en public. Ce que je venais de faire était cruel, mais je ne pus m’empêcher d’éclater de rire et de l’embrasser sur la joue.
— On va bien s’amuser maintenant que tout le monde est au courant !
— C’est cela… Ton père m’a jeté un regard très «amusé» l’autre jour.
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— Belikov! s’écria Abe en lui serrant la main. Cela fait un certain temps que j’espérais te croiser. J’aimerais que nous apprenions à mieux nous connaître. Nous devrions prendre un moment pour discuter de la vie, de l’amour et de toutes ces choses… Aimes-tu chasser? Je te trouve des allures de chasseur. Nous pourrions chasser ensemble, un de ces jours. Je connais un endroit qui regorge de gibier, très loin du monde. Nous pourrions vivre une journée formidable. Il y a des tas de choses que j’aimerais te demander. Et des tas de choses que j’aimerais te dire, aussi. Je jetai un regard paniqué à ma mère pour la supplier d’intervenir. Abe avait aussi longuement parlé à Adrian, quand nous sortions ensemble. Il lui avait expliqué de façon horrible et crue ce qu’il risquait s’il ne traitait pas sa fille comme il l’espérait. Je n’avais aucune envie qu’Abe entraîne Dimitri dans les bois, surtout s’ils emportaient des armes à feu.
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Je souffle et réplique, venimeuse.
— On est juste amis. Vous arrêtez votre petit numéro tout de suite.
Mais Light, loin de se démonter réplique, un grand sourire aux lèvres :
— Oh ! Ça va ! Ne fais pas ta rabat-joie ! Dans ton état d’esprit actuel, si t’épluches un oignon,
c’est lui qui pleure !
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– Alors, si c’est une question d’apparence, qu’est-ce qui compte pour toi ? Il a réfléchi un moment, puis il a dit : – Je ne sais pas. Une fille peut être jolie, sans être quelqu’un de bien. Et vice-versa. Pour moi, l’apparence ne compte pas. J’aime bien les défauts, je trouve qu’ils rendent les gens plus intéressants. Je ne savais trop quelle réponse j’avais attendue, mais sûrement pas celle-là. Pendant un instant, j’ai laissé ses paroles faire leur effet.
– Tu sais, finis-je par dire, en sortant des trucs comme ça, tu rendrais les filles encore plus dingues. Tu serais non seulement mignon mais, d’une certaine façon, plus accessible. Là, tu deviens l’oiseau rare.
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— Autant que tu t’y fasses tout de suite, Abby. Travis est un garçon impulsif, qui fait
toujours tout à fond. Là, tu es tranquille, il est calmé, disons... jusqu’à ce qu’il arrive à te passer la bague au doigt.
America écarquilla les yeux, me regarda, puis se tourna vers Shepley.
— Mais ils sortent ensemble depuis à peine deux mois !
— Je... je crois que j’ai besoin de boire quelque chose, bredouillai-je en me levant pour
aller dans la cuisine.
Travis eut un petit rire en me regardant ouvrir les placards les uns après les autres, sans
rien en sortir.
— Il plaisantait, Poulette.
— Ah bon ? s’étonna Shepley.
— Il ne parlait pas d’un avenir proche, rectifia Travis avant de se tourner vers Shepley
pour grommeler : Tu peux pas la fermer, toi ?
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Il s’arrêta à ma table, posa
mon sac par terre, toisa Parker puis m’attira contre lui, une main sur ma nuque, l’autre
sur ma chute de reins, pour m’embrasser avec application et détermination. C’était le
genre de baiser appuyé et profond qu’il réservait d’ordinaire à sa chambre, et je ne pus m’empêcher de pétrir ses épaules des deux mains.
Les murmures et les rires montèrent en puissance quand il fut clair que Travis en avait
pour un moment.
— À mon avis, il vient de la mettre enceinte ! lança quelqu’un du fond de la salle.
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— Je vais donc rencontrer ta famille dans une demi-heure ?
Il regarda sa montre.
— Vingt-sept minutes pour être exact.
— Non mais c’est pas possible, ça, Travis ! m’exclamai-je en bondissant du lit.
— Qu’est-ce que tu fais ? demanda-t-il avec un soupir.
En fouillant dans le placard, je trouvai un jean, que j’enfilai dans la foulée, puis retirai
ma nuisette et la jetai au visage de Travis.
— Tu me donnes vingt minutes pour me préparer avant de rencontrer ta famille ! Mais
ça mérite la peine capitale, un truc pareil !
Il repoussa le vêtement et rit face à ma tentative désespérée d’avoir l’air présentable.
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– Non. J’ai l’impression que ça va être sanglant.
– On pourra peut-être éviter un carnage en dialoguant autour d’une tasse de thé en porcelaine, ai-je suggéré en me frottant le nez.
– C’est ça, a approuvé Jenna. Et en dégustant des petits sandwichs au concombre.
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– Elle a peut-être un dossier portant l’étiquette « Mon plan diabolique », avais-je plaisanté. Ça nous aiderait.
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Le sourire terrifiant de Lara s’est élargi.
– Mieux que cela. Nous vous avons amenés ici à des fins spécifiques.
– Mauvaise nouvelle, a chuchoté Jenna. – Ça implique peut-être une dégustation de fondants au chocolat, ai-je suggéré. Ou garder un troupeau de licornes ? Jenna m’a regardée avec attention.
– Tu dois être vraiment secouée.
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Elodie a écarté mes mèches de cheveux en grommelant :
– Mon Dieu, comment peut-on traiter ses propres cheveux aussi mal ?
Promets-moi d’arrêter de me posséder quand bon te semble et en retour, je te promets de me faire un masque pour cuir chevelu desséché.
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Par-dessus son épaule, je pouvais distinguer un bocal rempli d’yeux qui m’observaient.
– Quand on voit des trucs pareils, ça coupe le désir, ai-je ajouté. Il a regardé le bocal puis il s’est tourné vers moi en remuant les sourcils.
– Vraiment ? Moi, ça me fait l’effet contraire. Je lui ai décoché un coup de coude en pouffant.
– Tu es un grand malade.
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– Et si on essaie de partir, on se fera dévorer par la brume, a ajouté Jenna.
– Exact. Donc, aucune idée ?
– Dix minutes de repli en position fœtale ? a proposé Jenna.
– Ou prendre une douche tout habillé et pleurer ? a suggéré Archer. J’ai gloussé. – Super. On va tous craquer, et ensuite, on aura les idées plus claires.
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La prochaine fois, il enverra sûrement
beaucoup plus de monde, pour être sûr qu’elle prenne bien la raclée qu’il a ordonnée.
Grondant à son tour, la jeune femme saisit la tête de son compagnon et la tourna vers elle, pour le
regarder dans les yeux.
— Maintenant, tu vas m’écouter, le Psychopathe. Tu serais peut-être très content de donner à ton
oncle la satisfaction de te voir tomber dans son piège, mais je refuse. Alors voilà ce qu’on va faire. On
va tous se calmer, monter en voiture et rentrer à Caillouville. Et tu vas faire tout ça gentiment, sans
me faire chier, sinon je te jure que je te fais avaler tes dents, au point que pour les brosser tu devras te
carrer ton dentifrice dans le cul !
Il y eut un moment de silence, avant que quelques-uns des loups osent rire discrètement alors que
d’autres souriaient.
— Je pense qu’elle est en manque de caféine, suggéra Dante.
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