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Commentaires de livres faits par Mayoune

Extraits de livres par Mayoune

Commentaires de livres appréciés par Mayoune

Extraits de livres appréciés par Mayoune

Toute sa vie, le déjà vieux Tristan avait trainé sa carcasse d'un bout à l'autre du Pacush de la désolation pour n'y trouver rien d'autre que ce qu'il avait trouvé précédemment et il put en être ainsi jusqu'à ce que mort s'en suive s'il n'avait pas un jour, par hasard, levé les yeux au ciel...
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Parler des hominidés anciens, c'est parler de nos origines, de notre évolution, mais aussi de phylogénie, c'est-à-dire des liens de parenté entre les différentes espèces, et enfin de paléoenvironnements, de ce qu'ont pu être la faune, la flore, les paysages, dans lesquels ils vivaient.
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S'il est quelque chose qu'on se sente enclin à abhorrer dans cette placide contrée, c'est la doctrine suivant laquelle toutes nos investigations dans la nature doivent profiter, dans le présent ou à l'avenir, à la race humaine.
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La première touche au destin singulier d'un homme qui n'a pas reçu une éducation solide, qui a dû travailler dès sa prime adolescence en famille (arpentage, construction de maisons), qui a collecté des animaux rares en Amazonie et en Indonésie dans le but d'amasser un pécule, qui en cours de route a été pris de la passion d'écrire, a été d'abord traité comme un amateur, et est devenu à la fin du dix-neuvième siècle le savant britannique le plus célébré de son temps, sans avoir jamais eu de position académique ou institutionnelle officielle.
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On aurait d'ailleurs pu s'en douter : des tests qui concluent que les insecticides ne tuent pas les insectes avaient de grandes chances d'être simplement aveugles.
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Comme Sisyphe, après chaque tempête, elles rejetaient à la mer les galets propulsés par les vagues tels des confettis épars dans leurs champs minuscules.
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date : 10-06-2018
Ça fait quatre jours qu'on est privés d'électricité en Italie, et c'est génial. Tu les verrais, tous ces êtres mal dessinés, tous ces désirants de la consommation, tu les verrais : on dirait des enfants privés de dessert, de jouets, d'activités. Il sont tous perdus, tu les vois dans la ville, avec leurs smartphones éteints, leurs frigos vides, leurs télévisions noires, on dirait des fantômes.
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date : 08-06-2018
C'est ce soir que la tempête arrive, mais Clarisse n'a pas du tout peur. Elle a hâte que ça commence. Le vent va souffler très fort, assez pour déraciner les arbres.
Devant chez Clarisse il n'y a pas d'arbres. C'est une grande plaine. Clarisse se demande si le vent va déraciner la maison. Mais elle ne sait pas exactement ce qu'elle préfère, que la maison s'envole ou qu'elle reste à sa place.
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- C'était une décision commerciale. Ils ont pris une décision commerciale, et ensuite ils ont déclenché une guerre et ils m'ont enlevé mon fils.
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Je pense que le romancier ne devrait jamais s'occuper d'autre littérature que la sienne. Il doit être en tête à tête avec son inspiration, avec ses mots, comme pour un duel sans vainqueur. C'est une vie de moine, pas d'abbé de cour. J'en suis le parfait contre-exemple, mais je ne suis plus à un paradoxe près, vous l'aurez bien compris...
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Les situations les plus compliquées ont toujours une explication fort simple. Tiens, cette fille, je suis sûr qu'elle va trouver un truc totalement banal à me raconter quand elle va arriver. Si elle arrive ...
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Les Etats-Unis ont dépensé plus de 87 milliards de dollars pour la guerre d'Irak alors que les Nations unies estiment que nous pourrions, avec la moitié de ce montant, fournir de l’eau potable, une nourriture équilibrée, des services sanitaires et une instruction élémentaire à chaque habitant de la planète.
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Et des rêves érotiques, lui demandait Monsieur Ferreira. Rien, répondait-elle. Je ne fais que des rêves désagréables, dans lesquels vous venez me dire, encore une fois, que je suis une ignorante, et que si ce n'était vous, je mourrais et irais au ciel sans savoir qui était Mozart, ou Goya, ou Proust.
Tu es une femme de ménage, lui disait son amie,à moins que ces hommes aient inventé le CIF senteur marine je ne crois pas qu'ils te rendent plus heureuse. Ils me rendent plus triste, je sais, mais ils ont toujours été persuadés que l'oeuvre qu'ils ont laissée me rendrait plus heureuse. Ne pense pas à ça, ma fille, travaille et avance. Ne pense pas. Et s'il faut que je pense plus tard, quand je serais aux portes du paradis, pour pouvoir entrer et avoir tout à justifier. Les portes du paradis n'existent pas, il n'y a que des nuages et des chaises longues. Eh oui. Je dois convaincre mes rêves de cela, que la vie est suffisamment difficile pour qu'on exige pas que nous soyons responsables de ce que nous en faisons.
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date : 01-02-2018
Un an plus tôt, il avait cependant refermé son livre de podologie avec une tranquille détermination ; c’était le dernier champ qu’il avait choisi d’explorer après la comptabilité, l’art, la littérature, la dentisterie et le rabbinat.
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- Partez, répéta Burbridge en les conjurant. Partez avant...
- Avant qu'il ne soit trop tard ? demanda Merle en se forçant à sourire. J'ai déjà lu ça quelque part.
Burbridge sourit et la prit de nouveau dans ses bras.
- Vois-tu, mon enfant ? Ce n'est qu'une histoire, comme dans les livres. Rien qu'une histoire.
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date : 27-01-2018
Sabaneta avait cessé depuis longtemps d'être un village, c'était devenu un quartier de plus de Medellín, la ville l'avait rattrapé, l'avait avalé ; et la Colombie, entre-temps, nous avait échappé. Nous étions loin, et de loin, le pays le plus criminel de la terre, et Medellín la capitale de la haine. Mais ces choses se savent, elles ne se disent pas. Désolé.
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date : 07-09-2017
Les enfants d'un pays heureux n'en finissent pas d'être des enfants. Mais ceux d'un pays qui souffre sont des hommes déjà avant même qu'ils ne l'aient désiré, avant même que leur corps ne le permette. [..]
Ils ont mille fois plus d'interrogations qu'il n'existe au monde de réponses.
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Le mariage de lord Saint-Simon et son curieux dénouement ont depuis longtemps cessé d’intéresser les cercles aristocratiques au milieu desquels évolue celui qui fut le héros de cette malheureuse aventure. De récents scandales agrémentés de plus piquants détails en ont fait oublier le souvenir, et nul ne s’intéresse plus aujourd’hui à ce drame vieux de quatre ans. Néanmoins, comme j’ai tout lieu de croire que le gros public n’en a jamais eu qu’un aperçu très sommaire et comme, d’autre part, mon ami Sherlock Holmes contribua largement, en l’occurrence, à trouver le mot de l’énigme, j’estime que ces mémoires seraient incomplets si je n’y faisais point figurer le récit de ce singulier épisode.
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Du jour où mon mari rendit publique sa volonté de se rendre à Jérusalem pour faire la paix avec Israël, je sus qu'il serait assassiné....les jours qu'il me restait sur cette terre à ses côtés étaient désormais comptés. De ce jour de 1977 jusqu'à son assassinat, les maux de tête qui depuis des années m'accablaient de temps à autre devinrent quasiment quotidiens.
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- Avance, et un, et deux. Encore, et trois, et quatre. Et ...
- Arrête !
- Matteo, tu as l'air d'un éléphant dans un magasin de porcelaine !
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Le premier coup, porté à la tête, me fait tituber et presque tomber à terre.
Sandino s'avance vers moi en enjambant l'homme qu'il vient d'assassiner sous mes yeux. Maintenant, il veut me tuer.
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date : 05-08-2017
Une société vraiment libre, une société autonome, doit savoir s'autolimiter, savoir qu'il y a des choses qu'on ne peut pas faire ou qu'il ne faut même pas essayer de faire ou qu'il ne faut pas désirer.
Cornelius Castoriadis.
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date : 23-07-2017
Je voudrais que tu m'apportes cette épée Hayagami avant que je meure ...
Arata ... Je voudrais que tu diriges ce monde à ma place
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date : 21-07-2017
Le pari était ambitieux. Dans le cadre d'un ouvrage consacré au grand reportage, il a été demandé, pour la première fois, à 48 lauréats du Prix Albert Londres et trois membres du jury prestigieux de choisir eux-mêmes - ou leurs proches pour ceux qui nous ont quitté - cinq à six "papiers". Il leur fallait éviter, autant que possible, de présenter le reportage qui les a récompensés.
Parmi les objectifs assignés à cette anthologie, il y avait la recherche d'un certain équilibre entre les récits étrangers et les sujets français et la volonté que le fléau de la balance ne penche pas du côté d'une accumulation de conflits et de reportages de guerre. La vie quotidienne, les histoires minuscules et les questions de société sont aussi l'art du reportage.
Plus de 2 000 feuillets et une dizaine de livres nous sont parvenus. Une première sélection, balayant près de soixante ans d'histoire - de la guerre de Corée à la mafia calabraise -, a permis d'éclairer le choix définitif. Mais que la tâche fut rude tant cette tribu de grands reporters constitue "la plus belle rédaction de France" réunie, le temps d'un ouvrage, du Figaro à Libération, de France-Soire à l'AFP ou à Sud-Ouest.
L'auteur de cette anthologie est aussi l'un des lauréats. Qu'il lui soit permis d'avouer ici les instants de bonheur et d'émotion que la lecture de ses confrères lui a provoqués. Il a eu l'impression de confectionner un singulier manuel d'histoire contemporaine.
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date : 11-06-2017
Mais elle se posait la question (et en passant elle la leur posait) de savoir jusqu’à quel point quelqu’un peut connaître l’oeuvre de quelqu’un d’autre.

- Par exemple, moi, l’oeuvre de Grosz me passionne, dit-elle en désignant les dessins de Grosz accrochés au mur, mais est-ce que je connais réellement son oeuvre ? Ses histoires me font rire, à certains moments je crois que Grosz les a dessinées pour que je rie, à certaines occasions le rire se transforme en éclats de rire, et les éclats de rire en crise de fou rire, mais j’ai rencontré une fois un critique d’art qui aimait Grosz, évidemment, et qui pourtant sombrait dans la dépression lorsqu’il assistait à une rétrospective de son oeuvre, ou lorsque, pour des raisons professionnelles, il devait étudier un tableau ou un dessin. Et ces dépressions ou ces périodes de tristesse duraient habituellement des semaines. Ce critique d’art était un ami à moi, mais jamais nous n’avions abordé le sujet Grosz. Une fois cependant je lui ai dit ce qui m’arrivait. Au début il ne voulait pas le croire. Ensuite, il s’est mis à remuer la tête d’un côté à l’autre. Puis il m’a regardée de haut en bas comme s’il ne me connaissait pas. J’ai pensé qu’il était devenu fou. Il a cessé toute relation amicale avec moi pour toujours. Il n’y a pas très longtemps on m’a raconté qu’il dit encore que je ne sais rien sur Grosz et que mon goût esthétique ressemble à celui d’une vache. Bon, en ce qui me concerne, il peut dire ce qu’il veut. Moi je ris avec Grosz, lui, Grosz le déprime, mais qui connaît Grosz réellement ?
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Ce n'est ni l'oisiveté ni la jouissance, mais l'activité seule qui sert à accroître la gloire de Dieu, selon les manifestations sans équivoque de sa volonté. Gaspiller son temps est donc le premier, en principe le plus grave, de tous les péchés. […] La richesse elle-même ne libère pas de ces prescriptions. Le possédant, lui non plus, ne doit pas manger sans travailler, car même s'il ne lui est pas nécessaire de travailler pour couvrir ses besoins, le commandement divin n'en subsiste pas moins, et il doit lui obéir au même titre que le pauvre. Car la divine Providence a prévu pour chacun sans exception un métier qu'il doit reconnaître et auquel il doit se consacrer. Et ce métier ne constitue pas un destin auquel on doit se soumettre et se résigner, mais un commandement que Dieu fait à l'individu de travailler à la gloire divine. Partant, le bon chrétien doit répondre à cet appel : "Si Dieu vous désigne tel chemin dans lequel vous puissiez légalement gagner plus que dans tel autre (cela sans dommage pour votre âme ni pour celle d'autrui) et que vous refusiez le plus profitable pour choisir le chemin qui l'est moins, vous contrecarrez l'une des fins de votre vocation, vous refusez de vous faire l'intendant de Dieu et d'accepter ses dons, et de les employer à son service s'il vient à l'exiger. "Travaillez donc à être riches pour Dieu, non pour la chair et le péché. "
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