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Liste des extraits

Extrait ajouté par Kirlan 2012-02-28T15:49:02+01:00

" Ô temps ! suspends ton vol, et vous, heures propices !

Suspendez votre cours :

Laissez-nous savourer les rapides délices

Des plus beaux de nos jours !

" Assez de malheureux ici-bas vous implorent,

Coulez, coulez pour eux ;

Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent ;

Oubliez les heureux.

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Extrait ajouté par Belle-Helene 2019-01-09T11:07:26+01:00

Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé.

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Extrait ajouté par LetoBronn 2014-04-26T13:53:52+02:00

Mon coeur, lassé de tout, même de l'espérance,

N'ira plus de ses voeux importuner le sort ;

Prêtez-moi seulement, vallon de mon enfance,

Un asile d'un jour pour attendre la mort.

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Extrait ajouté par LetoBronn 2014-04-26T13:52:54+02:00

Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages,

Dans la nuit éternelle emportés sans retour,

Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges

Jeter l'ancre un seul jour ?

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Extrait ajouté par Asoline 2015-10-10T22:35:31+02:00

"Du soleil la céleste flamme

Avec les jours revient et fuit;

Mais mon amour n'a pas de nuit,

Et tu luis toujours dans mon âme."

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Extrait ajouté par darkspirit 2021-12-08T19:03:39+01:00

Après m'avoir aimé quelques jours sur la terre,

Souviens-toi de moi dans les cieux.

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Extrait ajouté par Vilunatic 2021-06-10T15:22:25+02:00

Peut-être l'avenir me gardait-il encore

Un retour de bonheur dont l'espoir est perdu ?

Peut-être dans la foule, une âme que j'ignore

Aurait compris mon âme, et m'aurait répondu? ...

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Extrait ajouté par Alias-Rosiel 2015-08-27T18:08:04+02:00

Le lac

Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages,

Dans la nuit éternelle emportés sans retour,

Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges

Jeter l'ancre un seul jour ?

Ô lac ! l'année à peine a fini sa carrière,

Et près des flots chéris qu'elle devait revoir,

Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre

Où tu la vis s'asseoir !

Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes,

Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés,

Ainsi le vent jetait l'écume de tes ondes

Sur ses pieds adorés.

Un soir, t'en souvient-il ? nous voguions en silence ;

On n'entendait au loin, sur l'onde et sous les cieux,

Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence

Tes flots harmonieux.

Tout à coup des accents inconnus à la terre

Du rivage charmé frappèrent les échos ;

Le flot fut attentif, et la voix qui m'est chère

Laissa tomber ces mots :

" Ô temps ! suspends ton vol, et vous, heures propices !

Suspendez votre cours :

Laissez-nous savourer les rapides délices

Des plus beaux de nos jours !

" Assez de malheureux ici-bas vous implorent,

Coulez, coulez pour eux ;

Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent ;

Oubliez les heureux.

" Mais je demande en vain quelques moments encore,

Le temps m'échappe et fuit ;

Je dis à cette nuit : Sois plus lente ; et l'aurore

Va dissiper la nuit.

" Aimons donc, aimons donc ! de l'heure fugitive,

Hâtons-nous, jouissons !

L'homme n'a point de port, le temps n'a point de rive ;

Il coule, et nous passons ! "

Temps jaloux, se peut-il que ces moments d'ivresse,

Où l'amour à longs flots nous verse le bonheur,

S'envolent loin de nous de la même vitesse

Que les jours de malheur ?

Eh quoi ! n'en pourrons-nous fixer au moins la trace ?

Quoi ! passés pour jamais ! quoi ! tout entiers perdus !

Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface,

Ne nous les rendra plus !

Éternité, néant, passé, sombres abîmes,

Que faites-vous des jours que vous engloutissez ?

Parlez : nous rendrez-vous ces extases sublimes

Que vous nous ravissez ?

Ô lac ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure !

Vous, que le temps épargne ou qu'il peut rajeunir,

Gardez de cette nuit, gardez, belle nature,

Au moins le souvenir !

Qu'il soit dans ton repos, qu'il soit dans tes orages,

Beau lac, et dans l'aspect de tes riants coteaux,

Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages

Qui pendent sur tes eaux.

Qu'il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe,

Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés,

Dans l'astre au front d'argent qui blanchit ta surface

De ses molles clartés.

Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire,

Que les parfums légers de ton air embaumé,

Que tout ce qu'on entend, l'on voit ou l'on respire,

Tout dise : Ils ont aimé !

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Extrait ajouté par LetoBronn 2014-04-26T13:53:34+02:00

Que ne puis-je, porté sur le char de l'Aurore,

Vague objet de mes voeux, m'élancer jusqu'à toi !

Sur la terre d'exil pourquoi resté-je encore ?

Il n'est rien de commun entre la terre et moi.

Quand la feuille des bois tombe dans la prairie,

Le vent du soir s'élève et l'arrache aux vallons ;

Et moi, je suis semblable à la feuille flétrie :

Emportez-moi comme elle, orageux aquilons !

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Extrait ajouté par LetoBronn 2014-04-26T13:53:14+02:00

La fleur tombe en livrant ses parfums au zéphire ;

A la vie, au soleil, ce sont là ses adieux :

Moi, je meurs ; et mon âme, au moment qu'elle expire,

S'exhale comme un son triste et mélodieux.

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