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Extrait ajouté par MSNordlys 2021-09-27T15:08:50+02:00

Elle vivait dans une petite ville de Sud, le genre d’endroit où les filles étaient mères avant d’avoir leur permis de conduire.

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Extrait ajouté par Caroline 2013-11-10T12:29:50+01:00

"Si l'on veut vivre en paix, il faut faire comme si on ne savait pas toute la douleur que l'autre endure.C'est mieux comme ça".

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Extrait ajouté par Caroline 2013-11-10T12:29:40+01:00

"Eddy aime bien Kristina, « parce qu’elle ne lui demandait jamais de lui dire je t’aime après le sacro-saint orgasme du vendredi soir "

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Extrait ajouté par Caroline 2013-11-10T12:29:30+01:00

"Quand un gamin partait à l'école le matin, sa mère disait toujours "Dieu te garde" avant de rejoindre son amant, quelques rues plus loin".

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Extrait ajouté par Caroline 2013-11-10T12:29:04+01:00

"Ils n'ont jamais fait une remarque, ils ne m'ont jamais dit:"Ce que tu es lente, ma pauvre fille!"Ils ont fait ce que je faisais toujours avec ma mère:ignorer la tristesse.Toujours".

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Extrait ajouté par Lili-Prune 2011-05-07T15:02:07+02:00

Je n’ai pas rêvé cette nuit-là. Mon chagrin grandissait dans mon sommeil. Je me souviens du réveil, avec l’impression de manque, et mes parents dans l’encadrement de la porte. J’ai pris mon pantalon qui traînait par terre. Dehors, il faisait déjà chaud, mais je ne suis pas allée à l’école. La maison d’Eddy était fermée. Je me suis assise sur les marches en me disant que Kristina ne serait jamais au courant, que Freak ne pourrait pas me dire ce qu’il en pense. J’ai arrêté de croire en Dieu, j’ai arrêté de croire qu’il y avait d’honnêtes gens sur Terre, j’ai arrêté de sourire pour rien, et je me suis dit que je devais faire comme lui, au moment où j’en aurais envie, et dire aux gens d’aller se faire mettre, une bonne fois pour toutes.

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Extrait ajouté par Lili-Prune 2011-05-07T15:02:07+02:00

Je pleurai de plus belle. Kerrie me laissa seule dans ma chambre, et dès qu’elle eut refermé la porte, j’eus l’impression de voir la mygale derrière chaque meuble. Je l’imaginais sous mon lit, en train de tisser, je la voyais grimper au plafond, avec ses immenses pattes de mère destructrice. Je pleurais, je bouffais mes doigts, me recroquevillant dans les coins. Si j’ouvrais un tiroir, j’avais immédiatement l’image de ce gros corps velu jaillissant d’entre les planches. Si je me couchais, je la voyais se glisser entre les draps, ses immenses pattes frôlant mes petites jambes blanches. Ma vie devint un véritable enfer.

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