Commentaires de livres faits par Melou78
Extraits de livres par Melou78
Commentaires de livres appréciés par Melou78
Extraits de livres appréciés par Melou78
“He’s in looove,” Slade said, which had all three of them cracking up like a bunch of fucking morons.
“Yeah. Okay, okay. Laugh it up, assholes,” I said as I ran a hand through my hair.
“Mhmm. He’s been standing at the window pining for his… Wait, what do you call someone you date exclusively and love, again? I can’t remember,” Killian said as he stroked his fingers over his chin. Then he snapped his fingers and aimed a shit-eating grin my way. “Oh, that’s right. His boyfriend. »
This was my first love, and if I had anything to say about it, it would be my last. »
“I’m looking at you now.”
“But are you listening?”
“Oh, man,” Delano murmured under his breath as the rest of the room went dead silent. “Someone is getting stabbed again.” Someone, I think it was Jasper, snorted.
“Oh, I’m listening,” Casteel replied. “Maybe you should try that. Along with this thing called common sense.”
“Definitely getting stabbed,” Kieran confirmed. I stepped around the table, aware that Delano appeared to be sinking into his chair.
“Are you serious?”
“Are you armed?” Casteel asked with a smirk. “You are, aren’t you?”
“I’m so confused by what is happening here,” Nova whispered with a slight frown.
“Apparently, she already stabbed him once,” Jasper informed the Guardian. “In the heart.” Nova looked at me.
“And she cut me earlier tonight. Threw a knife right at my face another time,” Casteel ticked off his fingers. “Then this one time, in the woods, she—”
“No one wants to hear about how many times I’ve made you bleed,” I snapped.
“I do,” Jasper remarked.
Emil raised his hand. “So do I.”
KAREN : Men often think they deserve a sticker for treating women like people.
Il appuya son front contre le mien.
— Je tuerai n’importe quel homme, irai n’importe où et brûlerai le monde entier si cela signifie que tu es en sécurité.
À ma grande surprise, Vinnie glissa la main dans le sac à dos qu'il avait apporté avec lui et en sortit un cahier et un stylo. Il fit tourner les pages jusqu'à en trouver une vierge, puis griffonna d'une écriture étonnamment
soignée : « Les Règles de Vie Chez Aaron ». Je geignis.
— Vraiment ?
Ilm'ignora et écrivit en dessous : « Nº 1 : Ne pas s'envoyer en l'air sur le canapé ».
Ma bouche tressauta.
— Est-ce que je dois te dire de ne pas faire pipi dans l'évier de la cuisine, aussi ?
Il ne leva pas les yeux de son cahier. Son stylo continua à parcourir la page.
« Nº 2 : Ne pas laisser les coups d'un soir prendre la télé. Nº 3 : Ne pas faire pipi dans l'évier de la cuisine. Note : Demander si faire pipi dans le lavabo de la salle de bains est acceptable. »
— Où est la louve domestique que vous aviez chargée de… veiller sur Mercy, m’avez-vous dit, je crois ?
S’ensuivit un silence que le séduisant vampire assis à sa gauche brisa, une pointe d’amusement dans la voix :
— Elle est en convalescence après avoir été heurtée par un bus.
Comme par magie, Adam retrouva soudain tout son sang-froid.
— Ceux qui font les frais des efforts déployés par ma compagne quand elle doit se tirer d’ennui éprouvent souvent l’impression d’être passés sous un bus. Pourtant, il me semble que c’est la première fois que ça arrive au sens littéral. (Il considéra le vampire qui venait de prendre la parole.) Nous n’avons pas été présentés.
— Guccio, intervint Bonarata. Il est responsable de la gestion quotidienne de l’essaim. Toutes mes excuses pour ne pas l’avoir présenté avant.
— Don Hauptman, j’ai beaucoup entendu parler de vous, déclara le beau vampire.
Adam ouvrait la bouche pour répliquer qu’il ne s’appelait pas « Don » quand Bonarata intervint :
— Signore Hautpman est un jeune loup. Il n’a même pas encore un siècle.
S’adressant à Adam, il ajouta :
— Don est un ancien titre de courtoisie, et c’est dans ce sens que Guccio l’a employé.
Il avait livré cette explication, au demeurant nécessaire à Adam, avec un soupçon de condescendance.
— Un bus, murmura Marsilia. Au moins, elle n’a jamais envoyé aucun de mes sujets sous les roues d’un bus. Je me demande s’il faut y voir une marque de respect ou le contraire. Il n’est pas recommandé de sous-estimer Mercedes, Jacob, je l’ai appris à mes dépens. Est-ce qu’elle t’a sorti sa tirade préférée sur le fait qu’elle n’est pas plus forte qu’une humaine normale ? Un discours très efficace, car je pense qu’elle y croit vraiment.
— Elle est faible, rétorqua Bonarata, les sourcils froncés. Facile à briser et à tuer. (Il se tourna vers Adam.) Vous ne pouvez pas vous permettre d’avoir une compagne aussi vulnérable si vous aspirez au pouvoir. Ça n’a pas d’importance pour un jouet, car c’est aisément remplaçable, mais une compagne doit représenter un atout.
Mercy, faible ? releva intérieurement Adam avant de répliquer avec froideur :
— Et pourtant Mercy n’est plus là, et la louve que vous avez envoyée à ses trousses est blessée.
— Pour ta gouverne, Jacob, intervint Marsilia, prononçant le prénom du vampire avec plus d’emphase que nécessaire, quantité de monstres ou d’autres créatures ont tenté de tuer Mercedes Thompson Hauptman, et la plupart en sont morts. Elle n’est ni faible ni inoffensive.
MEME
Elle plaqua aussitôt sa main contre sa bouche en laissant échapper un juron étouffé.
Il me fallut un moment pour assimiler ce qu’elle venait de dire, pour comprendre qu’elle avait révélé le surnom qu’Ethan m’avait donné. Je me tournai vers lui, un sourcil arqué dans une imitation parfaite de son expression favorite.
— Duchesse ? C’est comme ça que tu m’appelles ?
— Dark Sullivan, répliqua-t-il, un sourire amusé sur les lèvres.
— Ce surnom-là est parfaitement approprié, argumentai-je.
— Parce que Duchesse ne l’est pas ?
— Je n’ai rien d’une aristocrate.
— Non, c’est vrai, mais ce n’est pas ce qui t’a valu ce surnom. Tu le dois au jour où tu es entrée dans mon bureau pour la première fois. Avec ton teint pâle, tes cheveux bruns et tes envoûtants yeux clairs remplis de douleur et de colère, tu ressemblais à la duchesse d’une belle et mystérieuse contrée. J’étais subjugué.
Je le dévisageai avec incrédulité. Il m’avait déjà offert des compliments, et, bien entendu, je savais qu’il m’aimait, mais jamais encore il ne m’avait présenté cette version de notre première rencontre.
— Et ensuite elle t’a provoqué en duel, rappela Mallory.
« — En effet. Elle était très autoritaire.
— Et toi, tu as dit : « Très bien, ma petite, vas-y, montre-moi ce que tu as dans le ventre », ajouta Mallory.
— Là, tu ne m’aides pas, la rabrouai-je en pointant mon index sur elle.
— Je ne suis pas d’accord, mais…
Sur ces mots, elle mima le geste de coudre ses lèvres.
— Elle a raison, approuva Ethan. C’est assez proche de ce dont je me souviens.
— Dis donc, Sullivan, Merit maîtrise à la perfection le regard noir du Maître en colère, intervint Catcher, qui refusa la bouteille que je lui tendais et la reboucha avant de la poser par terre. Tu ne devrais pas abuser de ce surnom.
— Il n’a pas tort, Duchesse, renchérit Ethan d’un air narquois. Tu m’imites très bien.
Je grondai. Peut-être devrais-je le provoquer en duel plus souvent, histoire de lui rappeler les limites.
Il se pencha pour m’embrasser sur les lèvres.
— Si ça peut te consoler, tu es très vite devenue « Sentinelle » pour moi.
— Les vampires de la Maison sont nombreux à être au courant ? lançai-je sans me départir de mon regard assassin.
— Moins nombreux que pour Dark Sullivan, répliqua-t-il, un éclat amusé dans les yeux.
— Touché, admis-je avec réticence.
— Quand vous aurez fini de flirter, on pourra peut-être se mettre à la magie ? suggéra Catcher. »
Hope was more than a chance of redemption. It was the promise of one day finding absolution, of forgiving myself.
But it was more than that. Hope was also today, and today was so very important.
Logan qui revient de la salle de bain reprend :
- N'est-ce pas ? Je te jure, j'avais vraiment les jetons qu'il se retrouve avec un bébé moche sur les bras, et que je doive faire semblant. La veille du jour où je l'ai rencontrée, je me suis entraîné à faire "Ouaaaaaah ! Qu'elle est mignonne !" pendant plus d'une heure devant ma glace.
- C'est ça ! J'ai trois verrous.
- Et moi, de gros muscles !
- Prétentieux !
- Nan, pas une seule seconde. Ta porte, c'est un fétu de paille.
- Tu es l'un des trois petits cochons ou le loup ?
- Le loup, mais je peux me montrer cochon.
— Mais papa, je l’aime !
Maddock leva les yeux au ciel.
— Ouais, très bien, Pocahontas. Hors de ma vue.
— Mince.
Dex se retourna et tapota la joue de Sloane.
— Je suis désolé, bébé. Tu es tout seul, dit-il en déposant un doux baiser sur ses lèvres. Je t’aime.
Puis il détala comme si la pièce était en feu.
— Lâche ! cria Sloane.
“What did you do to Remus?”
“I threw him out of the room then proceeded to attempt to beat him to death,” Illium responded in a tone so cold it caused goose bumps over her skin. “I would’ve succeeded if Aodhan hadn’t spoken at last. It was so quiet, so soft, but I heard him. He said, Bluebell.” Illium blew out a harsh breath. “It was like a gunshot going off inside my head. I dropped the bag of broken bones that was Remus and rushed into Aodhan’s room—”
_ Je n'avais besoin d'entendre rien d'autre. Il était évident que Remus utilisait sa position pour abuser d'Aodhan, détruire tout ce qui restait en lui pour que Remus puisse le "posséder".
Il y avait autant de rage que de larmes dans la voix d'Illium.
_ Tout le monde veut posséder Aodhan. C'est une perle rare et le monde ne peut supporter de simplement le regarder et s'émerveiller devant sa beauté. Ils veulent le briser, le mettre en cage.
_ Qu'est ce que tu as fait à Remus?
_ Je l'ai balancé à l'extérieur de la pièce et je me suis mis à essayer de le frapper jusqu'à ce que mort s'en suive, répondit Illium sur un ton si froid qu'il la fit frisonner. J'aurais réussi si Aodhan n'avait pas enfin dit quelque chose. C'était si calm, si doux, mais je l'ai entendu. Il a dit, Campanulle.
Illium souffla.
_ C'a été comme un coup de feu dans ma tête. J'ai lâché le sac d'os brisé qu'était Remus et je me suis précipité dans la chambre d'Aodhan.
Illium’s voice broke. “Aodhan was worried about me. He was shattered, his body and soul wounded to the breaking point, and he was worried about me. That’s what brought him back to us, his worry about me. And he kicks at me because I’m worried about him now?”
_ Ce jour là, quand Aodhan s'est réveillé pour la première fois, il m'a dit que Remus n'était rien, un ver. Aodhan l'avait bloqué de la même manière qu'il avait bloqué le reste du monde jusqu'à ce qu'il m'entende, furieux, en train de tuer Remus à coup de poing.
La voix d'Illium se brisa.
_ Aodhan était inquiet pour moi. Il était brisé, son corps et son âme blessés au delà du supportable, et il était inquiet pour moi. C'est ça qui nous l'a ramené, son inquiétude pour moi. Et il s'énerve parce que je m'inquiète pour lui?
“From the way Aodhan looked at the sky before he went into the plane,” Elena said, her own eyes lifting up once again, “I have a feeling he didn’t find Illium. You think . . .”
“I do not know if your Bluebell will come here,” Raphael said. “Illium rarely takes offense—and when he does, it is often over in a flash. He forgives more generously than any other angel I know.”
That fit with everything Elena understood about Illium herself. “Then why?”
“Because this, hbeebti, isn’t only about anger.”
She thought of how Illium had fought not to cry, his body rigid. “He was really hurt.” Looking over her shoulder as Aodhan came back out to stand beside the plane, she switched to mental speech. 'Can we wait a little longer?'
Eyes of heartbreaking blue landed on the angel who shone like a star under the sunlight. 'I’m afraid not.' Her archangel’s voice was the cool mountain wind against her senses. “There is no more time.”
They headed up the steps of the plane on the heels of his words.
Aodhan was the last one to board, and he kept his eyes turned toward the window as the plane began to roll down the runway. He didn’t look away even after they were in the clouds . . . not until they’d gone too far for even Illium to catch up to them.
_ Dmitri m'a dit qu'aucun d'eux n'étaient rentrés de toute la nuit, c'est tout.
_ Vu la façon dont Aodhan regardait le ciel avant d'entrer dans l'avions, dit Elena, levant les yeux à son tour une nouvelle fois, j'ai l'impression qu'il n'a pas trouvé Illium. Tu penses...
_ Je ne sais pas si ton Campanulle va venir ici, dit Raphael. Illium ne s'offense que très rarement, et quand ça lui arrive, c'est fini en un éclair. Il pardonne plus facilement qu'aucun autre ange de ma connaissance.
Cela allait bien avec ce qu'Elena connaissait d'Illium.
_ Alors pourquoi?
_ Parce que cette fois, hbeeti, il n'est pas juste en colère.
Elle repensa au combat d'Illium avec lui même pour ne pas pleurer, ses muscles rigides.
_ Il était vraiment blessé.
Jetant un coup d'oeil par dessus son épaule alors qu'Aodhan resortait attendre à côté de l'avion, elle passa à une conversation mentale.
'Peut-on attendre plus longtemps?'
Des yeux d'un bleu à vous briser le coeur se posèrent sur l'ange qui brillait comme une étoile sous le soleil.
'J'ai bien peut que non.' La voix de son Archange portait l'odeur de l'air frais de la montagne à ses sens.
_ On n'a plus le temps d'attendre.
Ils montèrent les marches de l'avion à ses mots.
Aodhan fut le dernier à monter à bord, et ses yeux restèrent river sur la fenêtre pendant que l'avion commençait à rouler le long de la piste. Il ne se détourna pas même après qu'ils furent au dessus des nuages... jusqu'à ce qu'ils soient bien trop loin pour être rattrapés, même par Illium.
Ty souris contre sa joue.
- J’étais un assassin, a-t-il chuchoté. Je suis un marine. Je suis l'homme qui ne manque pas. Et je t'appartient.
Zane se mordit les lèvres en souriant.
- Qui est tu, Zane ?
Zane pencha la tête.
- Je suis un artiste. Je suis un geek. Il sentait le sourire de Ty. Je suis un dur à cuire qui déchire sur une moto.
Ty se mit à rire.
Zane recula sa tête jusqu'à ce qu'ils se regardent dans les yeux l'un et l'autre.
- Et je t'appartient.
(trad.perso)
(original text :)
“Who are you, Ty?”
Ty smiled against his cheek. “I was an assassin,” he whispered. “I’m a Marine. I’m the man who doesn’t miss. And I’m yours.”
Zane bit his lip on a smile.
“Who are you, Zane?”
Zane cocked his head. “I’m an artist. I’m a geek.” He felt Ty smile. “I am one badass motherfucker on a motorcycle.”
Ty began to laugh.
Zane dipped his head until they were staring into each other’s eyes. “And I’m yours.”
— Non ?
— Non.
— Alors qu’est-ce c’est, si ce ne sont pas des larmes ? l’interrogea tendrement Bias en effleurant ses cils de l’index.
Leïos détourna instinctivement la tête.
— Ce sont des fragments d’amour qui s’échappent.
Ty dégluti péniblement, mais il était évident qu’il pesait le pour et le contre de ce qu’il pouvait dire ou pas.
« Tu as vraiment besoin d’y réfléchir ? » Zane s’éloigna de Ty, incapable de détourner ses yeux de lui, même si la douleur lui donnait l'impression qu'on lui enfonçait un couteau dans la poitrine. « Je suppose qu’on a enfin trouvé quelque chose de plus important pour toi que je ne le suis. »
(Trad. perso)
- Hum... murmurai-je faiblement
- Si mon amour pour toi devient... irraisonné. Tue-moi.
J'ouvris les yeux, surprise. Il me fixa, très sérieux.
- Je ne supporterai pas de te détruire.
- Liam...
- Promets-le-moi.
- Je ne peux pas faire pareille promesse.
Il ne dit rien, se détourna légèrement pour se perdre de nouveau dans la voûte de velours sombre qui nous couvrait.
C'est alors que je me souvins d'une de ses phrases; je venais de formuler une promesse que je n'avais pu tenir.
- Liam, promets-moi de ne jamais me porter un amour irraisonné.
Sa bouche esquissa un sourire sagace. Il se tourna vers moi, une lueur amusée dans les yeux.
- Petite futée. D'accord, je te promets.
- N'oublie pas que, dans les Highlands, on ne trahit pas une promesse.
“How am I looking at you?” I asked, but with the way my heart felt close to bursting, I already knew the answer to that.
“With your heart in your eyes, Angel. With your heart in your beautiful eyes. »