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Mémoire de mes putains tristes



Description ajoutée par Lilou 2009-08-13T20:04:11+02:00

Résumé

L'année de mes quatre-vingt-dix ans, j'ai voulu m'offrir une folle nuit d'amour avec une adolescente vierge. je me suis souvenu de Rosa Cabarcas, la patronne d'une maison close qui avait l'habitude de prévenir ses bons clients lorsqu'elle avait une nouveauté disponible. Je n'avais jamais succombé à une telle invitation ni à aucune de ses nombreuses tentations obscènes, mais elle ne croyait pas à la pureté de mes principes. La morale aussi est une affaire de temps, disait-elle avec un sourire malicieux, tu verras. " G. G. M.

Le dernier roman de Gabriel Garcia Marquez, 82 ans sémillants, évoque la vieillesse, âge mélancolique certes mais jamais avare d'impondérables aussi réjouissants qu'inattendus. Pour le héros, octogénaire, la surprise se présente sous les traits de l'amour, ceux d'une jeune fille vierge et émouvante. Dans le style vif et lucide de l'auteur colombien, 'Mémoire de mes putains tristes' rappelle que la sagesse réside aussi dans l'épicurisme forcené.

Evene.fr

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Classement en biblio - 73 lecteurs

extrait

La direction m’avait fait cadeau d’une prime symbolique. Les secrétaires de trois caleçons en soie estampillés de marques de baisers et d’une lettre dans laquelle elles se proposaient de me les ôter. J’ai pensé qu’un des charmes de la vieillesse sont les provocations que se permettent les jeunes amies qui nous croient hors service.

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Commentaires récents

Pas apprécié

Peut-on sincèrement parler de tendresse et d'amour lorsque "l'amour" en question tourne autour d'une enfant de quatorze ans ? Pas une adolescente, mais une enfant, au corps à peine formé. Une enfant qui doit se prostituer pour nourrir ses frères et soeurs.

J'ai énormément de mal à concevoir que ce roman n'ait pas été davantage critiqué, que la majorité des commentaires louent la beauté du texte. Le texte transpire la pédophilie, entre quelques passages au vocabulaire pathétique ("Quand sept heures ont sonné à la cathédrale, une étoile solitaire et limpide brillait dans le ciel couleur de rose, un bateau a poussé un adieu déchirant, et au fond de ma gorge j'ai senti se serrer le nœud gordien de toutes les amours qui auraient pu être et n'avaient pas été. Je n'en pouvais plus.", p.74), qui se veulent des odes à l'amour, et des descriptions de viols (p.21), de viol sur mineur (p.150, le narrateur a douze ans).

On me traitera de censeur, de wokiste, je rétorque que j'aspire qu'à une re-considération de ce que nous considérons comme des chefs d'oeuvre. Il n'est pas faux de dire que la notoriété de Marquez le protège de ses mots. Et qu'on n'ose pas comparer l'histoire à Lolita de Nabokov, ce dernier se voulant une dénonciation assumée des actes pédophiles.

Que dit de notre société "Mémoire...", si ce n'est que lorsqu'il est question d'un grand nom, l'immoral devient moral ?

N'y a-t-il pas de meilleure façon de parler de la vieillesse et de son cheminement ? Si le désir est de rattacher cette grande vieillesse à la toute jeunesse, n'est-il pas possible de les unir par autre chose que de la sexualité ? Car oui, certes aucun acte sexuel n'est explicite entre Delgadina et le narrateur, n'empêche que le désir du narrateur est cité à de nombreuses reprises, qu'il touche au corps de cette enfant et que ce même corps est dépeint avec un vocabulaire qui se veut sexuel.

Ne pourrait-on pas parler de la vieillesse dans un rapport à la maison qui s'effondre ? Delgadina ne pourrait-elle pas être une petite-fille du narrateur ?

Je suis profondément choqué. Parce qu'à quatorze ans, le corps d'une enfant n'a pas prendre cette place dans un récit aussi premier degré. Il n'y a pas de tendresse, pas d'amour, parce qu'on ne peut être amoureux d'une enfant, ou bien vous devriez consulter au plus vite.

Il me semble sincèrement que nous devrions reconsidérer notre manière de glorifier, et même de déifier les auteurs. La littérature n'est pas une oeuvre du Tout-Puissant, elle est critiquable.

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Argent

Le récit est lent, prude, tendre, envoutant, mélancolique, philosophique et au même temps obscène, étrange et dérangeant.

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Or

Gabriel Garcia Marquez, je prends. Arrivée chez moi le contenu de la 4ème de couverture, me fait hésiter à le lire puisqu'il y est question d'un homme qui s'offre pour ses 90 ans une gamine vierge de 14 ans.

En réalité, c'est la tendresse et la pudeur qui vont dominer ce roman ainsi que le vieillissement de l'être humain extérieur, puisque de l'intérieur on ne le sent pas.

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Pas apprécié

Premier livre de cet auteur que je lis, et clairement, j'ai dû faire le mauvais choix.

Le titre était pourtant assez intrigant. Et puis c'est le genre de sujet assez tabou qui pouvait m'intéresser, mais ce qui est mis en avant, ce n'est pas du tout le cadre de la maison close ou de la prostitution, comme je le pensais. A contrario, je pense que ça aurait pu être intéressant de voir le point de vue d'une femme vivant dans une maison close, mais non, ici c'est juste un décor parfaitement secondaire.

A part ça... Il n'y a rien. Juste une obsession naissance d'un vieil homme pour une gamine de 14 ans. D'accord, on reste dans les thèmes assez limites... Mais ça reste trop sage, trop épuré, trop prude (et vu le thème, c'est un comble !) trop vide de tout événement. Une histoire d'amour avec la gamine qui patine.

Les souvenirs du vieil homme, parfois jusque dans ses aventures sexuelles qui, soyons clairs, ne m'intéressent en rien.

Mais au-delà de ça, il ne se passe rien jusqu'à la fin. C'est lent,on attend qui se passe enfin quelque chose et on s'ennuie. Chose étonnante, vu que le récit est très court : une centaine de pages à tout casser.

Le style d'écriture est simple et épuré et aurait pu être sympathique, si le contenu suivait. Mais ce n'est pas le cas, grosse déception pour ma part.

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Argent

Marquez m'avait laissé un meilleur souvenir dans "cent ans de solitude" mais l'écriture reste impressionnante si l'univers est moins fascinant. Le personnage principal à néanmoins un véritable goût de vérité (comme Marquez sait bien le faire).

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Argent

Certes, ce n'est pas le meilleur Garcia Marquez jamais écrit. Mais tout de même. Le style est toujours superbe. Le récit est très vite lu, et plein de philosophie, de poésie, et de jolies réflexions sur la vieillesse.

J'ai aimé, et ai refermé ce livre avec un petit sourire aux lèvres. Lisez-le, mais pas en priorité si vous n'avez jamais lu Garcia Marquez!

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Bronze

Le dernier Garcia Marquez... Quelque peu étrange pour 'clôturer' cette magnifique carrière. Il est loin d'être le plus envoûtant de son oeuvre mais il se laisse lire... Mais, s'il n'en faut lire qu'un seul, alors, ne choisissez pas celui-ci ! Mieux vaut s'atteler à Cent ans de solitude, ou De l'amour ou autres démons, ou bien encore Chroniques d'une mort annoncée.

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Date de sortie

Mémoire de mes putains tristes

  • France : 2006-09-06 - Poche (Français)

Activité récente

Tom1970 l'ajoute dans sa biblio or
2022-08-23T22:50:32+02:00
fafette l'ajoute dans sa biblio or
2020-08-20T10:34:49+02:00

Titres alternatifs

  • Memória de Minhas Putas Tristes - Portugais

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Note globale 6.33 / 10