Cher Lecteur,
Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.
Résumé
Son regard de professionnel croise celui de Noëlle Herrenschmidt qui, elle aussi, a assisté à ces trois procès et qui nous en restitue ici l'ambiance. Chacun de ces regards redonne, qui par l'écrit, qui par l'aquarelle, à ces procès leur chair, leur épaisseur humaine, leur densité émotionnelle, leur part inaboutie. Revenir sur ces procès vingt ans après permet à Michel Zaoui de retenir les enseignements, les acquis ou les manques, voire les contradictions de ce «crime de bureau». Qu'en a retenu la justice pénale internationale qui continue de se construire aujourd'hui ? C'est la question que se pose Antoine Garapon dans la postface.
Afficher en entier