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Autour de la famille Renard, on s'active aux préparatifs de l'anniversaire des quatre-vingts ans de la librairie de Bellécorce quand soudain, une branche craque. C'est le premier signe d'une terrible maladie : le croquebois. Pour en venir à bout, une seule solution : couper l'arbre. Mais, ça, Ernest Renard ne peut s'y résoudre. Le vieux chêne abrite les souvenirs et les oeuvres de sa mère, Anouchka. S'il disparaît, c'est aussi elle qui s'en ira encore un peu plus. À moins que l'arbre des souhaits, un pommier magique dont Anouchka lui avait parlé quand il était petit, n'accomplisse un miracle. Sa quête à travers la forêt lui réservera bien des pépins, et la vie à croquer.
« Alors, cette nuit-là, adossé à son fauteuil, Archibald démarra la lecture de L'aventurier qui cherchait ses racines et ne s'arrêta même pas pour dormir. Oui, c'est vrai, l'histoire qu'il avait commencée était en train de se terminer; mais il n'avait plus peur. »
L’univers est toujours aussi enchanteur, et l’histoire est pleine d’émotions et de belles leçons de vie, tout en gardant cet humour et cette tendresse qui font le charme de la saga. Une fin à la hauteur, qui laisse un doux mélange de sourire et de nostalgie une fois le livre refermé. Aurevoir mes amis
C'est la saison des adieux, à la fois pour les petits orphelins, pour l'arbre centenaire et aussi pour la lectrice que je suis. Cette série aura toujours une place dans mon cœur.
S'il n'y a pas de remède miracle aux grandes tragédies de la vie, les Mémoires de la Forêt nous indique une voie, pleine de résilience comme de douceur, pour continuer à avancer tout en préservant les souvenirs qui font ce que nous sommes ainsi que ceux de nos êtres chers.
Ce tome 4 ne déroge pas à cette vérité tout en venant compléter les différentes épopées familiales d'une aventure de fratrie. Ces petits bouts de choux étaient adorables et je suis heureuse de découvrir ce qu'il est advenu de Bartholomé, de Rousseau et d'Archibald sur le long terme.
En bref, je clos cette série en étant en paix avec moi-même et éternellement reconnaissante des bons moments qu'elle a provoqués (les excellentes sessions de lecture mais aussi les rencontres avec l'auteur, l'illustratrice et surtout les aventures partagées avec ma sœur justement pour récolter ces dédicaces) ; je ne peux que vous conseiller, si ce n'est pas déjà fait, de la commencer.
Ce dernier tome est vraiment touchant. Quel bonheur de retrouver Bartholomé désormais papa ainsi que d'apercevoir d'autres personnages comme Archibald et Célestin.
Nos 3 petits héros sont vraiment attachants. Leur quête ne leur apportera ce qu'ils souhaitaient mais grâce aux rencontres effectuées ils passeront outre.
Jamais roman n’avait si bien porté son nom. Ce fût, en effet, une saison des adieux. Et il fut difficile de poser des mots sur cette belle lecture, qui, une fois n’est pas coutume, m’a bouleversé.
On retrouve nos protagonistes préférés juste après les évènements du troisième volet mais l’essentiel de l’intrigue se passe 25 ans après, accompagné de nouveaux personnages mais pas de panique, nous retrouvons nos héros si chers à nos cœurs attendris.
Les adieux ont plusieurs sens dans ce récit, c’est une histoire douce amère qui nous est contée comme d’habitude, qui aborde des sujets sensibles mais toujours avec la poésie et la douceur caractéristique de son auteur.
La plume est toujours aussi magnifique et déroule cette histoire qui nous apprend la nécessité de parfois dire adieux pour apaiser nos cœurs et de pouvoir passer à autre chose.
Nos nouveaux compagnons sont adorables et leur quête nous touche en plein cœur. Il m’est si difficile de vous parler de ce roman sans vous dévoiler une miette de son contenu car comme pour les autres, il me semble nécessaire de se laisser emporter dans l’histoire sans trop savoir où elle nous emmènera. Ce qui me touche le plus je crois, ce sont les petits clins d’œil à la vie de l’auteur qui se retrouve à presque chaque page, on sent à quel point il est attaché à ces personnages & cette histoire et ça n’en ajoute que plus d’émotions.
En bref, je ne cesserais jamais de vous recommander cette série qui ne peut vous laisser indifférent, laissez-lui une chance de pénétrer dans votre cœur et de vous toucher comme moi elle m’a touché. Une chose est sûre, elle figure en bonne place dans ma bibliothèque, tel un trésor précieux que je chérirais à jamais.
J’ai retrouvé avec plaisir les Mémoires de la forêt et nos renards préférés ! J’étais prête à pleurer, comme pour les autres tomes mais je ne m’attendais pas à ce point. Il faut dire que les thèmes abordés m’ont rappelés des souvenirs pas très joyeux.
Ce que j’aime particulièrement avec cette saga, c’est qu’elle aborde des thèmes très forts, tristes, durs mais pourtant tout en douceur et totalement adaptés aux enfants. Je pense que ça nous fait aussi réfléchir comme un enfant et se demander si nos réactions sont pertinentes. Parce que les enfants ont toujours cette insouciance et joie de vivre qui échappent par moment aux adultes. Ce sont des petits romans jeunesses qui ne paient pas de mine et pourtant, ils relèvent un trésor inattendu.
C’est une très belle saga que je ne peux que recommander mais il faut avoir conscience dans quoi on s’embarque et préparer les mouchoirs.
Après à titre purement personnel, je ne suis jamais très fan quand on change de génération et/ou qu’on a plus les mêmes personnages principaux donc j’aurais voulu en savoir encore plus sur Archibald !
En bref, une excellente saga jeunesse à lire à tout âge.
Comme pour les trois premiers tomes, je n’ai absolument rien à dire de mal sur ce roman. D’ordinaire, je suis plutôt une lectrice qui a tendance à pointer du doigt les défauts, les qualités aussi bien sûr, mais je ne passe jamais sous silence quelque chose qui m’a dérangé. Ici, il n’y a rien à passer sous silence, rien à pointer du doigt, tout est absolument parfait.
« La Saison des Adieux » est un excellent roman jeunesse, et un très bon tome de conclusion. Comme dans les trois autres, la plume est riche, poétique et adaptée aux enfants. Les personnages sont incroyables, l’histoire est prenante et l’ambiance cocooning à souhait. Le récit transpire l’amour de la lecture et de l’objet livre en lui-même et ça, c’est un vrai plus pour moi que j’aimerais retrouver dans toutes mes lectures. Nouveauté dans ce tome, on sent également une volonté de rendre hommage aux contes et à ces récits et légendes intemporels que tous les parents ont un jour racontés au moment du coucher.
Je dois vous avouer qu’en commençant cet ultime tome, j’avais très peur de la fin. D’abord parce que la dire au revoir, c’est difficile, et que je crois que je ne réalisais pas trop que j’allais quitter l’univers incroyable de Mickaël Brun-Arnaud pour ne plus jamais y retourner. Et ensuite parce que les fins, c’est difficile à écrire, et comme chaque lecteur a sa vision d’une saga, il est impossible de mettre tout le monde d’accord et je craignais que cette fin ne me convienne pas, surtout difficile comme je suis. Et il s’avère que je suis plutôt très contente. L’auteur choisi dans ce tome de faire une grande ellipse et de raconter l’histoire d’Ernest, le fils de Bartholomé. À travers lui, on comprend la volonté de l’auteur d’aller vers autre chose, de laisse partir le passé pour grandir et célébrer l’avenir. La conclusion extrêmement réaliste n’en demeure pas moins douce et pleine de poésie. Je ne peux pas vous dire que ce tome m’a touché autant que les trois précédents parce que ce n’est pas vrai, mais c’est indéniablement une très belle conclusion à une magnifique saga jeunesse qui se hisse sans difficulté parmi les classiques et les meilleures du genre.
Voilà, la saga « Mémoires de la forêt » se termine comme elle a commencé, tout en poésie et en douceur et je n’ai qu’une seule chose à vous dire : foncez. Foncez acheter ces livres pour vos enfants bien sûr, mais aussi pour vous, ils sont incroyables.
Je referme ce livre avec un petit quelque chose, un je ne sais trop quoi. Des larmes de tristesse à l'idée que la saga des Mémoires de la Forêt soit terminée, ou bien des larmes de joie parce qu'encore une fois c'est une nouveau tome à la hauteur de ses prédécesseurs. Les aventures d'Archibald Renard, Bartholomé et Ernest vont me manquer.
La plume de Mickaël Brun Arnaud est restée aussi belle et bienveillante durant ces quatre tomes, et les illustrations de Sanoë ont continué d'accompagner soigneusement, chaleureusement, avec douceur et bienveillance le récit.
J'attends avec une grande hâte la suite de leurs aventures, à chacun, en tant qu'auteur et illustratrice !
Et voilà, une saga qui arrive à son terme, l'une de mes préférées, qui m'a accompagnée durant plusieurs mois et m'a offert de magnifiques heures de lecture. Le dernier tome confirme tout ce que j'ai ressenti. Chaque roman a été un véritable coup de cœur. Honnêtement, je n'arriverais même pas à choisir mon préféré, tant chacun d'eux possède quelque chose d'unique, de beau et de touchant, que ce soit à travers les intrigues, les décors, les illustrations ou les personnages.
Je tiens à exprimer ma sincère gratitude à Mickaël Brun-Arnaud pour m'avoir fait voyager dans son univers animalier et forestier, pour m'avoir transmis de l'émotion et, surtout, pour m'avoir permis de rêver !
Si je devais aborder un aspect en particulier dans cette chronique, ce serait incontestablement l'écriture de l'auteur. Son style est immédiatement perceptible dès les premières pages. Il résonne parfaitement avec la jeunesse tout en séduisant aussi les adultes.
Chaque phrase possède une dimension poétique, riche en détails, claire et transparente. On les dévore les unes après les autres, tant la plume nous emporte. Les grands remarqueront également les références que l'auteur glisse régulièrement dans son récit, notamment à travers son jeu de mots sur la forêt et les animaux.
Chaque chapitre débute par une illustration et un titre en lien avec ce que nous allons explorer. La narration est bien présente, tout comme les dialogues, qui se distinguent clairement. Nous voyageons à travers le passé et le présent, avec des rappels et des références aux histoires précédentes.
Ainsi, si votre mémoire flanche parfois, telle la maladie de l’Oublie-tout qui provoque des trous de mémoires à Ferdinand Taupe, vous pourrez vous souvenir de ce que vous avez lu auparavant. C’est pourquoi je recommande aux lecteurs souhaitant découvrir la saga de ne pas lire dans le désordre et de commencer par le premier tome. À mes yeux, tout a un sens et tout est interconnecté, une sensation qui se renforce à la lecture du dernier tome.
Ce n'est pas nécessairement un livre riche en actions, mais il nous entraîne tout de même dans une histoire où l'aventure est bien présente, ce qui correspond parfaitement à mon idée du genre littéraire jeunesse. Il nous permet de voyager à la fois dans le passé et dans le présent, notamment à travers la forêt de Bellécorce.
Même en tant qu'adulte, on se laisse facilement emporter par le récit. Les rebondissements et le suspense sont plutôt rares, bien que l'on découvre rapidement ce qui se cache derrière ce dernier lorsqu'il se manifeste. Cependant, cela n'altère en rien l'intrigue, car l'histoire demeure captivante et addictive.
Que ce soit pour l'écriture, le scénario ou les événements, ces trois aspects sont magnifiquement valorisés par une mise en page soignée, du papier de haute qualité, et surtout, par les superbes illustrations de Sanoe. Son travail mérite d'être souligné et admiré, car il enrichit non seulement l'histoire de Mickaël Brun-Arnaud mais aussi une ambiance supplémentaire grâce à ses dessins et ses couleurs. Les textes, déjà détaillés au point de stimuler l'imagination, sont encore plus immersifs grâce aux illustrations.
De plus, c'était un vrai plaisir de retrouver les personnages qui m'ont accompagnée lors de ma lecture, ainsi que de redécouvrir les différentes familles comme celles d'Archibald Renard, Ferdinand Taupe et Célestin Loup. J'ai également eu la joie de rencontrer les nouveaux qui nous mèneront dans cette ultime aventure.
Chaque personnage imaginé par Mickaël Brun-Arnaud mérite d'être apprécié, même ceux qui sont un peu grincheux, car chacun d'eux a une personnalité bien définie. Leur caractère et leur façon de s'exprimer les rendent facilement reconnaissables. Même en tant qu'adulte, on peut facilement s'identifier à ces personnages et à leurs expériences, car ils nous offrent des leçons de vie précieuses et nous touchent profondément.
J'ai été ravie de retrouver l'un de mes personnages préférés de la saga, Bartholomé, et de le découvrir à l'âge adulte. J'ai également eu le plaisir de rencontrer ses fils, Ernest et Lothaire, qui m'ont tout autant émue que leur père. Les épreuves qu'Ernest traverse, tout comme celles de son petit frère Lothaire, ainsi que les défis de la petite Mathilde, m'ont profondément touchée.
Bien qu'il s'agisse d'une histoire destinée à la jeunesse, l'auteur n'hésite pas à aborder des thèmes qui résonnent en chacun d'entre nous, évoquant ainsi notre enfance lorsque nous devenons adultes, ou des souvenirs marquants de notre passé.
Le thème de la famille demeure central, tant du point de vue des parents que de celui des enfants. Plus précisément, il explore la fraternité, les liens entre frères et sœurs, ainsi que la responsabilité que les aînés ont envers leurs cadets, une responsabilité parfois difficile à assumer.
L'amitié joue également un rôle majeur, permettant aux personnages d'évoluer à leur manière. De plus, elle souligne l'importance de l'acceptation de soi et des autres, ainsi que la valorisation de nos différences.
La maladie et le deuil se manifestent de nombreuses façons, que ce soit par les émotions ressenties par ceux qui nous entourent, la perte d'un proche, ou encore le départ de son domicile après avoir toujours vécu au même endroit. C'est aussi le chagrin de devoir faire ses adieux à une partie de soi-même et à ses souvenirs les plus précieux.
Sans oublier les émotions telles que la culpabilité ou l'envie, qui révèlent que chaque individu peut avoir des désirs différents en fonction de son expérience actuelle. Ces sentiments humains nous submergent également en fonction de nos regrets ou de nos aspirations.
Pour conclure, une chose qui m’a vraiment frappé dans ce roman, ce sont les émotions variées que l’histoire a suscitées en moi à chaque page. Les larmes ont bel et bien été présentes, c'est indéniable, car que ce soit à travers les personnages, les événements ou les thèmes explorés, il est presque impossible de ne pas être ému et bouleversé. Aussi, je dois avouer que mon cœur de lectrice a eu du mal à fermer le livre et à faire mes adieux à la forêt de Bellécorce et à ses habitants.
Si vous n'avez pas encore eu l'occasion de plonger dans cette magnifique saga, je ne peux que vous la conseiller vivement. Je ne sais pas quoi ajouter pour vous persuader davantage, car je pense avoir déjà exprimé l'essentiel. J'aimerais que vous la découvriez par vous-même, au-delà de mes mots et de ma chronique.
Tout ce que je peux dire, c'est que c'est le type de saga que j'aimerais pouvoir oublier pour la redécouvrir comme si c'était la première fois. Cela dit, c'est également le genre d'histoire que je pourrais sans hésitation relire chaque année.
Que d’émotions dans ce dernier tome, j’ai pleuré de la première à la dernière page, de peine, de joie, simplement de savoir que c’était la fin… Les dessins sont toujours aussi magnifiques, le travail de Sanoe est incroyable. Nous retrouvons nos personnages préférés, nous en rencontrons de nouveaux, j’ai adoré ma lecture, la douceur, l’émotion, le petit cadeau que nous glissé l’auteur pour notre plus grand bonheur. Un parfait dernier tome pour une parfaite série. Un bijou à lire et à relire sans modération.
Un dernier tome à la hauteur des autres. J'ai aimé suivre les aventures de ces petits animaux que j'ai tant aimé et découvrir la façon dont ils avaient vieilli et agrandi leur famille. Toujours plein de douceur avec un vocabulaire un peu désuet et de magnifiques illustrations
Résumé
Autour de la famille Renard, on s'active aux préparatifs de l'anniversaire des quatre-vingts ans de la librairie de Bellécorce quand soudain, une branche craque. C'est le premier signe d'une terrible maladie : le croquebois. Pour en venir à bout, une seule solution : couper l'arbre. Mais, ça, Ernest Renard ne peut s'y résoudre. Le vieux chêne abrite les souvenirs et les oeuvres de sa mère, Anouchka. S'il disparaît, c'est aussi elle qui s'en ira encore un peu plus. À moins que l'arbre des souhaits, un pommier magique dont Anouchka lui avait parlé quand il était petit, n'accomplisse un miracle. Sa quête à travers la forêt lui réservera bien des pépins, et la vie à croquer.
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