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"Le secret du bonheur et le comble de l'art, c'est de vivre comme tout le monde en n'étant comme personne."

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Ce qui me révoltait, c'est une phrase négligemment lancée : "Il faut... il ne faut pas", ruinât en un instant mes entreprises et mes joies. L'arbitraire des ordres et des interdits auxquels je me heurtais en dénonçait l'inconsistance ; hier j'ai pelé une pêche : pourquoi pas cette prune ? Pourquoi quitter mes jeux juste à cette minute ? Partout je rencontrais des contraintes, nulle part la nécessité.

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Seule: pour la première fois je comprenais le sens terrible de ce mot. Seule, sans témoin, sans interlocuteur, sans recours. Mon souffle dans ma poitrine, mon sang dans mes veines et ce remue-ménage dans ma tête, cela n'existait pour personne.

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Les livres que j’aimais devinrent une Bible où je puisais des conseils et des secours ; j’en copiai de longs extraits ; j’appris par cœur de nouveaux cantiques et de nouvelles litanies, des psaumes, des proverbes, des prophéties et je sanctifiai toutes les circonstances en me récitant ces textes sacrés. […] Les mots et les cadences, les vers, les versets ne me servaient pas à feindre : mais ils sauvaient du silence toutes ces intimes aventures dont je ne pouvais parler à personne.

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"Elle aimait la vie avec ardeur, c'est pourquoi la perspective d'une existence sans joie lui ôtait toute envie de vivre."

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"La monotonie de l'existence adulte m'avait toujours apitoyée; quand je me rendis compte que, dans un bref délai, elle deviendrait mon lot, l'angoisse me prit."

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« Je détestais le conformisme, tous les obscurantismes, j’aurais voulu que la raison gouvernât les hommes ; à cause de cela, la gauche m’intéressait. Mais toutes les étiquettes me déplaisaient : je n’aimais pas que les gens fussent catalogués. Plusieurs de mes condisciples étaient socialistes ; à mes oreilles, le mot sonnait mal ; un socialiste ne pouvait être un tourmenté ; il poursuivait des objectifs à la fois profanes et limités : a priori, cette modération m’ennuyait. L’extrémisme des communistes m’attirait davantage ; mais je les soupçonnais d’être aussi dogmatiques et stéréotypés que des séminaristes. »

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"[...] mais je renonçai de bonne heure à la monarchie ; je trouvais absurde que le pouvoir dépendît de l’hérédité et échût la plupart du temps à des imbéciles. Il m’eût paru normal qu’on confiât le gouvernement aux hommes les plus compétents. Chez nous, je le savais, ce n’était malheureusement pas le cas. Une malédiction nous condamnait à avoir pour dirigeants des crapules ; aussi la France, supérieure par essence à toutes les autres nations, n’occupait pas dans le monde la place qui lui revenait."

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Personne ne m'admettait telle que j'étais, personne ne m'aimait : je m'aimerai assez, décidai-je, pour compenser cet abandon.

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« À la Sorbonne, les cours de littérature m’ennuyèrent ; les professeurs se contentaient de répéter d’une voix molle ce qu’ils avaient jadis écrit dans leurs thèses de doctorat [...] »

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