Commentaires de livres faits par Mensonges
Extraits de livres par Mensonges
Commentaires de livres appréciés par Mensonges
Extraits de livres appréciés par Mensonges
Hugh: (Indicating Name-Book) We must learn those new names.
Owen: (Searching around) Did you see a sack lying about ?
Hugh: We must learn where we live. We must learn to make them our own. We must make them our new home.
(Owen finds a sack and throws it across his shoulders.)
Owen: I know where I live.
Hugh: James thinks he knows, too. I look at James and three thoughts occur to me: A- That is not the literal past, the 'facts of history, that shape us, but images of the past embodied in language. James has ceased to make that disctimination.
Owen: Don't lecture me, Father.
Hugh: B- We must never cease renewing those images; because once we do, we fossilise. Is there no soda bread ?
This coyness, lady, were no crime.
Nor ever chaste, except you ravish me
I will abroad.
N. Someone who seems to have nothing but bad luck.
We all know one. It's not necessarily their fault, but bad things just seem to happen to them... all the time. You have two choices when dealing with a shlimazel: embrace the chaos that comes with bad luck or run very fast in the other direction.
Yiddish noun
v. To fall out of love, a bittersweet feeling.
Looking at your once-beloved is different somehow - they no longer seem as if sent from the heavens, and there is nothing you can do to stop those wonderful feelings from fading.
Russian verb
C'est alors qu'il comprit où était le problème. Il n'avait pas mal joué ; il avait trop bien joué. Elle avait consacré toute sa vie à cet instrument, et en jouait avec un grand talent, sans avoir jamais pu pour autant atteindre un niveau de compétence lui donnant une réelle satisfaction. Et lui, qui n'avait jamais vu un piano de sa vie, pouvait s'y installer et en tirer des splendeurs dépassant tout ce qu'elle pouvait rêver d'accomplir en ce domaine. Son jeu n'était pas orthodoxe, bien sûr, il était insolite, voire franchement bizarre, mais elle avait remarqué la maîtrise supérieure qu'il dénotait, en avait éprouvé un choc, du dépit, s'était sentie écrasée, et voilà qu'elle se tenait là, complètement désorientée et confondue par cet étranger qu'elle avait amené chez elle...
Encore... Un coup... Ou deux... Et je serai cuit...
Finalement, ça vaut mieux... Je ne sais plus qui je suis... Si je suis un clone... La vie n'est plus possible !
Nick Fury : Vous n'êtes pas du genre à vous cadenasser à votre attaché-case !
Vous avez peur que le SHIELD vous le fauche ?
Tony Stark : Non, Fury... Pas précisément !
"Tu es juif, Marvin ?" je lui demande et il fait non de la tête. "Tu es allemand ?" Non. "Arabe, alors ?" Toujours non. Je le secoue de plus en plus fort. "Allez, Marvin, je dis en le bourrant de coups de poing dans le ventre, c'est trop facile de rester là sur un lit à regarder le plafond du matin au soir. Il faut prendre parti, il faut croire en quelque chose et te battre pour le défendre, sinon tu meurs."
" Pardon madame ! Je ne recommencerai plus...
- Monte dans la voiture !
- Madame ! Ma mère est morte. C'est une méchante belle mère qui s'occupe de moi. Si je ne rentre pas tout de suite à la maison, elle me tuera...
Elle me brûlera au fer à repasser !
ELLE OBLIGERA MON PÈRE À ME METTRE DANS UN ORPHELINAT"
Je ne sais pas si elle m'a crue ou si elle a fait semblant, mais par miracle, elle m'a laissée partir.
Les grandes personnes vous y encouragent.
Elles cachent les choses aux enfants. Pour les protéger de la vérité.
Elles les gardent dans une jolie bulle où les saletés ne rentrent pas.
Mais les enfants sont futés.
Ils ne comprennent pas les mots, mais ils savent la façon dont on les dit.
Ils s'accrochent aux illusions, mais c'est dur d'ignorer la haine et les cris.
Surtout quand ce sont eux qui sont visés.
(Spectre Soyeux : Cruels adieux)
(Minutemen : La minute de vérité)
(Fatale Attraction)
La Californie. Remarquez, pas besoin d'être grand clerc pour comprendre ça.
(Fatale Attraction)