Extraits

« -Je me souviens de mon premier amour, déclara Pratchett.

- N’importe quoi, répliqua Démétrius. Tu n’aimes que toi.

- C’est pour ça que c’était un amour si blessant. Je suis difficile à contenter.

Pratchett éclata de rire et frappa Sebastian sur le dos. »

"Comment savez-vous qu'il est beau?

Turren fronça les sourcils.

-Je le présume. c'est ce qui arrive dans les contes de fées. Tous les princes et les princesses ont de séduisants sauveurs."

— Si toute cette histoire de royauté ne fonctionne pas, tu devrais vraiment devenir avocat de la cour. Je suis certain que tu pourrais faire libérer un meurtrier d’enfant avec cette langue.

— Je me contenterai de te convaincre d’être avec moi, chuchota Turren.

Turren fouilla dans son sac et en sortit un objet cylindrique enveloppé de papier.

— La propriétaire a dit que tu préférais ceux au poulet basilic.

— Tu es un connard préparé, je dois te l’accorder, dit Sebastian.

— L’amour est la plus grande des guerres, je ne suis pas assez fou pour me présenter sans armes à une bataille.

— (...)Qu’est-ce que j’y gagne ?

— Nous oublions l’incident de la taverne et appelons ça un simple malentendu.

— Ce qui signifie que je serai payé pour avoir sauvé la vie du prince deux fois ?

— Peut-être.

Sebastian imita les bras croisés du capitaine.

— Les peut-être sont pour les prévisions météo et les escrocs.