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Commentaires de livres appréciés par Meodia

Extraits de livres appréciés par Meodia

[...]
-C'est ce qui arrive j'imagine, quand on n'attend plus grand-chose des autres.
Mon hôte acquiesça et quelques cheveux blonds hirsutes vinrent balayer ses joues tannées.
-La confiance est aussi fragile que du verre. Une fois brisé, impossible de le réparer tout à fait, impossible de voir au travers aussi bien qu'avant. À l'époque où je suis devenu agent, la confiance construisait la base de notre engagement. Confiance entre collègues, envers nos supérieurs et en l'organisme lui même. Ça m'est resté même après avoir pris ma retraite.
Avec ma fourchette, je traçai une ligne dans le reste de mon sirop.
-J'avais un ami comme ça, lui aussi. Il venait d'une de ces familles dévouées à l'organisation de génération en génération. Il a vécu pour la Secte, il a tué pour la Secte et .... il est mort pour la Secte.
La fourchette m'échappa et je demeurai silencieuse un moment. [...]
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GDCP : chapitre 1:

Prologue:
Sophie recula d'un pas trébuchant pour rejoindre ses amis, encerclés par un mur de flammes jaune fluorescent.
La peau léchée par la chaleur, les poumons saturés de fumée, elle vit les invisibles s'avancer, débarrassés de leurs robes noires, de tout déguisement.
Ils ne se cachaient plus.
Sophie tenta de se concentrer sur leurs insultes et leurs avertissements, mais son esprit était trop obnibulé par d"autres mots.
"Imposteur."
"Piège."
"Traître."
Ce dernier terme en particulier l"empêchait de regarder l'une des silhouettes dans les yeux.
Nouvelle trahison, nouveau mensonge.
Sophie en avait assez de tout.
Elle attrapa son pendentif - un cygne de métal noir lové autour d"un fragment de verre lisse. Elle ne comprenait pas la raison qui avait poussé le cygne noir à lui donner. Mais elle connaissait assez son pouvoir pour savoir qu'il représentait leur dernière chance.
Elle porta le fragment à la lumière mourante du crépuscule et laissa le rayon de lumière blanche se réfracter vers les flammes du Grand Brasier.
Il était temps de combattre le feu par le feu.



Chapitre 1 :

-Nous devons y aller, annonça Fitz, qui venait de faire irruption dans la chambre d"ami située à l'étage de Everglen.
Il trouva Sophie assise au bord de son immense lit à baldaquin, vêtue de ses habits humains. Par la fenêtre, elle jeta un regard au ciel noir d'encre.
-On ne devrait pas attendre une heure ? demanda-t-elle.
-Impossible. Le conseil est déjà en train de déterminer nos châtiments respectifs.
Secouée par cette révélation, Sophie prit une profonde inspiration pour recouvrer son sang-froid avant de prendre son sac à dos violet, le même qu'elle avait emporté lors de ses adieux au monde des hommes, près d'un an auparavant. Et à présent, elle s'apprêtait à quitter les cités perdues.
-Tout le monde est prêt ? demanda-t-elle, fière de contrôler sa voix.
Elle résista à la tentation de s'arracher un cil gênant.
L'heure n"était plus aux tics nerveux, mais au courage.
Le conseil avait juré de punir quiconque s'associerait au cygne noir, la mystérieuse organisation responsable de l'existence de Sophie. Mais la jeune fille et ses amis savaient que le véritable ennemi n'était autre qu'un groupe appelé les Invisibles. Fitz, Keefe et Biana avaient même tenté de d"aider le cygne noir à capturer ces rebelles sur l"Everest. Hélas, les invisibles alerté de leur plan, s'étaient organisés pour leur tendre une embuscade. Sophie avait découvert le pot aux roses juste à temps pour prévenir ses camarades, qui en étaient sortis sains et saufs, avec un prisonnier à la clé. Mais, dans l'aventure, ils avaient tous violé une multitude lois.
L'option la plus sûre à présent consistait à rejoindre le cygne noir dans la clandestinité. Pourtant Sophie éprouvait des sentiment mitigés à l'idée de se rapprocher de ses créateurs. L'organisation, à travers le projet Colibri, avait manipulé son patrimoine génétique afin d"amplifier ses pouvoirs, sans jamais lui expliquer pourquoi, exactement. Pas plus qu"ils ne lui avaient révélé l'identité de ses parents biologiques. Allait-elle seulement les rencontrer un jour ?
-Tu as mis le temps ! maugréa Keefe lorsque Sophie descendit l"escalier d"argent en colimaçon.
Il se tenait, avec Dex, dans le hall circulaire d'Everglen. Avec leurs sweats à capuche et leurs jeans foncés, on les auraient presque pris pour des humains.
Keefe tapota sa chevelure ébouriffée avec soin, un sourire goguenard aux lèvres. Malgré tout, la tristesse visible dans son regard d"azur n"échappa pas à Sophie. Lors de leur confrontation avec les invisibles, le jeune homme avait découvert que sa mère en était l'un des chefs. Elle en était même allée jusqu'à attaquer son fils, avant de fuir vers la capital ogre, abandonnant sa famille.
-Ne t'en fait pas pour moi, Foster, dit-il.
Il agita la main dans le vide comme pour chasser l'angoisse de la jeune fille. Il faisait partie des rares empathes capable de percevoir les émotions de Sophie sans contact physique.
-Je ne m'inquiète pas que pour toi ! Vous risquez tous votre vie pour moi ...
-Pour changer... glissa Dex avec son habituel sourire à fossettes. Tu veux bien te détendre, oui? On est prêt ! Même si je ne suis pas très convaincu par mon choix de chaussures. (Il désigna ses bottes en cuir marron souple, à la coupe typiquement elfique.) Mais tous les modèles humains que possède Fitz étaient trop grand pour moi.
-Je doute que quiconque s'en rende compte, lui assura Sophie. Même si tout dépend de la durée de notre séjour chez les humains. Une fois à Florence, à quelle distance se trouve la cachette ?
Fitz décocha son sourire de star de cinéma.
-Tu verras.


(Fin de l'extrait).
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Chapitre 17. Un sacré tissu de conneries (p.144 *(fin) et 145 )

De retour dans la salle à manger, il se laissa tomber sur sa chaise et lança à Abigail un regard assassin.
-Tu es tellement immature, James, lança Lauren.
-Tu sais quoi ? Je me fous totalement de ton avis.
-Surveille ton langage, s'étrangla Abigail.
-Mais vous pouvez pas la boucler ? lança Dana. Je n'en peux plus, de ces disputes permanentes.
Lauren gloussa. James engloutie une cuillerée de cannellonis.
-C'est vrai, dit Abigail. On se prend le bec comme une vraie petite famille.
Les trois agents esquissèrent un sourire.
-Je suis désolé, murmura James. Je crois que je suis un peu sur les nerfs.
-Excuses acceptées, répondit la jeune femme. Mais je crains que les choses n'aillent pas en s'arrangeant. Elliot est passé me voir, ce matin. Il pense que nous avons rendu des services inestimables à l'organisation. Tenez-vous bien, nous sommes invités à nous installer dans la communauté, à l'essai.
James, Lauren et Dana échangèrent un regard fiévreux.
-J'espère que tu as accepté, dit James.
-Avec réticence, précisa Abigail avec une d'ironie. J'ai dit que je pensais qu'il était trop tôt, que nous n'étions pas prêts à prendre un tel engagement, mais j'ai fini par me laisser convaincre.
-Je parie qu'il a visité la maison pour estimer combien il pourra en tirer quand on en aura fait dont à l'organisation.
-Oui, et j'ai hâte de voir sa tête quand il apprendra qu'on est locataires.
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Chapitre 11. Ce que disent les démons

Trente-cinq heures de voyages combinées à dix heures de décalage horaire avaient bouleversé l'horloge interne de James. Il passa une partie de la nuit à se tortiller dans son lit puis, convaincu qu'il ne parviendrait pas à trouver le sommeil, il joua à la PSP jusqu'au lever du soleil. Victime d'une effroyable migraine, il mit un maillot de bain et effectua quelques longueurs dans la piscine.
Les membres de l'équipe passèrent la matinée à mettre en ordre leur nouvelle demeure. James tondit la pelouse à l'aide d'un motoculteur. Dana passa des heures au téléphone avant de dénicher une société de maintenance pour la piscine et un plombier capable de réparer le robinet de l'une des salles de bains privatives. Abigail et Lauren s'occupèrent du ravitaillement dans un supermarché Big Fresh.
Après le déjeuner, ils visitèrent leur collège, un établissement situé à trois kilomètres de la ville, au beau milieu d'une prairie, constitué d'une allée couverte circulaire desservant quatre bâtiments de plain-pied. Après un bref entretien avec le directeur adjoint, ils se rendirent à la boutique où Abigail dépensa cinq cents dollars en uniformes.
Sur le chemin du retour, ils firent halte dans un grand magasin Target afin d'acheter un vélo pour Lauren --un détail omis par ASIS.
Le soir venu, ils dînèrent au bord de l'eau, dans la salle privée d'un restaurant chic, en compagnie de John, de Chloé et de Myriam Longford, un professeur de psychologie de l'université de Brisbane dont James avait feuilleté les ouvrages au cours du vol.

(Extrait choisi au hasard)
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