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Sur une île au large de Cherbourg, un vieil homme et une jeune fille vivent isolés, entourés de serviteurs et de gardes du corps, à l’abri de tout reflet ; en aucun cas Hazel ne doit voir son propre visage.
Engagée pour soigner la jeune fille, Françoise, une infirmière, va découvrir pourquoi Hazel se résigne aux caresses du vieillard. Elle comprendra au prix de quelle implacable machination ce dernier assouvit un amour fou, paroxystique…
Au cœur de ce huis clos inquiétant, Amélie Nothomb retrouve ses thèmes de prédilection : l’amour absolu et ses illusions, la passion indissociable de la perversité.
La laideur, c’est rassurant : il n’y a aucun défi à relever, il suffit de s’abandonner à sa malchance, de s’en gargariser, c’est si confortable. La beauté est une promesse : il faut pouvoir la tenir, il faut être à la hauteur.
Je ne suis pas vraiment captivée par les romans autobiographiques d'Amélie Nothomb, par contre j'aime beaucoup ses romans comme celui-ci. Ce qui me fascine comme toujours, ce sont les dialogues entre ses personnages. Quant à l'histoire, j'ai attendu jusqu'à la fin d'en connaitre le dénouement, c'est même agaçant on voudrait bien aller jeter un œil aux dernières pages des fois. D'ailleurs, il y a deux fins, ce que je trouve très sympa.
Hazel habite sur une île au large de Cherbourg depuis 5 ans, à la suite d’un bombardement qui l’a laissé défigurée. Elle est, à l’époque, recueillie par Omer Loncours, ancien Capitaine, qui est propriétaire de ce charmant îlot.
Elle y vit recluse comme une prisonnière, passant ses journées enfermée dans le château loin de tout ce qui pourra de près ou de loin, refléter son terrible visage.
Françoise, jeune infirmière, va être appelée, à la demande d’Omer, au chevet d’Hazel qui présente les signes d’une santé fragile. Le Capitaine impose néanmoins des règles très strictes que Françoise devra suivre à la lettre si elle souhaite continuer à venir soigner sa patiente, moyennant une généreuse rémunération.
Dès son arrivée, Françoise pressent qu’il se passe quelque chose d’intrigant sur cette île et ne va pas tarder à mener l’enquête entre ces deux protagonistes. Elle va découvrir une frêle jeune femme, effrayée par son ombre, qui se réjouit de trouver enfin une amie en la personne de la jeune infirmière. Et à l’inverse, un vieux loup de mer obsédé par sa rescapée, prêt à tout pour la garder auprès de lui.
J’ai adoré toutes les références littéraires évoquées dans ce roman. Parfois même, certains passages m’ont fait penser à d’autres références sans qu’elles ne soient citées explicitement, la littérature y étant omniprésente.
Une lecture courte et haletante, se composant de petits chapitres. J’ai trouvé néanmoins quelques longueurs à certains moments de l’histoire, surtout un en particulier lors d’un échange entre Françoise et Omer, mais sinon globalement, ce roman se lit très facilement. On a hâte de connaître le dénouement !
Mention spéciale pour la présence de cette fin alternative à l’issue de l’histoire ! Je trouve cela très intéressant même si en soit, cela n’a pas changé ma lecture, car la fin initiale me convenait parfaitement. Mais cette rareté nécessitait d’être soulignée !
Mercure est le premier roman d'Amélie Nothomb que je lis. Je suis tombée dessus par hasard en librairie d'occasion, mais je ne savais pas du tout à quoi m'attendre.
Le livre se lit très bien, l'écriture est très fluide et passe beaucoup par les dialogues. J'ai dévoré le livre : il est court et se lit très bien.
L'histoire par contre est assez étrange. La relation entre les différents personnages est bizarre, un peu malsaine et perturbante. C'est ce côté sombre et pervers (même si fascinant) de l'histoire qui m'empêche de lui accorder une meilleure note car ce n'est pas une atmosphère que j'apprécie particulièrement.
Cela reste tout de même une bonne lecture qui me restera en mémoire.
Bon livre, qui questionne l'amour dans une atmosphère confinée.
Je suis un peu déçu dSpoiler(cliquez pour révéler)'avoir deviné la révélation sur le visage d'Hazel trop facilement et trop tôt. Nothomb a multiplié les indices, rendant le tout trop visible. j'aurais préféré avoir un choc en l'apprenant et me dire "ah oui, en effet, c'est pour cela que...".
Je suis aussi déçu que la période, les années 1920 n'ait servie qu'à rendre possible le plan du Vieux, en enlevant les nouvelles technologies. A part cela, vocabulaire, médecine, tenues, décors et personnages auraient pus appartenir au 21e siècle.
J'ai adoré Françoise, à la langue bien pendue, Hazel un peu moins, qui m'a énervé dans son absence de clairvoyance et même le vieux, tellement honnête envers son crime ! Je suis heureux qu'il n'ait pas été hypocrite, cela l'aurait rendu détestable à chacune de ses apparitions.
Spoiler(cliquez pour révéler)Le fait qu'il y ait deux fins me perturbe, je ne sais pas laquelle je préfère mais la plus probable me semble la première. Je préfère considérer cela comme deux futurs qui divergent par le choix de Françoise, par son égoïsme ou par son altruisme.
Mercure est une très chouette lecture assez courte, idéale entre deux longs romans. Pour ma part, je l'ai lu pendant un vol d'avion, d'une traite, et je l'ai dévoré.
Malgré quelques événements prévisibles, le roman a de quoi surprendre le lecteur et même, parfois, le laisser bouche bée. On y retrouve toujours quelques éléments "dérangeants", qui poussent au débat et font réfléchir.
Point positif du livre : ses deux fins ! En effet, l'autrice a tenu à laisser les deux fins qu'elle avait imaginée pour le roman, sans jamais choisir celle qu'elle jugeait être la plus adéquate. Je n'avais jamais vu ça dans aucun autre roman et je l'ai particulièrement apprécié.
Dés le départ, je suis une adepte d'Amélie Nothomb, j'achète chacun de ses livres et le garde précieusement pour le moment où j'aurai le temps de l'apprécier.
Car le style Amélie Nothomb, c'est une ambiance. A chaque nouvel ouvrage, elle nous crée un nouvel univers ... personnellement à chaque fois, ces univers je les ressens oppressants, mais m'en délecte comme d'un fruit défendu.
Mercure est pour moi le livre d'Amélie (vous permettez que je l'appelle Amélie) que je préfère. C'est un huis-clos, donc très intimiste... on ne peut guère plus oppressant pour le coup, un échange permanent entre un vieil homme et sa "pensionnaire" (tiens ça me rappelle bizarrement un fait d'actualité récent cette histoire !) dans lequel vient s'immiscer une infirmière.
Tout au long du roman, Amélie Nothomb nous relate l'évolution des pensées de la demoiselle, la vision de l'infirmière jusqu'au dénouement final dont tout comme moi vous vous délecterez sans nul doute.
Résumé
Sur une île au large de Cherbourg, un vieil homme et une jeune fille vivent isolés, entourés de serviteurs et de gardes du corps, à l’abri de tout reflet ; en aucun cas Hazel ne doit voir son propre visage.
Engagée pour soigner la jeune fille, Françoise, une infirmière, va découvrir pourquoi Hazel se résigne aux caresses du vieillard. Elle comprendra au prix de quelle implacable machination ce dernier assouvit un amour fou, paroxystique…
Au cœur de ce huis clos inquiétant, Amélie Nothomb retrouve ses thèmes de prédilection : l’amour absolu et ses illusions, la passion indissociable de la perversité.
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