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"- Pourquoi considère-t-on que les voitures sont des femmes ? demanda-t-il.

- Parce qu'elles sont capricieuses et exigeantes, répondit Zee.

- Parce que, si c'étaient des hommes, elles passeraient leurs journées à se plaindre au lieu d'agir, rétorquai-je."

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- Adam a toujours eu ... une certaine tendance à l'héroïsme.

Je touchai le bras de mon compagnon.

- C'est mon héros.

[...]

- C'est la chose la plus romantique ue je t'aie jamais entenfue dire, observa Bran. Fais gaffe, Adam, tu risques de la transformer en vraie fille.

Adam me regarda avec affection.

- Je l'aime exactement comme elle est.

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- Tu n'as aucun problème avec le fait d'épouser un loup-garou père d'une adolescente et Alpha d'une meute instable, mais c'est ta mère qui te panique ?

- Tu l'as rencontrée, pourtant, maugréai-je. Toi aussi, tu devrais être paniqué. (Il éclata de rire). Il faut croire que tu ne l'as pas vue assez longtemps, conclus-je.

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- ... A titre d'exemple, quand ton père saura que je t'ai emmenée voir une mystérieuse fae, il va me faire la peau.

Elle sourit encore.

- Tu n'auras qu'à le laisser hurler, puis coucher avec lui. Les hommes, ça pardonne tout avec un peu de sexe.

- Jessica Tamarind Hauptman, qui t'a donc appris ça ! m'écriai-je l'air faussement effarée.

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Je fermai les yeux et me souvins de combien j'avais éte terrifiée, puis je les rouvris aussitôt: j'avais besoin de voir Adam pour me sentir en sécurité.

Il était si immobile que je crus qu'il s'était rendormi.

Puis il parla.

-Elle t'a fait du mal.

Ce n'était pas une question.

-Oui (Je n'avais aucune intention de lui mentir.) Mais ce n'était que de la douleur, rien de vraiment grave. Je savais que tu viendrais me chercher si je tenais bon.

Je fis de mon mieux pour qu'il entende la certitude dans ma voix.

Il roula sur le lit de manière que je me retrouve sur lui. Il posa les mains sur mes épaules et me secoua gentiment.

-Ne me fais plus jamais vivre un truc pareil.Je n'y survivrais pas.

-Promis, répondis-je avec rage. Plus jamais ça.

Il eut un petit rire et me serra contre lui.

-Bran ne t'a-t-il jamais appris à ne pas faire de promesses que tu ne pouvais pas tenir ? (Il soupira.) Bon, j'imagine que, si tu refuses de la fermer et de me laisser dormir, il va bien falloir que je trouve une occupation.

Quand il en eut terminé, nous nous endormîmes tous les deux.

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-Mienne, dit-il en remuant les hanches dans un roulement plus possessif que passionné.

Je levai le menton et l'affronterai du regard d'une manière dont j'étais seule capable. Puis j'enfonçai les talons dans le matelas et donnai mon rythme à notre étreintre.

- Mien, répondis-je.

Le loup d'Adam sourit et me mordilla l'épaule.

- Ca me convient parfaitement, dit-il.

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-Mais tu n'as pas menti, pas vrai, Mercy? Le lien de la meute te dérange, et... le nôtre aussi.

-J'ai seulement besoin d'un peu de temps pour m'y habituer.

Il me lança un regard sévère et je réagis exactement comme sa fille devant cette expression; en me tortillant d'un air mal à l'aise.

-Ne me mens pas, Mercy. Pas à moi. Pas de mensonge entre nous.

[...]

Puis Adam se mit à hurler à la lune. C'était un son totalement étranger dans la gorge d'un homme, et je ne l'avais entendu qu'une fois. C'était le jour où mon père adoptif avait vu sa femme, sa compagne, mourir dans ses bras.

[...]

Je me rendis soudain compte que ce dernier (Adam) n'avait émis aucun son. Son cri m'avait atteinte d'une autre manière, par le lien qui avait été noué entre nous.

Adam resta le dos tourné.

-N'aie pas peur de moi, murmura-t-il. Ne me quitte pas.

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Bran me prit par le coude.

- OK , arrête de jouer avec eux. Tu ennuies Darryl. J'en ai un autre à te montrer.

Il me mena au centre de toutes les guirlandes d'argent.

Presque enfoui dans la magie de meute se trouvait un rocher noir profond. Il dégageait une telle impression de colère, de peur et de chagrin qu'il m'était difficile de m'en approcher.

- N'aie pas peur, me rassura Bran d'une voix plaine d'affection bourrue. Adam fait peur à trop de gens, ces jours-ci. Regarde et dis- moi ce que tu vois.

C'était Adam? Je me précipitai vers le rocher et posai mes mains dessus.

- Il est blessé, constatai-je, avant de me reprendre : Non. Il a mal.

- Où se trouve votre lien ?

Il gisait dans la neige, pauvre chose usée, renouée à la hâte à plusieurs endroits, juste pour éviter qu'elle cède sous la tension.

- Tressée à la hâte sous l'emprise de la nécessité, ce qui n'est pas forcément une mauvaise chose, commenta le Marrok. Mais des imbéciles ont décidés de s'y attaquer. Ils auraient mieux fait d'y réfléchir.

Je vis d'autour des nœuds, il y avait des traces de dents, comme si des chiens... ou des loups avaient tenté de mâchonner le lien et que quelqu'un avait rendu la corde plus solide en y faisant des nœuds.

- Henry ne fait plus parti de la meute, poursuivit Bran. Des fois que tu ne l'aies pas remarqué. Je l'ai amené dans ma meute pour une petite conversation entre quatre yeux. Dans quelques mois, je le laisserai peut-être vivre sa vie. Tout ça est en grande partie sa faute.

Mais soudain, les traces de morsures me semblèrent plus si graves.

- Il est brisé ! m'exclamai-je en tombant à genoux dans la neige profonde. Devant mes yeux, la corde s'interrompait brutalement, comme si elle avait été tranchée à l'aide d'un couteau aiguisé. j'avais cru que la raison qui m'empêchait se sentir Adam dans ma tête était la surcharge qui avait eu lieu quand il avait pensé que j'étais morte. Sauf qu'elle s'était un peu rétablie, n'est-ce pas ? Quand l'avais-je de nouveau perdue ?

C'était douloureux de savoir qu'elle était rompue.

- Ça, vois-tu, c'est une coupure faite par la magie noire, gronda Bran.

Sa voix était si forte dans mon oreille droite que je ne pus m'empêcher de faire volte-face. J'aperçus une créature énorme et affreuse qui ne ressemblait nullement à Bran, quelle que soit la forme qu'il adoptait.

- Je ne comprenais pas comment c'était possible jusqu'à ce que Samuel me dise qu'une sorcière était mêlée à tout ça. Celle-ci et la reine ont découvert à elles deux une faiblesse dans ton lien et l'ont exploitée, m'expliqua-t-il, avant de constater, l'air amusé : Et je n'ai pas l'air de te faire peur du tout, je me trompe ?

- Pourquoi aurai-je peur de toi ? m'étonnai-je, mais toute mon attention était braquée sur la corde cassée.

Est-ce que je ferais mal à Adam si je la touchais ?

- Vas-y, m'encouragea Bran. Il donnerait n'importe quoi pour que tu la touches.

- Mien, dis-je. Mien.

Mais pourtant, je ne la touchais pas.

Avec ce petit ton ironique et supérieur qu'il utilisait parfais, et qui me donnait chaque fois envie de lui coller des claques, il ajouta :

- Je suis sûr qu'on trouvera quelqu'un qui en veut.

Je la saisis à pleine mains... pas parce que j'avais peur qu'il y ait quelqu'un d'autre, contrairement à ce que Bran pensait. Mais tout simplement parce que nous étions faits l'un pour l'autre, Adam lié à moi et moi à lui. J'adorais quand il me permettait de le faire rire : c'était un homme de nature sérieuse, encore accentuée par les responsabilités qu'il avait entre les mains. Je savais qu'il ne me quitterait jamais, que jamais il ne me laisserait tomber : il n'avait jamais rien abandonné de toute sa longue vie. Si je n'avais pas saisi la corde d'or, je savais qu'Adam aurait fini par s'asseoir sur moi et me ligoter avec. Et j'aimais cette idée. Beaucoup.

- Mercy !

Ce n'était plus la voix de Bran. Celle-ci était exigeante et à moitié folle. Il y eut une brève hésitation, puis Adam reprit la maîtrise de lui-même et dit :

- Il était temps. On t'a trouvée. Mercy, on vient te chercher. On arrive.

Je pris sa voix et m'en fît un manteau, et je m'accrochai à la corde comme un coquillage à son rocher, jusqu'à ce qu'elle se confonde avec mes os et que je n'ai plus besoin de la tenir.

- Adam, m'écriai-je, inondée de joie, avant d'ajouter, parce qu'il saurait que je le taquinais : Il était temps, en effet. Tu attendais que je m'en sorte toute seule ?

Je parcouru du regard le champs de neige, à présent recouvert de guirlandes étincelantes et de pierres lumineuses. Puis je fermais les yeux et rassemblai le sentiment de meute autour de moi comme un duvet réconfortant. Je sentis la magie de la reine des fées entrer en contact avec la corde dorée qui me reliait à Adam... et cette fois-ci, c'est la magie de la reine qui vola en éclats.

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- Non, je ne baisserai pas la vitre, lui dis-je. De toute façon, cette voiture n'a pas de vitres électriques. Il faudrait que je me gare, que je me penche par-dessus toi et que je la baisse manuellement. De toute façon, il fait trop froid dehors, et contrairement à toi, je n'ai pas de fourrure.

Il (Samuel) retroussa ses babines dans un rictus pour rire et laissa tomber bruyamment son museau sur le tableau de bord.

- Tu salis le pare-brise, lui fis-je remarquer.

Il me coula un regard ironique et frotta délibérément sa truffe contre son côté de la vitre. Je levai les yeux au ciel.

- Qu'est-ce que c'est adulte, comme réaction ! La dernière fois que j'ai vu une réaction aussi puérile, c'était chez ma petite soeur, et elle avait 12 ans.

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— Tu n’as vraiment aucune imagination, lui dis-je d’un ton suffisant. Ça ne te tuerait pas, de jouer avec une boule rose, tu sais ?

— Sauf que les boules roses ont des trous adaptés à des doigts d’enfant, objecta-t-il. Les noires sont les plus lourdes.

J’ouvris la bouche pour répliquer, mais il me fit taire d’un baiser.

— Pas ici, chuchota-t-il. Regarde à côté.

Je me rendis compte que nous étions observés par un petit garçon d’environ cinq ans et un bébé en robe à volants rose. Je pris l’air outré.

— Comme si j’allais faire des blagues de mauvais goût sur tes boules en public ! Ce serait complètement puéril, enfin.

Il sourit.

— Ravi que tu sois d’accord avec moi.

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