Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 732
Membres
1 013 560

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Ses lèvres se retroussèrent dans un grondement de rage impuissante. Alors qu’elle agonisait peut-être, son lien de meute était incapable de lui révéler où elle se trouvait et dans quel état. Tout ce qui le retenait de succomber au loup qui brûlait d’envie de tuer, de détruire, c’était qu’il ne l’avait pas sentie mourir. Elle avait simplement disparu. Jusqu’à preuve du contraire, il supposerait qu’elle était en vie et qu’elle avait besoin de lui.

— Adam, appela Darryl d’une voix tendue. Tu devrais venir ici.

En regardant par la vitre côté conducteur, Adam aperçut la meute rassemblée au bord de la route autour d’une forme à terre. Après avoir ouvert la portière, il sauta de la cabine. Lorsqu’il s’approcha, les loups, dont la plupart étaient en train de se transformer en réaction aux violentes émotions qu’il diffusait, s’écartèrent afin de lui permettre de mieux voir le corps allongé au sol.

Il s’agenouilla et examina Stefan, le seul vampire dont il avait reconnu l’odeur. Le loup brûlait de tuer leur rival, mais Adam brida cette part de lui-même à l’aide d’une froide vérité : tout comme lui, Stefan partageait un lien avec Mercy. Sans doute était-ce ce qui l’avait conduit à cet endroit. Peut-être Stefan serait-il en mesure de le mener jusqu’à elle.

Et c’était Mercy l’important, pas la jalousie ni la rivalité.

Ce rappel apaisa la soif de violence qui le tenaillait. En bon chasseur, le loup savait se montrer patient, et même lui ne pouvait douter que Mercy lui appartenait. La jalousie n’avait pas lieu d’être. La peur pour elle, oui, mais pas la jalousie.

Afficher en entier

-Sur ce point, vous avez lamentablement échoué, répliquai-je.

Sachez que j'attends de mes pires ennemis un certain niveau de compétence.

Afficher en entier

— Comme je vous l’ai dit, vous prenez des risques, répondit-il d’une voix beaucoup plus désinvolte que son regard. Vous devriez songer à quel point je suis… enchanté ? Oui, c’est le mot. Enchanté que la fille de cœur de Bran ait pénétré sur mon territoire. Votre visite me fait très plaisir.

Il n’avait pas du tout l’air d’un homme enchanté, plutôt d’un loup affamé qui avait repéré une biche blessée. « Enchanté » semblait un peu fade pour décrire cette émotion.

Afficher en entier

Quand je me réveillai, ma joue était à moitié collée à la table par de la sueur séchée. Bon, et aussi de la bave, probablement. Je n’essayai cependant pas de me désengluer car, d’une part, un loup-garou m’observait, et, d’autre part, j’étais encore à demi empêtrée dans un rêve où, à cheval sur un troll lancé au galop sur le Cable Bridge, je joutais contre le golem de Prague pendant que les fantômes d’un millier de loups-garous noyés escaladaient le pont en réclamant des Dragibus.

Afficher en entier

Marsilia sourit à Larry. Elle l’appréciait sincèrement, conclut Adam, non sans surprise. Il n’avait pas l’habitude d’associer Marsilia avec un sentiment aussi… doux.

— Interdit de flirter avant que vous soyez rentré chez vous et que votre femme ne puisse plus me reprocher quoi que ce soit, plaisanta-t-elle.

Larry haussa les épaules.

— Il n’y a aucun mal à regarder, si ?

Afficher en entier

Bran to Mercy :

“Your mother put you in my arms when you were less than three months old. I knew that I had no room in my life for such a fragile thing. I gave you to the best man for the job.”

“Bryan was amazing,” I told him, wondering what his point was.

Bran nodded. “Leah would have killed you if I had kept you.”

“She almost killed me anyway,” I said dryly. Bran’s wife and I had a hate-hate relationship that worked quite well for both of us.

“And yet,” Bran said softly, “you were mine from the day I first held you. No matter how hard I fought it. It isn’t safe to be in my family, Mercy. And you were this fragile creature who put herself in the path of destruction on a daily basis.”

[...]

Carefully I said, “Thank you for coming after me.”

“You rescued yourself,” he said. “I should have stayed home.”

[...]

We watched the rest of the movie without talking. When it was over, Bran said, “I love you.”

I said, “I know.” Adam nudged me with his shoulder, and I laughed. “I love you, too.”

Afficher en entier

— Adam, l’interpella Marsilia au bout d’un moment, d’une voix étrangement douce. Tout va bien ? Avez-vous parlé à Mercy ?

Il se passa une main sur le visage et s’avança sur son siège, adressant à ses compagnons un sourire sincère.

— Oui. Vous connaissez Mercy. Elle s’est échappée et voyage à présent dans la soute à bagages d’un bus. Qu’est-ce que ça change pour nous ?

— Il sera furieux, affirma Marsilia avant d’esquisser un sourire d’une tendresse étonnante chez une femme aussi redoutable. Je trouve Mercy beaucoup moins agaçante quand elle réduit à néant les plans des autres.

Afficher en entier

- Vous êtes la compagne d'un autre Alpha, répliqua-t-il, les yeux plissés en une expression hostile. Vous avec pénétré sur mon territoire sans accord préalable. J'aurais pu vu tuer pour cette unique raison.

J'avais plus ou moins espéré que nous avions dépassé le stade des menaces de mort. Manifestement, je m'étais trompée.

- Oui, mais c'était involontaire, si vous me tuiez, vous auriez l'air d'un gros con.

Il éclata de rire.

- Vous croyez que ça me dérange de passer pour un gros con ?

Il avait prononcé ces deux mots avec délectation, comme s'il ne les avait jamais utilisés avant.

Cependant, son corps s'était détendu. Homme qui rit, à moitié dans ton lit. Enfin, au sens figuré, bien sûr.

Afficher en entier

Vivre dans le club-house d’une meute de loups-garous comportait des risques. Faire décongeler des rôtis dans le réfrigérateur nécessitait les talents de camouflage d’un espion de la Seconde Guerre mondiale infiltré chez les cadres du parti nazi. Croyant les œufs hors de danger au prétexte qu’ils n’étaient ni sucrés ni saignants, je ne les avais pas cachés. Erreur.

Afficher en entier

Je fermai les yeux et me tâtai le cou. Au bout de quelques instants, mes doigts s’emmêlèrent dans un collier d’une extrême finesse, froid au toucher. Je cherchai le fermoir et découvris à la place un petit anneau de métal auquel était attachée une autre chaîne.

Rouvrant les yeux, je la suivis du bout des doigts, m’éloignant suffisamment de mon menton pour la distinguer. Dès que la mince chaînette se matérialisa dans mon champ de vision, je m’aperçus qu’elle menait aux mains du double de Stefan que j’avais convoqué sur scène.

En dépit de son aspect fragile, elle refusa de se tordre ou de se rompre sous les coups des divers instruments que je parvins à faire apparaître dans mon esprit. Je finis par tirer dessus de toutes mes forces, au point que je me blessai le cou et les doigts et que du sang coula le long de la chaînette.

— Chut, murmura une voix calme. Chut, tu me brises le cœur, cara.

Je me figeai, puis détachai mes yeux de ce qui était devenu une lourde chaîne pour les poser sur le double de Stefan, qui s’accroupit à côté de moi.

— J’ai promis de ne pas tirer sur la laisse. Arrête de te faire du mal. Je tiens mes promesses, Mercy.

Ses paroles amicales glissèrent sur moi comme une caresse. Je me sentais si seule… Sa voix me fit l’effet d’une couverture chaude sur mon corps nu, me donnant la force d’écarter mes doigts de la chaîne.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode