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Je n'aime pas les croix. Rien de métaphysique dans mon dégoût, contrairement aux vampires. Quand je vivais dans la meute de Bran, je portais ma croix, comme tout le monde.

C'est juste que j'ai tout un raisonnement sur le problème qu'il y a à me balader avec l'instrument de la torture du Christ en guise du symbole pour ce Prince de la Paix qui nous disait qu'il fallait aimer son prochain.

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Médée miaula plaintivement, mais je pris le temps de lire le message qui était scotché sur sa cage avant de la libérer : « MADEMOISELLE THOMPSON, disait le message en grandes majuscules impérieuses, JE VOUS PRIE D’EMPÊCHER VOTRE FÉLIN D’ENTRER DANS MA PROPRIÉTÉ. S’IL RECOMMENCE, JE LE MANGE. »

Le message n’était pas signé.

J’ouvris la porte du panier et en sortis le chat dans la douce fourrure duquel je frottai mon visage.

— Alors, le méchant loup-garou a mis le pauvre minou dans une boîte et il l’a abandonné ? lui demandai-je.

Elle sentait mon voisin à plein nez, ce qui me laissait penser qu’Adam l’avait accueillie un bon moment sur ses genoux avant de la fourrer dans sa boîte et de la ramener ici. La plupart des chats n’aiment pas les loups-garous – ni les métamorphes comme moi, d’ailleurs. Médée aime tout le monde, cette pauvre vieille chatte, même mon grincheux de voisin. Ce qui explique pourquoi elle finit régulièrement dans sa boîte, sous mon porche.

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C'était Warren qui m'avait raconté la suite des évènements. Adam l'avait convoqué chez lui et interrogé deux heures durant. À l'issue de l'entretien, il avait dit à Warren qu'il se fichait qu'un loup baise des canards tant qu'il obéissait aux ordres. Peut-être pas exactement en ces termes, si je devais me fier au sourire de Warren quand il me raconta cela. Adam utilise la grossièreté comme toutes ses armes : rarement, mais avec un effet certain.

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Le frottement de sa tête avait soulevé mon tee-shirt et il lécha ma peau nue. Cela aurait pu sembler très sensuel à œil non averti, mais je savais que l'abdomen était une partie du corps tendre que les prédateur affectionnaient particulièrement.

-Vous sentez bon, souffla-t-il.

-Alan, dit Adam en articulant exagérément, Alan Mackenzie Frazier, viens par ici.

Mac rejeta la tête en arrière, mais son étreinte sur mes hanches se resserra douloureusement. Il se mit à gronder en regardant Adam, sa poitrine animé d'un bourdonnement que je sentais contre ma cuisse.

-A moi, dit-il.

-Je ne crois pas, dit Adam en fronçant les sourcils. Elle est à moi.

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Samuel, ravi me voir aussi bien mordre à l'hameçon, me tapota la cuisse.

C'est par pur hasard que j'aperçus les yeux d'Adam se rétrécir puis passer du chocolat à l'ambré en voyant la main de Samuel avant de reporter mon regard sur la route pour m'assurer que le camping-car n'avait pas encore ralenti.

-Ne la touche pas, murmura Adam. (Sa voix était légèrement menaçante, et il dut s'en rendre compte puisqu'il ajouta :) S'il te plaît.

Ce n'est pas ma grande gueule que j'aurais dû me méfier.

Samuel déplaça sa main jusqu'à ce qu'elle chevauche entièrement ma cuisse et la pressa, pas assez pour me faire mal. Je ne suis pas sûre qu'Adam l'aurait remarqué si Samuel n'avait pas en même temps émis un semi-grondement de défi venant du fond de la gorge.

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-Non, mais qu'est-ce qui t'a pris ? Hurlai-je pour couvrir le bruit de la circulation (Bon, d'accord, aussi parce que j'étais furieuse.) Je croyais que ton rôle, c'était d'éviter qui que ce soit défie Adam tant qu'il ne serait prêt, pas de t'en charger toi-même !

-Tu ne lui appartiens pas, répondit-il vivement, en faisant claquer ses dents blanches.

-Mais bien sûr que non (Je soufflai, exaspérée et aussi un peu désespérée.) Mais à toi non plus, hein ! Nom d'une pipe, Sam, il ne te disait pas que je lui appartenais, mais qu'il avait le sentiment que tu envahissais son territoire. Il te demandait un service, là. Ca n'était pas un défi, crétin. Il essaie de maîtriser son loup après être passé à deux doigts de la mort. Deux loups mâles dépourvus de compagne deviennent toujours territoriaux en présence d'une femme, tu le sais aussi bien, sinon mieux que moi. Et toi qui es censé tout contrôler, voilà que tu te comportes de manière encore plus grotesque que lui.

Samuel ne répondit pas immédiatement, se balançant sur ses talons -un signe certain qu'il était sur le point de jeter l'éponge.

-Tu m'as appelé Sam, dit-il d'une voix étrange qui m'effraya autant que l'odeur de violence que je sentais toujours sur lui, parce que je ne savais pas e qui le faisait agir ainsi. Le Samuel que j'avais connu était plutôt tranquille. Je commençais néanmoins à penser que je n'étais pas la seule de nous deux à avoir changé toutes ces années durant.

-Comment peux-tu l'aider à se contrôler si toi-même tu n'y arrives pas ? Sans rire, c'est quoi, ton problème ?

-C'est pas juste que tu es une femelle, grommela-t-il enfin, et je faillis m^me ne pas l'entendre à cause du bruit des deux motos qui nous dépassaient.

-C'est quoi, alors ? Lui demandai-je

-Mercedes... Mercy. Je suis à peu près aussi agité qu'un chiot, là. C'est toi qui me bouffes toute ma maîtrise de moi-même.

-C'est ma faute ? Demandai-je incrédule.

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-Vous avez toujours cet effet sur les femmes, docteur Cornick ? Demanda-t-elle malicieusement.

Ce qui prouve combien son attention était effectivement fixé sur lui.

Samuel, l'inexorable Samuel, se lit à bégayer :

-J... je n'... n'ai...

Il s'interrompit et prit une inspiration avant de continuer d'un ton fidèle à lui-même :

-Je pense que vous avez plus de succès avec le sexe opposé que j'en ai moi-même.

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Il effleura ma bouche de ses lèvres douce et légères et je m'appuyai de tout mon poids contre la pression de ses mains pour me rapprocher de lui. Il eut un rire de gorge et m'embrassa pour de vrai.

Avec mon bras cassé entre nous deux, notre langage corporel ne put s'exprimer que par nos bouches et nos mains.

Quand il se recula, je gardai la main sur sa joue, savourant le contact granuleux de sa barbe et sa sensation de mon cœur bondissant. Le silence s'installa entre nous, ainsi qu'autre chose, que je n'arrivais pas à identifier.

La porte s'ouvrit à ce moment-là et mon nouveau colocataire nous considéra en souriant :

-Alors, vous avez terminé ? J'ai préparé du chocolat chaud parce que je m'étais dit que Mercy n'était pas très couverte -mais je vois que tu t'es occupé de lui tenir chaud.

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" Les vérités dures à avaler, on peut les intégrer et réussir à les vaincre, mais les mensonges rongent l'âme. "

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Ivre de rage, il était déjà plus rapide que moi, même sur ses deux jambes. Ça n'était absolument pas normal. J'ai semé assez de loups-garous dans ma vie pour savoir que je suis plus rapide qu'eux. Mais personne n'avait jugé utile d'en informer mon poursuivant. Le voyant se rapprocher encore, je ressautai par-dessus la clôture, vu que cela l'avait ralenti la première fois.

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