Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
713 821
Membres
1 008 402

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Il s'avança rapidement vers moi, glissa la main derrière ma nuque et m'embrassa. Je ne m'y attendais pas du tout...pas alors qu’il était à deux doigts de se métamorphoser. Je suis d'ailleurs certaine que c'est pour cette raison que je ne résistai pas.

Ses lèvres étaient douces, comme suppliantes, contrairement à ses mains qui avaient exigé mon obéissance. Cet homme était diabolique. J'aurai pu me rebeller s'il m'avait forcée, mais l'interrogation contenue dans ce baiser me laissa impuissante.

Je me laissai aller contre lui, accompagnant ses lèvres qui, en touchant à peine les miennes avant de s'envoler, me suppliaient de le suivre où qu'il aille. Je senti la chaleur de son corps, si agréable dans cette maison trop fraîche, et la surface ferme de son torse me récompenser, me poussant à l’étreindre encore plus fort.

Il dansait de la même manière, guidant sa partenaire au lieu de la tirez vers lui. Cela devait être quelque chose de conscient chez lui, quelque chose sur lequel il travaillait, car il n'y avait pas plus dominant que cet homme... comme c'est toujours la cas chez les Alphas. Mais Adam n'était pas seulement dominant : il était aussi intelligent. Ce n'était vraiment pas du jeu.

C'était pour cela que nous nous retrouvâmes collés l'un à l'autre contre le mur... Darryl s'éclaircir discrètement la voix derrière nous.

(p180-181)

Afficher en entier

Je repensai a sa fureur lorsqu'il avait defonce la porte de mon garage, a son desespoir lorsqu'il avait du me persuader de boire de nouveau au gobelet, a la maniere dont il m'avait tiree sous le lit et mordu le truffe-avant de me tenir serree contre lui toute la nuit durant.

Tim etait mort. Et de toute facon, cela avait toujours ete un minable.

-Mercy?

Pour tout reponse, je me contentait d'oter mon tee-shirt et de le laisser tomber au sol.

Afficher en entier

Pendant que nous parlions, Samuel avait pris sa vieille harpe galloise. Il en joua quelques notes, le temps que l'ingénieur du son se dépêche d'adapter la sono à la musique plus douce de l’instrument acoustique. Samuel parcourut la foule du regard et s'arrêta sur moi. Si j'avais pu m'éloigner d'Adam sans devoir piétiner mes voisins, je me serais empressée de le faire. Adam remarqua aussi que Samuel me regardait, et posa une main de propriétaire sur mon épaule.

- Pas de ça, lui sifflai-je.

Kyle s'aperçut de ce qui se passait et me mit le bras autour des épaules en écartant la main d'Adam par la même occasion. Adam gronda doucement, mais recula néanmoins de quelques centimètres. Il appréciait Kyle... d'autant plus que, celui-ci étant homosexuel et humain, il ne représentait aucune menace.

Samuel prit une grande inspiration et sourit, un peu tend, avant de présenter le dernier morceau du concert.

Afficher en entier

Je descendis délicatement mes mains, glissant mes doigts dans la ceinture de son jean et enfonçant légèrement mes ongles dans sa peau.

Il poussa un grognement inarticulé, mais aucun de nous deux n'y prêta attention. Il tourna le visage vers moi. Je m'attendais à un baiser des plus sérieux, mais il se contenta de mordiller gentillement ma lèvre inférieure. Le contact de ses dents m'envoya des frissons qui coururent jusqu'au bout de mes doigts avant de caresser mes genoux et de me faire remuer les orteils d'aise. C'est qu'elles étaient puissantes, ces dents.

Je ramenai mes mains à présent tremblantes vers son ventre et commença à déboutonner sa braguette, mais Adam releva brusquement la tête et posa sa main sur la mienne.

J'entendis ce qui l'avait fait réagir ainsi.

- Une voiture allemande, dit-il.

Je poussai un soupir et me laissai aller contre son torse.

- Suédoise, plutôt, le corrigeai-je. Un break Volvo gris, d'environ 4 ans.

Il sembla d'abord surpris puis il eut l'air de comprendre :

- Tu connais cette voiture.

Je poussai un gémissement et enfonçai mon visage dans le creux de son épaule.

- Bon sang de bonsoir. Ça doit être à cause des journaux.

- Qui est-ce, Mercy ?

[…]

- Ma mère, répondis-je. Quel sens du timing incroyable ! …

Afficher en entier

- Alors arrête de t'apitoyer sur toi-même, putain, et regarde-la !

Le regard doré d'Adam se posa sur moi et, incapable de l'affronter, je détournai la tête vers le mur, l'estomac noué.

- Elle a peur de moi.

- Cette pauvre conne n'a jamais été assez raisonnable pour avoir peur de toi, de moi ou de quiconque, dit hargneusement Ben. Arrête de ne penser qu'à ton nombril et regarde-la encore. Tu es censé savoir lire le langage corporel, putain !

Je lui tournai le dos, mais entendis néanmoins Adam cesser de respirer un instant.

Afficher en entier

Je me redressai et Darryl m'agrippa le bras pour me rabattre au sol alors qu'au-dessus de moi, la baie vitrée volait en éclats et un loup-garou bondissait sur le porche à quelques mètres de moi. Il resta immobile un instant, les yeux rivés sur Fideal.

- Fais gaffe, Ben, lui dis-je. Il est aussi rapide que moi et a de grandes dents pointues.

Afficher en entier

- Je viens d'avoir Samuel au téléphone. Il est désolé d'avoir manqué tout ça, mais il rentre chez vous, à présent. Si Fideal décide de te suivre, il devra l'affronter. Sans compter que nous ne seront pas loin.

- Tu me renvoies chez moi ?

Je flirtais, là ? Oui, il semblait bien.

Il sourit, d'abord avec les yeux, puis avec les lèvres, un sourire à peine perceptible, mais qui suffit à faire accélérer le battement de mon cœur.

- Tu peux rester, si tu le désires, dit-il en flirtant à son tour. (Puis ses yeux étincelèrent et il eut le mot de trop.) Mais je pense qu'il y a trop de gens dans les environs pour que nous puissions faire ce que je voudrais.

Je contournai hâtivement le mari de Honey et m'empressai de sortir, mais le bruit que mes tongs émettaient ne put couvrir son dernier commentaire :

- J'aime beaucoup ton tatouage, Mercy.

Je gardai le dos droit en m'éloignant afin qu'il ne devine pas le sourire qui barrait mon visage.

Afficher en entier

« Je ne sais pas quelles étaient les intentions de ma mère quand elle m’avait envoyée vivre parmi les loups-garous sur les conseils d’un grand oncle chéri qui se trouvait être lui-même un loup-garou. Je ne pense pas que j’aurai pu abandonner mon enfant entre les mains d’inconnus. Mais je ne suis pas une mère célibataire mal payée et ayant découvert que son bébé pouvait se transformer en coyote. Au bout du compte, je m’en étais bien sortie… Au moins aussi bien que des gens avec une enfance plus normale. Et cela m’avait permis d’acquérir certaines compétences en matière de gestion de loups-garous enragés, ce qui était une bonne chose, comme le disait mon père adoptif, vu ma propension à les rendre fous. »

Afficher en entier

La plupart des loups-garous sont physiquement attirants. C'est probablement dû à leur jeunesse éternelle et à leur musculature. Mais Samuel avait autre chose. Et ce n'était pas non plus ce truc en plus qu'ont les loups dominants.

Samuel avait tout simplement l'air de quelqu'un en qui on pouvait avoir confiance, une impression donnée par l'étincelle d'amusement qui brillait dans ses yeux profondément enfoncés et plissait le coin de ses lèvres. C'était ce qui faisait de lui un si bon médecin. Quand il disait à ses patients qu'ils allaient guérir, ils lui faisaient toute confiance.

Afficher en entier

— M… (Il s’interrompit. Adam était plus vieux qu’il n’en avait l’air. De son temps, dans les années cinquante, on ne jurait pas devant les dames.) Mince.

Le mot ne sembla pas le soulager autant que son équivalent vulgaire.

— Palsambleu ! Nom d’une pipe ! Bon sang de bonsoir !

approuvai-je, et éclatai de rire devant son air abruti. C’était ce que mon père adoptif disait quand j’étais dans le coin. Lui aussi était un loup de l’ancienne école. Il appréciait particulièrement le « bon sang de bonsoir »… « Bon sang de bonsoir, Mercedes, même les pommes ont plus de jugeote que toi ! »

Adam ferma les yeux et appuya son front contre l’encadrement de la porte.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode