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"Certaines personnes sont comme des slinkies. Elles ne servent à rien mais j'adore les pousser dans l'escalier !"

(Slinkies : ces ressorts qui peuvent descendre les marches d'un escalier)

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chapitre 11 , p.340

C'est Adam, mais il arrivait trop tard. Plus jamais il ne pourrait m'aimer, maintenant.

Il allait être tellement furieux contre moi.

Il fallait que je trouve un endroit ou me cacher. Il ne m'aimait pas et risquait donc de me frapper, furieux comme il devait être. Et quand il se calmerait, il serait blessé, Or je ne voulait pas qu'il souffre par ma faute.

Il n'y avait aucun endroit assez grand pour qu'une personne puisse s'y dissimuler. Mais je n'étais pas obligée d'être une personne. Mon regard s'arrêta sur les étagères qui couvraient le mur du fond. Un coyote avait tout l'espace nécessaire pour se cacher là-dedans.

Je me métamorphosai, grimpai tant bien que mal avec une patte en moins sur des étagères et me cachai dérrière deux gros cartons de courroies. Il faisait assez sombre pourque l'on ne puisse me voir.

J'entendis un grand fracas dans le burreau qui prouvait qu'un verrou n'était pas suffisant pour empêcher un loup-garou fou de rage de pénétrer ou que ce soit. Je me recroquevillai un peu plus.

- Mercy.

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-Alors pourquoi as-tu obéi à ses ordres ? Demanda-t-elle.

-Parce qu'il vient de me sauver la peau et qu'il n'a nul besoin que je l'énerve plus qu'il ne l'est déjà.

Il n'y avait plus que trois coupures à panser sur mon pieds gauches.

-Allez, avoue, me taquina-t-elle, tu as bien aimé qu'il s'occupe de toi, un peu, non ?

Je lui décrochai un regard noir. En voyant qu'elle n'avait pas l'intention de revenir sur ses paroles, je me concentrai sur le pansement que je collais sur l'une de mes plaies. Il était hors de question que j'avoue quoi que ce soit. Surtout pas avec Adam, juste en bas, qui risquait d'entendre ce que je pouvais dire.

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-Et peut-être aussi qu'elle n'aime pas te demander ton avis à propos de tout ce qu'elle fait. Quoi qu'il en soit, elle a conscience qu'elle aurait dû t'en parler, et elle ne l'a pas fait. Elle prend la décision d'aller chez Tim, mais, au fond d'elle, elle sait que c'est une mauvaise idée. C'est sa décision. Son erreur. Et c'est sa faute s'il l'a...

Il fut interrompu par Adam qui le plaquait au sol en grondant.

-Ce n'est pas sa faute s'il l'a violé, rugit-il.

Ben se laissa aller tendit sa gorge sans cesser de parler, bien qu'une larme coulât le long de sa joue.

-C'est ce qu'elle pense, elle.

Adam s'immobilisa.

-Et même, continua Ben d'une voix rauque, je paierai qu'elle doute d'avoir été vraiment violée.

Adam laissa Ben se relever.

-Explique-moi ce que tu veux dire, demanda-t-il d'une voix dangereusement douce.

Ben secoua la tête et se cacha les yeux avec le bras.

-Tu as vu ce qui c'est passé. Tu l'as entendu. Le gobelet l'a privée de sa capacité à résister, mais il ne s'est pas contenté de lui faire retirer ses vêtements. Il a fait en sorte qu'elle l'aime, qu'elle le désire.

-Mais tu l'as entendue... Tu l'as vue. Elle lui a dit non. Il a contraint son ami à se noyer avec le sourire et pourtant, il n'a pas été capable de la faire obéir alors même qu'il était toujours avec elle. Il a fallu qu'il la gave de ce ficjus jus de fée.

Est-ce que j'entendais de la fierté dans sa voix ?

-Mais elle s'est déshabille et elle l'a touché.

-Elle a résisté, gronda Adam. Tu l'a vue. Tu l'a entendue. Tu te souviens combien Nemane était surprise en voyant à quel point Mercy résistait ? Elle était totalement incrédule quand elle l'a vue le frapper avec la canne.

Ben murmura :

-Quand il lui a dit qu'elle le désirait, qu'elle l'aimait, c'était quelque chose qu'elle ressentait vraiment. Tu as bien vu son visage : elle était convaincue. C'est pour cette raison qu'elle a pu le tuer alors même qu'il portait cette foutue peau de cheval enchantée. N'est-ce pas exactement ce qu'elle a dit ? À ce moment-là, Mercy l'aimait, et ne pouvait donc être son ennemie, sinon elle n'aurait pas pu le tuer alors qu'il portait la cape.

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-M...(il s'interrompit. Adam était plus vieux qu'il n'en avait l'air. De son temps, dans les années cinquante, on ne jurait pas devant les dames.) Mince.

Le mot ne sembla pas le soulager autant que son équivalent vulgaire.

-Palsambleu! Nom d'une pipe! Bon sang de bonsoir! approuvais-je, et éclatai de rire devant son air abruti. C'était ce que mon père adoptif disait quand j'étais dans le coins. Lui aussi était un loup de la vieille école. Il appréciait particulièrement le "bon sang de bonsoir"..."Bon sang de bonsoir, Mercedes, même les pommes ont plus de jugeote que toi!"

Adam ferma les yeux et appuya son front contre l'encadrement de la porte.

-Ça va finir par te revenir cher si tu en casse une autre, lui fis-je remarquer.

Il rouvrit les yeux et me regarda fixement. Je levai les mains au ciel:

-D'accord! Si tu pense qu'il est de ta responsabilité de soutenir le syndicat des menuisiers, ça me va très bien. Ôte-toi de on chemin, j'ai promis à Jesse de lui rapporter des vêtements propres.

Il s'effaça d'une manière exagérément courtoise, mais quand je passai devant lui, il me donna une tape sur le derrière, assez fort pour me faire pousser un couinement de douleur.

-Tu devrais être plus prudente, gronda-t-il. Continue à te mêler de mes affaires, et il pourrait bien t'arriver des bricoles.

Je lui répondis d'un ton aussi doux que le miel en poursuivant mon chemin vers la chambre de Jesse:

-Le dernier mec qui m'a donné un tel coup pourrit dans sa tombe, à l'heure qu'il actuelle.

-Ce qui ne m'étonne pas du tout, répondit-il d'un ton plus satisfait que contrit.

Je me tournai vers lui et affrontai son regard jaune vif:

-Je pense à acheter une voiture pour les pièces détachées du 4x4. Il y a assez de place dans mon jardin.

Un témoin non averti aurait pu penser que ma dernière réflexion n'avait rien à voir avec le sujet, mais pas Adam. Cela faisait déjà plusieurs années que je le punissais avec l'épave dont je me servais pour les pièces détachées de ma Golfe. Sa chambre avait une vue imprenable sur la voiture qui ne tenait que sur trois roues et avait été à moitié désossée. Sans compter les graffitis dont l'idée venait de Jesse...

Si Adam n'avait pas été aussi maniaque, cela n'aurait pas servi à grand-chose. Mais c'était le genre d'homme pour qui chaque chose devait se trouver à un endroit précis, et la vision de l'épave l’agaçait énormément.

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Cette fois encore, j’entrai seule dans la demeure. Même si Zee ne m’avait pas dit que Connora était bibliothécaire, j’aurais pu le deviner. Il y avait des livres partout : sur les étagères, le sol, les chaises, les tables. La plupart n’avaient pas l’air d’avoir été fabriqués au siècle dernier… et aucun titre n’était en anglais.

Comme dans la maison précédente, cela sentait la mort, même si, comme me l’avait dit Zee, l’odeur était ancienne. La demeure dégageait maintenant principalement une odeur de renfermé, avec quelques effluves de nourriture pourrie et de liquide nettoyant.

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Warren baissa le regard, ce qui trahissait son malaise.

— Je n’ai pas sorti les décorations de Noël juste pour le plaisir de t’enguirlander, Mercy, la situation est sérieuse. Je sais bien que ce n’est pas facile, mais il est impossible que deux loups dominants se disputent la même femelle sans qu’à un moment ou un autre, le sang coule. Et aucun autre loup ne t’aurait laissé une telle marge de manœuvre, mais si tu ne fais rien rapidement, l’un d’eux va finir par craquer.

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Adam me terrifiait bien plus que les vampires et les faes. Parce qu'il pouvait me dépouiller de bien plus que ma vie. Adam était le seul Alpha à ma connaissance, y compris le Marrok, capable de me faire plier devant sa volonté.

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Il était plus vraiment calme à la fin de tirade, et c'est tout juste s'il ne me grognait pas à la figure

_Hum, marmonnai je

_Les faels ne sont pas des plus coopératif en général, mais j'espère qu'ils hésiterons à te faire le moindre mal en ma présence ou celle de Samuel. Je compte sur toi pour survivre jusqu'au moment de notre arrivée.(Il se pencha et m'embrassa durement, un bref baiser qui fut fini à peine commencé.Un acte de possession, et presque une punition. Celas n'aurais pas dû autant accélérer mon pouls) Et ne crois pas que j'ai oublié que les vampires aussi avaient de bonne raisons de t'en vouloir.

Il m'embrassa a nouveau

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Chaque fois que tu voudras t’enfuir, je te retrouverai. Je ne te forcerai à rien, mais… je ne te laisserai pas non plus partir, et je ne te quitterai pas.

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