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Liste des commentaires

Commentaire ajouté par sangar26 2019-03-09T16:47:06+01:00
Pas apprécié

Je remercie babelio et scrinéo pour l'envoi du livre mais je n'ai pas aimé ce livre.

Je n'ai pas accroché avec la manière d'écrire et de raconter l'histoire de l'autrice qui a choisi d'avoir un point de vue à la troisième personne qui empêche pour moi de s'attacher au personnage et à l'univers.

Je ne me suis pas attaché à Oural ni aux autres personnages car on n'a pas vraiment un point de vue omniscient et je suis resté éloigné de ses sentiments et émotions tout au long du livre.

Ensuite, le seul point que j'ai apprécié c'est la dauphine Trellia qui est très attachante pour sa relation avec Oural et le lien qui les unit.

Et le message de l'autrice qu'il faut prendre soin de la nature et des animaux .

Un autre point à fait que n'ai pas aimé la piraterie je ne m'attendais pas à en avoir dans ce livre qui constitue l'intrigue principal car ils sont presque totalement en mer du coup j'étais détaché de l'histoire.

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Commentaire ajouté par Aryia 2019-04-30T18:32:39+02:00
Diamant

Ce n’est plus un secret pour personne : je suis une grande adepte de la relecture. Régulièrement, l’envie me prend de me replonger dans une histoire qui m’a fait vibrer il y a quelques mois ou années de cela, de partir en quête de détails qui m’auraient échappé jusque-là, ou tout simplement de retrouver des personnages-chouchous comme on retrouve de vieux amis … Mais jamais jusqu‘à présent je n’avais ressenti le besoin viscéral et impérieux de recommencer un livre aussitôt après avoir tourné la dernière page, de relire plusieurs fois d’affilée certains passages éblouissants … C’est la toute première fois que j’éprouve tant de difficultés à m’extirper d’une histoire, la toute première fois que quitter des personnages est aussi douloureux …

Souillés par les rejets d’hydrocarbures et autres résidus chimiques, envahis par les sacs plastiques et autres déchets d’une humanité toujours plus meurtrière, asséchés par le réchauffement climatique, les mers et les océans ont rendu leur dernier souffle. Décimés par la surpêche et par la pollution de leur milieu de vie, victimes de la folie destructrice de l’humanité, les animaux marins se sont éteint un par un. Désormais, ce sont les hommes qui tremblent, tandis que se lèvent régulièrement les marées fantômes, habitées par les esprits vengeurs de ses milliards de poissons, requins, méduses, dauphins, baleines, pieuvres et autres créatures qui n’attendent qu’une chose : arracher les âmes des survivants, décider l’humanité en sursit. Oural, exorciste, veille farouchement sur les habitants de son bastion, affrontant marée après marée ces terribles mers mortes … Jusqu’au jour où il est kidnappé par Bengale, pirate de son état, qui se considère comme le dernier espoir de cette planète à bout de souffle …

Quiconque a déjà lu un roman d’Aurélie Wellenstein sait à quoi s’en tenir : âmes sensibles, abstenez-vous. C’est d’autant plus vrai qu’ici, elle nous plonge non pas dans un monde post-apocalyptique imaginaire, mais bien sur notre bonne vieille planète Terre, à l’agonie à cause de l’avidité et de la négligence de l’homme. Elle nous dépeint un futur cauchemardesque, un futur où les océans se sont taris, où la pluie ne tombe plus, où l’eau vint à manquer. Un futur où l’humanité paye à prix fort nos propres erreurs : nous avons « jeté nos pesticides à l'eau, nos fumées dans l'air, conduit trois voitures, vidé les mines, mangé des fraises du bout du monde, voyagé en tous sens, éclairé les nuits, chaussé des tennis qui clignotent quand on marche, mouillé le désert, acidifié la pluie », pour reprendre les mots de Fred Vargas, sans jamais réfléchir aux conséquences de nos actes, sans jamais avoir fait le moindre effort pour réduire notre impact écologique. Parce que c’est tellement plus simple de fermer les yeux ou de se hausser les épaules en se disant que « c’est trop tard, de toute façon, je peux rien faire », et de continuer à surconsommer allégrement, plutôt que de se priver d’un peu de notre confort.

Dans Mers mortes comme dans ses autres romans, Aurélie Wellenstein n’épargne ni ses personnages ni ses lecteurs : nuit après nuit, dans son sommeil, Oural revit l’agonie d’une tortue ayant avalé un sac plastique en pensant attraper un petit crustacé, d’un requin à qui on a coupé aileron et nageoires avant de le relâcher dans l’océan, d’un dauphin sauvagement poignardé par des hommes ivres de rire, d’un phoque cerné par une marée noire qui l’asphyxie … Et le lecteur cauchemarde avec lui. Ces passages sont d’une horreur sans nom, la monstruosité de l’homme qui se prétend civilisé et qui massacre tout sur son passage. De l’homme qui tue des baleines pour fabriquer des cosmétiques. De l’homme qui ne respecte rien, qui se croit tout permis et tout puissant. Au début, à l’instar d’Oural, nous voyons dans ces spectres marins des monstres qui dévastent tout sur leur passage, indifférents à la souffrance qu’ils engendrent … Mais rapidement, nous comprenons que les véritables monstres, dans l’histoire, ce sont les hommes. Qui dévastent tout sur leur passage, indifférents à la souffrance qu’ils engendrent. C’est un thème récurrent chez Aurélie Wellenstein : où commence la bestialité, où s’arrête l’humanité ?

Un roman sombre, dur, glaçant, qui ne « donne pas une image très reluisante de l’humanité », songe Oural … Au contact des pirates, notre jeune exorciste, jusqu’alors relativement préservé du fait de son statut, prend enfin pleinement conscience de la situation désespérée dans laquelle se trouve le monde. Lui qui se plaignait de sa morne existence, du fardeau de la responsabilité qui pesait sur ses épaules, voit toutes ses certitudes s’effondrer une à une. Oural n’a rien d’un héros : il a vécu dans un cocon, il a été habitué aux révérences et à la dévotion de ses sujets, il se morfond sans cesse. Il est plein de bonnes intentions, il est intimement convaincu d’agir au mieux, mais il va progressivement se rendre compte que les choses sont rarement toutes noires ou toutes blanches, que tout est au contraire un interminable camaïeu de gris. C’est un protagoniste incroyablement attachant, parce que profondément humain : il nous ressemble, il est proche de nous, il fait des erreurs, il agit contre ses principes par pur instinct de survie, et même si ça coute de l’admettre, on se doute qu’on en ferait autant à sa place.

Un autre personnage, secondaire du point de vue de la narration (celle-ci étant centrée sur Oural), mais indéniablement principal du point de vue de l’intrigue, est à mes yeux le personnage le plus intéressant de tout le roman. Bengale non plus n’a rien du héros sans tâche auxquels les épopées de fantasy nous ont habitués, mais je le considère toutefois comme le héros de cette histoire. Car j’ai toujours associé l’idée de « héros » à celui de « fardeau », et Bengale est indéniablement celui qui porte le plus lourd fardeau dans ce récit. Bengale a fait un choix, un choix terrible mais qu’il considère être celui qu’il fallait prendre. Derrière son arrogance et sa nonchalance, derrière son autorité et sa prestance, se cache finalement un homme torturé par cette décision, un homme hanté par toutes les morts dont il est l’unique responsable, directement ou indirectement, un homme qui accomplie sa sordide mission malgré la culpabilité toujours plus forte parce qu’il ne voit pas d’autre possibilité, parce qu’il n’est plus temps de tergiverser, parce que la vie est à deux doigts de disparaitre totalement de la surface de la Terre et qu’il ne peut pas rester sans rien faire. Il a pris ses responsabilités, même si cela signifie répandre la mort sur son passage et vivre un éternel tourment intérieur. J’ai beaucoup d’admiration pour lui, car je ne sais honnêtement pas si je serai capable de sacrifier ma bonne conscience au profit de l’humanité … si je serai capable de me salir les mains comme il le fait pour servir une cause qui me dépasse. Certains verront sans doute dans ce personnage un simple meurtrier illuminé, mais je préfère quant à moi le considérer comme le véritable héros de cette sombre histoire …

En bref, vous l’aurez bien compris, avec ce roman, Aurélie Wellenstein ne se contente pas de nous raconter une histoire de piraterie post-apocalyptico-fantastique, même si on peut tout à fait s’arrêter à cette première grille de lecture purement « romanesque ». A travers ce récit, elle lance un message d’alerte, elle se fait le porte-parole de ces milliards d’animaux marins morts à cause de l’homme, que ce soit du fait de la pêche intensive ou de celui de la pollution des océans ou du réchauffement climatique. A travers ces personnages, elle interroge la question de l’humanité, de la fragilité de cette humanité – à comprendre à la fois comme « l’ensemble des humains » et comme « nature humaine » –, la question des responsabilités et des fardeaux … Elle met sa magnifique plume au service de ce message, et offre à son lectorat un roman coup-de-poing, percutant, foudroyant, effrayant … mais pour ma part aussi, un roman coup-de-cœur, captivant, haletant, palpitant. A lire, à relire et à faire lire !

https://lesmotsetaientlivres.blogspot.com/2019/03/mers-mortes-aurelie-wellenstein.html

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Commentaire ajouté par Fred_09 2023-06-01T19:19:20+02:00
Or

J’ai vraiment bien aimé ma lecture, mais elle fût parfois compliquée… Je m’explique.

Elle ne fût pas compliquée en termes de rythme de lecture ou de style d’écriture. C’est le 4e livre que je lis de l’autrice et j’ai retrouvé, comme dans les livres précédemment lus, sa plume d’une fluidité sans pareil et cette envie de vouloir à tout pris poursuivre ma lecture. J’ai aussi été, encore une fois, émerveillée par l’imagination et l’univers de l’autrice, toujours réhaussé d’une touche de poésie.

Les personnages m’ont fortement émue. Comme souvent avec l’autrice, on lit des âmes en peine, des destins brisés et des personnages qui dansent sur la frontière du bien et du mal. Ces personnages sont tous attachants à leur manière.

Le livre étant un réel page-turner, on vit beaucoup d’aventures, à un rythme assez effréné, et sans se retourner. Je ne m’attendais pas à autant d’action.

Là où j’ai eu du mal, c’est sur le plan émotionnel. Pour pouvoir mieux vous l’expliquer, je dois vous remettre en contexte :

Dans un avenir (pas si lointain), il n’y a presque plus d’eau sur terre, plus de pluie et surtout plus de mers. L’humanité survit, mais doit faire face aux marées hautes qui charrient les spectres des animaux marins. Seuls les exorcistes peuvent protéger les humains survivants des fantômes qui veulent se venger de ceux qui sont responsables de leurs souffrances.

Afin de mieux faire comprendre la cruauté des humains, on se retrouve, lecteur, tour à tour dans la tête de dauphins, baleines, phoques ou encore requins alors qu’ils subissent des horreurs entre les mains des hommes… Et franchement, c’est dur.

Vous l’aurez donc compris, ce livre est beau et cruel à la fois. Je le recommande, bien sûr, car il rend compte du comportement de l’homme qui dévaste la nature. Je crois qu’à l’heure de l’urgence climatique, c’est un livre qu’il faut lire (peut-être pourra-t-il encore éveiller quelques consciences). Mais si vous êtes sensible à la souffrance animale, faites attention.

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Commentaire ajouté par LadyMorgenstern 2019-04-15T23:30:07+02:00
Or

Mon 2ème roman d'Aurélie Wellenstein et pas déçue. J'adore son style d'écriture, sa façon de nous faire partager son univers.

Ce qu'elle écrit est hors du commun.

Ce roman m'a beaucoup touché, les personnages, les animaux torturés, la fin et le thème principal, la disparition de l'eau et toutes les conséquences qui vont avec.

La couverture est sublime, comme pour tous ses romans.

C'est une auteure incroyable qu'il faut lire absolument.

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Commentaire ajouté par Fo0stine 2019-04-19T22:45:17+02:00
Or

Aurélie Wellenstein nous entraîne avec une plume toujours aussi efficace dans un récit post apocalyptique dans lequel l'Homme a provoqué la disparition des mers et des océans mais aussi de la quasi totalité des animaux. J'ai fortement apprécié ce récit qui tombe, je trouve, au bon moment.

En plus de sensibiliser les lecteurs sur l'importance de l'écologie, l'auteure crée une fois de plus des personnages complexes qui évoluent dans un monde sans pitié. J'ai trouvé Oural très cohérent dans l'ambivalence de ses sentiments. J'aime beaucoup le fait que les récits de cette auteure ne ressemblent à aucun autre. Ils sont marquants de par leur originalité et grâce à la personnalité des personnages.

Je suis curieuse de savoir sur quoi l'auteure travaille en ce moment.

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Commentaire ajouté par mayartemis 2019-08-22T09:52:49+02:00
Pas apprécié

https://bookshowl.blogspot.com/2019/08/mers-mortes-aurelie-wellenstein.html

Depuis le temps, je pense que je n'ai plus besoin de vous présenter Aurélie Wellenstein dont je lis chaque nouveau livre. Cette année elle nous a gâté avec deux nouvelles parutions : Blé Noir et Mers Mortes. C'est de ce dernier dont je vais vous parler aujourd'hui et de ma lecture difficile...

L'auteure est assez connue pour son engagement pour les droits des animaux. Ils ont toujours une place vraiment importante dans ses livres et c'est un aspect que j'ai jusque là beaucoup aimé. Lors des Imaginales elle m'a prévenu que Blé Noir était un livre très engagé ; et avec son titre, Mers Mortes le suggérait également. Et c'est justement l'un des aspects que je n'ai pas apprécié dans ce livre. J'ai trouvé qu'elle voulait trop en faire, le message alarmiste était beaucoup trop présent selon moi et tout le reste m'a semblé maladroitement brodé autour.

Je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages ni à m'intéresser à leurs aventures. Je les ai tous trouvés exagérés et clichés. Le seul personnage que j'ai apprécié est Trellia, l'amie Delphine de Oural, le héros. Mais peut-être que c'était fait exprès. Les humains ont fait de tellement horribles choses que c'était peut-être voulu que l'on ne puisse pas les apprécier ? J'ai vraiment réussi à beaucoup mieux comprendre les animaux et je n'attendais qu'une chose : que la marée monte et que l'on mette enfin de côté les humains.

L'auteure arrive toujours aussi bien à décrire les scènes les plus atroces. J'étais vraiment fascinée dès que les marées arrivaient et j'ai trouvé le pouvoir d'Oural vraiment intéressant. J'ai extrêmement bien réussi à me représenter les fantômes et les horribles mutations. Les moments où Oural plonge dans les abîmes sont vraiment puissants et ses cauchemars où il se met dans la peau des animaux marins pour vivre toutes les atrocités que l'humanité leur a fait subir sont tellement, tellement importants ! Ces scènes là, sous forme de recueil, auraient tellement suffit !

Mais j'ai eu énormément de mal avec tout ce qu'il y avait autour. Je n'avais qu'une envie : que les mers mortes dévorent le bateau et son équipage ou alors de sauter tous les chapitres jusqu'à la fin qui est, heureusement, assez sympa !

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Commentaire ajouté par Isallya 2020-04-22T11:52:26+02:00
Argent

Comme tout ce qu'écrit Aurélie Wellenstein, c'est un roman à la fois original et étrange, mais aussi percutant : on sent bien l'engagement de l'autrice dans la protection de l'environnement, et dans le cas présent de la mer et de sa faune. Le côté fantastique de l'intrigue ne gâche en rien le message véhiculé, bien au contraire - après tout, sans ça, on n'aurait peut-être pas eu droit aux cauchemars d'Oural qui font sans doute partie des passages les plus marquants de ce roman. Quant aux personnages (je vise en particulier les principaux, Oural et Bengale) , je ne les ai pas trouvés particulièrement attachants en eux-mêmes mais ils sont suffisamment intrigants pour qu'on s'intéresse à eux ; et en ce qui concerne Oural, j'ai trouvé que sa relation assez particulière mais touchante avec Trellia, sa delphine, offrait un vrai plus à l'histoire.

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Commentaire ajouté par Seith_Aquilon 2020-06-21T15:07:15+02:00
Diamant

Encore une fois, Aurélie Wellenstein a tapé dans le mille et nous propose une histoire incroyable ! Son écriture est toujours pleine de surprise.

J'ai aimé me perdre dans les décors de notre monde projeté dans un futur si réaliste qu'il fait froid dans le dos, la magie en plus. Ses descriptions m'ont aidé à imaginé une très grande parties des scènes du périple d'Oural, de Bengale et de leurs camarades.

Les personnages ont tous un caractère bien trempé et j'adore ça ! Sans compter l'attachement qui naît pour chacun d'eux, on peut s'y attendre mais ce sentiment très agréable s'est accroché à moi comme une puce et impossible de réprimer mes sourires.

Quant à la note fortement écologique de ce roman, je ne peux que l'applaudir. À travers les cauchemars d'Oural, l'auteure pointe du doigt les désastres et les horreurs provoquées par l'homme ; la surpêche, la pollution des mers, la chasse à la baleine et j'en passe !

En bref, une histoire très bien menée, brillamment construite et qui mérite d'être lue ! Sur les 3 romans de cette auteure que j'ai pu lire, je n'ai aucun doute à affirmer que celui-ci est mon préféré et qu'il part tout droit dans mes coups de cœur. Je vous le recommande chaudement.

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Commentaire ajouté par Elodie-Liseuse 2020-09-06T09:35:04+02:00
Pas apprécié

https://elodie-liseuse-lifestyle.blogspot.com/2020/09/mers-mortes-plib2020.html

Second roman que je lis de l'auteure et seconde déception. La plume d'Aurélie Wellenstein n'est définitivement pas faite pour moi. Après avoir détesté ma lecture du dieu oiseau, je partais à reculons sur celle-ci. Et bien que ce titre est plus de qualités que le précédent, je n'en reste pas moins sur ma faim.

Les thèmes tels que l'écologie, le bien-être de la planète et la souffrance animale me parlait. Et le début était très prometteur, j'ai été happée dès les premières pages, part le côté fantastique qui était très original et immersif. Mais au bout d'une trentaine de pages, des éléments mon perdu. Et ce fus finalement une lecture difficile jusqu'à la toute fin. Comme pour le précédent, j'ai été déçu par la plume trop direct, qui n'exploite pas assez le côté descriptif de son univers. Bien que le début était prometteur sur ce point, je suis vite arrivée à l'idée que ce serait à moi de faire le travail pour essayer d'imaginer plus concrètement le monde dans lequel Oural évolue.

Le monde est ravager, plus aucune mer, plus aucun animaux marin, plus d'océans et d'attraction de la lune dessus. Mais des mers fantomatiques, tout comme les animaux qui vivaient dedans avant. Un homme, Oural est un exorciste, il doit protéger sa ville, d'attaques fantomatiques répéter des animaux marin décéder. Il a sa routine, réussis son travail sans trop de dommages, jusqu'au jour où des pirates viennent l'enlever. Commence une vie tout autre pour cet homme arracher aux siens.

L'intrigue était réellement prometteuse, mais je me suis vite retrouvée déçue de la tournure de l'histoire, du manque de descriptions sur le pourquoi du comment. On te donne des éléments et tu dois faire avec. J'aime en apprendre plus sur les raisons d'un monde qui sombre. Hors ici, aucune explication. Et la fin, si décevante, si abrupte. Avec un sentiment de "tout ça pour ça". Non vraiment, je n'ai pas aimée ma lecture.

Et pourtant, il y a que des avis positifs sur ce roman et de manière générale sur l'ensemble de ses œuvres. Hors de mon côté, je n'y arrive pas. Je pense que ce sera ma dernière lecture faite de l'auteure.

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Commentaire ajouté par LaMagieDesLivres 2023-03-30T06:45:20+02:00
Diamant

J'ai choisi ce roman suite à mon challenge Harry Potter. Le résumé me rendait perplexe, mais il a assez attiré ma curiosité pour que je le dévore.

"Les mers et les océans ont disparu emportant avec eux les animaux marins. Oural est un exorciste. Vénéré dans son bastion qu'il protège des marées fantomatiques, il va se faire capturer dans un vaisseau fantôme par le capitaine Bengale."

Ce livre est une réelle surprise. Je ne m'attendais pas à l'apprécier autant. Tout d'abord par ce que l'histoire est prenante. Il y a de l'action certes, mais le livre est plus basé sur la psychologie des personnages et sur les cauchemars d'Oural. Alors là, j'ai été troublé, choqué, et j'ai même pleuré. Ils décrivent la cruauté humaine envers les animaux marins. C'est fort, poignant, et malheureusement réaliste. (Vous trouverez plus bas un extrait d'un des cauchemars.) J'ai l'impression de ne pas être sorti indemne de cette lecture et pourtant, c'est ce qui fait de ce roman une incroyable découverte.

Les personnages sont complexes, et nous dévoilent petit à petit leur histoire. J'ai été touché par certains.

Par contre, Oural est très indécis, et par moments j'avais envie de le secouer. Ce que j'ai apprécié de lui, c'est le lien avec Trellia

Quant à Bengale, malgré son charisme, et son histoire, je n'ai pas réussi à m'accrocher à lui. Je l'ai trouvé trop froid.

Mers Mortes est le premier roman que je lis d'Aurélie Wellenstein. Elle sut, avec sa plume, nous décrire parfaitement la cruauté des hommes que ce soit envers les animaux ou les gens de leur propre espèce. Malgré ça, j'ai trouvé qu'à certains moments sa plume était poétique. Elle a réussi à mélanger différents styles à la perfection.

Pour résumé, mon cœur s'est attristé à chaque cauchemar et c'est troublé lorsque j'ai fini ce livre. Mais c'est un énorme coup de cœur. Un message fort que l'auteur a voulu nous transmettre dans ce roman. D'ailleurs, il existe un préquel à l'histoire sous forme de bande dessinée : La baleine blanche des mers mortes que je lirais sans hésiter.

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