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Commentaires de livres faits par DianaM

Extraits de livres par DianaM

Commentaires de livres appréciés par DianaM

Extraits de livres appréciés par DianaM

date : 20-01-2020
J’ouvris les yeux avec difficulté et portai ma main dans mon cou plus précisément sur le côté gauche où à mon humble avis, une seringue avait été plantée. Je ne me souvenais presque pas de ce qui avait pu se passer, mais je savais qu’on m’avait injecté quelque chose d’assez puissant pour me faire comater. Alors que je commençais à reprendre mes esprits tranquillement un homme âgé de la vingtaine aux traits asiatiques pencha son visage sur le mien tout en parlant. Il éclaira mes pupilles avec une lumière et semblait me dire quelque chose. Je voulus m’adresser à lui, mais ma gorge sèche m’en empêchais et heureusement pour moi il comprit ma détresse et me donna un verre d’eau qui’il me fit boire lui-même. Je portai ma main sur mon visage et me redressai vivement.
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Je te jure que je ne pourrais t’aimer plus qu’en cet instant, et pourtant, je sais que demain je t’aimerai bien plus encore.
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Je les aimais tous. Ils étaient ma famille. Mais Eden était mon cœur. On vit mal sans famille, mais on vit. Sans cœur on crève. C'est le cœur qui fait fonctionner notre organisme, qui héberge tous nos sentiments. C'est notre foyer, notre raison d'être. Sans cœur, nous mourons simplement.
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« Je pourrai alors écrire cette histoire :
Moi, Mathias, non croyant, hétéro opportuniste………………………………………………………………….. …………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… Je t’aime, Eden.

Je l’écrirais pour toi.
Pour que tu me reviennes.
Pour que tu me vois.
Pour que tu me crois.
Pour que tu m’aimes encore une fois.
Tout Eden, je t’écrirais tout, je te dirais tout, pour être avec toi. »
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C'est là que tu te trompes. Que vous vous trompez tous! Eden, c'est moi. Et moi, c'est Eden. Prends t'en à lui, et c'est à moi que tu t'en prends! Fais-lui mal et c'est moi qui souffre.
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Quand on pense à ceux qu’on aimait et qu’on a perdus, on est déjà avec eux.
Le reste n’est que détails.
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date : 06-04-2019
J’ai du mal cacher mon émoi car le regard de Maël se fait plus perçant. Il ajuste son jean et s’approche de moi. Je sais ce qu’il a envie de faire. Je sais ce qu’il va faire. Je sais ce que j’ai envie qu’il fasse.
Ses doigts dégagent mes joues de ma tignasse lisse. Il prend mon visage entre ses grandes mains et, lentement, ses lèvres s’approchent des miennes. Je ne peux les quitter des yeux. Il marque un temps d’arrêt pour me laisser le temps de refuser, mais j’en suis incapable. J’ai subitement terriblement envie qu’il m’embrasse. Qu’il m’embrase. Quelques effleurements légers se transforment en contact appuyé. Instinctivement, mes lèvres s’entrouvrent pour laisser passer sa langue, coquine et joueuse. Son baiser ne ressemble à rien de ce que j’ai déjà connu. J’ai le souffle coupé par la profondeur de cet échange. Maël me passe toute sa passion dans ce simple contact.
Je savais que ce mec était dangereux !
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date : 27-01-2019
PROLOGUE

— Elle ne fera pas l’affaire.
— Qu’est-ce que tu en sais ?
— Il est temps de se rendre à l’évidence. Les semaines passent et toujours rien.
— Peut-on seulement lui faire confiance ?
— C’est trop tôt pour le dire.
— Tu vas nous mettre en danger, KJ. Je t’avais prévenu.
Des voix s’entremêlent de l’autre côté de la porte. Les anars. J’inspecte les couloirs pour m’assurer que personne ne me surprenne en train d’épier cette conversation très houleuse. Je sais qu’ils parlent de moi. Et ça n’a rien de rassurant.
— Bon, je propose qu’on se débarrasse du problème cette nuit. On prétexte une fugue et au moins on en finit avec cette histoire. Terminé. Plus de risque.
— Très bien. Tu as un plan ?
— Non ! On ne peut pas faire ça.
Une voix rugit, plus forte que les autres.
— Qu’est-ce qu’il y a, Hugo ? Tu n’es pas d’accord ?
— Non. Elle est là depuis quoi ? Trois semaines ? Il lui faut un peu plus de temps.
— Nous n’en avons pas, Hugo.
— KJ, je sais ce que je fais.
— Hugo, tu veux tout foutre en l’air ou quoi ?
Des hommes contestent avec véhémence les propos d’Hugo. Je suis sous le choc. Qu’est-ce que je dois faire ? Fuir ? J’essaie de me concentrer à nouveau sur l’objet de la discussion.
— Un jour de plus. Rien d’autre. Elle doit faire ses preuves.
J’entends des soupirs et le plancher grincer. Je m’éloigne très vite sur la pointe des pieds, sans un bruit, avant d’être surprise à les espionner.
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date : 29-12-2018
Je regarde l’homme qui se tient devant moi. Je le regarde, mais mon esprit ne comprend pas ce que je vois. Je le regarde et le temps semble s’être arrêté, les battements de mon cœur, le sang dans mes veines, tout semble s’être figé en de moi. Il est parfaitement immobile, le corps droit, les yeux fixés sur moi, il ne dit rien. J’observe avec attention les traits de son visage.
Non, ce n’est pas possible.
Je ne peux que me tromper. Je n’arrive pas à détourner le regard et, tandis que mon cerveau redémarre lentement, la panique me prend. Comme un raz-de-marée, elle me terrasse. Je recule de quelque pas tandis que lui avance. Il est maintenant dans ma chambre et un étau enserre ma poitrine. Je recule encore. À chaque pas que je fais en arrière, il en fait un en avant, jusqu’à ce que je heurte mon bureau. Puis il ouvre la bouche.
– Je suis désolé.
Ces mots, si simples, ne font aucun sens. Tout ça ne fait aucun sens. Se pourrait-il que ce soit lui ? Comment se pourrait-il que ce soit lui ? Je vais pour ouvrir la bouche puis la referme.
– Désolé, répète-t-il tout bas.
Et l’homme qui se tient devant moi semble effectivement désolé. Exactement comme le gamin que j’ai connu, il y a des années de ça, la tête haute, mais les yeux pleins d’une culpabilité sincère. J’essaye de reprendre mes esprits et de dire quelque chose, n’importe quoi pour éclaircir cette situation invraisemblable, mais mes lèvres tremblantes ne peuvent formuler une seule phrase complète.
– Oli ? articulé-je finalement avec peine.
Il acquiesce d’un simple signe de la tête et la réalité me frappe avec une intensité qui manque de me faire tomber à la renverse. Oliver se tient au milieu de ma chambre. Mon Oliver. Celui, qui, il y a sept ans, a disparu à tout jamais. Celui dont je visite la tombe au cimetière de la ville. Il est là et pourtant il est mort. C’est lui, et à la fois, ce n’est pas tout à fait lui.
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date : 22-12-2018
– Je te trouve belle et que je ne devrais pas, je te trouve intelligente, vive, étonnante... et je ne devrais pas non plus, finit-il par me dire, à voix basse.

Il vient de lâcher une bombe. Mon corps ressent l’explosion avant que mon cerveau réussisse à analyser les données. J’ai chaud, je respire plus vite. Je ressens d’étranges fourmillements entre mes jambes.

– Prouve-le, dis-je.

Je retiens mon souffle, apeurée de ce que je viens d’oser demander. C’est le moment de vérité. Les mains de Nash sont toujours posées sur mes épaules. Je sens ses doigts frémir à travers le coton fin de mon tee-shirt.
D’un mouvement rapide, irréfléchi, je pose mes lèvres sur les siennes. Encore.
Nash attrape ma bouche avec la sienne, plonge sa langue en moi, ses doigts se referment sur mes épaules avec force. Je gémis. De désir et de surprise. Puis doucement, il desserre son étreinte. Sa langue caresse la mienne, puis il se recule, les yeux fermés. Il se passe une main sur le visage.

Et il ne m’a pas repoussée, cette fois.

Sa respiration aussi s’est accélérée. Il rouvre les yeux. Mon souffle se suspend devant leur expression fiévreuse.

– Prouve-moi que je suis désirable, dis-je d’une voix rauque.
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date : 05-11-2018
C’est l’effervescence dans mon jeans. La pression du corps de Jake contre le mien affole mon intimité emprisonnée. Je n’en peux plus de cette torture ! Il quitte ma bouche pour s’attaquer à mon cou qu’il dévore. Mes yeux se voilent, mon cœur s’emballe, emporté par l’intensité de la passion qui nous anime.
– Jake… gémis-je.
Je n’en peux plus, je veux qu’il me prenne.
Alors que je suis toujours accrochée à lui, il nous entraîne tous les deux jusqu’au lit où il nous fait tomber. Il me surplombe de façon à ne pas m’écraser et mon regard s’ancre au sien. Il se frotte contre moi, la dureté de son désir appuyant contre mon intimité. Ses baisers se font plus durs et plus profonds. Sa langue torture la mienne et je gémis contre sa bouche. Ses mains puissantes s’emparent de mon chemisier et en arrachent littéralement les boutons, dévoilant ma poitrine emprisonnée dans un soutien-gorge en dentelle rouge. Il relève la tête un instant pour contempler mes seins en se mordant la lèvre.
– Tu es parfaite, Lily…
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date : 08-09-2018
– Tu es sûre de ce que tu fais ? demande Diego.

Si le fait qu’il se soucie de mon consentement éclairé me touche, je suis lasse que l’on me traite comme une petite fille qui ne sait pas ce qu’elle veut. C’est ainsi depuis mon enfance et il est temps que ça change.

– La seule chose dont je suis certaine, Diego, c’est que je ne veux plus entendre cette question. Désormais, ta bouche, tu dois l’utiliser pour m’embrasser.

Un sourire carnassier étire ses lèvres et son regard devient si intense que le rouge me monte aux joues. Je ne suis pas une débutante, mais cet homme-là est différent de tous ceux que j’ai connus. Il est unique. Et, à présent, il va devenir mien, juste pour ce soir.

Il m’embrasse de nouveau et ses mains descendent sur mes hanches. Il m’aide à me hisser. Mes jambes entourent sa taille tandis que mes doigts s’affairent toujours à ouvrir ses boutons.

Je quitte ses lèvres pour embrasser son torse, mordillant ses tétons l’un après l’autre, ce qui lui arrache un gémissement. Je sens sa virilité contre ma culotte et je suis déjà prête pour lui.

En même temps, dans une cabine d’ascenseur, ce n’est pas comme si nous avions le temps pour beaucoup de préliminaires. Cependant, pour ma plus grande déception, il me dépose à terre. Cela dit, il ne me donne pas le temps de protester.

– Tourne-toi.

Rien que pour le provoquer, j’obtempère d’un pas traînant, bien que je sois secrètement ravie qu’il me donne des ordres. Ma cage thoracique se soulève sous le rythme de ma respiration rapide. Je n’ai jamais été aussi excitée de toute ma vie. Alors, je sens ses doigts agiles sur ma nuque, quand il attrape la fermeture Éclair qu’il fait glisser le long de mon dos, jusqu’à mes fesses. Je retiens mon souffle et ma robe tombe à mes pieds. Je me tiens devant lui en culotte et en soutien-gorge sous la lumière verdâtre d’une cage d’ascenseur. La gêne liée à mon éducation bourgeoise particulièrement pudibonde fait irruption dans mon cerveau, et mon envie chute d’un cran. Quant à ma confiance en moi, elle a sans doute rejoint ma robe.

– Retourne-toi.

J’hésite entre lui obéir et me rhabiller fissa. Je peux toujours mettre fin à notre contrat et ne plus jamais le revoir.

– S’il te plaît, Emma. Laisse-moi te montrer comme tu es belle. Laisse-moi te montrer comme tu brilles.
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— Parle-moi, mon amour. Il est temps, tu sais que je ne partirai pas, je ne partirai plus... angoissé-je toujours un peu plus devant son silence.

— Juste... ment, avoue-t-il difficilement.

La tension monte d’un cran.

— Quoi ? Justement quoi, Alex ?

— Ce n’est pas toi qui t’en vas, Chloé, c’est moi qui pars...
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– Je peux déboutonner ton chemisier ? m’enquiers-je contre ses lèvres.

Elle acquiesce timidement. Je défais un premier bouton, la poitrine de Neila se soulève. J’essaie d’aller doucement pour ne pas l’effrayer alors que je n’ai qu’une envie : arracher ce fichu chemisier et faire voler les boutons dans toute la pièce. Mes doigts tremblent comme ceux d’un novice. Parvenu au bout de mes efforts, je n’écarte pas les pans de tissu pour dévoiler sa poitrine, je glisse simplement mes mains sous l’étoffe et je caresse sa peau brûlante avant de reprendre possession de ses lèvres.

J’effleure son dos, ses omoplates, la presse contre moi pendant que je dévore sa bouche, que je provoque sa langue de la mienne. Mes doigts continuent d’explorer son corps couvert, sa taille, ses hanches, son ventre plat et ferme qui se contracte davantage encore à mon toucher. Je plaque mes paumes autour de son nombril, me détache légèrement d’elle, colle mon front au sien.

Tu vas me rendre fou, si fou, Neila… Je te veux tellement, je ne sais même pas pourquoi ! Et ton frère va me tuer !

Je me garde bien de dire tout ceci à voix haute au risque de l’effrayer et de la voir s’enfuir sans autre forme de procès. Et maintenant que j’embrasse sa bouche, que je découvre son corps, j’ai tellement, mais tellement envie de plus.

– Je peux t’enlever ton chemisier ? murmuré-je entre deux baisers dans son cou.

– Je ne sais pas, hésite-t-elle en se blottissant contre moi. Tu pourrais enlever ta chemise d’abord ?

– Je peux… Mieux : tu peux.

Elle se fige et je me détache d’elle à contrecœur.

– Déshabille-moi, lui dis-je tout bas.
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date : 22-05-2018
– Ça vous exciterait que j’allume un homme devant vous, dans ce bar, c’est ce que vous essayez de me faire comprendre ?
Oui, je perds tout contrôle, avec lui. Cette phrase ne me ressemble pas. Je mords ma lèvre inférieure et ferme les yeux comme pour ravaler ce que je viens de dire, mais c’est trop tard.
– C’est exactement ça.
Il me lâche. Estomaquée par sa réponse, je pivote rapidement sur moi-même pour me retrouver face à lui.
– Et qu’est-ce qui vous fait dire que j’en ai envie ?
– Vous mourez d’envie de me faire plaisir.
Je ricane car même s'il n'est pas loin de la vérité, je pencherai plutôt pour une envie de le surprendre. Me surprendre moi-même, sans doute aussi.
Je hausse le menton et affirme :
– Vous êtes bien sûr de vous.
Il pose son doigt sur la base de mon cou et le descend entre mes seins et, d’un regard défiant, il avance son visage pour le caler contre ma joue. Je sens ma peau se hérisser. Un frisson me traverse et j'apprécie ce contrôle qu'il exerce sur mon corps.
– Vous m’auriez déjà giflé, si ce n’était pas le cas.
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— Tu n’as rien compris en fait.
— Je t’écoute dans ce cas. Dis-moi pourquoi tu ne l’as pas butée ? T’as déjà tué des femmes, sans te soucier de la personne qui se cachait derrière le nom. Pourquoi pas Amy ?
— Amyliana, grogné-je, pas Amy. Et pourquoi elle est toujours en vie ? Parce qu’elle et moi, on se ressemble quelque part, j’ai envie qu’elle connaisse autre chose que la merde dans laquelle elle est embourbée.
— Des couilles, ça. Tu te mens à toi-même.
— Non. Elle a la rage de s’en sortir, comme je l’ai eue à une certaine époque. Elle ne se voile pas la face quant à son avenir. Elle sait d’où elle vient, les épreuves l’ont endurcie, et... Je ne l’impressionne pas. Ça, c’est quelque chose que j’admire chez les gens.
— Mais encore ?
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— Si tu savais comme il me manque ! Mais je ne peux plus. Chaque jour qui passait, j’avais l’impression de mourir de l’intérieur, jusqu’à ce que je rencontre Ian... Zack m’a suppliée de laisser une chance à Jake jusqu’à ce soir. Mais je n’ai plus d’espoir...

— Sais-tu pourquoi il ne revient pas ?

— Non... Tout ce que Zack m’a dit, c’est qu’il était dans un sale état. Mais un couple n’affronte-t-il pas tout ensemble ?

— Certains hommes souffrent tellement qu’ils ne veulent pas infliger cela aux personnes qu’ils aiment. Tu ne peux rien faire, Zoey... Tout ce que je peux te dire, c’est de profiter de ta soirée et, à la fin de l’expo, tu seras fixée.
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Il était si heureux depuis trois ans. Trois années qui avaient passé si vite, qu’il se demandait parfois s’il n’était pas dans un rêve. Il continuait de croiser ses doigts, souhaitant que cela ne s’arrête jamais.
Il se tourna lentement, faisant attention de ne pas réveiller Zelko et le regarda. Il avait l’air si jeune, si innocent quand il dormait, ses traits détendus. Zack passa ses mains dans ses cheveux, pas trop fort pour ne pas le déranger, car il devait vraiment sortir de ce lit et se rendre à l’aéroport. Son avion devait décoller à sept heures trente. Il avait juste le temps de se doucher et de se rendre là-bas.
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date : 09-01-2018
– Vous êtes le cascadeur, j’imagine ?
– Alistair McKay, se présente-t-il en me tendant une main bronzée. Enchanté.
Je regarde sa main – une belle main large – son visage, de nouveau sa main. Puis me décide à la saisir. Une chaleur, contrastant avec la température et mon agacement, se répand dans mon corps. Sous ma peau. Sur ma peau. Partout. Et un frisson remonte le long de ma colonne vertébrale pour se loger dans le creux de ma nuque. Je lâche subitement sa main comme si ce contact venait de me brûler.
– Pas moi, maugréé-je, en tentant de cacher mon trouble – et la rougeur qui a envahi mes joues.
– Pardon ?
– Je ne suis pas enchantée, moi ! Prenez votre… canasson et allez sur le tournage, s’il vous plaît ! ordonné-je d’un ton qui signifie que son humour douteux a assez duré.
Toujours l’oreillette dans une main, je m’apprête à tourner les talons quand une poigne ferme me retient. Le souffle d’Alistair, l’homme-le-moins-drôle-du-monde, effleure ma joue, des frissons me parcourent à nouveau et une espèce d’électricité se répand dans mes veines.
– J’ai bien entendu « canasson » ? chuchote-t-il près de mon oreille en épelant chaque syllabe, la chaleur de sa paume inondant la moindre parcelle de ma peau.
Je soupire, ferme les yeux une microseconde afin de reprendre mes esprits et de virer le trouble auquel ce prétentieux me soumet.
– C’est exactement ce que j’ai dit, oui, affirmé-je, fière de ma repartie.
– Retirez !
– Non, dis-je calmement. Monsieur McKay, vous êtes attendu sur le tournage. Immédiatement.
– Avec le magnifique cheval que j’ai dressé et qui s’impatiente à côté de vous.
Oh, ça, je le sais bien que cet animal s’impatiente. Il n’arrête pas de souffler bruyamment depuis tout à l’heure ! Comme si on pouvait oublier sa présence…
– Avec le gros truc tout noir qui a failli me provoquer une crise cardiaque à cause de votre humour débile !
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date : 12-12-2017
– Je ne pense pas que ce soit une excellente idée de coucher ensemble, répliqué-je. Tenons-nous-en à notre accord initial ! Vous me donnez votre sperme, je vous verse votre argent. Un point, c’est tout !
– Quel dommage de passer à côté des bonnes choses de la vie ! Nous pourrions y prendre tellement de plaisir ! Qu’est-ce qui nous empêche de joindre l’utile à l’agréable ?
Il me lance un sourire à faire fondre la banquise. J’ai été bien avisée de m’éloigner à l’autre bout du canapé. Cet homme dégage un magnétisme aussi étrange qu’envoûtant.
– Si je me plie à votre mode opératoire, comment procéderez-vous exactement ? Je vous signale que mon travail à la boîte de nuit ne me laisse que peu de temps libre, lui expliqué-je.
– Nous partagerons le même lit.
– Je ne comprends pas bien pourquoi vous aurez besoin de dormir avec moi pour accomplir votre… travail. D’ailleurs, si on se voyait une fois par semaine, ce serait largement suffisant.
– Et complètement inefficace ! Si vous désirez que je vous fasse un enfant, je dois vous faire l’amour toutes les nuits, me répond-il, tout en allongeant son bras sur le dossier du canapé et en insistant sur le mot « toutes ».
Son geste étire sa chemise et attire mon regard sur ses pectoraux saillant sous le tissu. Il s’en aperçoit immédiatement, puisque son sourire s’élargit. Qu’il n’aille surtout pas se faire des idées ! Je ne craque pas pour lui, j’évalue juste la marchandise. Si mes joues me brûlent, c’est simplement parce que c’est la première fois que je me trouve dans une telle situation. Et certainement pas parce que ses yeux perçants me remuent les entrailles.
– Toutes les nuits ? croassé-je, avec la conscience aiguë d’être devenue plus rouge qu’une tomate.
– Oui, toutes les nuits. Et plusieurs fois par nuit, même !
Sans me lâcher du regard, il se penche vers moi, attrape une mèche de mes cheveux et joue avec du bout des doigts. Je feins d’ignorer son manège. Pourtant, je peux vous assurer qu’il me cause des frissons dans tout le corps.
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date : 30-11-2017
– Je n’arrivais pas à dormir, dis-je, nerveuse. Il fallait que je sorte.
– Vous avez eu raison, se contente-t-il de me répondre.
Je secoue la tête et pousse un soupir de soulagement quand enfin l’ascenseur arrive à notre étage. La torture est bientôt finie. Alexeï me laisse passer devant. Dans quelques secondes, je serai de nouveau seule dans ma chambre. Loin de lui. Et mon corps sera bien obligé de se calmer !
– Bonne nuit, murmuré-je devant ma porte.
Je fouille les poches de mon peignoir, fébrilement. Mais je ne trouve que le vide.
– Oh non ! soufflé-je
– Un problème ? me demande Alexeï sur le point de rentrer.
– Ma carte a dû tomber à la piscine, je vais redescendre.
Au moment où je passe devant lui pour faire le chemin inverse, il m’arrête en m’attrapant par la main.
– Il est tard, on s’occupera de ça demain. Passez par la porte communicante, ce sera plus simple.
Entrer dans sa chambre… Le sort se joue de moi.
Je file presque comme une voleuse vers mon refuge.
Mais quand je tourne la poignée, rien ne se passe.
– J’ai mis le verrou…
Je me retourne pour m’appuyer sur la porte, les yeux vers le plafond, soupirant de désespoir. Alexeï est déjà près de moi à essayer lui aussi d’ouvrir cette satanée porte.
– Je pourrais croire que vous faites tout pour passer la nuit avec moi, plaisante-t-il doucement.
Son regard m’hypnotise. La teinte bleue de ses yeux a pris un ton plus sombre…
Est-ce qu’il est possible que le bleu polaire puisse cohabiter avec les flammes ?
– Je vais redescendre pour récup…
Mais Alexeï ne me laisse pas faire un geste, pas un mouvement. Il se tient devant moi à présent, me dominant de toute sa taille, les lèvres légèrement entrouvertes.
– Ou tu peux rester là.
Sa bouche fond sur la mienne, dans un baiser puissant, sauvage. Et bien sûr, je lui réponds, sans retenue, sans pudeur. Tout ce que j’ai imaginé arrive, brutalement. J’en appelle une dernière fois à ma raison… Aux abonnées absentes.
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date : 25-11-2017
Un sourire coquin se dessine sur ses lèvres.

Elle pose ses deux mains sur mon torse et me pousse jusqu’au lit.

Ses yeux brûlants passent sur moi et j’ai déjà trop envie d’elle.

Elle retire mon tee-shirt en me caressant, puis laisse glisser la fermeture de sa robe qui tombe au sol et rejoint mon vêtement. Son ensemble de lingerie en dentelle noire me fait quitter terre !

Une dernière petite poussée de ses mains et je suis allongé sur le lit.

— Garde tes talons ma Lili.

— Oh, Monsieur J.J aurait-il des fantasmes ?

Je retrouve ma Lili entreprenante. Celle qui me faisait l’amour avec passion et sauvagement.

Elle monte à califourchon sur moi en riant et je me délecte de cette vision irréelle.
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date : 25-11-2017
Une avalanche de textos de mes amies m’attend au réveil.
[Alors, alors, ALORS ? Tu me rejoins
pour le brunch ou tu t’éternises
dans les bras de Blaine ?] demande Lena.

Je pensais que nous avions été discrets… Mais apparemment non. Les messages d’Elly le confirment :

[Blaine et Jenny. Jenny et Blaine. Ça sonne bien.]
[Est-ce qu’il est aussi doué
que son frère aka mon mari ?]
[Merde, ce texto est glauque, efface-le !]
[Mais je suis curieuse quand même !]
[En tout cas, je suis ravie pour toi !]

Il n’y a qu’Isabella qui reste digne :

[Coucou les filles ! Xander et moi
sommes installés dans l’avion.
À nous les Seychelles ! N’oubliez pas
de me donner de vos nouvelles
et de m’envoyer des photos de vous !
Sept jours sans se voir ! Il va s’en passer, des trucs !]

En fait, non, comme le prouve son texto suivant :

[Jenny, texto privé rien que pour toi :
J’EXIGE que tu me racontes tout avec Blaine.
Estime que ce sera mon cadeau de mariage.]
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– Vous vivez à Los Angeles ? demandé-je.
– Oui, dans un hôtel proche d’ici. Je me suis installé il y a quelques mois, répond Anders.
– Parfait. Vous êtes donc facilement accessible.
– Qu’entendez-vous par « accessible » ?

Je m’empourpre de nouveau. Je fais vraiment une piètre prestation aujourd’hui, et je dois faire attention aux mots que j’emploie avec un type pareil. Je lève la tête vers lui en souriant.

– Je veux dire par là que vous êtes facilement disponible si j’ai besoin de vous.
– Et vous aurez besoin de moi ?

Il a prononcé des derniers mots en me regardant droit dans les yeux, avec ce phrasé chantant et presque érotique qui me trouble.

– Je ne sais pas encore. Pour tout vous dire, c’est plus qu’un comédien que je cherche. J’ai besoin de quelqu’un qui pourrait s’inscrire dans un projet ambitieux et assez inédit. Vous devrez être très convaincant, car j’ai déjà plusieurs bons candidats.
– C’est la raison pour laquelle j’ai répondu à votre annonce. C’est quoi, ce projet novateur ? Un truc conceptuel ? Et pourquoi demandez-vous aux candidats d’être ouverts d’esprit ? Il faut jouer nu, c’est cela ?
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Je contemple ses mains fines qui s’agitent sur mon torse et me laisse enivrer par son parfum qui s’échappe de sa nuque pour remonter jusqu’à moi.
— Je suis tellement désolée d’avoir renversé cette tasse sur votre chemise, persiste-t-elle en frottant énergiquement le tissu d’un air concentré, s’essuyant de temps à autre le front avec son avant-bras.
Elle est en train d’abîmer ma chemise griffée. Une putain de chemise à 400 euros ! Au lieu de le lui faire remarquer, je scrute chacun de ces gestes.
— Je vous rembourserai le pressing, évidemment. Et puis, je vous offre le café pendant une semaine.
Je ne réponds rien.
Je résiste à la tentation de plonger ma main dans ses longs cheveux soyeux.
Je la trouve belle, dans sa fragilité, dans sa gêne, dans sa simplicité.
— Un mois ? propose-t-elle, visiblement inquiète de mon silence.
— Ok pour le café. Pour une semaine et on sera quitte, la rassuré-je. Le pressing, j’en fais mon affaire.
Elle s’interrompt, me regarde et me sourit.
— Bon, je crois que votre chemise est foutue, annonce-t-elle en se mordillant la lèvre inférieure.
Je deviens sans voix lorsqu’elle décide de s’attaquer à mon pantalon, se baissant devant mon entrejambe.
C’est une blague ? Je croyais que ce genre de truc n’arrivait que dans les films !
Sauf que cette position n’a rien de drôle. Au contraire. La pression qu’elle exerce au niveau de mon entrejambe réveille mon corps tout entier. Mon imagination commence à devenir incontrôlable. Je désire cette femme.. Des idées interdites s’infiltrent dans mon esprit. La toucher. La caresser. L’embrasser.
Elle s’arrête de manière soudaine, comme si elle avait entendu mes pensées inappropriées.
Le temps semble être suspendu, le bruit provenant des clients du Temple Coffee s’est estompé. Nous sommes là, tous les deux, comme isolés du reste du monde.
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— Tu as couché avec ma meilleure amie !
— Il se pourrait. Oui…
Une foule de questions se bousculent dans ma tête, mais une seule me vient aux lèvres.
— Y a-t-il une seule femme sur cette Terre avec qui tu n’aies pas couché ?
Reed esquisse tout à coup un large sourire et, lorsque je percute l’énormité de ma question, il est déjà trop tard.
— À mon grand regret, oui : toi.
J’aimerais répliquer, mais rien ne vient. Je reste bouche bée sous son regard taquin.
— Oh ! Et puis, tu m’énerves !
Il rit de plus belle.
— Jalouse, peut-être ? se risque-t-il avec un clin d’œil moqueur. Il n’est jamais trop tard pour tester la marchandise, princesse.
Je fais une grimace d’écœurement alors qu’il s’esclaffe à nouveau.
— Moi, jalouse ? Non, mais tu rêves ! Et ta… ta marchandise, tu la laisses surtout bien rangée là où elle est, pour une fois. Et puis arrête de m’appeler princesse.
Malgré la mine dégoûtée que j’affiche, je sens le feu me monter aux joues. Je fais immédiatement demi-tour, me sentant trop vulnérable.
— Non, non, non, Cara ! Reste avec moi, dit-il en me saisissant par les hanches et se collant contre mon dos.
Je me fige et ravale un éclair de désir.

— Non, Reed. Tu n’as rien à faire ici, et je refuse de te parler, alors laisse-moi.
Après m’avoir replacé une mèche de cheveux en arrière, il me susurre à l’oreille :
— Pas avant que tu aies accepté de me suivre.
Je frissonne et abandonne toute rébellion pour pivoter dans ses bras.
— Ton frère sait que tu es là ?
— Non. Et ça restera notre petit secret.
— Je ne lui mentirai pas.
— Alors, tu « omettras » de lui dire.
— Reed, tu…
Il me fait taire en posant l’index sur mes lèvres.
— Chut ! Allez, suis-moi !
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