Commentaires de livres faits par Mikaua
Extraits de livres par Mikaua
Commentaires de livres appréciés par Mikaua
Extraits de livres appréciés par Mikaua
He had it free and safely stuck through his cuff in a few more seconds, then finished his check of the window, clicked the lock and entered the room.
"At least I put the wall back," Jarlaxle quipped, indicating the circle of glass in Entreri's hand.
A flick of the assassin's wrist sent the glass piece crashing to the floor.
"So much for secrecy,"said Jarlaxle.
"Maybe I'm in the mood to kill someone," Entreri replied, staring hard at the frustrating dark elf.
- NICOLAS !
A son tour, elle franchit la petite cour d'un bond, se reçut mieux que le Gascon, réussit prudemment à s'approcher du rebord.
- NICOLAS ! appela-t-elle d'une voix inquiète. NICOLAS !
- Suis là. Tout en bas.
- RIEN DE CASSÉ ?
- Crois pas, non.
- COMMENT TE PORTES-TU ?
Signe de bonne santé, la nature bouillonnante du Gascon prit alors le dessus :
- ADMIRABLEMENT ! lança-t-il. JAMAIS GASCON NE PASSA MEILLEURE SOIRÉE ! MAIS VEUX-TU BIEN TE LANCER AUX BASQUES DE L'AUTRE ACROBATE, OUI ?
- Oh, merde...
Après quoi il bascula et, sur les fesses, de plus en plus vite, dévala la pente du toit en emportant les tuiles qui ripaient sous ses talons.
- Merde-merde-merde-merde-merde-merde-merde...
Puis vint le vide.
- MEEEEEEEEEERDE !
Des planches vermoulues ralentirent sa chute avec fracas, une bonne couche de foin l'amortit, et le rude contact avec le sol d'une étable la conclut enfin. Marciac se fit mal, jura sur le mode que l'on sait et, toujours très en colère, roula sur le côté en grimaçant.
Ce qu'il n'aurait sans doute pas fait s'il avait su qu'il mettrait ainsi le nez dans la...
- Merde.
Plus jamais ne serai ton cavalier de bal
C'en est un autre qui, sous mon triste regard,
Te fera parcourir en tournoyant la salle.
En cette ultime danse où se joue le hasard
Quand il me faudra dire à ta vie adieu
Je voudrais que pour toi elle ait tous les égards,
Que tu saches un jour t'envoler dans les cieux.
En cette ultime danse où se joue le hasard
Quand je serai certain de te perdre à jamais
Te laisserai aller, regrettant ton départ,
Souhaitant que devant toi s'enfuient les vents mauvais.
En cette ultime danse où se joue le hasard
Nous verrons nos esprits l'un à l'autre avoués
Nous nous séparerons, endeuillés et hagards,
Quand le noeud qui nous lie se sera dénoué.
(et version originale)
In that last dance of chances
I shall partner you no more.
I shall watch another turn you
As you move across the floor.
In that last dance of chances
When I bid your life good-bye
I will hope she treats you kindly.
I will hope you learn to fly.
In that last dance of chances
When I know you'll not be mine
I will let you go with longing
And the hope that you'll be fine.
In that last dance of chances
We shall know each other's minds.
We shall part with our regrets
When the tie no longer binds.
- Camaël ! On va faire un petit tour !
- ... Et où donc ?
- Quelle question idiote !! Nous allons chez le débauché ! Chez ce médecin libertin, ce snob coureur de jupons qui nous rase avec ses plaisanteries à deux balles !! On va chez Raphaël !
C'était Artemis qui l'appelait que le talkie-walkie.Butler remonta sa soeur de quelques centimètres sur son épaule pour pouvoir atteindre l'appareil accroché à sa ceinture.
- Sucettes ! aboya son employeur.
- Pouvez-vous répéter, s'il vous plaît ? J'ai cru comprendre...
- Heu... Je veux dire, ne restez pas là. Mettez-vous à couvert ! A couvert !
A couvert ? Le terme militaire semblait déplacé dans la bouche de son maître. Comme une bague en diamant dans une pochette-surprise.
- Me mettre à couvert ?
- Oui, Butler. A couvert. J'ai pensé que l'emploi de termes primaires serait le plus court chemin pour atteindre vos fonctions cognitives. De toute évidence, je me suis trompé.
- Pietro ! Grands dieux, mon amour, que fais-tu ?
- Je traite les affaires de la France, persifla-t-il, pendant que d’autres s’amusent.”
Enfin, l’un des gentilshommes se détacha du groupe pour marcher vers d’Orvand en foulant d’un pas décidé l’herbe grasse et humide. Le vicomte savait ce qu’il allait entendre et se composa une attitude aussi digne que possible.
- Il est en retard, dit le gentilhomme.
- J’en suis, croyez-le, désolé.
- Viendra-t-il ?
- Je le crois.
- Mais savez-vous seulement où il se trouve, à cette heure ?
- Non.
- Non ? Mais vous êtes son témoin !
- C’est à dire que…
- Un quart d’heure, monsieur. Le marquis de Brévaux veut bien patienter encore un quart d’heure d’horloge. Et quand votre ami arrivera, s’il arrive, nous…
- Le voilà, je crois…
* * *
Un carrosse richement décoré arrivait. Tiré par un splendide attelage, il s’arrêta sur la route poudreuse et un homme en descendit. Son pourpoint était entièrement déboutonné et sa chemise sortait à demi de ses chausses. Le chapeau dans la main droite et la gauche reposant sur le pommeau de son épée, il garda une semelle sur le marchepied pour embrasser une jolie jeune femme blonde penchée par la portière ouverte. Ce spectacle n’étonnait pas d’Orvand, qui leva cependant les yeux au ciel en voyant qu’un second baiser d’adieu était échangé avec une autre beauté, brune celle-là.
- Marciac, murmura le vicomte pour lui-même. Tu ne changeras donc jamais !"
"Alors ?" demanda Roland.
L'Archer lui fit un sourire vicieux. "Nous avons trouvé une autre bande de voyageurs qui migraient vers le nord à environ cinquante kilomètres au sud-est d'ici et nous nous sommes arrangés pour qu'ils aillent faire une petite visite aux Tsurani."
Garret leva ses yeux cernés de noir vers Roland. "Il appelle ça une bande. Il devait bien y avoir cinq cents moredhel en armes. Il y en a une bonne centaine qui nous ont coursés dans les bois ces deux derniers jours."