Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 536
Membres
1 012 697

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

VENDREDI 1er NOVEMBRE

C'ÉTAIT maintenant devenu un événement annuel. L'homme qui recevait la fleur fêtait ce jour-là ses quatre-vingt-deux ans. Il sortit le paquet de l'enveloppe et retira le papier cadeau. Puis il souleva le combiné du téléphone et composa le numéro d'un ancien commissaire de police qui depuis sa mise à la retraite était installé en Dalécarlie, près du lac Siljan. Non seulement les deux hommes avaient le même âge mais ils étaient aussi nés le même jour - ce qui, vu le contexte, pouvait paraître de l'humour. Le commissaire savait qu'il allait recevoir cet appel après le passage du facteur vers 11 heures du matin, et il prenait son café en attendant. Cette année, le téléphone sonna dès 10 h 30. Il décrocha et ne s'embarrassa même pas des préambules.

- Elle est arrivée, je suppose. Qu'est-ce que c'est, comme fleur, cette année ?

- Aucune idée. Je vais la faire identifier. Une fleur blanche.

- Pas de lettre, évidemment ?

- Non. Rien que la fleur. Le cadre est le même que l'année dernière. Un de ces cadres bon marché à monter soi-même.

- Cachet de la poste ?

- Stockholm.

- Ecriture ?

- Comme toujours, des majuscules d'imprimerie. Des lettres droites et soignées.

Ils avaient épuisé le sujet et observèrent le silence, chacun à son bout de la ligne, pendant une bonne minute.

Le commissaire à la retraite se pencha en arrière sur sa chaise de cuisine et suçota sa pipe.

Afficher en entier

- Ca sert à quoi, ce machin ? Elle montra un énorme bijou anal. Non, n'essaie pas de parler -- je n'entends pas ce que tu dis. C'est ça que tu as utilisé sur moi la semaine dernière ? Il suffit que tu hoches la tête. Elle se pencha vers lui, se réjouissant d'avance de sa réponse.

[...]

Lisbeth Salander se pencha et plaça le bouchon anal entre ses fesses.

- Alors comme ça t'es un sadique, constata-t-elle. T'aimes bien enfoncer des trucs dans les gens, pas vrai? Elle le fixa. Son visage était un masque inexpressif. Sans lubrifiant, c'est ça?

Afficher en entier

- Tu as de beaux yeux.

....

- Tu as des yeux gentils.

Afficher en entier

Elle voulu prendre le panneau en tôle et utiliser le bord tranchant pour couper la tête à Erika Berger. Elle n'en fit rien, tandis que les pensées fusaient dans sa tête. Analyse des conséquences. Elle finit par se calmer.

Afficher en entier

- As tu lu l'enquête?

- En partie. J'ai vécu toute ma vie d'adulte avec l'enquête. On ne peut pas fréquenter Henrik sans être contaminé par l'énigme Harriet.

- Il se trouve que c'est un problème fascinant. Je veux dire, c'est un mystère de la chambre close à l'échelle d'une île. Et rien dans l'enquête ne semble suivre la logique normale. Toutes les questions restent sans réponse, tous les indices mènent à un cul-de-sac.

- Mmm, ces choses-là obsèdent les gens.

Afficher en entier

- S'[il] avait été vivant en cet instant, je l'aurais livré en pâture, poursuivit-elle. Quel que soit votre arrangement avec Mikael, j'aurais envoyé jusqu'au moindre détail sur lui au journal le plus proche. Et si j'avais pu, je l'aurais traîné dans sa propre salle de torture, je l'aurais attaché sur l'espèce de table et je lui aurais planté des aiguilles dans les couilles.

Afficher en entier

- [Il] était en mesure de résister autant que n'importe qui. Il faisait ses choix. Il tuait et violait parce qu'il aimait ça. [...] Tu dis des conneries, répéta Lisbeth. [Il] n'est pas le seul môme au monde à avoir été battu. Cela ne lui donne pas carte blanche pour assassiner des femmes. C'est un choix qu'il a fait lui-même.

Afficher en entier

Un être humain est une enveloppe de peau qui maintient en place des cellules, du sang et des composants chimiques. Quelques individus, ils sont rares, se retrouvent dans les livres d'histoire. La plus grande partie succombent et disparaissent sans laisser de traces.

Afficher en entier

— Des comme lui, j’en ai vu plein dans ma vie. Un bon conseil – si tu veux bien en accepter un de moi –, ignore-le quand il s’excite, n’oublie jamais rien et rends-lui la monnaie de sa pièce quand tu en auras l’occasion. Mais pas maintenant qu’il attaque en position de force.

Mikael l’interrogea du regard.

— J’ai eu de nombreux ennemis au fil des ans. J’ai appris une chose, et c’est de ne pas accepter un combat quand tu es sûr de le perdre. Par contre, ne laisse jamais s’en tirer quelqu’un qui t’a démoli. Sois patient et riposte quand tu seras en position de force – même si tu n’as plus besoin de riposter.

Afficher en entier

- Alors, ça va peut-être t’amuser de savoir que moi aussi j’ai des principes qui correspondent à ton comité d’éthique. J’appelle ça le principe Salander. D’après moi, un fumier est toujours un fumier et si je peux lui nuire en déterrant des saloperies sur lui, c’est qu’il l’a mérité. Je ne fais que lui rendre la monnaie de sa pièce.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode