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Liste des commentaires

Commentaire ajouté par adele 2017-01-29T09:49:08+01:00
Diamant

Magnifique.

Bouleversant, j'ai une seule chose à dire, sortez une boite de mouchoirs.

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Diamant

Magnifique : Rune a quitté la Norvège à 5 ans et emménage aux USA où il rencontre sa voisine Poppy du même âge. A partir de ce jour, ils vont être inséparables. A 8 ans, Poppy perd sa grand-mère qui avant de mourir lui remet un bocal contenant 1000 cœurs où elle devra y noter les baisers qui l’ont rendue heureuse. Rune décide de lui offrir son premier baiser et lui promet de lui donner les 999 autres, une nouvelle aventure commence pour eux... Un roman qui se dévore, inlâchable tellement on est pris par cette magnifique histoire si bouleversante, émouvante et poignante, narrée en alternance par Poppy et Rune. J’ai été chamboulée par ce condensé d’émotions à ressentir. Une pépite à découvrir.

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Diamant

Vraiment magnifique et bouleversant. Tout a déjà été dit alors je ne vais pas m'attarder sur ce commentaire. Mais très important:

- Une boite de mouchoirs.

- Et de la patience car tellement qu'on pleure, on y voit que dalle. Conclusion: On peut pas lire.

Mais sinon, une très belle leçon de vie. A lire sans hésiter.

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Pas apprécié

Sérieusement 1 541 lecteurs en diamant ?? Je ne sais même pas par où commencer tellement j'ai détesté...

Déjà, j'ai décidé de le lire car je voulais savoir si la hype valait vraiment le coup. La réponse est : non.

C'est franchement mauvais. J'avais l'impression de lire une fanfiction. C'était niais, culcul à souhait...Bref tout ce que je déteste. Et pourtant l'idée de noter les baisers dans un bocal ça peut être sympa mais alors là..On part dans le cliché à 100%

En plus de ça il y a tellement d'événement invraisemblables. J'ai tout simplement eu l'impression de lire un Nos étoiles contraires de wish.

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Diamant

Mon cœur a complètement éclaté.

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Pas apprécié

Ce livre est d'une niaiserie... affligeante. De la guimauve, , du marshmallow, le tout dégoulinant les bons sentiments. Je n'ai quasi rien trouvé de réaliste dans cette lecture, tout n'était que du tire-larme incessant, du drame, de grandes déclarations mièvres, et pouah je déteste que l'on représente la vie, la maladie de cette façon. En gommant tous ses défauts, en camouflant tout avec de l'espoir et de l'amour. Ce n'est pas comme ça que ça marche. La vie est pleine de défauts, elle est horrible lorsque la maladie survient, on chute, on ne sait plus à quoi s'accrocher. On lutte et c'est difficile, tellement. Alors OUI l'amour nous aide à ne pas tomber, à rester heureux, à profiter, je ne dis pas le contraire (pas du tout !)... Mais dans ce roman, cela sonne tellement faux. Tellement cliché. Leur relation d'abord, ohhhhhh tellemeeeeent parfaite... Les promesses superflues qui m'ont fait levé les yeux au ciel... La morale de l'histoire aberrante et stupide qui dit que lorsque l'amour de notre vie meurt, on doit lui rester fidèle à tout prix jusqu'à le rejoindre dans les étoiles (et non profiter de la vie qu'il nous reste, retomber amoureux, juste continuer à aimer)... Le mec qui répète Poppy Poppy Poppy dix fois par page comme si elle avait oublié comment elle s'appelait, à s'en grincer les dents jusqu'à les limer... La naïveté qui transparaît de leur amour (je ne pensais pas être aussi insensible aux amours d'enfance, jusqu'à ce que je lise ce livre)... Leurs déclarations qui m'ont fait sourire de la même manière que je souris quand ma petite cousine me dit qu'elle va se marier avec son professeur de maternelle, avec désabusement et sous-entendu : "Ah, tu as tant de choses à apprendre encore, ma fille"... Les deux personnages principaux sans caractère, d'une inconsistance risible, qui ne savent que s'embrasser, se dire je t'aime et se promettre la Lune (quant aux personnages secondaires, je ne m'en souviens même pas)...

Bref, ce roman est sûrement trop enfantin pour moi. Il l'est, enfantin, clairement. Je le suggérais bien à ma nièce de 8 ans. Moi, c'était trop de perfection pour me toucher. Trop faux, pas crédible, rose bonbon pour un sujet aussi important que celui-ci - la maladie qui te brise tes repères et te pousse sur l'échafaud malgré toute ta soif de vie (que j'ai connu de très très près... et c'est pourquoi je me suis sentie attirée par ce livre, comme j'ai été attirée par Nos Etoiles Contraires, Sans Prévenir, Si Je Reste, First Love, Je Veux Vivre, Oscar et la Dame Rose & autres. Je voulais ressentir des émotions, me sentir mieux, m'accaparer ne serait-ce qu'un peu cet espoir, cet amour dans ces romans, qui m'avaient échappés quand j'ai été confronté à ces moments durs dans la vraie vie).

Certes, le fait que cela soit raconté avec le point de vue de jeunes enfants explique toute cette innocence... Mais franchement, c'était mal joué et à peine percutant (Oscar & La Dame Rose était pertinent, lui, lui il était bouleversant). Et puis bon, à 17 ans, excusez-moi mais on est quand même un brin mature, Les je t'aime pour toujours, je resterai tienne jusqu'à la mort, tu es à moi pour l'éternité ou je ne sais quoi, ça n'existe plus, on est d'accord ? Eh bien dans ce livre, non. L'amour entre Rune et Poppy (bon dieu, je déteste ce prénom, je n'ai fait que me la représenter en chihuahua dans ma tête, c'était perturbant) reste simplet du début à la fin.

Vraiment, je n'ai pas du tout aimé et je ne le recommande qu'aux grands rêveurs. J'ai trop supporté de choses dans ma vie pour me sentir concernée/impliquée/alertée/touchée par ce condensé de clichés et de niaiserie (je répète ce terme, car il représente totalement le roman). Le seul bon point que je pourrais donner, c'est la fluidité de l'écriture, et la réaction de Poppy face à sa maladie, la seule chose un brin réaliste dans cette histoire. Le concept du bocal de baisers était vachement intéressant à exploiter, mais le simple fait que ce bocal ait été rempli quasi méthodiquement, à chacune de leurs retrouvailles, a suffi à rendre l'idée risible et sans plus d'intérêt. Il aurait été largement plus intéressant que Poppy vive plusieurs amours durant sa vie, qu'elle découvre tous les aspects de l'amour et pas que les gentils côtés, et que le dernier baiser, soit le plus important, lui soit attribué par Rune. Surtout qu'à la fin, lors du dernier baiser entre eux, on atteint le summum du kitsh... !

Bref, vous l'avez compris, je n'ai apprécié cette découverte du monde des Bisounours en compagnie de Rune et Poppy, guides touristiques très peu agréables. Such a same, à en voir tous les commentaires positifs. Mais bon, si c'était la première fois...

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Diamant

Terriblement beau, terriblement bouleversant

Si il ne m'avait pas été chaudement recommandé, je serais totalement passée à coté de cette couverture et de ce titre pas très engageants à mes yeux et pourtant...

Rune et Poppy s'aiment depuis qu'ils ont 5 ans.... C'est tout ce que vous devez savoir, bande de petits curieux !

Mais alors que dire de ce livre... Peut-être simplement un conseil, ne pas lire le quatrième de couverture ni les com qui en disent beaucoup trop. Avancer en aveugle dans une histoire d'amour face à laquelle "Roméo et Juliette" fait presque pale figure. Evidemment tout dépend de votre sensibilité et de votre vécu mais ce roman est tout simplement exceptionnel tant par son originalité (l'idée du bocal est juste magique) que par ses personnages et sa leçon de vie.

Presque une thérapie pour l'âme car chacun d'entre nous peut se retrouver dans cette histoire... Quand un auteur possède le pouvoir de vous faire pleurer dès les premières pages et tout au long de la lecture, ainsi que celui de changer votre regard sur la vie et d'y apporter quelques idées de bonheur, c'est juste merveilleux.

Diamant : 9/10

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Pas apprécié

*fait craquer ses doigts avant de les poser sur le clavier, échauffe ses cervicales, soupire un peu, essuie une goutte qui perle sur son front, redresse le bouclier qu'elle a posé à sa droite* … J'ai détesté ce livre ! Une fois encore, je ne comprends pas bien ce qu'il m'a pris. J'ai dû me laisser avoir par la couverture tellement jolie que ce petit livre, malgré son format poche, aurait eu une classe folle dans ma bibliothèque. Oui, aurait, car il n'y est pas resté bien longtemps. Ayant lu une copie digitale sur ma liseuse sur le chemin du Hellfest qui ne me donnait pas envie d'ouvrir le livre fait de papier une fois de retour à la maison, je me suis empressée de mettre en vente sur Internet mon roman tout beau tout neuf que je n'éprouvais plus du tout l'envie de garder. (Déjà, là, en plus, il y a comme un problème : la couverture rose de ce roman au ton ô combien girly et niais est aux antipodes du festival de l'enfer !) En même temps, les avis sur la toile se sont bien moqués de moi ; ils étaient, pour la plupart, très enthousiastes et très touchés par l'histoire de Rune et Poppy que je me suis jetée à l'eau et que j'ai laissé parler encore une fois mon impulsion pour ressortir un jour de la Fnac de Nancy avec Mille baisers pour un garçon dans mon sac. Ça me fait toujours un peu moins mal de me tromper sur le choix d'un livre lorsqu'il s'agit d'un format poche. N'empêche que désormais, je réfléchirai un peu plus longtemps.

Du coup, hé bien, je fais partie des rares personnes qui n'ont pas du tout aimé ce livre. Je ne comprends pas la note qu'il remporte sur Babelio et je me suis empressée de lire le seul avis jusque là le plus négatif dans lequel je me reconnaissais déjà un petit peu. Et alors, pourquoi est-ce que je n'ai pas aimé Mille baisers pour un garçon ? Parce que c'est niais. Parce que c'est répétitif. Parce que ça surprend pour de faux. Parce que c'est fouillis. Parce que c'est trop peu travaillé. En plus, je n'aime pas les livres qui parlent de maladie. Oui, parce que (et ceci n'est pas un spoil même si ça ne figure pas sur la couverture) l'un des personnages doit faire face à la maladie et c'est peut être la seule surprise qui a un tant soit peu fait faire un petit bon à mon cœur. L'adrénaline est retombée quelques lignes plus tard sans m'émouvoir une seule seconde. Elle, et le roman entier d'ailleurs, auraient fait plus d'effet auprès de plus jeunes lectrices, je n'en doute pas.

Mais revenons à nos moutons ! Oui, Mille baisers pour un garçon est niais. Il est aussi cucu que le rose qui déborde de la couverture, et ce, malgré le thème de la maladie. L'amour dégouline et colle à chaque coin de page de façon désagréable comme de la guimauve et les deux personnages, même si oui, c'est beau l'amour, fatiguent par leurs minauderies, les surnoms et les formules qu'ils n'ont de cesse de se répéter encore et encore au fil des pages. Les actions sont elles aussi parfois répétitives avec cette impression d'aller et retour partout et nulle part à la fois, jusqu'à la cerisaie, symbole certes fort de la relation des deux protagonistes, mais toujours prétexte à des allers et venus incessants au cours des chapitres. Tout est beau et tout est rose dans le meilleur des mondes malgré la maladie ; tout y est facile et accessible (le voyage à New-York sponsorisé par DeeDee, intarissable DeeDee qui met absolument tout à la portée des deux tourtereaux, du billet d'avion en première classe à la maquilleuse et habilleuse toute personnelle dans la plus grande chambre du plus grand hôtel de la ville). Les chapitres s'enchaînent sans aucune difficulté (je parle de la trame et non du plaisir de lecture), bien que le rythme soit parfois biscornu, l'auteure ne savant pas utiliser les ellipses qui pourraient peut être justifier que le temps s'accélère parfois pour que l'action ne prenne qu'un paragraphe ou deux (le bal de fin d'année, la discussion à la plage et j'en passe). Un petit saut à la ligne en en passant une ou l'ajout d'une petite étoile aurait aidé le lecteur à suivre un peu plus l'action raccourcie dans la trame avant de passer à une autre. le manque de gestion temporelle se fait également ressentir lors des dernières pages, lorsque l'inévitable arrive et lorsque l'épilogue se déroule comme si on avait demandé à l'auteure de rendre sa copie alors qu'elle écrivait les derniers mots à la hâte sur sa feuille avant qu'on ne la ramasse. Ce final ne m'a même pas fait versé une seule larme tellement il est rapide et bâclé ; l'élément de surprise ne prend même pas tellement l'idée est saugrenue. L'auteure s'échine finalement pendant plus de deux cents pages a tirer les larmes des yeux du lecteur mais je suis restée complètement impassible à chacun des éléments malheureux que subissent les personnages à cause de la mise en forme médiocre et rapide de chacune des idées de la trame.

J'accorde un 2/10 à Mille baisers pour un garçon. On va croire que je n'ai aucune pitié pour les personnages mourants ; ce thème ne fait pas forcément partie de ceux que j'aime. En revanche, j'aime les romances ; mais pas celles qui sont mal écrites ni celles qui dégoulinent de niaiseries et de clichés à chacune des pages. Mille baisers pour un garçon manque cruellement de profondeur et de travail. Je pensais mettre ceci sur le dos du jeune âge de l'auteure mais je n'ai pas su trouver cette information. Je conclurai alors par une phrase que j'ai prononcé lorsque j'ai terminé le livre et que je n'ai pas réussi à formuler autrement : « de toute façon, quand tu vois dans la playlist du roman dans les dernières pages One Direction et Little Mix, t'as tout compris » (phrase prononcée en toute intimité sur le canapé et qui ne pourra alors pas être retenue contre moi). *referme son PC, prend son bouclier et ses jambes à son cou*

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Diamant

Ce livre est magnifique, bouleversant, émouvant! C'est sûrement l'un des livres pour lequel j'ai le plus pleurer. Quand on a versé une larme, on ne peut plus s’arrêter et même après avoir fini notre lecture. Les personnages de Poppy et de Rune sont géniaux, beaux et authentiques et la plume de l'auteur est magnifique!

Je tiens juste à souligner le coté un peu trop niais lors de certains passages mais en soit, ce n'est pas si gênant que ça.

Avec ce livre, mon cœur a éclaté.

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Argent

Alors voilà, je me lance. Je ne sais pas quoi dire et je ne crois pas que ce soit mauvais. Je veux dire, un roman qui vous laisse sans voix c'est plutôt positif non ? Faut-il vraiment que mettre des mots pour que nos sentiments soient réels ? Je ne pense pas, pourtant c'est ce que je suis en train de faire. Paradoxal.

Allez on commence.

Ce roman est touchant. Et pur. L'innocence de Poppie. Sa tristesse. Sa passion pour la musique. Son enfance qu'on lui a volé. La colère, la haine de Rune. Ses choix débiles. Son amour pour elle. Son amour pour la photographie. Leurs baisers. Et tout le reste.

Bon sang dit comme ça, ça à l'air débile mais c'est vraiment touchant. Il mérite d'être lu. Alors, malgré ce commentaire un peu -complètement, brouillon j’espère que vous lirez Milles baisers pour un garçon.

PS: Quand on pleure on peut plus lire et c'est pas du tout pratique.

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