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Extrait ajouté par Laurine-25 2021-07-31T21:18:27+02:00

"Il remarqua qu'il pensait souvent à la mort, la sienne, la sienne...Il pensait à la mort parce que c'était logique d'y penser, mais on ne pouvait pas, lui en tout cas ne pouvait pas, se représenter un monde où il ne serait pas.

Pourtant depuis que l'humanité existait...il n'avait pas toujours été là! Il essayait de rire.

Oui, mais ce n'était pas pareil.

Disparaître, ce n'était pas pareil.

Une fois qu'on était là. Disparaître."

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Extrait ajouté par Laurine-25 2021-07-31T21:18:17+02:00

"La mort pourrait être un objet de curiosité, je suis curieux de voir ce qui va se passer,...

Est-ce que je suis curieux? Je sais très bien que je ne crois pas qu'il y ait quoi que ce soit.

Mais je ne veux pas qu'on m'oublie.

Pourtant je ne serai pas là, alors.

Oui mais je veux mourir sans regret.

Sans regret, c'est quoi?

Est-ce qu'on peut mourir calme?

Non, on meurt toujours furieux."

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Extrait ajouté par Laurine-25 2021-07-31T21:18:09+02:00

"Quand le poids de la haine a attaqué un coeur, c'est une double souffrance pour celui qui la porte en soi, il sent le poids de ses prorpres malheurs et gémit au spectacle du bonheur d'autrui."

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Extrait ajouté par Laurine-25 2021-07-31T21:18:01+02:00

"On vit, on meurt, à chaque instant, quel sens ça a. En même temps faire le tour de la terre dans le sens du soleil, ou faire le tour de la terre sans regarder le soleil, bien sûr la terre est ronde , on arrivera tous au même point, mais ce n'est pas la même chose. Le problème, mon problème, le problème, c'est que j'ai peur de tomber dans un trou. On avance, on recule, on tombe dans un trou." (p. 232, éditions Folio)

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Extrait ajouté par Laurine-25 2021-07-31T21:17:52+02:00

Il est traversé par une pensée vraiment bizarre, il se dit C’est vraiment bizarre de penser ça, pourquoi je pense ça, l’idée de rester là devant le tableau pour toujours.

Un point c’est tout.

Pour toujours.

Je reste là pour toujours.

Pourquoi je pense ça, se demanda Millefeuille. C’est bizarre.

Et non. C’est une idée simple, normale.

C’est ridicule, se dit Millefeuille, complètement ridicule.

Je m’en vais, il dit à voix haute, fort même.

(…) J’y retourne, dit Millefeuille, après un temps, j’y retourne. Je ne peux pas ne pas y retourner. Il se leva, il était quand même fatigué, mais il revint sur ses pas, et se planta de nouveau devant l’autoportrait. Il attendit un peu.

Au bout d’un moment, il entendit distinctement, Ça suffit l’agitation.

Il regarda autour de lui, personne. Évidemment, c’était le tableau.

Il soupira. Ensuite il dit, Je sais, je sais. Il avait envie de pleurer.

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Extrait ajouté par Laurine-25 2021-07-31T21:17:43+02:00

Je me traîne, je suis fatigué avant de commencer la journée, je deviens vieux, se disait Millefeuille. Il dit la phrase sans y penser, ensuite il la considéra, la retourna dans tous les sens, elle n'en avait pas réellement, de sens, c'était clair, je deviens vieux, c'est clair.

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Extrait ajouté par Laurine-25 2021-07-31T21:17:32+02:00

Millefeuille voyait le poème sur la page, les vers se détachaient, Baudelaire parlait des vices,

"Il en est un plus laid, plus méchant, plus immonde !"

Millefeuille souriait intérieurement et continuait

"Et dans un bâillement avalerait le monde :"

C'est l'ennui ! ...

Incroyable que Baudelaire ait trouvé que l'ennui était un vice, une erreur, une faute très grave, un péché, pas un malheur, on éprouve pourtant comme un malheur de s'ennuyer, moi en tout cas, je l'éprouve comme un malheur

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