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Il était marié et n’avait pas l’habitude d’être infidèle ou de chercher de la compagnie féminine lors de ses voyages d’affaires. Mais quand la possibilité lui fut servie sur un plateau, il n’avait pas pu résister à la tentation.

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Mon frère est totalement irresponsable quand il s’agit de relations. Il trace son chemin dans la vie en baisant les femmes, sans comprendre que ça peu faire mal à celles qui le voient comme quelque chose de plus qu’un mec occasionnel

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Mikael avait beau être habitué à la capacité de Lisbeth Salander de s'habiller de façon choquante, il fut stupéfait de voir qu'Annika Giannini lui avait permis de se présenter à la salle d'audience vêtue d'une courte jupe en cuir noir, avec l'ourlet défait, et d'un débardeur noir portant l'inscription I am irritated et qui ne dissimulait pas grand-chose de ses tatouages. Elle portait des rangers, une ceinture cloutée et des chaussettes montantes rayées noir et lilas. Elle avait une dizaine de piercings dans les oreilles et des anneaux à la lèvre et aux sourcils. Ses cheveux avaient repoussé depuis son opération du crane en une sorte de chaume noir et hirsute. De plus, elle était maquillée à outrance.

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"Et il n'y a pas une énorme différence entre un soudeur et un médecin. Dans les deux cas, c'est une sorte de bricolage."

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"Après une période de célibat informatique total, elle était en état de cybermanque incommensurable."

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Lars Beckam savait parfaitement que Michael Blomkvist était l'amant de sa femme. Leur relation existait avec son aval et son assentiment.

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Alexander Zalachenko était réveillé depuis huit heures quand Sonja Modig et Marcus Ackerman vinrent le voir vers 19 heures. Il avait subi une opération relativement importante, impliquant que l'os malaire avait été ajusté et fixé avec des vis de titane. Sa tête était tellement empaquetée que seul son œil gauche était visible. Un médecin leur avait expliqué que le coup de hache avait brisé l'os malaire et endommagé le frontal, fendu une grande partie de la chair du côté droit du visage et déplacé l'orbite. Ses blessures étaient très douloureuses. Zalachenko avait reçu de fortes doses d'antalgiques mais il était malgré tout à peu près cohérent et il pouvait parler. La police ne devait cependant pas le fatiguer.

- Bonsoir, monsieur Zalachenko, salua Sonja Modig. Elle se présenta, puis présenta son collègue Ackerman.

- Je m'appelle Karl Axel Bodin, dit Zalachenko péniblement entre des dents serrées. Sa voix était calme.

- Je sais très bien qui vous êtes. J'ai lu votre palmarès à la Säpo.

Ce qui n'était pas tout à fait vrai, puisque la Säpo n'avait pas encore livré le moindre papier concernant Zalachenko.

- C'était il y a très longtemps, dit Zalachenko. Aujourd'hui, je suis Karl Axel Bodin.

- Comment ça va ? poursuivit Modig. Etes-vous en état de mener une conversation ?

- Je voudrais porter plainte contre ma fille. Elle a essayé de me tuer.

- Nous le savons. Cela fera l'objet d'une enquête en son temps, dit Ackerman. En ce moment, nous avons des choses plus urgentes à discuter.

- Qu'y a-t-il de plus urgent qu'une tentative de meurtre ?

- Nous voudrions vous interroger au sujet de trois homicides à Stockholm, d'au moins trois homicides à Nykvarn, ainsi que d'un enlèvement.

- Je ne sais rien là-dessus. Qui a été tué ?

- Monsieur Bodin, nous avons de bonnes raisons de soupçonner que votre associé, Ronald Niedermann, trente-sept ans, est coupable de ces actes, dit Ackerman. De plus, la nuit dernière, Niedermann a tué un policier de Trollhättan.

Sonja Modig fut un peu surprise qu'Ackerman se conforme aux volontés de Zalachenko et utilise le nom de Bodin. Zalachenko tourna un peu la tête de manière à voir Ackerman. Sa voix s'adoucit.

- J'en suis...désolé. Je ne sais rien sur les occupations de Niedermann. Pour ma part, je n'ai tué aucun policier. En revanche, on a essayé de me tuer cette nuit.

- Ronald Niedermann est actuellement recherché. Avez-vous une idée d'où il pourrait se cacher ?

- Je ne sais pas dans quels cercles il a ses habitudes. Je... Zalachenko hésita quelques secondes. Sa voix se fit confidentielle. Je dois reconnaître...entre nous...que parfois je me suis fait du souci pour Niedermann.

Ackerman se pencha un peu vers lui.

- Comment cela ?

- J'ai découvert qu'il pouvait être violent. Oui, j'ai peur de lui.

- Vous voulez dire que vous vous sentiez menacé par Niedermann ? demanda Ackerman.

- Exactement. Je suis un homme âgé. Je ne peux pas me défendre.

- Pouvez-vous expliquer votre relation avec Niedermann ?

- Je suis handicapé. Zalachenko montra son pied. C'est la deuxième fois que ma fille essaie de me tuer. J'ai engagé Niedermann comme aide il y a de nombreuses années. Je croyais qu'il pourrait me protéger...mais en réalité, il a pris possession de ma vie. Il va et vient à sa guise, je n'ai aucune voix au chapitre.

- Et il vous aide à quoi ? coupa Sonja Modig. A faire les choses que vous n'arrivez pas à faire vous-même ?

Zalachenko jeta un long regard sur Sonja Modig avec son seul œil visible.

- J'ai cru comprendre qu'elle a jeté une bombe incendiaire dans votre voiture il y a plus de dix ans, dit Sonja Modig. Pourriez-vous m'expliquer ce qui l'a incitée à commettre un acte pareil ?

- Vous feriez mieux de poser la question à ma fille. C'est une malade mentale.

Sa voix était de nouveau hostile.

- Vous voulez dire que vous ne voyez aucune raison pour laquelle Lisbeth Salander vous aurait attaqué en 1991 ?

- Ma fille est une malade mentale. Il y a des documents qui l'attestent ?

Sonja Modig inclina la tête. Elle nota que Zalachenko répondait d'une façon beaucoup plus agressive et négative lorsque c'était elle qui posait les questions. Elle comprit qu'Ackerman lui aussi l'avait remarqué. OK...le bon flic, le mauvais flic. Sonja Modig haussa la voix.

- Vous ne pensez pas que son geste ait pu avoir un rapport quelconque avec le fait que vous aviez maltraité sa mère au point qu'elle s'est retrouvée avec des lésions cérébrales irréversibles ?

Zalachenko regarda calmement Sonja Modig.

- Des conneries, tout ça. Sa mère est une pute. C'est probablement des clients à elle qui l'ont tabassée. Moi, je passais juste par là.

Sonja Modig leva les sourcils.

- Vous êtes donc totalement innocent ?

- Naturellement.

- Zalachenko...voyons voir si je vous ai bien compris. Vous niez donc avoir maltraité votre amie de l'époque, Agneta Sofia Salander, la mère de Lisbeth Salander, bien que cela ait fait l'objet d'un long rapport secret de la part de votre mentor à la Säpo, Gunnar Björck.

- Je n'ai jamais été condamné pour quoi que ce soit. Je n'ai même pas été mis en examen. Je ne suis pas responsable des délires d'un charlot à la police secrète. Si j'avais été soupçonné, j'aurais au moins eu droit à un interrogatoire.

Sonja Modig était abasourdie. Zalachenko avait l'air de sourire derrière son bandage.

- Je voudrais donc faire une déposition concernant ma fille. Elle a essayé de me tuer.

Sonja Modig soupira.

- Je commence à comprendre pourquoi Lisbeth Salander a ressenti le besoin de vous planter une hache dans la tête.

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C’était seulement le premier jour du restant de sa vie.

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Elle constata que l'infirmière prit à gauche dans le couloir et qu'elle fit 17 pas avant d'arriver à destination, puis que le visiteur parcourut la même distance en seulement 14 pas. Cela donnait une valeur moyenne de 15,5 pas. Elle estima la longueur des pas à 60 centimètres, ce qui, multiplié par 15,5, signifiait que Zalachenko se trouvait dans une chambre située à 930 centimètres à gauche dans le couloir. OK, disons 10 mètres. Elle estima que sa chambre faisait environ 5 mètres de large, ce qui signifierait que Zalachenko se trouvait à deux portes d'elle.

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Annika avait noté aussi que Lisbeth Salander paraissait par moments plongée dans une profonde dépression et ne manifestait apparemment pas le moindre intérêt pour résoudre sa situation et son avenir. On aurait dit qu'elle ne comprenait tout simplement pas, ou se foutait complètement que la seule possibilité d'Annika de lui procurer une défense satisfaisante était d'avoir accès aux faits. Elle ne pouvait pas travailler dans le noir.

Lisbeth Salander était butée et renfermée. Elle faisait de longues pauses pour penser et formulait ensuite avec exactement le peu qu'elle disait. Souvent elle ne répondait pas du tout, et parfois elle répondait subitement à une question qu'Annika avait posée plusieurs jours auparavant. Pendant les interrogatoires de la police, Lisbeth Salander était restée assise dans son lit sans dire un mot, le regard dirigé droit devant elle.

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