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Chapitre 8 :
Ethan
«… Cependant je ne peux pas en parler en ces termes à Marc, il dirait que je suis mordu de cette femme.
— Elle te tient déjà par la queue.
C’est raté, il a tout deviné. Ce n’est pas mon meilleur ami pour rien.
— C’est la femme du train.
— Tu te fous de moi ? ... »
Afficher en entierChapitre 2 :
Mila
«… Un problème réglé, un. À mon voisin canon !
— Vous allez où ? m’entends-je dire d’une petite voix qui ne me ressemble pas.
Ne te transforme pas en cruche sans cervelle maintenant, Mila.
— Paris, répondit-il avec un léger accent britannique que je n’avais pas remarqué dans la panique.
Un anglais, c’est encore mieux.
— D’accord. Pour les affaires ou pour le plaisir ?
Moins discret, tu meurs.
Mais j’ai quand même droit à un semblant de sourire. C’est un petit pas pour Mila et un très, très grand pas pour cet homme.
— Pour les affaires.
— Célibataire ?
Mince c’est moi qui ai posé cette question ? ... »
Afficher en entierSon regard magnétise la pièce et je ne peux détacher le mien de son torse dépassant du bureau. Je suis debout, lui, assis, et pourtant je me sens toute petite. Je suis incapable de formuler la moindre phrase cohérente. Tout ce que je veux, c’est lui. Le désir est palpable dans l’air et sa voix rauque me parvient comme une douce mélodie du bonheur.
– Tu veux quelque chose à boire ?
– De l’eau, s’il te plaît.
Il se lève et je ne peux plus respirer. Il est majestueux dans son costume d’un vert très sombre, comme ma robe lors de la fameuse soirée. Est-ce un rappel ? Avait-il prévu de me voir bien avant de m’envoyer un message ?
Il s’approche de moi, tel un félin, mais au dernier instant fait dévier sa trajectoire, me contourne pour attraper sur le meuble à ma gauche la carafe d’eau. C’est moi ou la température vient de monter subitement ?
– Merci.
Il reste à côté de moi et me regarde boire. C’est intimidant et très grisant de le voir détailler chacun de mes gestes. Et en plus, il ne dit rien, je vais fondre.
J’éloigne le verre de ma bouche et il s’en saisit pour le reposer sur le meuble à côté de la carafe. Ce geste l’a rapproché de mon corps et ma poitrine est maintenant très près de son torse. On se regarde dans les yeux, j’approche une main de sa joue et pars à l’exploration de son visage. Depuis le temps que je rêvais de le faire !
Afficher en entierSon regard magnétise la pièce et je ne peux détacher le mien de son torse dépassant du bureau. Je suis debout, lui, assis, et pourtant je me sens toute petite. Je suis incapable de formuler la moindre phrase cohérente. Tout ce que je veux, c’est lui. Le désir est palpable dans l’air et sa voix rauque me parvient comme une douce mélodie du bonheur. – Tu veux quelque chose à boire ? – De l’eau, s’il te plaît. Il se lève et je ne peux plus respirer. Il est majestueux dans son costume d’un vert très sombre, comme ma robe lors de la fameuse soirée. Est-ce un rappel ? Avait-il prévu de me voir bien avant de m’envoyer un message ? Il s’approche de moi, tel un félin, mais au dernier instant fait dévier sa trajectoire, me contourne pour attraper sur le meuble à ma gauche la carafe d’eau. C’est moi ou la température vient de monter subitement ?
Afficher en entier[Je t’attendrai à 18 heures. Devant mon bureau.
On te laissera entrer même si les locaux sont fermés.]
Intéressant, monsieur souhaite me voir dans un immeuble vide, dans son bureau. L’idée ne me déplaît pas mais suis-je capable de m’y rendre ? Que va-t-on faire à cette heure ? Certainement pas jouer aux cartes. Rien que d’y penser, j’en ai la chair de poule d’excitation.
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