Commentaires de livres faits par MissCilou
Extraits de livres par MissCilou
Commentaires de livres appréciés par MissCilou
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Elle lui montra les courbes de ses hanches. « On m’a dit que mon corps à moitié humain était trop lourd. On m’a aussi dit que mes seins étaient trop gros, et que mon cul pouvait servir de plate-forme d’atterrissage pour un aviaport.
— Votre cul est parfait. » Ces mots lui avaient échappé. L’ange se retint d’ajouter qu’il appréciait pareillement les autres parties de son corps. Qu’il rêvait de leur rendre hommage. À commencer par son cul. »
— Tu en es certaine ?
— Oui.
— Alors, dis-moi que tu me détestes, que je suis ton pire ennemi. Mieux encore, dis-moi que tu ne veux pas m’embrasser.
— Je n’ai pas envie de jouer à ce jeu. » Il haussa un sourcil et attendit. Je luttai contre l’envie de lever les yeux au ciel devant sa suffisance. « Très bien. Je ne veux pas t’embrasser. Content ? »
Une étincelle de compréhension s’alluma dans son regard. Je réalisai une seconde trop tard ce que je venais de faire, ce qu’il avait appris au moment où les mots avaient quitté mes lèvres traîtresses. Il fit un pas en avant et je reculai rapidement, mon dos entrant en contact avec le mur.
Il se pencha, s’appuya de chaque côté de moi, avec un regard si ardent qu’il aurait suffi pour allumer un feu. « Menteuse. »
Avant que je ne creuse plus encore ma propre tombe, sa bouche se pencha vers la mienne, me dérobant mon souffle, mettant fin à toute autre tentative de déni aussi facilement qu’il m’avait volé mon âme. »
Zeus s’approche de moi, je recule de quelques pas jusqu’à ce que la chaîne se tende. Héphaïstos ne bouge pas d’un pouce. Le maître des dieux ne me touche pas mais il plante son regard glacial dans le mien, me forçant à ployer la tête en arrière. Tout mon être se pétrifie. Encore cette sensation effroyable de sidération ! Toutes mes entrailles se nouent dans la douleur.
— Ne cherche pas à me contrer davantage, sorcière. Tu écarteras les cuisses et tu finiras par prendre du plaisir, comme toutes les chiennes que j’ai croisées, persuadées qu’elles aboieraient et qui ont finalement gémi.
Son souffle sur ma bouche me terrifie autant que ses paroles. Il disparaît et j’ai pourtant l’impression qu’il est encore là, collé à moi sans pour autant me toucher, s’introduisant par tous les pores de ma peau jusqu’à faire trembler mes os. Zeus a perdu son vernis de politesse pour passer à un autre niveau de menace. »
Ella affiche un large sourire amusé.
— Amour, on en a déjà discuté, Médée n’a que cinq mois.
— Et alors ? Elle est en avance sur tout mortel de son âge, bien sûr. C’est notre fille.
— Oui, tu es exceptionnelle ma puce, mais papa dit n’importe quoi.
Médée, elle, gazouille, au comble du bonheur d’avoir ses deux parents penchés sur elle. »
Elle se décale sur le côté et les nymphes se pressent juste sous le nez d’un dieu forgeron défait. Elles sautillent avec des posters et des stylos, ou en pointant du doigt un point sur leur poitrine, près du cœur.
— Et tu as accepté ? grogne Héphaïstos avec un mouvement de recul.
— Hermès m’a achetée à coups d’oboles. On ne se refait pas, prétexte-t-elle.
— Même de loin, il m’emmerde, celui-là, grogne-t-il en s’exécutant.
Il signe les posters et appose le bout de ses doigts sur leur surface précieuse, au point de laisser une marque. On dirait une sorte de tatouage mais qui garde son empreinte à lui.
Je ne vais pas me gêner pour lui rappeler cet instant en continu dès que la délégation nous aura quittés.
« Et je m’en suis donné à cœur joie toute la matinée ! Jusqu’à la préparation du départ des Cyclopes en début d’après-midi, dans cette même salle au bassin de lave. Je crois qu’Héphaïstos a fini par regretter le retrait du bâillon.
— « Ô Héphaïstos ! Marque mon sein ! Héphaïstooos ! » m’amusé-je en imitant les nymphes.
Acamas, Pyracmon et Adnanos se bidonnent sans oser éclater de rire. Après tout, leur maître est juste derrière moi, la lampe en forme de conque dans les bras, le regard noir.
— Ça suffit, réprimande-t-il en confiant sa création à un Adnanos ravi. »
La déesse fait un signe de la main, les yeux grands ouverts.
— Tu es incroyablement beau, Thanatos, dit-elle comme si elle parlait de la météo.
— Hum, merci, répond le dieu de la mort, embarrassé.
— Oui, on peut lui reconnaître ça, bien joué Antéros, approuve Aphrodite.
Une partie de l’auditoire souffle. Psyché me donne un petit coup de coude.
— J’aurais aimé que ça se passe comme ça pour moi, marmonne-t-elle.
— Vous savez déjà ce que j’en pense, se dédouane Éros.
— Moi, à part ressentir sa peur… déclare Phobos en reculant d’un pas.
Thanatos passe nerveusement ses mains sur son bermuda, Antéros enroule son bras autour de son cou.
— Ne crains rien, Ciel étoilé, le rassure-t-il.
— Et moi, je me demande ce que je fais encore là, grogne Deimos en regardant l’heure. C’est pour ça que vous vouliez que je reste ?
Arès, le seul à ne pas avoir encore parlé, les muscles toujours aussi gonflés, finit par avancer de quelques pas, faisant ravaler sa question à Deimos.
— Je me demande quelle qualité tu peux bien avoir pour que nous acceptions de te remettre notre fils, Antéros, à Aphrodite la Céleste et à moi, Arès, Fléau des hommes, assène-t-il avec toute l’autorité possible. Antéros est l’un de nos cinq enfants bien-aimés, tendre et vicieux tout à la fois.
— C’est un compliment, ça, père ? doute son fils en bougonnant.
Arès lève son index pour le faire taire.
— Le temps où nous acceptions que nos enfants se lient à n’importe qui, sans avoir notre mot à dire, est terminé !
Éros et Deimos protestent à mi-voix : « Psyché n’est pas n’importe qui, merci », « J’espère pour toi que tu ne parles pas d’Ella. » Arès doit plutôt évoquer Harmonie sans la distinguer dans ses propos.
— Alors, je t’écoute, Thanatos ?
Au comble de la nervosité, le dieu de la mort bredouille deux ou trois onomatopées avant d’exploser.
— Mon seul pouvoir est de donner la mort !
Il jette un froid insurmontable autour de lui. Ou presque. Arès ouvre de gros yeux avant d’écarter les bras sans violence.
— Gendre, dit-il en enlaçant Thanatos.»
À première vue, elles débutent sans surprise : Hermès se masse les sinus, dépassé.
— Vous comprenez ce qui ne va pas dans votre comportement, n’est-ce pas ?
Les trois Disputes ont les bras croisés et secouent la tête. La mauvaise foi incarnée !
— Vraiment, on ne voit pas.
— Vous avez transformé le bureau de poste en bureau de bookmaker ! Ça a fini par arriver à mes oreilles !
— Oh ! Ça ! Mais c’est juste pour ce soir !
— … Pardon ?
Cette fois, le patron des Disputes croise les bras alors que j’aurais plutôt envie de rire. Je ne sais pas ce qu’il pouvait attendre d’autre de leur part.
— Patron, ne nous prends pas pour des amatrices.
— On a lancé des paris sur la réussite ou non des épreuves par la sorcière, et on passe notre temps à dire qu’elle va rater.
— Comme ça, quand elle va réussir, on gardera les gains.
Les démones !
— … Ah parce qu’en plus, vous trichez ? Ça va encore me retomber dessus, déplore Hermès.
— Patron, patron, on a récolté pas moins de trois mille oboles pour le moment.
Le dieu messager garde le silence quelques secondes avant de chuchoter, incrédule :
— Trois mille oboles !
Les trois Disputes se gaussent tout en bombant le torse. Le sourire d’Hermès s’allonge et il leur tapote l’épaule.
— Vous êtes douées, les félicite-t-il. Sur quoi d’autre on pourrait parier ? Vous avez des idées ? Ça vous dit un brainstorming ?
Ah ah l’idiot, bien sûr qu’il est fier d’elles ! »
Pour la trouver là. Dans toute sa gloire.
« Mia », chuchota-t-il.
Déesse, qu’elle était belle. Le poids d’années de sang et de sacrifices se déployait telles de sombres ailes sur ses épaules. Les cicatrices consécutives à ses épreuves, gravées sur sa peau comme dans le creux de sa poitrine, se reflétaient dans ses yeux. Mais rien, personne, ni les cœurs brisés ni les rêves fracassés, pas même la simple tragédie d’être vivante, de respirer, n’avaient jamais suffi à l’arrêter. C’était une fille… hors du commun.
Une fille qui avait une histoire à raconter.
Elle était toute de noir vêtue : un corset et de longues jupes qui s’écoulaient telle une rivière autour de ses pieds. Une épée longue en ossacré patientait entre ses mains. Un masque doré lui couvrait le visage, du noir enduisait ses lèvres, qui s’ouvraient présentement pour laisser s’échapper une voix capable d’ébranler le monde :
« Père, dit-elle.
— Oui ? » répondit Mercurio.
Elle se tourna alors vers lui. Toutes les années qu’ils avaient partagées se réduisirent aussitôt à rien. Il était de retour dans son petit magasin, avant que toute cette histoire ne commence. Rien que tous les deux, ensemble. Mia avait onze ans : assise à ses pieds, elle le regardait lui montrer comment baratiner un cadenas. Treize ans : ses yeux noir silex scintillants, elle lui demandait pourquoi les garçons ne saignaient pas. Quinze ans : elle lui taxait un cigarillo en lui racontant une blague paillarde – une petite chose aussi maigre que bagarreuse, avec une frange de travers, pas encore terminée. Et à ce moment-là il comprit pleinement à quel point elle faisait partie de lui, à quel point elle comptait à ses yeux, à quel point elle l’avait changé, pour toujours et à jamais. Cette fille qui avait osé là où d’autres avaient échoué, qui n’avait jamais vu le monde comme le voyait le reste de ses congénères.
Y compris lui-même.
Déesse, comme il l’aimait…
Elle lui sourit. À peine une fraction de seconde. Ses yeux noirs luisaient de larmes qu’elle ne laisserait jamais couler dans un endroit pareil. Et ça le stupéfia, d’y voir tout l’amour qu’elle lui portait également.
— Toute seule ? » Elle se tourna vers son ancien mentor. « Je n’ai jamais été seule. Tu es avec moi depuis que cette sale gamine pourrie gâtée est entrée dans ton magasin et t’a demandé – avec insistance, doux euphémisme – d’acheter sa broche. Tu m’as sauvé les fesses, à ce moment-là. Et l’air de rien, tu n’as pas cessé de me protéger depuis lors. »
Mercurio se renfrogna ; ses yeux bleu métallique commençaient à briller. « Je n’ai jamais pris femme, dit le vieil homme. Jamais eu de familia. Ça ne me semblait pas juste, vu ma… profession. Mais… si jamais j’avais eu une fille…
— Tu en as eu une. » Mia étreignit le vieillard, le serra de toutes ses forces. « Et elle t’aime », lui chuchota-t-elle à l’oreille.
Mercurio ferma les yeux – des larmes s’écoulaient le long de ses joues, désormais. Il lui embrassa le sommet du crâne tout en secouant la tête. « Moi aussi je t’aime, Petite Corneille. »
Le combat qui les avait opposés à la soyante.
« Par le sang et les abîmes, murmura Sidonius, dont les doigts laissaient des marques graisseuses sur la page.
— Tu en es où ? s’enquit Charmeuse-de-Lames.
— Ashlinn vient de poignarder Tric.
— Ah. » Elle hocha la tête. « Quelle petite salope impitoyable, celle-là.
— Ouaip, dit Sid, avant de refermer l’ouvrage et d’examiner sa couverture. C’est plutôt bien écrit, tu sais. Enfin, si on fait abstraction des notes de bas de page et des tombereaux de jurons.
— Mouais. » Charmeuse renifla dédaigneusement, balança une longue saline par-dessus son épaule. « En tout cas ça se voit que ça a été écrit par un homme.
— … Comment ça ?
Elle haussa un sourcil, puis considéra le massif Itreyen. « Tu n’as pas trouvé que les scènes de sexe vendaient la mèche ?
— Certaines m’ont paru plutôt bonnes, à vrai dire…
— Oh, arrête, se gaussa la jeune femme. Des “tétons douloureux” ? Un “bourgeon gonflé” ? Sérieusement… »
Sidonius cligna des yeux. « C’est quoi le problème avec “bourgeon gonflé” ?
— Je n’ai pas une putain de fleur entre mes jambes, Sid. »
Il déglutit distinctement. « Es-tu maudite ?
— Je suis une fille de l’obscurité qui s’étend entre les étoiles, répondit-elle. Je suis la pensée cauchemardesque qui réveille en pleine non-nuit tous les salopards de ce monde. Je suis la vengeance de chaque orpheline, de chaque mère assassinée, de chaque petit bâtard. » Mia se pencha en avant, le fixa droit dans les yeux. « Je suis la guerre que tu ne peux pas gagner. »
Oumm passa à nouveau le pouce sur sa joue, lui offrant une minuscule lueur pour la guider sur le chemin inconnu. Un chemin que Zafira jura de suivre.
« Sois aussi victorieuse que le nom que je t’ai donné, et mets le désert à genoux. »
Zafira prit les mots de sa mère un à un et les avala tout entiers.
La mort est pour les imbéciles, dit l’ombre.
L’obscurité est mon destin, dit le garçon.
L’allégeance est ma perte, dit l’aigle.
La souffrance est notre destin, dit la beauté.
Et ils se trompaient tous lourdement. »
She would always be his queen. »
- Nous devons avoir une conversation tous les deux à propos du respect que vous témoignez aux Archanges.
- Le père de mon fils est un Archange, répliqua-t-elle. Ce gâchis de cellules immortelles enfile son slip comme n’importe quel homme.
Ce dont son peuple semblait s’enorgueillir particulièrement, comme si la tendance de Titus à batifoler et à répandre sa semence selon son bon plaisir telle une mouche pondant ses œufs partout où elle le peut était le symbole ultime de la masculinité. Sharine laissa échapper un reniflement dédaigneux.
(...)
Titus jeta un coup d’œil à sa droite. Il aurait juré que le Colibri venait de grogner, mais il devait se tromper. C’était une créature bien trop raffinée et délicate pour émettre un tel son.
Cela dit, elle l’observait comme s’il était un insecte sous une lame de microscope.
L’évêque de Sepulcra haussa un sourcil, clope fumante toujours au bec, et entreprit d’examiner le volume. Il était relié en cuir, et aussi noir qu’un ciel de vrainuit. Les tranches de ses pages étaient rouge sang, et il y avait un corbeau en vol imprimé en relief sur la couverture.
Il ouvrit le livre, baissa les yeux sur la page de titre.
« Nevernight, grommela-t-il. Quel nom stupide pour un bouquin.
— Ça n’en reste pas moins une lecture intéressante », rétorqua Aelius.
Mercurio tourna les pages jusqu’au prologue, qu’il parcourut de ses yeux chassieux.
CAVEAT EMPTOR
Les gens se chient souvent dessus lorsqu’ils trépassent.
Leurs muscles se relâchent, leur âme se libère, et tout le reste… s’échappe. Malgré tout l’amour que leur public porte à la mort, les dramaturges…
Mercurio feuilleta quelques pages supplémentaires, en ricanant doucement. « Il y a des notes de bas de page ? Quel genre de branleur écrit un roman avec des notes en bas de page ?
— Ce n’est pas un roman, rétorqua Aelius d’une voix blessée. C’est une biographie.
— Baz.
— Va-t’en, Snow.
— Tu n’es pas un monstre.
Entre mes doigts, son visage est froid comme celui d’un cadavre.
— Je me suis trompé durant toutes ces années. Tu es un tyran. Et un snob. Et un vrai connard. Mais tu n’es pas un des leurs.
Elle s’est penchée et a essuyé les larmes qui me venaient. Je ne pouvais plus parler.
— Nous ne prenons pas toujours les bonnes décisions, Ari. Nous faisons simplement de notre mieux.
Les larmes coulaient sur mes joues, comme si une digue s’était rompue.
— Je crois que nous t’avons blessé.
J’ai fermé les yeux.
— Je pleure parce que je suis heureux.
— Tu es encore un peu pâle.
— J’ai besoin de prendre le soleil.
— Encore un jour à la maison et ensuite tu pourras courir le vaste monde.
— OK. Mais plus de soupe de poulet.
— Tu verras ça avec ta mère.
Avant de sortir de ma chambre, il a hésité un instant. Il me tournait le dos.
— Tu as fait d’autres mauvais rêves ?
— J’en fais toujours.
— Même quand tu n’es pas malade ?
— Oui.
Il se tenait dans l’encadrement de la porte. Il s’est tourné face à moi.
— Dans tes rêves, tu es toujours perdu ?
— Dans la plupart, oui.
— Et tu essaies de me retrouver ?
— Je crois que j’essaie surtout de me trouver, papa.
C’était étrange de lui parler si sincèrement. Cela me faisait un peu peur. Je ne savais pas comment lui dire ce que je ressentais. J’ai haussé les épaules d’un air de dire : c’est pas grave.
— Je suis désolé d’être si distant, a dit mon père.
— C’est rien.
— Non, ce n’est pas rien.
Il allait dire autre chose, mais il a changé d’avis et est sorti de la pièce.
Alors que je fixais le sol, j’ai entendu à nouveau la voix de mon père.
— Moi aussi je fais des cauchemars, Ari.
Je voulais lui demander s’il rêvait de la guerre ou de mon frère. S’il se réveillait aussi effrayé que moi.
Je me suis contenté de lui sourire. Il m’avait confié quelque chose de personnel.
J’étais heureux.
— Ta fièvre est tombée.
Elle m’a donné un verre d’eau. Je n’en voulais pas mais je l’ai tout de même bu. De fait, j’avais très soif.
Mon père était toujours là, dans le rocking-chair.
Nous nous sommes regardés un long moment.
— Dans ton rêve, tu me cherchais.
— Je te cherche tout le temps, ai-je murmuré.
– À quoi penses-tu, dis-moi ? lui demanda Helion tandis qu’ils approchaient d’une porte en bois close.
Cassian se figea. Il ne s’était pas rendu compte que l’odeur de son excitation s’était répandue autour de lui. Il sourit à Helion.
– À ta mère, lança-t-il.
Helion éclata de rire.
– J’oublie toujours à quel point j’apprécie ta compagnie, dit-il.
– Et c’est toujours un plaisir pour moi de te le rappeler, répliqua Cassian avec un clin d’œil."