Commentaires de livres faits par MissJeSaisTout
Extraits de livres par MissJeSaisTout
Commentaires de livres appréciés par MissJeSaisTout
Extraits de livres appréciés par MissJeSaisTout
Apollon a soupiré.
- Autant demander à un peintre d'expliquer ses tableaux, à un poète d'expliquer ses poèmes. Ce n'est pas le but du jeu. Le sens ne se révèlera que par la recherche
- Autrement dit, vous ne savez pas.
Ta voix cristalline,
Tes yeux de félin,
Ta bouche divine,
Tout en toi m'émeut,
Tout en toi me va,
Tu me rends heureux,
Je t'aime tout bas.
Tu me manques. Clara aussi me manque, nos soirées me manquent, notre histoire me manque. Je donnerais n'importe quoi pour cinq minutes, juste cinq minutes avec Erzank, Elena et Lady. Voilà, au final, je ne sais toujours pas qui tu es, mais au fond, je m'en fous. Qui que tu sois, je te demande, je te supplie, de revenir. Alors voilà, je vais compter jusqu'à trois.
A trois, j'ouvrirais les yeux et tu me répondras. Prête ?
Un.
Deux.
Trois.
...
...
...
Le 6 mars a 17h28 :
S'il te plaît, Angèle, réponds-moi.
Ce n'est pas moi qu'ils appellent.
Mon cœur ne ralentit pas, il cogne toujours brutalement tandis que je lève les yeux sur Valentino : il a son téléphone à la main, qui hurle l'avertissement d'une vie.
Je n'ai jamais été une grand-mère très investie avec toi.
Quand tu était petite, tu devais avoir quatre ou cinq ans, tu es venue en vacances chez nous. Nous avons fait du jardinage, des balades. Ton grand-père a voulu t'apprendre le bricolage mais tu t'es écrasé le pouce avec le marteau et tu n'as plus jamais voulu entrer dans son atelier. Nous avons beaucoup ri. Ce séjour était merveilleux, et nous étions ravis.
Je n'ai jamais compris.
Tu as dit à ton père que tu t'étais ennuyée.
Tu n'es jamais revenue seule.
Seb était avachi dans le fauteuil, la tête basse. Deux taches sombres s'étaient formées sur son jean. Il pleurait.
Un homme joufflu, vêtu d'une tenue de catcheur et coiffé d'un diadème, se tenait campé devant eux dans l'herbe boueuse.
-Au moins, vous avez un cœur qui bat, vous. Ce n'est pas le cas de la plupart des gens que vous croiserez ici.
Assurancetourix: Obélix a raison! Il vaut mieux un tapis persan volé qu'un tapis volant percé!
Il fallait chaque mois payer des billets, en renouveler d’autres, obtenir du temps.
Le mari travaillait, le soir, à mettre au net les comptes d’un commerçant, et la nuit, souvent, il faisait de la copie à cinq sous la page.
Et cette vie dura dix ans.
Anton s'allonge par terre.
Anton est mort.
Des ta de phrases me démangeaient la langue, dont plusieurs pas très gentilles, d'autre plus entachées d'un romantisme guimauve écœurant qu'il ne m'en pensait capable sans doute.
-Oui, me bornai-je cependant à chuchoter, par crainte de me ridiculiser.